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Valeurs les principes – Outil de Coaching

Etablir l’ordre de priorité des valeurs dans chaque secteur de vie.

Intime, Famille, Social, Travail, Personnel, Amical

Système de Valeurs = L’ensemble de ce qui est le plus important pour une personne, les idées de ce qui est bien ou mal, de ce qu’il faut faire ou pas, les réactions que nous avons face aux évènements de la vie. Les valeurs déterminent aussi ce que nous ne voulons pas.

On se sent bien avec soi-même lorsque nos comportements correspondent à nos valeurs. Connaitre nos valeurs et leur ordre de priorité nous permet d’être en cohérence, d’adopter les comportements qui leur correspondent, de repérer ce qui est incohérent et qui cause des interférences.

Adopter les comportements d’autres est ce qu’on nous apprend, mais tous ne nous correspondent pas. Connaitre ses valeurs permet de se défaire des comportements automatiques.

Valeur extérieures : La plupart de nos valeurs sont apprises et issues du principe punition et récompense.

Valeurs propres : celles propres à la personne.

Nos valeurs évoluent, nos comportements aussi / peuvent être adaptés.

Notre mode de vie et ses composantes reflètent nos valeurs. Attention ne pas juger depuis sa propre carte du monde : une personne riche peut vouloir une petite voiture modeste : beaucoup de valeurs peuvent y correspondre.

Chacun a sa propre échelle des valeurs et beaucoup de conflits et notamment des guerres trouvent leurs racines dans l’intolérance et l’ignorance des différences de valeurs.

la Culture d’un peuple correspond à l’agrégat de ses valeurs.

Comprendre le système de valeurs permet de comprendre le fonctionnement d’une personne (ou d’un collectif).

Cela permet de faire des choix, et des choix éclairés.

Ex : rester plus tard au travail ou bien rentrer dans sa famille ? Pour y répondre : qu’est-ce qui est plus important pour la personne ? Ce sera différent pour une autre personne, ou bien différent pour la même personne en fonction des moments de la vie.

Ex : avoir un gros salaire dans un travail qui ne plait pas. Pour celui qui place le salaire au-dessus cela ne pose pas de problème, mais celui qui accorde plus de valeur à avoir un salaire qui lui plait se sentira en conflit intérieur.

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COMMENT DETERMINER LES VALEURS

voir l’article suivant

 

 

le jugement empêche la responsabilité : vision de coach

J’ai un jour entendu parler d’un jeune homme qualifié comme délinquant et perdu pour la société. En effet, il avait produit une fausse ordonnance médicale pour obtenir les médicaments que sa mère doit impérativement avoir pour moins souffrir d’une maladie invalidante. Les médicaments « prescrits » étaient un renouvellement.

La réaction classique : « c’est mal, il doit être puni, ça lui apprendra ». La culpabilité bloque, fige, rabaisse. En le condamant, il n’aura pas compris le sens de son acte !

EN COACHING : on met le jugement de côté.

Par les questions, on peut d’abord trouver des intentions positives et qualités du jeune homme, comme le souci de sa maman malade, l’intention de trouver une solution rapidement, l’imagination, les efforts fournis pour imiter une ordonnance, et même le fait de surmonter sa peur, et d’avoir le courage de ses actes…

Par la suite, le coaching va questionner les conséquences positives et négatives de son acte. Et la personne va trouver par elle-même par quelles autres stratégies peuvent mener au résultat recherché.

Amener vers la compréhension …

Toujours par les questions, il réalisera l’intérêt collectif de respecter des procédures pour obtenir des médicaments qui peuvent être dangereux dans les interactions, dans les indications etc… et que si les médicaments ne sont généralement pas en vente libre c’est pour de bonnes raisons; Et aussi l’intérêt individuel d’être encadré par des médecins qui sont des professionnels des maladies, pour savoir décider des meilleures stratégies de soins.

Une personne qui comprend le sens de ce qu’il fait ou ne fait pas deviendra RESPONSABLE : REPONDRE DE CE DONT ON EST CAPABLE (ou habile).

