Catégorie : Méditation&Spiritualité (Page 48 of 57)

deux hommes tous les deux gravement malades occupaient la même chambre d’hôpital. L’un d’eux devait s’asseoir dans son lit pendant une heure chaque après midi afin d’évacuer les sécrétions de ses poumons. Son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre, l’autre devait passer ses journées couché sur le dos. Les deux compagnons d’infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses, de leurs
familles, décrivaient leurs maisons leur travail leurs participations au service militaire et les endroits où ils avait été en vacances etc… et chaque après-midi quand l’homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s’asseoir, il y passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu’il voyait dehors. L’homme dans l’autre lit commençait à vivre pendant ces périodes d’une heure où son monde était élargie et égayée par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur de la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac les canards et les cygnes jouaient sur l’eau… tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux en modèle réduit, les amoureux marchaient bras dessus bras dessous parmi des fleurs aux couleurs de l’arc-en-ciel. de grands arbres décoraient le paysage, et on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner … pendant que l’homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l’homme de l’autre côté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque. Lors d’un bel après-midi l’homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par là, bien que l’autre homme n’ait pu entendre l’orchestre il pouvait le voir avec les yeux de son imagination tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante ! les jours et les semaines passèrent.
un matin à l’heure du bain, l’infirmière trouva le corps sans vie de l’homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil. Attristée, elle appela les préposés pour qu’ils viennent prendre le corps. dès qu’il senti que le moment était appropriée l’autre homme demanda s’il pouvait être placé à côté de la fenêtre. l’infirmière, heureuse de lui accorder cette petite faveur, s’assurera de son confort puis elle le laissa seul.
Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu en s’appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d’oeil dehors. Tout à la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. or tout ce qu’il vit fut un mur ! l’homme demanda à l’infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité ! l’infirmière répondit que l’homme était aveugle il ne pouvait même pas voir le mur peut être a-t-il seulement voulu vous encourager ! commenta t il y ! à un bonheur extraordinaire à rendre d’autres heureux en dépit de nos propres épreuves la peine partagée réduit de moitié la douleur, mais le bonheur une fois partagé s’en trouve doublé

Les objets

Les objets

Est-ce que les objets rendent heureux est-ce que un objet peut rendre quelqu’un heureux

combien d’objets qui ont rendu heureux qui vous ont rendu heureux étant enfant sont encore autour de vous ? si l’objet est le bonheur, alors à chaque fois qu’on se débarrasse d’un objet ou qu’il est cassé, et bien c’est une partie du bonheur qui est cassé ou dont on se débarrasse …

quel bonheur réside dans une voiture, dans une maison, une paire de ski, dans un vélo, dans un appareil électronique ?
Est-ce que c’est l’objet en lui-même qui rend heureux ou ce qu’il représente ce qu’il apporte ?

de la joie de la sécurité du partage ? ou un moyen de joie de sécurité de partager ?

ça veut dire que ce qui rend heureux ce n’est pas un objet mais ce que ce qu’on en fait !

un vélo peut être un objet de partage avec d’autres cyclistes OK mais si il n’y a pas d’autres cyclistes il n’y a pas de partage !

une maison on peut représenter le bonheur en famille mais si il n’y a pas de famille il n’y a pas de bonheur dans la maison …

voilà pourquoi certaines personnes se défont de tout ce qu’elles possèdent parce que le bonheur n’est pas dans les objets dans la possession, mais le bonheur est dans le cœur, dans toutes ses valeurs dans la compassion la bienveillance …

voilà pourquoi aussi dans certaines régions du monde les gens sont beaucoup plus heureux que nous ici en Occident avec de toutes nos choses partout !

voilà pourquoi aussi parfois on voit des gens pauvres qui ont leur bien plus heureux que les plus riches

finalement de quelle richesse parle t on ? de celle des objets de l’argent des pouvoirs ou de celle du cœur celle du bonheur

En plus par ici en Occident pour accéder à certaines possession, certain chimères du bonheur comme on nous l’a appris, pour le bonheur par les objets il faut faire tant de sacrifices et il faut consacrer tellement d’efforts tellement de renoncement tellement de regrets pour arriver à quoi finalement ? À une accumulation d’objets qui sont en fait éphémère qui ne sont rien d’autres que des promesses, des objets qui sont statiques des objets qui sont juste des objets…

