Catégorie : Méditation&Spiritualité (Page 47 of 57)

Virginia Satir

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8’21 : Mets-toi devant un miroir et prosterne-toi trois fois en disant  » Le monde est un endroit meilleur parce que je suis là « .
Puis observe ce qui se passe dans ton corps.
Le monde est un meilleur endroit parce que tu es là,
c’est ton droit de naissance en tant qu’être humain
de refléter ce qu’est être humain, et d’ajouter une vibration positive dans ce monde
et tu le fais sans que ce soit au détriment de quiconque, ni au détriment de la planète, sans que ça ne coûte quoi que ce soit
c’est ainsi que tu vas tendre ta main, gratuitement, en toute confiance

 

19’33 Nous dépensons des millions chaque année à tenter en vain  de régler les problèmes d’alcoolisme, de crimes, de violences domestiques ou d’enfants abandonnés … C’est de l’argent mal dépensé. Au lieu de cela il faudrait développer l’estime de soi. Car aucune personne ayant une bonne estime de soi n’a jamais été violent envers qui que ce soit. L’estime de soi ce n’est pas la fierté, ni l’orgueil, ni l’ambition.

 

21’00 Quand on touche le coeur d’un être, rien de mal n’arrive jamais.

 

09:29
then you will manifest our birthright totally as human beings
that wherever we are
we are made so that in the fulfillment and the reflection of what it means to be fully human
we add to the positive vibrations

Ce qu’on ne peut pas mesurer n’existe pas

On me dit parfois que cette histoire de Qi, d’énergie, d’énergie vitale, c’est rien, c’est incompréhensible, et que ça n’existe pas, car ce n’est pas scientifiquement prouvé.

En effet, la mesure de cette énergie subtile n’est pas encore admise. C’est simplement que certaines choses ne peuvent pas être mesurées selon des normes reconnues.

Pour autant est-ce qu’une idée ou une pensée, ou encore une émotion n’existent pas, parce que personne n’a jamais pu trouver une idée ou une émotion en ouvrant un crâne ou un cœur ?

Cela voudrait dire que l’empathie, la compassion, ou l’amour qu’on a pour un enfant n’existent pas ! Puisqu’elles ne peuvent être mesurées par des appareils agréés par la science ?

Ce n’est donc pas parce qu’on ne peut mesurer quelque chose que ça n’existe pas !

L’homme a toujours du mal à se séparer de ses certitudes, et de son arrogance à vouloir tout contrôler.

En tout état de cause, ce besoin de mesurer pour admettre a dépassé la notion de science dure pour devenir une religion, un dogme.

Car finalement, les sciences, aussi utiles soient-elles, ne sont-elles pas des conventions basées sur des concepts ? Les concepts sont des idées humaines. Les idées humaines sont propres à l’homme, et n’existent pas dans la nature. Par exemple, la croissance d’un arbre n’a pas besoin d’être ni mesurée, ni conceptualisée, ni calculée pour simplement être ! La croissance de l’arbre n’a même pas besoin d’être conceptualisée ! Et l’arbre n’a pas besoin de croissance pour croitre, ni pour exister ! Et l’arbre n’a pas besoin de se nommer arbre, ou plus précisément hêtre ou bouleau par exemples, pour être !

L’homme a besoin de tous ces concepts pour bâtir ses sciences, qui sont souvent bien utiles et parfois aussi néfastes. Mais les sciences n’ont pas besoin d’exister pour que la vie soit la vie, et la vie n’a pas besoin de science.

Les domaines scientifiques sont des conglomérats de d’idées qu’on a validées et transformées en certitudes, générant ce qu’on appelle des « faits ». Mais la quasi-totalité des faits n’en sont pas.

Des idées qui sont partagées sont des égrégores, c’est-à-dire des croyances érigées en « vérités ». L’homme a besoin de ces croyances, surtout dans un monde dépourvu de foi. Comme il n’a plus de foi en rien, l’homme s’est tourné vers la matière pour y construire des croyances. Celles-ci sont devenues ce qu’on appelle des sciences.

Sauf que ce n’est pas stable. Les sciences étant basées sur les croyances, les croyances étant dépendantes des perceptions, autre mot pour désigner les relevés scientifiques, les sciences évoluent au fil de la vie qui passe. Et donc, les vérités sont basées sur un lit mouvant de croyances qui ne cessent de bouger. Ce qui était scientifiquement vrai il y a 50 ans est dépassé, et dans nombre de sciences, l’accélération des découvertes génère une accélération de l’obsolescence scientifique.

En confondant science et vérité, l’homme a érigé des dogmes.

