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La Joie est le moteur de la Vie

Hello !

 » il est rare que les gens qui réussissent ne prennent pas de plaisir à ce qu’ils font  » – Dale Carnegie.

… réfléchissons un peu, sans se forcer à trouver le contre-exemple : ceux qui réussissent leur vie, c’est à dire ceux qui sont heureux, le font toujours par et avec plaisir !
je ne parle pas de la réussite sociale : combien de burn-out parmi les managers…

La Joie : le plaisir, ce qu’on aussi nomme souvent l’amour, la joie sous toutes ses formes, sérénité, explosive, apprenante, restauratrice, reposante, souriante, et tant d’autres formes de Joie, est le moteur de nos réussites réelles, celles qui nous portent.

La joie réelle ne peut venir que de l’intérieur. Ceux qui font dépendre leur joie des éléments extérieurs se mettent en état de dépendance : dépendance affective, dépendance aux comportements des autres, dépendance à l’environnement. La Joie se vit n’importe où.

La Joie se vit uniquement au présent. On n’a jamais de Joie dans le passé ni dans le futur. Faire dépendre sa Joie de circonstances futures, c’est vivre dans la dépendance à la réalisation de ce futur. Ce n’est pas la Joie. Et une fois que ces circonstances sont réunies, la Joie ne dure pas longtemps : parce qu’elle dépendait d’éléments extérieurs et extra-temporels. La Joie se vit uniquement au présent ! On peut construire une autre Joie pour le futur, mais on ne peut vivre que la Joie au présent.

Chaque Joie est unique, comme nous tous sommes Uniques

Personne n’a la Joie de quiconque autre. Chacun a sa Joie, faite d’une foule d’ingrédients. Les perceptions ne sont pas identiques, le sens que nous donnons à chaque mot de notre vocabulaire n’est pas identique, nos expériences de vie sont très différentes. Les coach-consultants vous donneront des listes de recette toutes faites : soit celle du coach, soit dans le meilleur des cas en fonction d’un profil qui vous catalogue, vous standardise.

Voilà notamment pourquoi en coaching, je souhaite que la personne que j’accompagne génère sa propre Joie : en fonction de sa façon de fonctionner, de ses capacités naturelles, de ses valeurs, la Joie est propre à chacun.

Car un objectif réalisé sans la Joie profonde, ce qui nous fait vibrer, ce qui vient des tripes, n’est pas porteur, pas nourricier. Je veux que mes coachés s’épanouissent, se sentent vivre, et ressentent dans leur corps comme ils sont vivants !

Je ressens de la Joie à être là, je ressens de la Joie quand tu es là. C’est ma Joie, et elle ne dépend que de moi. Merci.

 

Le pouvoir de la physiologie pour changer d’état

(inspiré de Tony Robbins « pouvoir illimité » page 200 et suivantes)

 » Toute conduite humaine est le résultat de l’état dans lequel on se trouve. »

Dès qu’on adopte une attitude physiologique dynamique, on se met aussitôt dans un état identique.  Changez de physiologie et vous changerez d’état.

Physiologie et représentation interne sont étroitement liées. Si vous modifiez l’un des éléments vous modifiez automatiquement l’autre.  L’action sur la physiologie est un outil puissant du contrôle de l’esprit.  Quand votre physiologie s’effondre, l’énergie positive de votre état s’effondre également et inversement.

La physiologie est le levier du changement émotionnel.  Il est impossible d’éprouver une émotion sans que s’opère une transformation physiologique correspondante. De même il est impossible d’opérer un changement physiologique sans que se produise un changement d’état correspondant.

Il y a deux façons de changer d’État : soit en modifiant ses représentations internes, soit en modifiant sa physiologie : Changer de façon de respirer, de posture, d’expression, de gestes, etc.

– Représentation mentale vers état physiologique : Si vous vous dites que vous êtes fatigué, alors vous constituez la représentation interne qui vous maintient physiologiquement fatigué. Et inversement parfois on motive ses ressources nécessaires pour être en forme, et le corps répond.

Il en est de même dans l’autre sens, celui de la physiologie vers l’état mental.