Un objet n’a pas de vie il n’est pas vivant et en ce sens il ne peut pas apporter quelque chose de vivant au vivant, nous sommes vivant nous sommes profondément vivants, nous avons besoin de vivant et de vivre, les objets les objets n’ont pas de vie ils sont inanimés

Les objets c’est tout le matériel autour de nous qui peut être évidemment utile qui peut être un moyen qui peut être agréable mais un objet Mais les objets doivent-ils devenir le moteur d’une vie d’une vie de famille ou d’une vie de toute une société ? …

 

La merveilleuse histoire de Lester Levenson

La merveilleuse histoire de Lester Levenson

son enseignement

La merveilleuse histoire de Lester Levenson

De Jean-Paul le 24 mars 2012

L’histoire fabuleuse de Lester Levenson, un homme condamné par la médecine a vivre seulement trois mois.

Lester LevensonIl va utiliser les choses qui lui restent : trois mois, et son esprit. Partant de là, il va « refaire » sa vie, ses événements, ouvrir son cœur à l’amour absolu, retrouver la santé, découvrir la joie d’être, et entrer dans une paix infinie et éternelle. Puis il va se découvrir des pouvoirs hors du commun, et enfin faire de l’argent comme en se jouant. Et il nous affirme que nous pouvons tous en faire autant !

Son histoire

Lester Levenson est né le 19 Juillet 1909 à Elizabeth, New Jersey. En 1931, il est diplômé de l’Université Rutgers en tant que physicien et a travaillé pendant 20 ans en physique et en ingénierie. Lester a aussi été un entrepreneur et exploré en marge d’autres, y compris, restaurants, le bois, la construction et de l’huile dans sa quête pour faire de l’argent.

Lester Levenson

Au fil des ans Lester est devenu de plus en plus malade et a souffert de toute une série de pathologies, depuis l’ictère, une hépatomégalie, des calculs rénaux, des troubles de la rate, ulcères perforés, des migraines et en 1953, sa mauvaise santé atteint un sommet quand il a subi sa deuxième thrombose coronarienne. À ce point, son médecin lui annonce qu’il n’a pas longtemps à vivre et que, fondamentalement, il devrait rester les bras croisés, ne rien faire et attendre la fin inévitable à venir.

À l’âge de 42 ans, après avoir vécu deux infarctus, les médecins l’ont renvoyé chez lui en lui disant qu’il ne lui restait que trois mois à vivre. Il s’est donc retrouvé seul dans son appartement en attendant une mort prochaine. C’est à ce moment-là qu’il a commencé une profonde quête en lui-même, à travers laquelle il chercha le sens de sa vie en la réévaluant.

Il savait que s’il a continué à respirer, il y avait encore une chance, si petite, qu’il pourrait changer sa vie. Lester était un homme intelligent, mais il a estimé que les circonstances ont de sa vie un échec. Tout ce qu’il a obtenu a été la mauvaise santé et une absence totale de bonheur. Comment en était-il arrivé là ? Lester avait étudié, il avait beaucoup de connaissances, mais il s’est rendu compte que tout cela ne valait rien en fait d’améliorer le tissu de sa vie. Par conséquent, il a commencé à envisager un retour aux sources et remettre en question ce qu’il voulait de la vie.

Peu à peu grâce à une grave épreuve, Lester lâcha tous les aspects négatifs de sa vie et a commencé à générer des pensées positives. étonnamment, ses problèmes de santé les plus importants se sont améliorés et tous les maux qui l’avaient fait souffrir ce sont résorbés. Au bout des trois mois, non seulement il s’est trouvé libéré de toutes les contraintes dues à son état de santé, mais tous ses problèmes de santé avaient complètement disparu.

Il a fait cela tout seul, sans recevoir d’instruction spirituelle spécifique et de façon complètement empirique.

Il s’est rendu compte que la cause de tous ses problèmes n’était personne d’autre que lui-même et sa façon erronée de penser.

La solution était donc de trouver le moyen de se libérer des pensées et des sentiments négatifs.

Il y a trois mots qui me viennent en premier plan pour décrire sa découverte :

Amour

Don (Donner au lieu de recevoir ou demander)

Lâcher prise.

L’histoire de Lester Levenson est étonnante et inspirante. Elle est digne d’être davantage explorée pour notre propre quête de changement et d’évolution.