Le simple questionnement dans le non-jugement peur à lui seul ouvrir bien des portes et apporter des réponses qui seront durables, car la personne se sera approprié ses propres réponses !

 

Astuces de Confiance en Soi

1   La confiance en soi peut s’apprendre : elle n’est pas figée.
« personne ne peut dénigrer ta valeur sans ton consentement « . C’est réexaminer les pensées qu’on a de soi-même, c’est remettre en question les fréquentations qu’on peut avoir de personnes négatives, c’est faire le tour des activités qui nous plombent et s’en détacher parfois contre les bénéfices qu’elles nous apportent.

2   faire le point sur la voix interne négative.
D’ailleurs c’est la voix de qui ? Est-ce une voix d’amour et de bienveillance ? De tolérance et de compassion ? Est ce la voix qu’on aimerait avoir avec une personne qu’on aime ? Ou Est-ce la voix d’autres ? Ne serait ce pas la voix du fameux « il faudrait « : Les parents dans leur rôle d’éducateurs, les enseignants, les autorités ?… il faudrait il faudrait il faudrait, culpabilisante, la culpabilité entrave toute valorisation

3   retourner un défaut en valeur
commencez par ne pas juger un de vos comportements et trouvez ce qu’il y a de positif, l’intention positive.

J’ai un jour entendu parler d’un jeune homme qualifié comme délinquant et perdu pour la société. En effet, il avait produit une fausse ordonnance médicale pour obtenir les médicaments que sa mère doit impérativement avoir pour moins souffrir d’une maladie invalidante. Les médicaments étaient simplement un renouvellement.
Si on met le jugement de côté, on peut trouver des intentions positives à son acte, comme le souci de sa maman malade, l’intention de trouver une solution rapidement, et l’imagination et les efforts fournis pour imiter une ordonnance et même le fait de surmonter sa peur, le courage de ses actes…

(En mettant de côté la culpabilité, on peut l’amener à envisager quelles autres solutions plus acceptables pour la société il aurait pu trouver pour arriver au résultat visé.  Rester dans l’interdît ne résoud rien et ne l’aide pas à voir plus loin).

4  écrivez vos superpouvoirs
le matin en commençant la journée. Toutes les qualités que vous voudriez avoir. On s’en fiche qu’elles soient beaucoup, un peu ou pas du tout les vôtres . Ex : force, courage, volonté, charisme, attrayant, efficace, rayonnant, …pensez fort à chaque mot, ce que représente chaque mot, et ressentez chaque mot !

5 soyez votre propre coach de motivation !
Que diriez-vous à une personne que vous souhaitez voir motivée ? Que diriez-vous à un ami pour le motiver ? En évitant le il faudrait, motivez une personne que vous aimez, avec positivité et avec compréhension, et reprenez vos arguments pour vous.

6 faites appel à un héros : que ferait une personne que vous admirez ? Écoutez ses conseils

Ces tips vous donneront une plus forte confiance en vous et vous apprendrez à accepter vos faiblesses en vivant avec, vous vous autoriserez des erreurs, et les autres vous feront plus confiance.

La Formule du Risque : Probabilité X Gravité

Pensez à une occasion de votre vie où vous avez pris le risque de changer votre comportement, ou vous avez fait quelque chose de complètement différent : la première fois où vous avez conduit une nouvelle voiture, la première fois où vous avez pris l’avion, ou la première fois où vous avez loué Airbnb.

Toutes ces choses impliquent un risque, à savoir une exposition à l’incertitude avec une perte potentielle.

On peut considérer le risque comme une formule :
la probabilité x la gravité

Le risque est la probabilité que quelque chose se passe mal, et si cela se passe mal, la gravité de sa conséquence.

Confiance et risque sont comme frère et sœur.

La confiance est en fait la force remarquable qui nous fait franchir ce pont entre quelque chose de connu et quelque chose d’inconnu. La confiance résout littéralement les problèmes de risque.