– Physiologie vers mental : Si vous mettez votre physiologie dans les conditions où elle se trouve quand vous vous sentez fort cela modifiera vos représentations internes, et ce que vous ressentirez à ce moment-là.

Il n’est pas nécessaire de connaître les images qu’un être déprimé forme dans son esprit. Modifiez sa physiologie et vous modifierez son état.

Exemple pour tout état bas :  Tenez-vous droit, rejetez les épaules en arrière, respirez profondément et levez le regard droit vers le haut et formez un sourire avec vos lèvres. Dans cette position vous ne pouvez pas être triste, fade, déprimé. Votre esprit reçoit de votre corps un message lui ordonnant d’être en forme est en éveil et il le devient.

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Pour un Objectif donné (spécifique) ou pour aider une personne triste / déprimée à sortir de son état :

1  – questions

Questions sur la physiologie :
dans un état « fort »
comment vous tiendrez-vous?
comment parleriez-vous?
comment respireriez-vous?
quelle serait l’expression de votre visage?
Notez les modalités et sous-modalités : quelles seraient les sensations, les couleurs, les sons ? (à adapter en fonction du VAKOG de la personne)
Notez-les réponses.

Questions sur les Représentations mentales :  dans un état « fort »
à quoi penseriez-vous ?
comment vous structurez votre journée ?
vos actions ?
croyez-vous en vous ?
Notez les réponses.

Ces réponses permettent déjà une première dissociation de l »état déprimé. S’il le faut, faites faire une double dissociation du genre  » si vous voyez « (prénom) » de l’extérieur quand « (prénom) » est en pleine forme et heureux… » puis posez les questions.

 

2 -Recadrage

Mettez la personne dans l’état physiologique et mental dans lequel elle serait sur elle avait atteint l’objectif.
Note : pour une personne qui est déprimée, la faire retourner à un état non-déprimé est une chose, mais essayez d’apporter un « plus » dans le nouvel état.

A partir des réponses données précédemment :
associez oralement l’objectif fixé et, de façon dynamique, debout et en avançant en marchant vers l’avant (vers l’objectif) :
– Faites prendre l’état physiologique décrit en état fort
– Associez les représentations mentales décrites en état fort
Vérifiez si la personne se sent mieux
+ on peut associer des ancrages.

Dans les cas de forte dépression, on ne cherchera pas un résultat terminé lors de la première séance, mais on demandera à la personne de pratiquer une marche tous les jours jusqu’à la prochaine séance.

Coaching – les drivers

Les Drivers sont au nombre de 5

Ils correspondent à des injonctions que nous tentons en permanence de satisfaire. Nous avons tous les drivers en nous, mais certains sont plus présents, en fonction de l’étape de notre vie.

  • Sois parfait : ce sont les personnes qui ne se sentent pas bien tant qu’elles ne peuvent s’estimer parfaites, autant en termes d’actions que de connaissances.
  • Fais des efforts : c’est l’injonction qui dit que le moyen de réussir est d’essayer, ce sont des personnes qui ne sont pas dans une logique de résultat, de réussite, qui se contentent de tenter.
  • Sois fort : ce sont les personnes qui ne montrent pas leurs sentiments et leurs émotions car elles considèrent que ce sont des signes de faiblesse. Leur satisfaction est importante quand l’objectif a été difficile à atteindre.
  • Dépêche-toi : ce sont ceux qui sont en permanence dans le résultat rapide, ils n’ont pas de patience, ils veulent aller vite en toute circonstance et sont dans l’économie de ressources. Ils ne travaillent correctement qu’avec des délais serrés. Ils veulent toujours se rajouter des choses à faire, se dépêcher et ont une mauvaise gestion de leur temps.
  • Fais-plaisir : ce sont les personnes qui croient qu’elles peuvent rendre les gens heureux et se sentent responsables des autres. Elles ont besoin d’obtenir l’amour des autres et font passer le plaisir des autres avant le leur. Elles n’ont pas conscience de leurs propres besoins.

 

 Et pour le coach, pourquoi travailler sur les drivers ?