Son cheminement

Voici brièvement son cheminement.

Pendant qu’il était dans son appartement, attendant cette mort annoncée, il s’est posé les questions suivantes :

– Qu’est-ce que je fais là sur cette planète ?

– Qu’est-ce que la vie ?

– Qu’est-ce que je cherche ?

La réponse fut : « Juste un peu de bonheur, c’est tout. »

« D’accord, alors, qu’est-ce que le bonheur ? Comment est-ce que je peux l’obtenir ? Où est-ce que je peux le trouver ?

En regardant dans sa vie passée, il s’est rendu compte que les moments où il avait été heureux avaient tous quelque chose à voir avec l’amour.

Mais en cherchant bien, il ne s’agissait pas des moments où il avait été aimé mais des moments où il avait aimé, où il avait senti de l’amour pour quelqu’un.

Aimer était donc plus important que d’être aimé ?

A partir de là, il a commencé à développer sa capacité à aimer. Pour cela il a compris que le chemin le plus court était de transformer ses sentiments de « non-amour » en sentiments « d’amour », de façon très concrète, un par un et avec chaque personne.

Chaque fois qu’il rencontrait une personne qui s’opposait à lui de n’importe quelle façon que ce fut, il décida de l’aimer de manière consciente. Et il la remerciait intérieurement de cette opportunité qu’elle lui donnait d’agrandir sa propre capacité à aimer. Parce que c’est en donnant de l’amour qu’on l’expérimente et que l’on est heureux.

Lester LevensonC’est ainsi qu’il s’est peu à peu élevé, et plus son amour grandissait, plus il était heureux.

Et c’est à ce moment-là que sa conception du monde s’effondra complètement.

Il réalisa que le monde était juste la production de son esprit, et que sa façon de penser détermine la matière et tout le reste.

Il comprit que les seules limites étaient dans la pensée et que son « essence », son Soi véritable, n’avait quant à lui pas de limites et était éternel. Il cessa de s’identifier à son corps et à ses pensées.

C’est ainsi qu’il s’est senti s’identifié à chaque être humain et à chaque atome de l’Univers, qu’il vu Dieu en tous et en Tout. Puis il s’est retrouvé dans un état de paix et de bonheur sans limite.

Il comprit que lui non plus n’avait pas de limites et qu’il pouvait tout manifester.

Sa compréhension

Après cette expérience, il cessa toutes ses activités d’affaires et il partit dans le désert de Sedona (Arizona), où il commença à enseigner la méthode qu’il avait découverte à toutes les personnes qui avaient le même but que lui : « la Liberté Ultime ».

Il a dédié le reste de sa vie, 42 ans, à partager avec les autres cet état d’être en harmonie avec tout dans lequel « vivre » est un bonheur, un bonheur sans limites et dans l’amour de tout ce qui est.

Plusieurs écoles proposent aux USA les enseignements de Lester Levenson, les plus connues sont :

La « méthode Sedona » qui est enseignée par Hale Dwoskin dont le livre vient de sortir en français[1] et la « méthode Release » qui est enseignée par Larry Crane.

L’approche de Lester Levenson

L’approche de Lester est pure, spirituelle et son objectif sur cette Terre est de répandre l’amour et la joie. Avec l’approche de Lester Levenson, nous ne restons plus dans « raconter notre histoire ». Nous accueillons tout ce qui s’est passé et nous relâchons. Nous accueillons aussi notre besoin, désir, habitude de retenir ce qu’on connaît, et on lâche, sans le moindre effort. Ce n’est pas plus compliqué et pas plus difficile que ça.

Lester LevensonAussi, nous honorons notre raison, notre mental, notre intellect. Après tout, c’est ce qui nous a permis de survivre comme espèce, n’est-ce pas ? Mais, une fois que nous l’avons honoré, on lâche !

 Lester Levenson était un grand maître de nos temps modernes. Né en 1909, c’est vers le début des années 1950 qu’il s’est transformé après avoir lu, étudié et vécu les enseignements des grands maîtres de tous les temps.

Le grand cadeau qui nous vient de Lester est qu’il a su diffuser ces enseignements avec une telle simplicité qu’un enfant pourrait les comprendre.

Il nous dit que « le chemin vers la joie infinie se fait grâce à l’élimination du désir, sans attachements, sans aversions ».