Lorsque nous prenons le risque de faire quelque chose de nouveau ou de faire quelque chose d’une manière fondamentalement différente, nous faisons confiance. C’est de lâcher la peur.

L’humain a toujours fait confiance pour progresser, et quand il ne fait pas confiance, il stagne. Lorsque vous commencez à voir cette relation entre la confiance et le risque, vous comprenez pourquoi il s’agit d’un ingrédient si essentiel pour l’innovation, et pourquoi la confiance est littéralement le vecteur des nouvelles idées.

A l’inverse, la peur et le fait de rester sur ses acquis conduit à la stagnation.

On dit parfois que la guerre et les catastrophes sont le terreau des plus belles inventions. J’aimerai bien vous demander si vous approuvez les expérimentations sur les humains par les nazis, qui a fait progressé la médecine. Ou encore la bombe atomique. Considérer que la guerre génère le progrès est une vue de l’esprit, en dehors des guerres il y a bien plus d’inventions, et beaucoup moins destructions.

Pour avancer avec soi, aussi, il nous faut de la confiance : se faire confiance c’est lâcher des freins pour aller vers autre chose, d’expérimenter. C’est justement dans les moments de déprime qu’on se fait le moins confiance.

 

Des idées claires

La probabilité est souvent estimée, tout comme la gravité.
Probabilité : Nous pensons qu’on  va développer le virus à la mode en parlant avec une autre personne à 15 mètres pendant 10 secondes.

Gravité : Nous pensons que tout le monde va mourir du dernier virus à la mode, comme de la peste qui a ravagé la moitié de la population au milieu du 14ème siècle.

Avoir des idées claires, c’est de repenser la probabilité et la gravité. Lors de la dernière épidémie de virus en date de ce billet, 25% de la population Française a eu ce fameux virus dans le nez. La probabilité d’avoir ce virus était donc élevée. Mais l’avoir dans le nez ne veut pas dire le développer. Le système immunitaire est là pour ça.

La gravité fatale de la maladie concernait des personnes ciblées pour 98% de la population : très âgés et déjà malades de maladies mortelles.  La gravité était clairement liée à des facteurs de fragilité l’immunité.

Au final, cette épidémie a fait ressortir que l’état de l’immunité était le facteur de fragilité. Il était donc très facile de cibler la gravité, et de la distinguer, et de soigner l’immunité. Au lieu de cela, on a préféré enfermer tout le monde, créant du stress ce qui désactive le système immunitaire, porter des masques, ce qui crée du stress fut-il inconscient, rachacher du matin au soir le même sujet inquiétant, ce qui crée du stress latent, etc…

Aucun des dirigeants n’a su lever le nez du guidon de la peur, car le risque était estimé grave et imminent, ce qui heureusement n’a pas été le cas, et ce qui était prévisible grâce aux chiffres relevés pas les institutions compétentes.

On peut donc utiliser les inducteurs du risque selon qu’on a envie ou pas de catastropher ou rassurer.

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Lorsqu’on étudie ce qui entrave la confiance on peut trouver comment aider les gens à surmonter ces obstacles.

Trois obstacles à la confiance

la preuve sociale : C’est seulement lorsque nous constatons qu’un nombre suffisant de personnes ont découvert quelque chose de nouveau, qu’elles sont allées dans cet endroit inconnu, que l’on suit. L’un des éléments clés est donc de savoir comment créer une preuve sociale autour de la confiance.

L’aversion pour la perte (cf Danny Kahneman prix Nobel pour l’économie comportementale) : Nous nous préoccupons et ressentons davantage la douleur d’une perte que le plaisir d’un gain. Ce qu’on pense devoir abandonner pour faire confiance.

La loi de la familiarité : les gens n’aiment pas quelque chose de complètement nouveau. Ils aiment le familier fait différemment. Chez Apple avec l’iPhone, ils ont appliqué ce principe brillamment. Regardez votre iPhone et la poubelle ressemble à une vraie poubelle, l’appareil photo ressemble à un appareil photo, et les notes ressemblent à du vrai papier.

