Catégorie : Psychée (Page 29 of 40)

Les Croyances   Définitions et caractéristiques

  « Les Croyances »    (Définitions et caractéristiques)

 

 

Qu’est ce qu’ une croyance ?

Les croyances sont des affirmations personnelles que nous pensons vraies. Ce sont des interprétations à propos de ce que nous avons perçu de nous-mêmes, des autres et du monde.

La structure linguistique d’une croyance est l’équivalence (X = Y) ou la cause/effet (X => Y).

Il est important de faire la différence entre les faits (VAKOe) et l’opinion que nous formons à propos de ces faits qui est une croyance.

Une croyance est une opinion, elle n’est donc ni fausse ni vraie dans l’absolu. Elle est vraie pour nous à un moment donné. Le consensus entre plusieurs personnes à propos d’une croyance ne prouve pas sa véracité ( la terre a été considérée comme plate pendant de nombreuses années ).

 

Quel est le rapport entre croyances et modèle du monde ?

Notre modèle du monde est constitué de l’ensemble de nos croyances, organisé en un système qui tend vers la cohérence. Ainsi nous acceptons ou nous refusons une nouvelle croyance après avoir testé (en général tout à fait inconsciemment) sa compatibilité avec notre modèle du monde tel qu’il est à ce moment-là.

Une fois qu’une personne a adopté une croyance, elle a tendance à la généraliser et à la valider en filtrant ou en déformant ce qui ne concorde pas avec elle.

La croyance sera ainsi perpétuée et considérée comme « vraie », même face à des contre-exemples observables (c’est l’exception qui confirme la règle) .

La cohérence de notre modèle du monde est ainsi maintenue mais la généralisation limite nos choix. Plus la généralisation est large, plus elle est limitante.

On comparera les exemples suivants : • ma sœur a fait quelque chose de stupide • ma sœur est stupide • les filles sont stupides

Qu’est-ce qu’une règle ?

Une règle est une forme particulière de croyance qui porte sur ce qu’il convient de faire. Ainsi, on peut distinguer deux sortes de croyances :

Celles qui portent sur ce qui est : « les garagistes ne sont pas fiables ».

Celles qui portent sur ce qu’il faut faire s’il en est ainsi: « il faut vérifier leur travail ».

Seules les croyances généralisées sur ce qu’il convient de faire sont des règles : « Il faut (toujours) se méfier des chiens que l’on ne connaît pas ».

Une croyance sur ce qu’il faut faire, si elle est attachée à un contexte ponctuel, n’est pas une règle : « Il faut que je fasse les courses (aujourd’hui) ».

Quelle est l’influence de nos croyances ?

Nos croyances constituent une base de données pour nos interprétations, nos décisions, nos états internes et nos comportements.

Ces décisions, sentiments, comportements, choix, ne peuvent être compris qu’à la lumière des croyances qui les ont motivées.

Certaines croyances sont plus importantes que d’autres. Celles auxquelles nous tenons le plus et qui exercent la plus forte influence sur nous sont celles qui concernent les niveaux logiques supérieurs : le sens que nous donnons à notre vie, notre identité et nos valeurs.

Nos croyances évoluent-elles ?

Notre modèle du monde évolue néanmoins et nous révisons de temps en temps nos croyances en effectuant les « ajustements » nécessaires pour que le système évolue en restant cohérent. La plupart de ces ajustements sont faits à un niveau inconscient. Cette révision est indispensable pour nous permettre de conserver notre souplesse et de nous adapter.

Lorsque nos croyances sont rigides et inadaptées, nous rencontrons des difficultés dans le domaine qu’elles concernent. Il est donc utile de faire le nécessaire pour les modifier. (La PNL propose plusieurs techniques pour changer les croyances).

Comment se forment nos croyances ?

Pour être en mesure de faire face aux diverses circonstances de son existence, l’enfant doit attribuer un sens à ce qu’il observe et prendre des décisions sur ce qu’il convient de faire dans telle ou telle circonstance.