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« Cela me fit m’identifier à toute chose, chaque personne et même chaque atome dans cet univers.

Et c’est une expérience si immense, c’est indescriptible.

D’abord vous voyez cet univers en vous, puis vous voyez l’univers comme étant vous. Puis vous connaissez l’unicité de l’univers. Puis vous en avez fini pour toujours avec la séparation et toute l’infernale méchanceté qui est causée uniquement par la séparation.

Puis vous ne pouvez plus être mystifié par les limitations apparentes du monde

Vous les voyez comme un rêve, comme quelque chose qui n’est qu’apparent, parce que vous savez que votre propre non-être n’a pas de limite ! »

« En contemplant la source d’intelligence et d’énergie, je découvris qu’elle était aussi accessible dans des proportions illimitées, et que cela me venait simplement en étant libéré moi-même de toutes ces formes de compulsions, inhibitions, complications, hésitations.

Je n’avais pas à être assujetti à quoi que ce soit. Considérant cela, le pouvoir libéré qui était juste derrière mon esprit se manifesta comme il ne s’était jamais manifesté avant. Je vis qu’avant j’avais réprimé cette énergie, ce pouvoir : et tout ce que j’avais à faire était de regarder se défaire les palissades du barrage et c’est ce que je faisais.

En découvrant chaque chose, je faisais disparaître une palissade et je lâchais ce flot infini juste comme l’eau d’une digue jaillirait si vous poussiez les barrières une par une. Et plus vous brisez les barrières, plus grand est le flot, donc tout ce que j’avais à faire était de faire disparaître les barrières et de laisser l’énergie et le pouvoir infinis jaillir.

Et il y avait des fois, quand je me rendais compte de ce que je suis cela me donnait une telle énergie que je bondissais de mon fauteuil.

J’allais alors droit vers la porte d’entrée et je commençais à marcher, et marcher et marcher, parfois pendant des heures et parfois pendant plusieurs jours de suite ! Je sentais seulement que mon corps ne pouvait pas contenir tant d’énergie, que je devais marcher ou courir pour en laisser s’écouler de moi. ».

Extraits de « l’Histoire de Lester » en téléchargement libre ICI.

Larry Crane

Traduction : Marguerite Boisseau de Mesmay

Jean-Paul Thouny

Thérapeute énergéticien, formateur – Voiron (Isère) France

Courriel : jean-paul@thouny fr

Site web : www.jean-paul.thouny.fr

Pour aller plus loin

La merveilleuse histoire de Lester Levenson – son enseignement

eBook en téléchargement gratuit

incarnationAvoir, être et faire tout ce que vous désirez

Un maître américain moderne nous explique que ce fut proche de son lit de mort qu’il trouva les réponses à la santé, au bonheur et la prospérité, et comment vous pouvez le faire aussi

Voici son histoire : Dans l’hôpital   Au bout de deux semaines, le Dr. Schultz passa pour sa visite matinale habituelle, et après avoir examiné son patient, prit une chaise et s’assit. « Je vous libère aujourd’hui. Votre situation est stable, et il n’y a aucune raison de vous garder plus longtemps. Cependant, cela ne signifie pas que vous allez bien. Loin de là. Vous avez besoin d’une période indéfinie de convalescence, avec des checkups à intervalles réguliers. – Mais vous n’avez plus besoin de rester à l’hôpital plus longtemps.

– Vous pouvez continuer de vous reposer dans votre lit et de prendre des médicaments chez vous »

Le médecin lui expliqua dans les grandes lignes le programme de repos et de médication.

Ses visites, son régime, ses activités sociales : aucune.

Même sa vie sexuelle : aucune également.

Lester fut surpris mais déterminé à suivre les recommandations du médecin.

« Combien de temps cela durera-t-il, Docteur ? » demanda-t-il. « J’ai conscience que vous ne pouvez pas me dire exactement, mais pouvez-vous me donner une idée ? »

Il regarda le médecin attentivement en attendant sa réponse.

Voilà la clé !