Finalement, ce sont des peurs : ce qui nous empêche de prendre des risques, c’est de faire face à nos peurs.

Grâce à ces trois éléments, la preuve sociale, l’aversion pour la perte et la loi de la familiarité, vous pouvez comprendre les barrières qui empêchent les gens de passer du connu, à l’inconnu.

 

SYMPTOMES DEPRESSIFS

 

Humeur triste, anxieuse ou  » vide  » persistante
Sentiments de désespoir ou de pessimisme
Sentiments d’irritabilité, de frustration ou d’agitation
Sentiments de culpabilité, d’inutilité ou d’impuissance
Perte d’intérêt ou de plaisir dans les passe-temps ou les activités
Baisse d’énergie, fatigue ou sentiment de ralentissement
Difficulté à se concentrer, à se souvenir ou à prendre des décisions.
Difficulté à dormir, réveil matinal ou sommeil excessif.
Changements d’appétit ou changements de poids imprévus
Douleurs, maux de tête, crampes ou problèmes digestifs sans cause physique claire et qui ne s’atténuent pas, même avec un traitement.
Tentatives de suicide ou pensées de mort ou de suicide

 

Antidépresseurs versus placébo pour les formes graves de dépression.

Le bénéfice des anti-dépresseurs est inférieurs aux critères de la validité clinique, mais est-ce le cas même pour les formes graves de dépression ? c’est la question à laquelle cette méta-analyse répond, en concluant une fois de plus la non-pertinence de la médication…

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Les méta-analyses des médicaments antidépresseurs n’ont rapporté que des bénéfices modestes par rapport au traitement par placebo, et lorsque les données d’essais non publiées sont incluses, le bénéfice tombe en dessous des critères acceptés pour la signification clinique. Pourtant, l’efficacité des antidépresseurs peut également dépendre de la sévérité des scores initiaux de dépression. L’objectif de cette analyse est d’établir la relation entre la gravité initiale et l’efficacité des antidépresseurs en utilisant un ensemble pertinent de données d’essais cliniques publiés et non publiés.

Les différences d’efficacité des antidépresseurs entre le médicament et le placebo augmentent en fonction de la gravité initiale, mais sont relativement faibles, même pour les patients gravement déprimés. La relation entre la gravité initiale et l’efficacité des antidépresseurs est attribuable à une diminution de la réactivité au placebo chez les patients très gravement déprimés, plutôt qu’à une réactivité accrue aux médicaments.

 

Compte tenu de ces résultats, les chercheurs concluent qu’il n’y a guère de raison de prescrire des antidépresseurs de nouvelle génération, sauf aux patients les plus gravement déprimés, à moins que les autres traitements ne soient inefficaces.

 

https://journals.plos.org/plosmedicine/article?id=10.1371/journal.pmed.0050045

 

dépression anxiété exercices en séance

EXERCICE A FAIRE EN SEANCE

Listez les anxiétés

Décrivez votre anxiété, avec le plus de détails possible, dans la précision, et de façon claire. Il faut que les lecteurs puissent y croire sans discuter de la validité de votre inquiétude. Faites cela pour chaque anxiété.

Notez chaque élément de la liste comme « soluble » ou « insoluble » (par exemple, les anxiétés concernant des situations qui ne peuvent pas être changées immédiatement ou les préoccupations concernant le passé).

tous les éléments « solubles » : écrivez les mesures pratiques qui peuvent être prises pour « régler » ce problème.

tous les éléments « insolubles » : Pour chaque élément, comment se sentir différemment psychologiquement. Par exemple, « je dois accepter qu’il est parti et qu’il ne reviendra pas ».

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EXERCICE A FAIRE EN SEANCE

1 – Nommer l’anxiété

2 – Noter (graduer) l’anxiété : noter de 1 à 10 en début et en fin de séance. Le fait de noter l’anxiété oblige à s’en dissocier.

2 – Ressentir l’anxiété. Méthode Sedona. Rester dans l’anxiété la fait diminuer. La ressentir la fait se diluer.

3 – Respirer rallonger l’expir.