La mise en place d’une croyance et/ou d’une règle peut se faire de différentes façons :

 

Par adoption des croyances culturelles et familiales, c’est-à-dire par répétition.

En réaction à une seule expérience si celle-ci a un impact suffisamment fort (positif ou négatif).

Suite à des expériences répétitives produisant un effet cumulatif (si, trois fois de suite, il pleut lorsque je vais en Normandie, je peux en déduire qu’il y pleut toujours !).

Par une combinaison de ces différents moyens.

 

De même, un changement de croyance et/ou de règle peut se faire par des moyens variés, en une seule fois ou progressivement par répétition.

 

Une croyance peut-être contextualisée ou généralisée.

Notre modèle du monde est constitué de l’ensemble de nos croyances généralisées à propos de nous-mêmes, des autres, du monde de la vie en général.

Plus la croyance est généralisée, plus elle limite les choix de la personne concernée.

Toute croyance fait partie d’un système de croyances qui tend vers la cohérence. Ce système a tendance à s’auto-valider.

Deux croyances contradictoires peuvent cohabiter chez une même personne si elles font partie de sous-systèmes (ou parties) qui ne sont pas activés dans les mêmes circonstances.

C’est la croyance qui détermine l’état interne ressenti et le comportement mis en place.

On ne change pas la croyance de quelqu’un, on peut seulement créer des conditions favorables et il va (ou non) la changer lui-même.

Tout changement passe par un changement de croyance ou y aboutit

Mécanismes de construction de la réalité PNL LES TROIS FILTRES

« LA CONSTRUCTION DE NOTRE RÉALITÉ »
Il y a une différence entre le monde et notre modèle du monde :
la carte n’est pas le territoire.
Notre modèle du monde constitue notre représentation de la réalité, notre vision du monde, notre cadre de référence.
LES TROIS FILTRES
Trois séries de filtres : neurologiques, culturels et personnels s’interposent entre la « réalité » et l’expérience que nous en avons.
Filtres neurologiques

L’univers tel qu’il nous apparaît par l’intermédiaire de nos sens résulte des structures propres à notre cerveau et à notre système nerveux.
Cette organisation est déterminée génétiquement et est particulière à chaque espèce.
La réalité telle qu’elle nous apparaît est donc déjà une création humaine.
exemples : Notre monde n’est pas celui de la mouche, du poisson ou du chat. Nous nous inspirons de ce que perçoivent les animaux pour à notre tour élargie notre réalité. Avant l’invention des techniques, nous ne savions pas distinguer les ultra-sons par lesquels se dirigent les chauve-souris, et la maitrise de ce langage nous permet d’accroitre notre connaissance du monde, et le monde nous apparait de manière différente, plus large.

Mais ceux qui viendront après nous vont eux aussi inventer, c’est à dire découvrir, de nouvelles manières de percevoir le monde, donc de le concevoir.

Il faut dont faire attention à ne pas être trop définitif quand on définit la réalité…

Filtres culturels
Par ses mythes, ses valeurs, ses croyances et son langage, le large groupe humain auquel nous appartenons nous offre une vision particulière du monde, la sienne. Notre vision du monde n’est pas celle des Papous ou des Esquimaux du Groenland.Exemples :
Filtres personnels
Le milieu dans lequel nous avons vécu, l’éducation que nous avons reçue, l’influence exercée par nos parents et les grandes personnes importantes, les multiples expériences vécues enfant puis adulte ont influencé notre façon de concevoir les choses de manière particulière.
Consciemment ou non, chacun se fait une certaine idée de sa valeur et de celle des autres, ainsi qu’une idée sur ce qu’est la vie et sur ce qu’il peut en attendre.
Chaque histoire de vie est unique.exemples :
1. Notre vision du monde n’est pas le monde
2. Cette vision varie d’un individu à l’autre

C’est dans une large mesure l’idée que nous nous faisons du monde qui détermine notre perception et notre expérience de celui-ci,
ainsi que les choix qui nous sembleront à notre portée et que nous mettrons en oeuvre.