Vous pouvez reproduire librement cet article et le retransmettre, si vous ne le modifiez pas et citez la source : www.energie-sante.net

Abundance Deepak Chopra Phrases de Meditation

Today I be hold all the abundance that’s around me 🙏
Namaste
I create my personal abundance from an infinite source 🙏
today I focus on what I want to attract into my life 🙏
From this moment forward, I invite unlimitate abundance into my life. 🙏
Today I embrace my potential, to be, do and have whatever I can dream. 🙏
Everything I desire is within me. 🙏
I use my conscient intention to manifest my dreams 🙏
Through the law of pure potentiality I can create anything anytime anywhere 🙏
Today and every day, I give that that I want to received 🙏
Today make great choice besause they are maided with full awareness 🙏
I expect and accept abundance to flow easily to me 🙏
I place my intention into the vaste ocean of all possibilities 🙏
As I let go of the need to arrange my life, the universe brings abundant good to me. 🙏
There is a way, I can fullfiled my true purpose in life 🙏
As I live in present moment awareness, I live the magic of synchrodestiny 🙏
Today I remember to be grateful 🙏
I move through my days lighhydead and care free Knowing all is well. 🙏
I celebrate my unity with all lives knowing we are all one 🙏

Today I remember to love everything everyone I come in contact with. 🙏

 

Le vide intérieur est un Univers

Pourquoi est-ce si difficile de convaincre que la solution vient de l’intérieur ?

Parce que dans notre société, nous sommes identifiés à ce qui nous est extérieur. L’identification aux croyances, la rétention des émotions et la suprématie de la pensée rationnelle mènent à la dissociation de l’être de la personne. La personne est seule à évoluer. L’Être n’existe pas. C’est même une notion abstraite pour la plupart des gens.

De là, si on prive les gens de leurs identifications, qui sont-ils encore ? … là survient la peur. La peur du vide. Car à l’intérieur, c’est vide.

Ce vide n’est qu’une impression. C’est un peu comme l’espace : on peut avoir peur de se noyer dans le vide sidéral. On peut avoir peur de cette nuit sans fin.

Par conséquent, la première chose à faire sera de rassurer, puis de faire prendre conscience que le monde intérieur est non seulement une vide, mais un univers. Ensuite, que ce monde intérieur est totalement à notre disposition. Qu’on a le pouvoir de le rendre joyeux ou triste, coloré ou gris, … le pouvoir est immense.

S’approprier son monde intérieur, l’aimer, le peupler, le rendre joyeux.

Quand l’identification se fait au monde extériur, l’esprit n’est pas ancré, la protection est dans les objets, et la stagnation provoque l’enlisement. Suit la pensée fermée, unique, automatique. Suivent les maladies.

Mais les maladies ne suffisent pas à réveiller les Êtres. Car les médicaments cachent les maladies, comme des sparadraps.

Quand vraiment ça ne va plus, c’est le burn-out, c’est la dépression grave, c’est le pétage de plomb, et souvent la maladie grave, cancers et autres déréglements de systèmes (hormonal, endocrinien, surénales…).

Si l’esprit est occupé, et identifié par les pensées, les émotions et les croyances (opinions), celui-ci est d’abord instable et à la fois stagnant.

Les croyances restent les mêmes, par besoin de stabilité, de sécurité, de besoin de repères. Pour construire notre monde artificiel, nous avons besoin de nous appuyer sur les croyances, égrégores, ou encore les sciences, qui ont permis de construire les objets dans lesquels nous vivons. Nous nous sommes ainsi identifiés aux croyances des sciences et techniques, et nous finissons par nous identifier aux objets. Nous ne sommes plus rien sans nos objets éléctroniques, et nous priver de liberté ne nous fait pas réagir du moment que nous avons nos objets d’information (on ne peut pas appeler les réseaux sociaux de la communication).

Dans la nature, l’humain n’a pas besoin d’asseoir son besoin de sécurité sur les objets, il n’y en a pas. De plus, dans la nature, il n’y a pas autant de dangers, donc pas besoin d’autant de sécurité. De plus les dangers de notre monde sont quasi tous imaginaires.

Le lâcher-prise, c’est le laisser-aller.

Les pensées : Instables, les pensées nouvelles défilent à toute vitesse. On ne s’y arrête pas, on ne réfléchit pas. Quand avez-vous vu quelqu’un réfléchir pour la dernière fois ?

Emotions : Les émotions induites sont les fausses émotions provoquées par le vécu qui se confronte aux chapelets de croyances formant la sécurité. A longueur de journée, des informations nous viennent qui se heurtent aux croyances de la sécurité. De là, on crée des émotions. Des fausses émotions.