1- identifier ses drivers pour comprendre son comportement

Le travail du coach sera de permettre à son client d’identifier ses drivers dominants. L’identification des drivers permettra au client de prendre du recul par rapport à ses comportements habituels.

2- Utiliser les drivers comme ressources

Le coach s’attachera ensuite à mettre en lumière les bénéfices des drivers dominants de son client et à les utiliser comme ressources si cela permet à son client d’avancer vers l’atteinte de son objectif.

Tous les drivers ont des points positifs : le « sois fort » sait prendre des décisions sans état d’âme, le « fais plaisir » travaille bien en équipe, le « fais des efforts » adore la nouveauté….

3- Mettre en lumière les limites des drivers dominants et s’autoriser des permissions pour provoquer le changement

Le coach pourra également apprendre à son client à s’autoriser des permissions s’il sent que le driver dominant est limitant et empêche le client d’atteindre son objectif.

Le « sois parfait » a le droit de demander de l’aide, le « fais plaisir » à le droit de SE faire plaisir, le « sois fort » a le droit d’exprimer ses sentiments, le « dépêche toi » a le droit de prendre son temps et le « fais des efforts » a le droit de réussir.

 

Marschall Rosenberg et la Dépression

M Rosenberg : Dépression : Les personnes sont prises dans leurs jugements, avec la pensée dominante que quelque chose ne tourne pas rond avec soi-même. La dépression n’est pas un état constant. MR commence par dire à la personne en dépression qu’elle peut guérir cette situation si la personne arrive à exprimer ce qui est vivant en elle à l’instant présent. Il précise qu’il ne cherche à remonter au stimuli originel mais qu’elle raconte juste ce qu’elle vit maintenant.

Qu’est-ce que vous ressentez ? quels sont vos besoins non nourris dans votre vie ?

La plupart du temps la personne n’arrive absolument pas à identifier ses besoins. Car les personnes en dépression sont engluées dans les pensées, les jugements, les diagnostics les étiquettes à propos d’elles-mêmes et des autres.  » je suis nul, je suis un mauvais père, je suis une mauvaise personne, je suis paumé, je suis bête, je suis déprimé, je suis folle, je suis…je suis… » . la plupart du temps on trouve des jugements moraux, de valeur.

Il ne parle pas de leurs émotions, ni du passé, ne remet pas en cause leurs pensées et leurs jugements.

Il aide à identifier les jugements, et interroge les besoins non nourris qui leur correspondent.

Nous sommes éduqués à nous identifier aux pensées, alors que toutes les pensées stressantes, donc y compris celles menant à la dépression, et celles qui sont vivantes dans la dépression, sont en fait des besoins non nourris

Rappel ; chaque besoin non nourri correspond à des émotions, et chaque besoin non nourri est la manifestation d’un blocage de la vie en nous, qui essaye de s’exprimer.

Donc, la dépression elle-même est la manifestation de la vie qui est en nous, qui essaye d’exister, de circuler correctement, qui est bloquée (soit en stagnation soit en vide).

Il aide et mène la personne à prendre conscience que la dépression est un bon signal : qui nous dit que ce que nous pensons n’est pas bon pour notre bien-être et pour notre entourage.

il aide les personnes à prendre conscience des ressentis de la dépression, quand la personne pense ce qu’elle pense d’elle.

Etre conscient des jugements qui ont pour effet la dépression, permet d’identifier que ces messages ont une valeur et une utilité, celle de dire  » hey, un besoin en moi n’est pas nourri « .

Une fois qu’on a transformé les jugements en besoins non nourris, on sort de la dépression. On peut alors être triste, ou frustré, etc… mais on sort de l’idée que quelque chose ne tourne pas rond en soi, ce sont des émotions qui ne sont pas liées à des jugements contre soi.

Process Coaching – ICA

 

Le coach : accueil inconditionnel, relation de confiance, savoir valoriser, positiver, savoir relancer, reformuler, poser des questions bleues, parler au présent le plus possible. Relation d’adulte/adulte et quand il le faut posture de parent normatif positif.