 

Comment se positionner en tant que coach professionnel

extraits de  deux articles :

https://www.institut-repere.com/info/le-metier-de-coach-professionnel-enjeux-et-strategie/

Comment se positionner en tant que « coach professionnel » ?

Il y a trois grandes stratégies pour sortir du lot :

  1. Développer des compétences « uniques »
  2. Développer une « image » unique pour une cible « unique »
  3. Développer une relation « unique »

Développer des compétences « uniques »

Un coach peut se distinguer par son approche, sa méthodologie, son efficacité, la spécialisation dans certains sujets.

Quelques exemples :

  • Coach de vie : accompagner des personnes qui vivent des situations personnelles difficiles et qui ne souhaitent pas rentrer dans une démarche thérapeutique.
  • Coach en entreprise : accompagner des personnes dans les organisations qui doivent faire face à des défis professionnels, des limites de leur fonctionnement
  • Coach d’équipe : accompagner des équipes dans le développement de leur intelligence relationnelle et collective.
  • Coach de processus ou facilitateur : accompagner des réunions, des processus d’amélioration continue… par exemple, un de nos participants se positionne comme « réuniologue ».
  • Coach spécialisé : aborder un aspect de l’existence humaine. Une de nos formatrice, France Doutriaux, développe des coachs qui accompagnent la réussite d’une épreuve, ou des coaches qui abordent les vécus émotionnels douloureux, un de mes amis est devenu « timidologue », …

Coach dans quoi ? : Individuel, Sujets : Emotions, Maladies, Dépression, mal-être, relationnel.

 

Développer une image « unique » pour une cible unique

Le coach peut également se démarquer par son « marketing » ou travailler son image. Il ne s’agit pas ici de jouer un rôle mais bien de se positionner en fonction de ce qui est notre « essence » notre identité profonde.
VOIR le livre Carol Pearson (son ouvrage en anglais « The Hero and the Outlaw »)  positionnement de « marque ».
Par exemple, l’archétype Hors-la-loi (exemple de marque : Harley Davidson ; exemple d’artiste : Serge Gainsbourg) s’adresse à des personnes qui sont en rébellion avec le système et cherchent à se démarquer par un côté choquant, dérangeant.  Un coach qui s’adresserait à ce genre de public, serait lui-même dans cette démarche et attirerait des personnes qui cherchent à trouver leur place, à choquer positivement, à transformer le système en devenant des leaders atypiques.
Il est donc indispensable pour le coach d’identifier son public-cible et de vérifier si ce public est sensible à sa nature propre de coach.

Moi : Tutoyer les clients. Me présenter calme, zen, grand et apaisant. Public cible : individuel, en quête de sens, en quête de rassurance, en quête de changement profond.

Développer une relation « unique »

L’accueil, le rapport, le cadre de sécurité, l’environnement, le degré d’authenticité, le niveau de pleine conscience ou de présence à l’autre sont des ingrédients qui permettent d’être unique dans sa proposition d’accompagnement.    OUI c’est moi
Dans ce cas, le coach n’a au fil du temps plus besoin de se positionner car le cadre relationnel est un axe très fort de développement.  L’expérience unique que le coach offre à ses clients est souvent partagée à d’autres, voire conseillées à d’autres.  Les clients deviennent ainsi des prescripteurs pour le coach.  Le bouche à oreille fonctionne très bien.

 

Coachs, qui vont être vos clients

ttps://www.institut-repere.com/info/comment-trouver-ses-clients/

(ajouter un h devant l’adresse)

La démarche marketing consiste à faire savoir l’existence d’un produit ou un service spécifique, auprès d’une cible bien identifiée. La démarche de vente consiste à obtenir une décision d’achat de la part des personnes considérées comme « cibles ».