Par vanité, parce que l’homme a une intelligence limitée, il a inventé des certitudes matières. Or, la seule chose qui ne bouge pas, c’est cette énergie vitale, universelle et impalpable, à la fois tout et rien, qui est à la fois infiniment petit et infiniment grand en même temps, qui n’a ni début ni fin, pas de temps ni d’espace, et rien que ces notions perdent le mental humain qui ne sait plus comment s’orienter.

Finalement, laisser la science dite dure là où elle est, dans le domaine de la science vivante, sans vouloir la manipuler pour vouloir la rendre utile ou l’utiliser pour contraindre et enfermer, serait une preuve de sagesse. Encore faut-il avoir une notion de sagesse, puisque là aussi, personne n’a jamais pu en trouver dans aucun corps, même en regardant bien avec l’imagerie médicale, et donc, ça n’existe pas …

Autoroutes de Lumière – hommage aux camps de cette autre concentration

Les jambes si légères, scintillantes aiguilles dorées dans la nuit
Tu es danseuse de l’âme, chatoyantes couleurs sans âge,
Rien ne t’effaces tu es libre et aérienne, si souriante et fragile à la fois
Sous les notes de Schubert au piano, tu es sortie des camps par l’autoroute des âmes
Toi petite fille pianiste des quartiers populaires de Budapest

 

Les hommes intelligents, au service de la bonne morale, qui avaient reconstitué une protection du peuple, ceux qui avaient reconstruit le pays, redonné du travail et un sens de la fierté, créé la voiture pour tous et les autoroutes, que de belles choses alors on pouvait bien fermer les yeux sur les bridages du parti du petit homme qui détenait de plus en plus de pouvoir, et puis de toutes façons c’est bien d’avoir des hommes plutôt fermes face à des tranches du peuple qui ne font pas comme tout le monde …

Et d’inventer la solution finalement, car il fallait en arriver là pour se débarrasser de la vermine…

Ces hommes et ces femmes sont devenus des fossoyeurs d’humanité, à force de vouloir défendre les bonnes idées, les bonnes gens, contre les autres qui faisaient circuler des maladies des races des idées ou même des rebellions, toute autre forme de pensée a été bannie, puis chassée, puis concentrée, puis anéantie …

Anéantie ?

Ces hommes de bonne morale que les peuples abreuvés de peur et de haine portaient en haute estime sont devenus, à leurs haines défendantes, les créateurs des autoroutes de lumière.

Des puits de lumière qui sont sortis pendant des années de ces cheminées l’immonde, tant et tant de Vie qu’ils pensaient chasser de leurs propres âmes salies d’idées en les envoyant dans l’air des camps qui emprisonnaient leurs propres parts d’humanité.

Tout être est énergie, tout être est lumière, et ces millions de morts au nom du non-sens élevé en science, ces millions de morts au nom de la tranquillité de ceux qui voulaient figer la vie dans leur confort doré,

Autant de lumières qui doucement, libérées, allégées de la pesanteur de la matière, libres de toute haine et de toute souffrance, dans la concentration … de fragments de lumière qui constituaient les autoroutes de lumière, puissants rais de lumière divine, pour remonter vers la Source, elles se sont élevées au-dessus de la vanité humaine, montant de la Terre vers le Ciel

Comme des cordes de rappel que l’humain est aussi amour et que rien ne pourra jamais tuer l’énergie en chacun de nous, Ces autoroutes d’énergie concentrée nous ont été offertes par nos bourreaux, l’Energie allait se réincarner dans d’autres formes de lumière, ici et là dans d’autres énergies, cendres d’amour retombant dans les cœurs des bourreaux et de leurs enfants ébahis

Merci à ces bourreaux de nous avoir construit des autoroutes d’amour qui retombent encore aujourd’hui en pluies de compassion sur les cœurs des nouveaux humains.

Toi devenue pianiste des âmes des quartiers de ma ville
Sous les notes de Schubert au piano, tu es présente là dans mon coeur
Pour briller de ton amour pur et inconditionnel
Rien ne t’effaces, libre et aérienne, souriante et fragile à la fois
Toi danseuse de l’âme, dans tes chatoyantes couleurs sans âge,

Il n’y a pas de chemin vers le bonheur. Le bonheur est le chemin. » Bouddha

Il n’y a pas de chemin vers le bonheur. Le bonheur est le chemin. » Bouddha

… la société de consommation m’a enseigné (l’illusion) qu’il existerait un chemin vers le bonheur : sois bon élève, aie un bon job, tu pourras construire une belle maison avec piscine, tu auras une belle voiture et tu pourras aller plusieurs fois en vacances … sinon, tu seras pauvre, tu devras aller travailler à l’usine, et tu seras malheureux !!! …

Cette phrase « chemin vers le bonheur» correspond au concept d’un bonheur promis, futur, qui se matérialiserait après avoir parcouru sagement le chemin vers ce bonheur. C’est un bonheur matériel, et un bonheur dans le futur, qui est toujours placé dans le tutur  qu’on poursuit, et qui s’éloigne toujours, donc non imaginaire, et par là même, non réel.