Introduction première séance
Expliquer la méthode : Le coach n’intervient pas comme un consultant. C’est avant tout une relation de partage dans laquelle le coach accompagne pour que son client puisse faire émerger ses propres solutions / pour qu’il soit acteur de sa vie  / le client peut mettre en oeuvre concrètement objectif qui lui sera propre. / le coach vise que le client soit aligné avec ses valeurs, ses talents, ses façons de fonctionner dans son environnement /
Contrat : fixe la durée, le ou les lieux, le tarif, la manière de travailler ensemble, la déontologie. L’émotion est tout à fait ok, on se dit les choses.
Qu’est-ce que la personne attend du coaching ? Questions au présent.

Séance:

Accueil : Comment est ta météo, énergie haute/basse et bonne ou moins bonne

OBJ : avec quoi veux-tu repartir aujourd’hui ?
Poser l’objectif :  Quel est l’objectif de la séance ?

Présent : Pour cerner l’obj / le problème : de quoi de où avec quoi on part ? Quels sont les obstacles ? questions ouvertes et bleues. Définir le secteur de vie. Quelle est la motivation /10.

Définir un obj SMART (atteignable n’est pas réaliste. Réaliste = ./.. à une situation extérieure  et  ./.. aux moyens)

Vision Idéale : On nourrit le SMART avec la vision idéale, afin que le client soit imprégné de son film. on cherche l’alignement des niveaux logiques. La personne doit être en phase avec son objectif.

Retour au présent : quelles différences avant/après ? Quel est le ressenti : l’énergie circule où dans le corps ? Amplifier les sensations.

Ressources : extérieures et intérieures.
Descendre les niveaux logiques : Valeurs, Capacités, Comportements, Environnement
S’il le faut passer par la modélisation des réussites.

Obstacles : Réels ou croyances ? Poser des questions, l’obstacle doit être concret, souvent ce sont des croyances.

Options : demande pour la prochaine séance. prendre du plaisir à le faire, pas de conditionnel. On peut faire cela par dissociation.

Plan d’action : qu’est-ce qui est le plus réaliste, le plus pertinent, fun, qu’est-ce qu’on retient ? Doit être temporel et mesurable avec du FUN. Quelle est la motivation /10.

Suivi : 10 minutes de positif, proposer de ne pas dire MAIS, retour sur les actions. Valoriser.  Et si pas réussi : qu’est-ce qui a fait que ça n’a pas marché ? quel est l’apprentissage ?

Feedback Intermédiaire.

séance de coaching déroulement en bref

Accueil

première séance :
qu’est-ce que le coaching génératif
déontologie
contrat moral

Bienvenue + YES SET
Comment tu te sens aujourd’hui ?

Retour sur les actions de la dernière fois

Que veux-tu aborder aujourd’hui ?

Etat désiré : ressenti, description

Définir un objectif smart

Clarifier le présent

 

 

Le semeur de positif

Le Positiculteur heureux – la Culture du positif

Le positif se trouve en graines à germer dans les champs de Joie. Les coach ICA cultivent des champs de Joie, et par défaut l’équipe ICA en possède toujours des greniers pleins. La monnaie d’échange est le MERCI avec le coeur.

La particularité du positif est qu’il germe à toute époque de l’année. Le temps de germination est plus ou moins court selon l’énergie du coaché : qualité du substrat, apport extérieur. L’apport extérieur est très varié, mais ce ne sera qu’un stimuli. La qualité du substrat est inhérente à chaque être. Certaines personnes sont dotées d’un capital plus ou moins élevé, selon la singularité de la personne, mais aucun n’est lié à l’avoir, c’est un état d’être. Ca tombe bien, nous voulons le cultiver dans des êtres humains, pas dans des avoirs-humains.

Technique : aller dans un des champs du possible de la personne. On les repère dans le discours et l’attitude de la personne, le coach peut s’aider des indicateurs comme HBDI, le langage non verbal du VAKOG, car il y a en chaque être des champs du possible.

Quand le positif n’est pas très présent, ce qui est très souvent le cas par l’éducation de notre société, on le trouvera à partir du négatif par effet de  dualité : il n’y a pas de négatif sans positif.