4 – Posture anti-stress

5 – Noter (graduer) l’anxiété : noter de 1 à 10 en début et en fin de séance.

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Dépression exercices à la maison

EXERCICES A FAIRE CHEZ SOI

Organiser l’inquiétude

Bloquez 2 x 20 minutes par jour

20 minutes pour vous promener.

20 minutes pour vous inquiéter : s’inquiéter de tout et de rien. Quand arrive un sujet d’inquiétude dans la journée, notez ce sujet et dites « je m’en inquiéterai durant mon temps d’inquiétude, maintenant je le laisse de côté » (ce qui a pour avantage de ne pas se dire qu’on est en train de fuir).

Rédiger pour éloigner l’anxiété

Pendant ces 20 minutes, passez en revue tous les sujets d’inquiétude, et une à une décrivez votre anxiété, avec le plus de détails possible, dans la précision, et de façon claire. Des études montrent que nommer l’anxiété la réduit (2)

A la fin, demandez-vous : ai-je encore besoin et envie de mon anxiété ? comment je me sentirai sans cette anxiété ? est-ce que j’ai vraiment envie de la laisser derrière moi ? Alors, rédigez votre anxiété franchement, avec le cœur, sans argumenter, juste avec toutes vos peurs les plus irrationnelles, vous avez le droit de tout écrire, les idées et peurs les plus folles et enfantines tout est Ok. Ensuite, dites à voix haute et avec toute votre intention votre texte.

8 – Noter (graduer) l’anxiété : noter de 1 à 10.

9 – Respirez profondément. Relâchez vous et passez à autre chose.

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Bouger : 20 minutes par jour

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rencontrer du monde

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faire 5 minutes d’une tâche domestique (pénible)

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DEPRESSION EN QUESTIONS

Questions

Votre idée s’applique-t-elle à tous les contextes, et si non, pourquoi ?

Est-ce que tous ceux qui ont vécu un divorce sont des ratés ?

– Une personne qui a généralement du succès peut-elle néanmoins échouer dans certains domaines ?

Est-il possible d’être généralement apprécié mais de ne pas être apprécié par tout le monde ? Y a-t-il quelqu’un dans le monde qui soit apprécié par absolument tout le monde ? Une telle personne serait-elle sympathique ?

 Est-il possible que le fait de comprendre quelqu’un ne fasse que peu ou pas de différence dans son comportement ? »

Est-il possible qu’une personne vraiment intelligente fasse parfois des choses stupides ?

– Est-il possible que des personnes ayant eu une enfance terrible trouvent le moyen de vivre heureux à l’âge adulte ?

– Est-il possible que parfois la meilleure façon d’aider quelqu’un soit de ne pas l’aider ?

Y a-t-il d’autres raisons pour lesquelles Mike boit qui n’ont en fait rien à voir avec le fait que vous soyez avec lui ou non ?

Est-ce toujours la ‘faute’ de quelqu’un si une personne boit et ne trouve pas le bonheur ? Ou est-ce simplement la façon dont les choses se passent pour certaines personnes jusqu’à ce qu’elles trouvent en elles-mêmes la volonté de changer ?

Y a-t-il d’autres raisons pour lesquelles une personne met du temps à répondre à un texto que le fait qu’elle ne l’aime plus ?

– Pouvez-vous penser à d’autres raisons pour lesquelles un ami pourrait rompre le contact, si ce n’est qu’il se met soudainement à détester la personne avec laquelle il a rompu le contact ?

– Y a-t-il d’autres causes possibles au fait de se sentir malheureux que des substances chimiques défectueuses dans le cerveau ?

C’est intéressant, pouvez-vous me donner la preuve réelle qu’elle a rompu avec vous parce que vous êtes laid ? C’est elle qui vous a dit ça ?

– Je vois, et quelle preuve avez-vous que votre mari ne vous aime plus ?

– Dites-moi la preuve que vous avez que vous êtes une mauvaise mère, et toute contre-preuve aussi, s’il vous plaît. Juste pour que je comprenne bien.