Mais le bonheur n‘étant pas matériel, comment pourrait-il alors être apporté par la matérialité ? On dit que l’argent aide à trouver le bonheur : ce qui me parait faux. C’est la simplicité qui ouvre au bonheur. Notre société au contraire mène les peuples à noyer leur capacité d’être heureux dans les complications d’une vie tournée vers la matérialité envahissante : celui qui mécanise sont cœur perd sa lumière. L’argent éloigne du bonheur, car il nous enchaine à l’avoir.

La société nous garde dans le premier et plus bas des 3 niveaux celui de l’avoir : avoir un job, pour avoir une maison, et ainsi on possède même des amis … ensuite, le deuxièmème niveau du faire nous permet de passer à la créativité, et ensuite nous pouvons nous élever au nivau de l’Être, c’est dans l’Être qu’on trouve le bonheur.

C’est plutôt ÊTRE que d’avoir : « le bonheur EST le chemin » nous invite donc à réfléchir sur la notion du bonheur dans l’instant, l’instant présent, celui faisant le chemin.

Le bonheur, c’est alors d’abord la bonne heure : être dans la bonne heure, vivre dans l’heure, c’est-à-dire au présent. C’est cela le chemin : je construis le chemin en vivant dans la bonne heure, en étant dans la bonne heure : ETRE dans le bonheur !

Quand je vis dans le moment présent, je peux aussi être dans la joie : si je n’ai plus de passé qui me poursuit, ni d’angoisse pour le futur, je peux gouter tout simplement à ce qui EST, ICI ET MAINTENANT. Et la joie est alors quasiment permanente.

On y est ! le bonheur, c’est vivre dans la bonne-heure, c’est vivre dans l’heure, c’est-à-dire heure-eux comme d’autres sont peur-eux. En fait, le chemin fait le bonheur :  A force de vivre dans l’instant présent, petit à petit se forme le chemin. Le chemin se constitue au fur et à mesure que je vis dans la bonne-heure. C’est mon chemin du bonheur !

Je suis un lumineux être spirituel –  So Hum (relations miraculeuses, Deepak Chopra, Jour 2)

Je suis un lumineux être spirituel –  So Hum

(relations miraculeuses, Deepak Chopra, Jour 2)

Tu n’es pas ton corps changeant, tu n’es pas tes) idées changeantes, tu n’es pas tes émotions changeantes.

il y a une part de toi qui es l’observateur, la Conscience qui ne juge pas, l’observateur du corps et de l’esprit.

Tu peux prendre contact avec cette part de toi en portant ton attention sur celui en toi qui observe.

La présence que tu sens est ton âme, ton essence, la source.

Elle est infinie, Amour, compassion, joie, créativité, intuition et grâce. Elle est silencieuse, innée, permanente, sagesse.

À chaque fois que tu es dans les émotions, la tristesse ou la peur, et que tu te sens isolé et seul, tourne toi vers ta nature profonde qui brille comme mille soleils.

 

Tu n’es pas ton corps, tes pensées, ton métier, ton savoir faire, tes relations, tes émotions, !

Tout cela est changeant, rien de permanent ! Ton corps n’est pas le même depuis que tu étais un bébé, puis un enfant. À chaque instant ton corps évolue, se transforme et transforme.

Tu n’es pas tes pensées, elles défilent à toute vitesse !
Tu n’es pas tes émotions, même si parfois tu les retiens en toi, une émotion dure physiologiquement 30 secondes.

Tu n’es pas Ta personnalité changeante, pas ton métier, il évolue sans cesse ! Ni ton savoir faire, tes activités de loisirs, artistiques, associatives.
Tu n’es pas ta maison ni toute possession, car tu en es séparé , ni ton chien, tout cela est extérieur à toi.

Mais il y a une part de toi qui es l’observateur, observer contempler,
On l’appelle l’âme, la Conscience avec un grand C, cette Conscience qui ne juge pas, l’observateur du corps et de l’esprit.

Tu es une entité spirituelle, du spirit dans la notion éthérique. Ton âme, ta nature divine, ton Essence, ton  » je suis », ou encore la Vie en toi.