Ces deux démarches nécessitent une pensée stratégique questionnant de « comment faire » pour capter l’attention d’une population cible et favoriser des décisions d’achat. Sachez cependant qu’il est impossible de répondre à la question du “comment faire” si vous n’avez pas répondu au préalable à la question du “Qui vont être vos clients ?”

Vos clients vont probablement vous choisir non pas à partir de ce que vous leur racontez de vos talents de coach, mais plutôt à partir de la manière de dire les choses, à partir de votre niveau de congruence et de ce qui « transpire de vous ». Avec l’expérience, on se rend vite compte que le premier outil et argument de vente du coach est le coach lui-même.

Au fait qu’elle est votre vraie valeur ajoutée ? Pouvez-vous en parler facilement ? Qu’avez-vous d’unique à proposer à vos clients ? Savez-vous mettre à jour et expliquer vos stratégies inconscientes de réussite ?  Pourriez-vous décrire en quelques mots vos mécanismes d’excellence, avec ce que vous faites bien et avec bien plus de facilité que les autres ? Avez-vous identifié les mécanismes d’action qui vous rendent unique et que vous mettez sans cesse en œuvre pour aboutir à des résultats que vous considérez comme satisfaisants ?

Quels sont me mécanismes d’excellence ?  La croyance en l’existence cachée (ou tout simplement inconsciente) en vous de mécanismes d’excellence méconnus, et d’autre part la présence d’une personne capable de vous aider à mettre à jour ces mécanismes. Qui pourrais-je aider au mieux avec mes mécanismes d’action ? Pour qui puis-je être un modèle ? La connaissance de votre singularité vous permet de la proclamer et de donner une chance à ceux qui en ont besoin de vous trouver. Vous n’êtes plus le coach de tout le monde mais uniquement de ceux que vous êtes susceptible d’accompagner au mieux.

Elle consiste à se détacher du cadre limité des modes de pensée du passé, c’est-à-dire à prendre de la distance par rapport à ce que vous faisiez (le QUOI) auparavant, et à la manière efficace de le faire (le COMMENT), pour revenir à la source de tout votre savoir, c’est-à-dire vous-même :le QUI

Les réponses ne sont pas dans votre tête mais au plus profond de votre corps et de votre cœur. Il faut une pause, du silence, une présence à soi, pour laisser décanter l’eau boueuse de votre mental et faire apparaître la pureté de l’eau et de la lumière qui la traverse. Vous serez comme appelé à prendre une nouvelle direction, parfois effrayante, celle de votre “futur émergeant” pour citer Otto Scharmer, afin de pouvoir inventer ou réinventer votre activité de coach. Steve Jobs vous dira qu’une innovation n’a jamais pris naissance dans les études de marché, mais plutôt dans la méditation.

Comment me découvrir ?    méthodologies  : la Programmation neuro-linguistique (PNL), la Process Communication (PCM) ou l’Ennéagramme, l’Approche Systémique, la Spirale Dynamique, la Vision intégrale de Ken Wilber, la Théorie U d’Otto Scharmer …

Les Drivers et leurs phrases de guerison

Sois parfait : ce sont les personnes qui ne se sentent pas bien tant qu’elles ne peuvent s’estimer parfaites, autant en termes d’actions que de connaissances.  ==> « Sois parfait » deviendra « Tu as le droit de faire des erreurs », « Sois comme tu es 

Dépêche-toi : ce sont ceux qui sont en permanence dans le résultat rapide, ils n’ont pas de patience, ils veulent aller vite en toute circonstance et sont dans l’économie de ressources. Ils ne travaillent correctement qu’avec des délais serrés. Ils veulent toujours se rajouter des choses à faire, se dépêcher et ont une mauvaise gestion de leur temps.    ==>   deviendra « Prends ton temps. »