Le coach utilisera d’abord son attitude, et pourra s’aider de techniques de PNL, peut être la modélisation, le carré magique, le core process ou encore le cercle d’excellence (que nous n’avons pas vu en cours).

Pour les personnes contrôlantes, évitantes, vérifier si elles ont vraiment envie d’être positiculteurs. Le coach n’est pas un magicien, ni un thérapeute, ni un consultant.

 

Le semeur de positif

Une fois dans le champ, prendre dans la main caleuse du vieux paysan avec sa casquette sous le soleil du soir une poignée de graines de positif et les lancer comme ça, voir figure A, dans un vaste  geste auguste circulaire à hauteur de poitrine, même si le positiculteur s’appelle Rodolphe. Si c’est une femme, évidement elle s’appeleroit (c’est joli ça fait vieux François) enfin je veux dire qu’elle se prénommera Henriette, ceci même si elle ne s’appelle pas Rodolphe. Si le geste auguste circulaire à hauteur de poitrine de Henriette excite le coach, changer de main. Si Rodolphe se jette sur Henriette, laisser mijoter 9 mois au feu doux de l’amour. Bref.

Une fois les graines disséminées de façon harmonieuse, les oiseaux viennent picorer les graines. Ils les diffuseront d’autant mieux dans toutes les parties du monde intérieur de la personne. Ensuite, arroser régulièrement de l’eau de l’encouragement, rester souriant, bienveillant, mais réaliste, relancer, reformuler le positif, inciter en subtilité à trouver dans le négatif l’intention positive, mener avec subtilité le coaché vers la germination du positif : la subtilité est l’art d’être coach, et ça ne s’achète pas.

Lorsque le positif aura germé, la personne coachée sera dans sa dynamique de Joie et le coach pourra être content dans un sourire de contentement intérieur qui le fait vibrer de l’intérieur, voir figure B. Si le coach vibre à l’extérieur voir figure C, appeler les secours. S’il s’élève dans les airs, voir figure D, laissez-le partir, c’est la  … FIN

Technique PNL Le Cercle d’Excellence : pour amplifier une ressource

Technique PNL Le Cercle d’Excellence : pour amplifier une ressource.

Quand on veut amplifier une ressource.

 

1 – Nommer la ressource souhaitée

2 – Ecouter ce serait quoi avoir la ressource, noter ce qui sort verbalement, aller dans les submodalités, + noter aussi non verbal

3 – Définir un Mot de passe

4 – Définir un Geste

5 – Définir un espace physique dans lequel la personne va aller : le cercle de la ressource, un grand pas en avant

Noter de 1 à 10 l’état de départ de la ressource

6 – Fermer les yeux et faire ressentir la ressource à l’aide  des mots notés dans l’étape 2, encourager et faire ressentir

7 – Quand mûr : cette expérience est devant toi, quand tu es prête du vas entrer dans cet epsace pour te connecter pleinement à cette expérience

8 – Prends le temps de ressentir : répéter submodalités notées en 2, tu te l’appropris

9 – Tu peux reculer et me dire à combien du es de 1 à 10

10 – Rupture de pattern – parler de la pluie du beau temps

11 – Refaire le geste avec le mot clé et faire réévaluer les sensations

12 – refaire la procédure d’aller dans le cercle d’excellence

13 – Mesurer et refaire jusqu’à au moins 8 / 10

Voir la video :

https://cloud.leviia.com/s/PfcYpZS2iEY26kZ

ou

 

 

 

Idees pour démarrer le coaching

– Public Cible ??? à faire!!!
– ensuite comment cibler ce public ?
– Vidéo de présentation de mon activité
Ce que je fais, qui je suis, et pourquoi le client viendrai chez moi plutôt que chez quelqu’un d’autre ?
– Interviewer des coachs : comment ils ont monté leur entreprise ?
– En parler autour de moi
– Donner des exemples
– avoir des avis positifs
– décrire l’activité avec précision
– proposer des échanges de bons procédés avec des thérapeutes : MTC, Hypno, Kiné…
– Support physiques : carte de visite, flyer
– Site internet : fait
– Page LinkedIn : à faire
– Page Ambassadeurs d’Alsace : à faire

 

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