Catégorie : BAO Psy (Page 12 of 17)
les 7 principes de santé de Tony Robbins
1 – Respirer : respirer par le ventre, profondément.
Respiration profonde plusieurs fois par jour : 1 temps d’inspir, 4 temps d’apnée, 2 temps d’expir, pendant deux minutes minimum.
2 – Une alimentation composée à 70% d’eau : fruits et légumes, et céréales germées. ne manger qu’un aliment concentré (sans eau) par repas.
3 – Loi de combinaison des aliments : Certains aliments ne doivent pas être mélangés à d’autres. ceux à digestion dans un milieu basique et ceux dans un milieu acide. les deux milieux n’opèrent pas en même temps, et se neutralisent.
Aliments milieu basique : produits avec amidon, pain, pois, lentilles, riz, pommes de terre. Milieu fourni par la salive par l’enzyme pytaline.
Aliments milieu acide : viande, laitages, noix, graines.
Ex : manger viande à midi et pdt le soir.
4 – manger moins
5 – manger des fruits, et les manger dans un ventre vide. sous forme de fruits pressés.
6 – mythe des protéines : pas ou alors peu de viande et de laitages
7 – Fini les compléments alimentaires : une alimentation saine fourni tout ce qu’il faut.
(inspiré de Tony Robbins « pouvoir illimité » page 200 et suivantes)
» Toute conduite humaine est le résultat de l’état dans lequel on se trouve. »
Dès qu’on adopte une attitude physiologique dynamique, on se met aussitôt dans un état identique. Changez de physiologie et vous changerez d’état.
Physiologie et représentation interne sont étroitement liées. Si vous modifiez l’un des éléments vous modifiez automatiquement l’autre. L’action sur la physiologie est un outil puissant du contrôle de l’esprit. Quand votre physiologie s’effondre, l’énergie positive de votre état s’effondre également et inversement.
La physiologie est le levier du changement émotionnel. Il est impossible d’éprouver une émotion sans que s’opère une transformation physiologique correspondante. De même il est impossible d’opérer un changement physiologique sans que se produise un changement d’état correspondant.
Il y a deux façons de changer d’État : soit en modifiant ses représentations internes, soit en modifiant sa physiologie : Changer de façon de respirer, de posture, d’expression, de gestes, etc.
– Représentation mentale vers état physiologique : Si vous vous dites que vous êtes fatigué, alors vous constituez la représentation interne qui vous maintient physiologiquement fatigué. Et inversement parfois on motive ses ressources nécessaires pour être en forme, et le corps répond.
Il en est de même dans l’autre sens, celui de la physiologie vers l’état mental.
– Physiologie vers mental : Si vous mettez votre physiologie dans les conditions où elle se trouve quand vous vous sentez fort cela modifiera vos représentations internes, et ce que vous ressentirez à ce moment-là.
Il n’est pas nécessaire de connaître les images qu’un être déprimé forme dans son esprit. Modifiez sa physiologie et vous modifierez son état.
Exemple pour tout état bas : Tenez-vous droit, rejetez les épaules en arrière, respirez profondément et levez le regard droit vers le haut et formez un sourire avec vos lèvres. Dans cette position vous ne pouvez pas être triste, fade, déprimé. Votre esprit reçoit de votre corps un message lui ordonnant d’être en forme est en éveil et il le devient.
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Pour un Objectif donné (spécifique) ou pour aider une personne triste / déprimée à sortir de son état :
1 – questions
Questions sur la physiologie :
dans un état « fort »
comment vous tiendrez-vous?
comment parleriez-vous?
comment respireriez-vous?
quelle serait l’expression de votre visage?
Notez les modalités et sous-modalités : quelles seraient les sensations, les couleurs, les sons ? (à adapter en fonction du VAKOG de la personne)
Notez-les réponses.
Questions sur les Représentations mentales : dans un état « fort »
à quoi penseriez-vous ?
comment vous structurez votre journée ?
vos actions ?
croyez-vous en vous ?
Notez les réponses.
Ces réponses permettent déjà une première dissociation de l »état déprimé. S’il le faut, faites faire une double dissociation du genre » si vous voyez « (prénom) » de l’extérieur quand « (prénom) » est en pleine forme et heureux… » puis posez les questions.
2 -Recadrage
Mettez la personne dans l’état physiologique et mental dans lequel elle serait sur elle avait atteint l’objectif.
Note : pour une personne qui est déprimée, la faire retourner à un état non-déprimé est une chose, mais essayez d’apporter un « plus » dans le nouvel état.
