Le son des plantes.
A chaque masse correspond une fréquence. On connait la masse de chaque acide aminé qui composent des chaines protéiques. Dans la ,photosynthèse à chaque fois qu’un acide aminé passe au niveau du ribosome pour constituer une chaine protéique, il y a une oscillation, donc une vibration, donc un son. Les plantes émettent des sons de fréquences comprises entre 10 et 240 Hz, et des ultrasons de 20 à 300 kH. Les chaines protéiques émettent bien un effet sonore. Les insectes peuvent les capter au travers de leurs antennes.
Les arbres qui sont anciens (fougères, 450 millions d’années d’évolution) plus l’activité électrique est importante et la tessiture large.
Si une plante est cultivée sans molécule de synthèse, elle aura beaucoup plus de son. Tout comme l’alcool nous fait perdre notre capacité cognitive. Donc, la plante cultivée avec des produits chimiques peuvent moins communiquer avec leur environnement (sol, autres plantes, insectes…)
Un champ de 5500 plants de Gardenia pour une marque de cosmétique. On récoltait 40 kilos de fleurs. Si on émet le son qui correspond à la chaine proteïque de la mise à fleur et à fruit d’un végétal, en diffusant une fois le matin et une fois le soir, on récolte 240 Kilos de fleurs.
Cleve Baxter, en 1966, a fait l’expérience suivante : après avoir branché un polygraphe sur une plante, il a pensé, c’est-à-dire ni fait ni dit, seulement pensé « je vais craquer une allumette et la mettre sous la feuille de la plante ». La plante a fortement réagit. De même, il a démontré que les plantes réagissent fortement à la maltraitance.
Son guérisseurs – Joel Sternheimer : La plante modifie son activité électrique pour fabriquer les chaines proteïques dont la personne a besoin, et c’est automatique. On peut transcoder cette activité pour l’entendre. Ceci dit, notre corps ne perçoit-il pas l’activité de la plante sans passer par les sens sensibles corporels ?
La musique du soi : quand on improvise une musique ou un chant, on peut traduire ce qu’on émet dans le langage des chaines protéiques : On retrouve dans la musique / mélodie les chaines proteïques qui correspondent à ce dont a besoin la personne en fonction de ses dysfonctionnements de santé.
Le son-grais à la place de l’engrais : De l’eau dans laquelle on met de l’information. molécule d’azote, de phosphore et de potasse, calculer les masses, on obtient des fréquences. La posologie est ensuite appliquée aux plantes.
Les arbres sont des antennes : On peut utiliser les arbres comme antenne pour capter les émissions. Un arbre de 4 mètres de haut équivalent de 200 hectares de connexion.