Fais-plaisir : ce sont les personnes qui croient qu’elles peuvent rendre les gens heureux et se sentent responsables des autres. Elles ont besoin d’obtenir l’amour des autres et font passer le plaisir des autres avant le leur. Elles n’ont pas conscience de leurs propres besoins.     =>  deviendra « Fais-toi plaisir », « écoute-toi », « exprime tes émotions » « fais confiance à ton intuition »

Fais des efforts : c’est l’injonction qui dit que le moyen de réussir est d’essayer, ce sont des personnes qui ne sont pas dans une logique de résultat, de réussite, qui se contentent de tenter.    ==> deviendra « quantité ne signifie pas forcément qualité » « Fais-le, simplement » «prends du plaisir »

séance de coaching déroulement en bref

Accueil

première séance :
qu’est-ce que le coaching génératif
déontologie
contrat moral

Bienvenue + YES SET
Comment tu te sens aujourd’hui ?

Retour sur les actions de la dernière fois

Que veux-tu aborder aujourd’hui ?

Etat désiré : ressenti, description

Définir un objectif smart

Clarifier le présent

 

 

Le semeur de positif

Le Positiculteur heureux – la Culture du positif

Le positif se trouve en graines à germer dans les champs de Joie. Les coach ICA cultivent des champs de Joie, et par défaut l’équipe ICA en possède toujours des greniers pleins. La monnaie d’échange est le MERCI avec le coeur.

La particularité du positif est qu’il germe à toute époque de l’année. Le temps de germination est plus ou moins court selon l’énergie du coaché : qualité du substrat, apport extérieur. L’apport extérieur est très varié, mais ce ne sera qu’un stimuli. La qualité du substrat est inhérente à chaque être. Certaines personnes sont dotées d’un capital plus ou moins élevé, selon la singularité de la personne, mais aucun n’est lié à l’avoir, c’est un état d’être. Ca tombe bien, nous voulons le cultiver dans des êtres humains, pas dans des avoirs-humains.

Technique : aller dans un des champs du possible de la personne. On les repère dans le discours et l’attitude de la personne, le coach peut s’aider des indicateurs comme HBDI, le langage non verbal du VAKOG, car il y a en chaque être des champs du possible.

Quand le positif n’est pas très présent, ce qui est très souvent le cas par l’éducation de notre société, on le trouvera à partir du négatif par effet de  dualité : il n’y a pas de négatif sans positif.

Le coach utilisera d’abord son attitude, et pourra s’aider de techniques de PNL, peut être la modélisation, le carré magique, le core process ou encore le cercle d’excellence (que nous n’avons pas vu en cours).

Pour les personnes contrôlantes, évitantes, vérifier si elles ont vraiment envie d’être positiculteurs. Le coach n’est pas un magicien, ni un thérapeute, ni un consultant.

 

Le semeur de positif

Une fois dans le champ, prendre dans la main caleuse du vieux paysan avec sa casquette sous le soleil du soir une poignée de graines de positif et les lancer comme ça, voir figure A, dans un vaste  geste auguste circulaire à hauteur de poitrine, même si le positiculteur s’appelle Rodolphe. Si c’est une femme, évidement elle s’appeleroit (c’est joli ça fait vieux François) enfin je veux dire qu’elle se prénommera Henriette, ceci même si elle ne s’appelle pas Rodolphe. Si le geste auguste circulaire à hauteur de poitrine de Henriette excite le coach, changer de main. Si Rodolphe se jette sur Henriette, laisser mijoter 9 mois au feu doux de l’amour. Bref.

Une fois les graines disséminées de façon harmonieuse, les oiseaux viennent picorer les graines. Ils les diffuseront d’autant mieux dans toutes les parties du monde intérieur de la personne. Ensuite, arroser régulièrement de l’eau de l’encouragement, rester souriant, bienveillant, mais réaliste, relancer, reformuler le positif, inciter en subtilité à trouver dans le négatif l’intention positive, mener avec subtilité le coaché vers la germination du positif : la subtilité est l’art d’être coach, et ça ne s’achète pas.