– Quelle preuve avez-vous que vous n’êtes pas un « échec total » ? Y a-t-il eu des moments où vous avez réussi des choses ?

 

Toutes les questions n’ont pas besoin d’être, ou ne peuvent pas être, répondues de la manière dont elles ont été posées.

« Comment cela va-t-il être, je me demande, pour vous de ressentir cette sensation incroyable pour la toute première fois ? ».

Bien sûr, la personne peut essayer de répondre en devinant. Mais la vraie réponse à une telle question passe par l’expérience, pas par les mots.

Une question, ou une série de questions, peut être utilisée comme une invitation conversationnelle à aller vers l’intérieur, dans une recherche intérieure, pour faire l’expérience  » à vue  » pendant une transe thérapeutique légère (ou plus profonde).

« Et est-ce que ce sera, je me le demande, votre main gauche ou votre main droite qui commencera à remarquer ce confort croissant en premier… ? ».
« Qu’est-ce que ça fait de se sentir si bien… Je me demande si vous pouvez remarquer ce sentiment ou quelque chose de semblable à nouveau… maintenant ou peut-être dans quelques instants ? »
« Et quand, je me demande, remarquerez-vous cette première nuit complète de sommeil ? »

« Quand vous avez eu le courage de dire ça, comment ont-ils réagi ? »
« Alors elle n’a pas bien réagi à vos bonnes intentions ? »
« Où d’autre pourriez-vous appliquer votre créativité, pensez-vous ? »

« Comment cette colère essaie-t-elle de vous faire faire des choses que vous ne voulez vraiment pas faire ? »
« Quand vous aurez laissé cette dépression derrière vous, que ferez-vous de plus dans votre vie ? »
« Quels mensonges cette envie de boire essaie-t-elle de vous faire avaler dans ces occasions ? »

« Quelles sont les améliorations que vous avez remarquées depuis que vous avez pris rendez-vous avec moi et que vous êtes venu aujourd’hui ? »

« Sur une échelle de un à dix… ? »

« Comment saurez-vous que vous n’avez plus besoin de venir me voir ? »

« Si un miracle se produisait cette nuit pendant que vous dormez et qu’au matin, le problème n’était plus là, comment serait la vie ? Qu’est-ce qui serait différent ? Que feriez-vous différemment ? »

« Quelles ont été les fois où le problème ne s’est pas produit au moment où vous auriez pu vous y attendre ? ».

 

« Comment saurez-vous que vous n’avez plus besoin de venir me voir ? »

« Que verrions-nous si nous regardions une vidéo de vous en train de ‘faire’ votre problème ? »

« Quel sera le premier petit changement que vous remarquerez une fois que cette dépression aura commencé à se dissiper ? » ou « Quelle petite différence dans votre journée rendrait les choses meilleures ? » et plus tard « Qu’est-ce qui vous empêche d’être plus haut… ? ».

« Que ferez-vous différemment lorsque ce problème aura été résolu ? »
Que ferez-vous des heures supplémentaires une fois que le trouble obsessionnel compulsif aura été chassé pour de bon ? ».
« Que ferez-vous au jour le jour une fois que vous aurez laissé cette dépression derrière vous ? »
« Que ferez-vous le soir une fois que vous n’aurez plus à boire trois bouteilles de vin ? »

« Que remarqueront les autres en vous ? »
« Qui remarquera ces améliorations en premier ? »

« Quelles autres parties de votre vie seront aidées lorsque vous surmonterez cette situation ? »

« Quel sera le meilleur aspect de… ? »

« Si vous étiez quelqu’un d’autre qui vous aime vraiment, que vous diriez-vous de ce dont vous avez vraiment besoin ? »

« Une personne peut-elle faire des erreurs tout en étant fondamentalement une bonne personne ? »

« Où trouvez-vous la force de… ? » « Où trouvez-vous la force de vous lever et d’aller travailler tous les jours même si vous vous sentez si mal ? »

Qu’est-ce qui pourrait mal tourner et comment feriez-vous pour y remédier ?

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