A partir des réponses données précédemment :
associez oralement l’objectif fixé et, de façon dynamique, debout et en avançant en marchant vers l’avant (vers l’objectif) :
– Faites prendre l’état physiologique décrit en état fort
– Associez les représentations mentales décrites en état fort
Vérifiez si la personne se sent mieux
+ on peut associer des ancrages.
Dans les cas de forte dépression, on ne cherchera pas un résultat terminé lors de la première séance, mais on demandera à la personne de pratiquer une marche tous les jours jusqu’à la prochaine séance.
Les Drivers sont au nombre de 5
Ils correspondent à des injonctions que nous tentons en permanence de satisfaire. Nous avons tous les drivers en nous, mais certains sont plus présents, en fonction de l’étape de notre vie.
- Sois parfait : ce sont les personnes qui ne se sentent pas bien tant qu’elles ne peuvent s’estimer parfaites, autant en termes d’actions que de connaissances.
- Fais des efforts : c’est l’injonction qui dit que le moyen de réussir est d’essayer, ce sont des personnes qui ne sont pas dans une logique de résultat, de réussite, qui se contentent de tenter.
- Sois fort : ce sont les personnes qui ne montrent pas leurs sentiments et leurs émotions car elles considèrent que ce sont des signes de faiblesse. Leur satisfaction est importante quand l’objectif a été difficile à atteindre.
- Dépêche-toi : ce sont ceux qui sont en permanence dans le résultat rapide, ils n’ont pas de patience, ils veulent aller vite en toute circonstance et sont dans l’économie de ressources. Ils ne travaillent correctement qu’avec des délais serrés. Ils veulent toujours se rajouter des choses à faire, se dépêcher et ont une mauvaise gestion de leur temps.
- Fais-plaisir : ce sont les personnes qui croient qu’elles peuvent rendre les gens heureux et se sentent responsables des autres. Elles ont besoin d’obtenir l’amour des autres et font passer le plaisir des autres avant le leur. Elles n’ont pas conscience de leurs propres besoins.
Et pour le coach, pourquoi travailler sur les drivers ?
1- identifier ses drivers pour comprendre son comportement
Le travail du coach sera de permettre à son client d’identifier ses drivers dominants. L’identification des drivers permettra au client de prendre du recul par rapport à ses comportements habituels.
2- Utiliser les drivers comme ressources
Le coach s’attachera ensuite à mettre en lumière les bénéfices des drivers dominants de son client et à les utiliser comme ressources si cela permet à son client d’avancer vers l’atteinte de son objectif.
Tous les drivers ont des points positifs : le « sois fort » sait prendre des décisions sans état d’âme, le « fais plaisir » travaille bien en équipe, le « fais des efforts » adore la nouveauté….
3- Mettre en lumière les limites des drivers dominants et s’autoriser des permissions pour provoquer le changement
Le coach pourra également apprendre à son client à s’autoriser des permissions s’il sent que le driver dominant est limitant et empêche le client d’atteindre son objectif.
Le « sois parfait » a le droit de demander de l’aide, le « fais plaisir » à le droit de SE faire plaisir, le « sois fort » a le droit d’exprimer ses sentiments, le « dépêche toi » a le droit de prendre son temps et le « fais des efforts » a le droit de réussir.
la triade de congruence
V. Satir considère la triade de congruence comme suit : l’équilibre entre le soi, l’autre et le contexte,
Soi : C’est moi, avec toute ma carte du monde.
L’autre : C’est toujours UNE SEULE PERSONNE A LA FOIS qui occupe cet espace.
Le troisième espace est le contexte, c’est à dire tout le reste : l’environnement, tous les autres « autres », les éléments extérieurs, tout ce qui n’est pas si soi ni l’autre.
V Satir est très claire au sujet de nos relations : nous ne pouvons être en vraie relation qu’avec un seul « autre » à la fois. Même si cela implique des changements très rapides, comme par exemple dans les interactions au sein d’une famille : la personne qui occupe l’espace « l’autre » peut changer à tout bout de champ, allant rapidement du tiers « other » vers « context », et vise versa en fonction de la personne à laquelle on s’adresse. La seule constante est le soi. Il ne peut y avoir deux personnes à la fois. Elle insiste beaucoup sur cet aspect. En effet, chaque relation possède son propre monde, particulier et commun aux deux personnes. Si on réfléchit un peu, du moment qu’on est en présence de plusieurs personnes à la fois, le monde commun n’est jamais celui des trois.