Lorsque le positif aura germé, la personne coachée sera dans sa dynamique de Joie et le coach pourra être content dans un sourire de contentement intérieur qui le fait vibrer de l’intérieur, voir figure B. Si le coach vibre à l’extérieur voir figure C, appeler les secours. S’il s’élève dans les airs, voir figure D, laissez-le partir, c’est la  … FIN

Le Mouvement du HUN vers le Shen et les conséquences sur l’humeur

Le Mouvement du HUN – Âme Ethérée – vers le Shen et les conséquences sur l’humeur

De « la Psyché en Médecine Chinoise » – G Maciocia

 

SHEN-ETHERIQUE

(le SHEN a différents aspects, chaque organe comporte son shen, le Coeur est le siège du SHEN, ici on parle du SHEN-Esprit, spirituel.)

Hun est le Shen éthérique ou âme éthérique.

Le Hun survit à la mort, c’est pourquoi on dit qu’il est éthérique. On ne sait où il va, ce n’est pas une réincarnation, qui est une idée du Bouddhisme. On dit que le Hun retourne au Ciel, mais pas le Ciel chrétien.

GOUVERNE : intègre les éléments fournis par le HUN
Coordination du psychisme, Discernement, conscience,“moiitude” activité mentale

 

HUN Âme Ethérée – NRJ universelle
Entité spirituelle du Foie, âme dite Ethérée, car non matérielle elle provient de l’NRJ universelle, investi l’être humain à la naissance et repart vers le “Ciel” après la mort,
Hun : inspiration, subconscient, intuition, créativité, relations, élan vers l’extérieur. On comprend que son mouvement est naturellement expansif.
-les enfants jusqu’à 7 ans sont libres de mouvement du Hun, c’est lorsque la conscience se forme que le Shen, qui gère aussi la rationalité, commence à l’ordonner.
-En hypnothérapie, il en est de même lorsque nous rêvassons au volant on se place ou on place le patient en état de “rêve éveillé”.

Le Hun est Yang, alors que le Po est Yin. On parle souvent du Hun et du Po ensemble, le Po étant l’âme corporelle, lié aux sensations corporelles.

Le Mouvement du HUN

Le Hun a un mouvement de Va et vient vers le Shen-Esprit, lequel tempère ce mouvement.

Le mouvement du Hun : le Hun est le va et vient du Shen.

Le mouvement est dans la nature du Hun.

Hun procure au Shen : inspiration, subsconcient, intuition, créativité, relations, vers l’extérieur. Avoir des plans, une direction, des objectifs. C’est le Hun qui donne le mouvement au Shen.
Ce mouvement n’est pas régulier : c’est un mouvement naturel de va-et-vient = l’humeur est naturellement variable. Ces mouvements sont tempérés par le Shen.
Le SHEN est seul capable d’intégrer ce que Hun lui fourni.

, cognition, reconnaissance (de toutes les) émotions, Mémoire du passé, sommeil, sens à la vie, perception des sens

Les Mouvements anormaux du HUN

Le fameux mouvement du Qi du FOIE est l’équivalent physique du mouvement du HUN.  Si vous bougez le Qi du Foie vous stimulez le mouvement du HUN, donc les gens vont se sentir mieux émotionnellement. Une stagnation du Qi du Foie implique toujours un blocage du Hun.

Ces pathologies sont souvent liées à l’enfance.