 

Résumé Mooji sur les désaccords dans les relations

Le désaccord ce n’est pas important. Ne pas la regarder de haut pour autant. Rester vide. Trouver dans Ce vide un espace. Ne pas utiliser de techniques ou de tactique. C’est parfois inconfortable, mais c’est le chemin. Parfois on prend un pain dans la figure, mais il y aura une réponse, mais pas une réponse du passé (ça veut dire ne pas vouloir absolument que tout soit beau comme au passé), être vide et puis laisser les mots sortir naturellement. Les êtres éveillés n’ont pas les réponses, car ils n’ont pas besoin d’avoir les réponses. Comme l’eau qui ne sait pas où Elle va couler, elle trouve son chemin et puis se nivelle. Et accepter d’être perdu, car c’est comme ça qu’on s’ouvre aux solutions, et non pas s’obliger à trouver. Du moment qu’on fait ce qui est juste selon le cœur on ne peut pas faire de tort à d’autre.

Faire grandir la Conscience chez mes semblables

Faire grandir la Conscience chez mes semblables

J’apporte Aux autres la même joie et la même complétude que je désire pour moi m’aime.

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La nasse est inconfortable. ( Souvent c’est devenu une habitude, nourrie par un environnement lui aussi dans la nasse, avec l’illusion que c’est normal, que c’est le prix de la tranquillité)

Il est illusoire d’expliquer que c’est par la Conscience que l’on peut sortir de la nasse. Mais ce n’est pas nécessaire. Les efforts pour venir en aide sont étiquetés comme intrusifs et menacent une stabilité (inconfortable), et certains vont se figer.

La guidance doit donc venir d’un niveau plus élevé.

Être sympathique, accueillant et non jugeant, bienveillance confiance et amour

Créer un espace ouvert où Chacun change selon son propre mode est suffisant.

Durant la phase de changement un être peut être balloté d’une réponse émotionnelle à une autre.

Les gens changent quand ils voient une meilleure opportunité, une nouvelle possibilité.

La Conscience s’ouvre naturellement lorsque une personne est curieuse, engagée et s’autorise à être elle-m’aime

Encourager à créer un espace où chacun se sent suivre ses désirs vraiment personnels, inclinaisons ses talents,

Offrir une opportunité pour le changement puis se retirer.

Om Karuna Namah
Ma vraie nature est compassion

Mots : compassion, pas de jugement, Possibilités, Alternative, Accueillir, Ouverture, Créativité, chacun son mode, créer un espace, bienveillance, présence, confiance, amour

Fabrice Midal Nier la souffrance c’est nier la Vie.

Fabrice Midal

La sagesse néo libéralisme veut nier toute souffrance. Nier la souffrance c’est nier la Vie. Oui la vie n’est pas toujours facile. Si une vinaigrette n’est pas bonne il faudrait nier, au lieu de rectifier et mettre plus d’huile ou plus de vinaigre. Aller voir un psy, essayer la méditation du vide de pensées, c’est souvent nier la difficulté normale de la vie.
Comment peut-on régler une difficulté si on l’évite ?
À un enfant qui rentre de l’école stressé on ne dit pas que c’est son égo, mais on accueille son stress.
Un hypnothérapeute disait  » si au moment où un patient entre vous n’avez pas peur alors changez de métier « 

Letting Go – Mode d’emploi du Lâcher-prise

A partir du Daily Breath du 28 12 2020

Mode d’emploi de la compétence du Laisser-Venir

https://podcasts.apple.com/us/podcast/the-secrets-of-the-self-letting-go/id1458887650?i=1000467190658

1 – Fais le maximum de chaque moment de Vie : cultives la Joie spontanée. Si tu regardes à n’importe quel objet, ne l’interprète pas, ne juge pas, ne le place pas dans une hiérarchie ou dans le bon ou le mauvais. Alors tu ouvres la porte à la joie spontanée.

2 – Ne cherches pas obstinément les bonnes décisions. Sois conscient que tu es en train de vouloir chercher les décisions.

3 – Cesse de vouloir avoir raison, de faire le bien

4 – Vas au-delà des risques : Dans chaque décision il y a des risques. Or, la créativité de la Vie réside dans les initiatives, dans les choix, les décisions : S’il n’y a pas de risque il n’y a pas de Vie

5 – Ne prends pas de décision quand tu es dans le doute. Appuye sur pause, dors sur la question.

6 – Vois en chaque expérience de Vie une opportunité, spécialement dans les mauvaises expériences.

En définitive tout ceci va te permettre de réaliser que le laisser venir est de ressentir la Joie dans chaque moment de Vie.

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