C’est quand nous sommes connectés à notre être que nous pouvons être en équilibre et en paix avec notre congruence. Nous interagissons de façon harmonieuse avec les différents espaces de la congruence.
Nous sommes nous-mêmes parties des congruences d’autres, ce qui alors nous fait aller dans les différents espaces Other et Context selon les situations et les personnes.
L’équilibre n ‘est donc pas à chercher seulement en fonction du Soi Self, mais dans toutes les situations que nous rencontrons dans l’existence.
Quand nous sommes en dysharmonie avec l’une ou l’autre ou plusieurs parties de la congruence, nous mettons en place des stratégies de survie, qui sont expliquées dans une autre article.
Les Stratégies de survie par Virginia Satir
la triade de congruence
V. Satir considère la triade de congruence comme suit : l’équilibre entre le soi, l’autre et le contexte, c’est à dire tout le reste : les autres « autres », les éléments, tout l’environnement.
V Satir est très claire au sujet de nos relations : nous ne pouvons être en vraie relation qu’avec un seul « autre » à la fois. Même si cela implique des changements très rapides, comme par exemple dans les interactions au sein d’une famille : » l’autre » change à tout bout de champ allant rapidement du tiers »other » vers « context » et vise versa en fonction de la personne à laquelle on s’adresse. La seule constante est le soi.
Ici, les êtres sont représentés par des images d’iceberg, car V Satir considèrait que nous sommes comme des icebergs, seule la partie de notre comportement avec l’extérieur est visible.
Quand on change d’interlocuteur les cartes des iceberg changent entre le tiers « other » et celui du contexte.
Ici, les êtres sont représentés par des images d’iceberg, car V Satir considèrait que nous sommes comme des icebergs, seule la partie de notre comportement avec l’extérieur est visible.
Le Chaos et les 4 stratégies de survie
Quand nous sommes dans le chaos, nous entrons en mode survie. Nous mettons alors en place des stratégies de survie. V Satir en dénombre 4. Nous utilisons tous les stratégies de survie, avec des préférences selon les personnes et les situations pour une ou deux de façon plus fréquentes. Mais elles nous servent et nous sont nécessaires. Nous remettons alors en cause un ou plusieurs éléments de la triade de congruence.
Les 4 modes de survie sont :
La posture du blâme : l’accusateur, l’attaque, le reproche, la réprobation. Dans cette posture, la personne ne donne plus crédit qu’à elle seule et au contexte, mais ne donne plus aucun crédit à l’autre, c’est tous les moments où on rend « l’autre » responsable de ses émotions, de son état. Dans cette posture on est fréquemment soit en colère, soit encore déçu.
La posture lénifiante: oh excusez-moi ! il fait tout pour éviter et a peur de mettre l’autre en colère, c’est une position de soumission.Dans cette posture, on considère l’autre, on considère le contexte, mais on ne donne plus crédit à soi, on se dénie à soi toute valeur, on est déconnecté de soi. Dans ce cas, on est généralement dans la peur, mais on ne le sait pas soi-même et on ne montre pas la peur. Dans cette posture, on rejette généralement le fait de s’ouvrir et de parler de ses peurs.
La posture du super-raisonnable ou encore posture de l’ordinateur : dans cette posture, on agit de façon très académique et « parfaite » lisse. Dans cette posture le contexte occupe toute l’attention on est déconnecté de soi et de l’autre. C’est la posture du pseudo sage qui est détaché de toute émotion et relativise tout à l’extrême. Cette posture est parfois visible chez des enfants qui se prennent pour des grands. Chez les adultes, les personnes dans cette posture sont souvent isolées et ne peuvent intégrer un groupe de par leur posture.
la posture de l’évaporé : dans cette posture, rien n’est grave, on divertit, la personne est déconnectée à la fois d’elle-même, de l’autre, et du contexte. Parfois on commence par blaguer d’une situation dans laquelle on n’est pas à l’aise, pour créer une diversion. D’autres tombent soudainement de fatigue, ou fuient ou trouvent un prétexte pour cela, et d’autres encore peuvent utiliser des distractions comme l’alcool ou les drogues, les jeux, la télévision…
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Comme déjà énoncé, nous avons besoin de ces stratégies, elles nous protègent et nous servent. C’est quand nous les utilisons de façon trop fréquente qu’elles desservent notre congruence. Pour réduire cela, nous pouvons (non pas chasser les stratégies mais) cultiver notre congruence. Pour devenir un niveleur, flexible, équilibré.