Les deux seules émotions sont la joie et la peur. Les autres sont des émotions construites. Elles sont le résultat de la confrontation de nos croyances issues du passé et des projections du futur avec ce qui nous vient aux sens. Ainsi il suffit qu’une voiture soit mal garée et bloque le passage pour que nous croyons que nous allons arriver en retard car cela va nous retarder dans le trajet et si c’est le cas toute la journée est foutue et sera speed. Ou encore, il suffit de ressentir la même douleur pour qu’on croie qu’elle va dégénérer « comme la dernière fois ». etc…  Ces projections à partir du passé nous mènent à reproduire le passé.

Croyances : tout ce qui fait nos repères, ce à quoi on croit sans même le savoir, sans remettre en cause. Ce sont nos boulets.

Quand dans les traditions de sagesse, toutes les sagesses disent que la paix se trouve à l’intérieur, dans la simplicité, dans le détachement, c’est cela : une vie heureuse est une vie intérieure, où nulle croyance ne se heurte à nul évènement extérieur, ne provoquant aucune fausse émotion stagnante.

 

La quasi totalité de nos maladies ne sont pas liées aux cellules, mais à leur commandant : l’esprit. C’est lui qui ordonne tout le fonctionnement, le comportement des cellules. Le message de l’esprit circule dans toutes les cellules, de sorte que l’esprit EST dans tout le corps.

une idée comme ça du 17 Mars 2021

Une idée comme ça : les humains sont devenus humains avec la mécanisation de leurs cœurs, à savoir le progrès. Quand ils étaient encore dépendants de la nature, les humains formaient des communautés. Aujourd’hui une communauté est un groupe formé autour d’un dogme, d’une idéologie. Non, ces communautés étaient juste humaines, car à la fois nécessaires et proches spirituellement, affectivement. L »environnement développe l’expression des gènes. Tant qu’ils étaient dépendants de la nature, les humains formaient des groupes soudés, nomades à semi-nomades, en harmonie avec la nature sans se poser la question puisque c »était naturel, il n’y avait pas d’autre possibilités. Ils ne souffraient pas de leurs conditions de vie, car ils n’en connaissaient pas d’autre. Ils avaient à leur crédit le partage, la solidarité naturelle et pas seulement dans les moments difficiles. Ils avaient le partage profond de leur relation à l’au-delà. Ils étaient LIBRES !

Le progrès a mécanisé le cœur des humains et les a rendus prisonniers, ils ont développé les possessions, l’avoir, la séparation avec la nature, avec leur propre nature humaine. Ils se sont perdus dans leurs rôles et ont inventé la responsabilité, qui est devenue nécessaire à force de s’éloigner des conditions de vie harmonie avec la nature, donc de leurs dépendances avec la nature dont ils se sont soustraits pour créer des problèmes de la séparation.

The Rose – Gjeilo

The lily has a smooth stalk
Will never hurt your hand;
But the rose upon her brier
Is lady of the land

There’s sweetness in an apple tree
And profit in the corn;
But lady of all beauty
Is a rose upon a thorn

When with moss and honey
She tips her bending brier
And half unfolds her glowing heart
She sets the world on fire

 

 

Vulnérable 14 mars 2021

Je veux déposer devant toi mes vulnérabilités. Je ne serai jamais ton prince charmant, car tu es toi, je suis moi, nous sommes faits de le même matière, et pourtant nous sommes dans nos enveloppes corporelles respectives. Nous pouvons communier nos corps encore comme nous savons si bien le faire pour trouver de la communion des essences.

Cette nuit la pluie est venue cliqueter à la fenêtre, comme elle ne sait jamais le faire normalement et j’ai voulu écouter ce qu’elle me disait. Elle parlait très distinctement, les sons sur la vitre étaient très nets, mais je n’ai pas su, moi, recevoir, écouter, entendre…

Mais j’ai entendu ma peur, absurde évidemment, celle de ne pas être à la hauteur de ton intuition, de ne pas savoir entendre les mots et les maux que tu exprimes, de ne pas savoir entrer dans le murmure, et de te décevoir …

Je nous vois autour de cette église fermée, dans laquelle résonnait un orgue tu étais assise sur le seuil, dessinais tes intuitions. Moi, pendant ce temps, j’aimais profondément, intensément, me laisser porter par le temps que tu m’offrais, et mon coeur s’envolait par-delà la réalité des sens habituelle, pour percevoir d’autres sens, l’Essence.