Le Hun peut se retrouver :
en excès : trop de sollication de la créativité, de l’élan vers l’extérieur ou encore vers les relations peuvent mener à un ETAT MANIAQUE : exaltation de l’humeur, déchaînement des pulsions instinctivo-affective, surexcitation ». L’expression artistique vient du HUN. Le Mouvement du Hun peut être excessif, on a alors une manifestation maniaque, par trop d’idées, travailler la nuit, etc…
En déficit : trop peu d’ouverture vers l’extérieur, vers les projections, peuvent mener à ETAT DEPRESSIF (ne pas confondre avec la dépression)  : grande tristesse d’humeur, perte d’élan vital, ralentissement psychique.
L’alternance des deux = pathologie maniaco-dépressive. les artistes sont plus souvent atteints pas des troubles bi-polaires.

 

***********

Ce qui est remarquable c’est que les Chinois croient très fort à cette survivance du HUN, encore aujourd’hui et aussi dans les milieux très rationalistes. Encore aujourd’hui, les chinois se font enterrer avec lesu bijoux, leurs livres et notamment les livres spirituels comme le Tao Te King, les sets de maquillage pour les femmes … certains rouvrent d’ailleurs les tombes pour dépoussiérer les Os, car ils croient que le Po est sur les Os.

Protocole pour réduire la petite voix intérieure

Protocole pour réduire la petite voix intérieure

La petite voix intérieure qui rabâche toujours le même message

baisse son volume
atténue la voix éloigne
la petite voix
donne-lui un ton monocorde
donne lui une voix de Donald ou alors une voix une autre voix totalement ridicule
éloigne la voix de plus en plus
rends la presque inaudible

PNL Protocole pour renforcer la motivation à une action

Tony Robbins pouvoir illimité page 133 à 136

Protocole pour renforcer la motivation à une action.

Evaluer la motivation à renforcer sur une échelle de 1 à 10.

1- Pense à une activité que tu fais de façon très motivée à chaque fois que tu l’as fait
une action pour laquelle tu n’as pas besoin de chercher de la motivation.

Commencer par le sens le plus élevé du VAKOG
Noter les sous modalités qui se manifestent avec le plus d’intensité

Visuel

détends-toi et forme une image mentale aussi claire que possible de la scène

est-ce un film dynamique ou une image
est-ce que elle est en couleur ou en noir et blanc
est-ce que la scène est proche ou éloignés
est-ce qu’elle est à droite à gauche ou au centre
est-elle associée est-ce que tu es dedans et tu es présent
ou alors dissocié tu es comme un observateur extérieur
est-ce qu’elle est encadré ou s’agit-il d’un panorama qui s’étend à l’infini
est-ce clair ou sombre ?
est-ce net ou flou ?

Auditive
Passe en revue les sous modalités auditive
quand tu écoutes ce qui se passe est-ce que tu entends ta propre voix ou les voix d’autres personnes présentes
entends-tu un dialogue ou un monologue
les sons que tu entends sont-ils fort faible
les sons présentent-ils des inflexions variées où sont-ils monocordes
est-ce que les sons sont rythmés ou alors haché
le rythme est-il rapide ou alors lent?
les sons viennent d’où ?
sont-ils permanents
quelle est la phrase principale que tu entends ou que tu dis à toi-même?

Kinesthésique
Quand tu touches est-ce que c’est dur ou c’est mou
est-ce que c’est chaud ou alors c’est froid
est-ce que c’est rugueux ou lisse
est-ce que c’est souple ou alors rigide
est-ce que c’ est solide ou liquide
c’est dur ou alors émoussé
sur quelle partie de ton corps s’exerce la sensation
est-ce que c’est sucré ou aigre

 

2 – Forme maintenant une image mentale de l’action pour laquelle tu voudrais être plus motivé

Noter les sous modalités idem

3 – Maintenant imagine ton cerveau comme un écran de télé coupé en deux
et regarde les deux images à la fois : il y a des différences de sous-modalités
Commencer par le chapitre VAKOG qui est le plus puissant
Reprendre les sous-modalités les plus motivantes
petit à petit rectifier les sous modalités de la situation où trouver de la motivation

4 – Évaluer la situation qui est à motiver de 1/10

 

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