Et pour cultiver notre congruence, nous pouvons nous connecter du mieux possible à notre iceberg. Plus nous sommes connectés à notre iceberg, meilleure est notre communication.
L’iceberg de V Satir : nous sommes comme des iceberg, chacun d’entre nous. La petite partie visible est notre comportement, et tout le reste est invisible pour les autres, les émotions, les pensées, les attentes, les valeurs, et le SOI
(entretemps, Robert Dilts a proposé les niveaux logiques, qu’on peut adapter aussi, avec les comportements et l’envrionnement comme parties immergée de l’iceberg.
Les 7 Croyances du Succès de Tony Robbins
Connaitre vos objectifs, savoir en changer quand ça ne marche pas.
On peut savoir si une croyance produit des résultats attendus, sinon on peut en changer. C’est aussi avoir l »honnêteté de reconnaitre quand une croyance ne fonctionne pas.
1 -Tout évènement a un sens, même si on ne le comprend pas : laisser être la Vie. tout revers comporte l’amorce d’un nouvel avantage, puisqu’il nous indique ce qui ne fonctionne pas, puisqu’il va nous pousser du nouveau.
2 – l’échec n’existe pas, seules existent des expériences. Chaque expérience permet de rectifier le cap, comme un barreur ne lâche pas la barre mais rectifie toujours le cap, en regardant en avant. Ce n’est pas le sillage du bateau qui lui donne la direction, mais c’est le regard vers l’avant.
3 – être Responsable = Ré(s)ponse à ce dont je suis (cap)able, ce que je communique est contenu dans la réaction que j’obtiens. C’est même un contraire à la culpabilité.
4 – Pas besoin de tout comprendre pour l’utiliser. Attarde-toi sur ce qui te parle et puis fonce !
5 – Aimes les autres et respecte chaque personne comme un être cher et profondément humain.
6 – Le travail est un jeu !
7 – Engages-toi à fond ! Ceux qui réussissent ne sont pas les plus intelligents, ni les meilleurs, mais les plus engagés !
+ : tes propres croyances
+ : Imite ceux qui ont déjà réussi dans ton domaine, dans ce que tu sens vibrer en toi !
+ : sois aligné : fais ce que tu sais faire avec les tripes selon tes valeurs en descende directe avec ton identité.
+ : cultive les accords toltèques chaque jour !
+ : chaque jour consacre du temps au travail (un jeu) au plaisir, à la méditation, à ton corps.
– Livre Grinder et Bandler « les secrets de la communication » page 191 et suivantes;
co = coach
cl= client
fl = facteur psychologique limitatif. C’est généralement une phobie, physique ou immatérielle, une peur irraisonnée.
Origine : quantité excessive de stimuli = assailli = stress => ceci a mené une décision insconsciente => cl réagit ensuite toujours de la même manière au même stimuli. C’est une réaction marquée.
1 – co n’a pas du tout besoin de savoir quel est le sujet du fl. ça peut être pratique si le fl est d’ordre intime, ou si cl est très réservé. cl n’a pas besoin d’exprimer le facteur limitatif.
stp note que je n’ai pas besoin de connaitre le contenu de ton FL. C’est souvent déprimant, ça remue le passé. Mais si tu le souhaites, tu peux l’exprimer, simplement nous n’avons pas besoin du contenu, nous traitons le processus qui génère le FL.
Faire perdre l’équilibre de cl : grimaces / postures / bruits / gestes étranges … de préférence en pénétrant la réalité de cl.
2 – » veux-tu te défaire de ce FL » ? – vérifier si oui
3 – Donne un nom à ton FL : une fleur, un animal, un prénom, une chose quelconque.
4 – Pense à un moment où tu as exprimé tes pleines capacités, toutes les ressources d’une personne accomplie, où tu t’es sentie très satisfaite de ce que tu faisais.
Prends ton temps pour retourner à cette expérience.
Observer les changements par vakog.
5 – je voudrais que tu rentres vraiment à l’intérieur de cette représentation afin que tu revives pleinement, ce moment, totalement épanouie, jusqu’à ce que tu sentes ce moment remémoré dans ton corps, dans le ressenti.
ANCRAGE + : Lorsque ce sera le cas, fais un geste – ou – tends le bras et donne-moi la main – ou – donne le nom d’une chose quelconque à ce qui représente ce moment de personne épanouie
6 – te rappeles-tu du premier moment où est apparu ton FL ?