Soudain, tu étais devant moi, et c’est moi qui étais dans mon ailleurs, tandis que tu avais fini de dessiner. Voilà comment je perçois notre complicité, ce n’est pas t’attendre que de te laisser t’arrêter, au contraire c’est me laisser à moi aussi une autre façon de rejoindre l’autre réalité, la source.

Jusque là, je rejoignais la source par mes propres voies, selon mon timing, tu me permets donc de m’ouvrir à d’autres messages, ceux qui sont offerts dans ces moments où tu plonges, pour que je m’envole vers les miens…

Je n’ai pas besoin d’avoir peur de te décevoir, je n’ai à avoir peur que de mes peurs, et les remplacer par de la bienveillance, de la compassion et beaucoup d’Amour envers moi et envers toi.

Ma vulnérabilité, elle se place aussi sur le plan pratique quelle relation pouvons-nous vivre, toi et moi ? Toi et tes enfants, tes nombreux « faire », aussi tes blessures, moi et mes vides, mes besoins d’espace, mes abstractions, mon non-faire le réflexe est de me dire que cette relation ne peut pas aller loin mais là aussi, je peux le voir comme une opportunité, si cette relation se présente à moi, c’est que j’ai à vivre cette relation, à en apprendre, à grandir, à t’offrir ce que j’ai de plus profond

C’Elle

je connais cet air

il était là dans le paysage de mon  adolescent moi
par-dessus la fenêtre double de ma chambre du premier
au-dessus des vergers des nuages et de l’horizon vers l’Elle
qui habite mon coeur depuis mon à-venir de son Amour depuis mes 14 ans…

je connais cet air

… Mon Amour, toi qui lis ces mots, qui que tu sois,
que je n’ai pas connue ou que j’ai connue, amoure ou passagère
ne t’inquiète jamais des mots d’Amour, de qui que ce soit,
car ils ne sont jamais adressés à toi, mais à l’Elle !

je connais cet air

L’Elle, celle qui habite le coeur de l’ado laissant éternel
c’Elle qui m’accompagne depuis toujours et qui sera toujours là
dans son manteau d’absence, c’Elle qui vole à tire d’Elle
au-dessus des horizons qui toujours s’éloignent et qui me poussent à avancer

je connais cet air

l’Elle, c’est cette ado laissante au coeur tendre, au regard de velours,
celle qui me comprend, celle qui me prend la main et m’emmène vers demain
au pays des coeurs soudés noyés unis et réunis dans l’éternel
là où les vagues font des cimes d’Amour et des creux du Rein

je connais cet air

Ne t’inquiète jamais de mes mots, mon Amour, car ce n’est pas à toi qu’ils sont adressés
mais à c’Elle qui est en toi, celle qui rêve encore un peu peut-être
à une nouvelle l’Une, de miel éternelle, celle qui est sous les auspices de l’Amour
la Lune de Rêve, la femme de la Lune dont je ne suis que le pierrot

je connais cet air

Au contraire, toi qui est là devant ces mots qui te font peur
c’est toi que je veux co-naitre, je veux et naitre à tes côtés,
car tu es pleine de tes blessures et de tes murs,
car tu es celle, unique, femme, vraie, multiple, multicolore, humaine d’abord

je connais cet air

Dans les plis de ta peau se cache les secrets de ta vie à toi
Dans les cheveux défaits au petit matin s’ouvrent tes vérités
Dans tes mains ouvertes sont exposées tes sensibilités
Dans ton regard l’infinitude d’une présence autre, Être

je connais cet air

je connais cet air de rien en moi qui ne serai jamais le prince
qui appelle celle, c’Elle qui tire d’Elle,
viens plutôt toi, mon amie humaine, ma complice dans la matière
déployer tes Ailes d’imperfection, de vulnérabilité, de fragilité, de la vraie vie

je connais cet air

L’intuition est le langage de l’Être

L’intuition est la langue de l’Être

c’est quand j’ai l’Essence en éveil
que l’interprétation des sens se modifie
et ce qui me vient de l’extérieur me vient de manière différente
alors, j’écoute, vois, sens, goute et touche de manière différente,
et c’est mon monde qui change.

13 Mars 2021

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