Réponse : « non »
donc, tu peux remarquer que tu as une réaction intense à un évènement dont tu ne te souviens même pas, c’est peut-être que ce n’est pas l’évènement originel qui te dérange, mais plutôt ta réaction à un stimuli ?
Chercher à faire comprendre que le problème n’est pas dans l’origine mais dans la réaction au stimuli.
Et c’est exactement ce qu’il te fallait, car cette réaction peut te sauver face à un danger. je ne veux pas t’ôter la capacité de réagir face à ce stimuli qui a généré cette réaction systématique comme celle d’une phobie,
Je veux que tu ne sois pas obligée de réagir de la sorte, je veux te laisser le choix d’opter pour une autre réaction.
je veux que tu puisses librement réagir face à ce même stimuli comme la personne accomplie en pleine possession de ses capacités, heureuse et épanouie.
(laisser le choix, options)
7 – Je vais t’inviter à voyager dans le temps. Dès que tu auras besoin de retrouver les ressources de la personne pleinement épanouie que tu as ressenti tout à l’heure, tu feras le geste / mot de rappel (ANCRAGE+)
8 – Peux-tu identifier les sensations et émotions qui sont associées à ton FL ?
cl : « oui »
ANCRAGE- : Maintenant fais un petit geste qui est associé à « … » (nom donné au FL)
9 – Ton (ANCRAGE+) représente le lien avec ta force personnelle de personne épanouie et sereine. Nous allons retourner dans un moment où ton facteur limitant est apparu, mais cette fois tu n’éprouveras plus les sensations désagréables associées. Tu te sentiras bien, très bien.
10 – Ferme les yeux. à chaque fois que tu en auras besoin, tu feras ton geste de rappel.
11 – Maintenant, je veux que tu te postes à l’extérieur en tant qu’observatrice. En faisant le geste de l’ancrage de la FL, et en nommant FL, nous allons maintenant rappeler UN PEU des sensations liées à FL. Juste la fraction de sensations nécessaires à observer saune petite partie de ton FL.
12 – Tu vois une scène tirée de ton enfance. tu es à l’extérieur, tu observes. Prends une photo mentale de cette scène.
13 – Rapelle toi que tu contrôles la quantité de retour dans le passé, que tu peux maintenant choisir.
(Adapté du Livre « Pouvoir Illimité » de Anthony Robbins- pages 140 et +)
Etape n° 1:
Identifier la conduite que vous voulez transformer. Représentez-vous mentalement cette
conduite. Pour les peurs ou les insatisfactions : Pensez à une chose que vous redoutez.
exemple, vous désirez cesser de vous ronger les ongles, imaginez-vous en train de porter vos doigts à votre bouche et de commencer à vous ronger les ongles. formez une image claire.
Etape nº 2: (l’image devra être dissociée)
formez l’image du comportement que vous désirez et du changement que cela représentera pour vous. Pour les peurs ou les insatisfactions : Imaginez la situation telle que vous la désirez. Rendez-en l’image très agréable. L’image doit être extrêmement attirante, plaisante et désirable. qu’elle vous mette dans un état de motivation et de désir. Ajouter des sous-modalités.
Exemple : vous éloignez vos doigts de votre bouche, tout en opérant une légère pression sur le doigt que vous vous apprêtiez à ronger, vous imaginez que vos ongles sont parfaitement manucurés et que vous êtes bien habillé, extrêmement soigné, rempli de confiance et maître de vous.
Etape nº 3 : relier les deux images par un « coup de fouet » :
– formez une grande image lumineuse du comportement que vous désirez modifier.
– Puis dans l’angle inférieur droit de l’image, voyez une petite image sombre du comportement futur.
– Concentrez-vous alors sur la petite image et, en moins d’une seconde, agrandissez-la et augmentez-en
la luminosité jusqu’à ce qu’elle envahisse tout le champ de vision, en prononçant « ouf ».
– Ouvrez les yeux une fraction de seconde puis refermez-les répétez le processus 7 fois en tout, aussi rapidement que possible.
» Il faut écouter son intuition »
Qui ne s’est jamais senti « trahi » par ce qu’on appelle l’intuition ? Ou alors, qui n’a pas cherché des excuses pour dire qu’on n’a pas su interpréter son intuition.
Est-ce que l’intuition, c’est une évidence venue d’ailleurs, une vérité profonde inexplicable qui est à suivre, ou bien c’est un réflexe issu de mon subconscient ?
Pour faire la différence, j’aime utiliser le principe diffusé notamment par Sonia Choquette : l’intuition est créatrice ! Donc, par déduction, si mon intuition est basée sur une peur, et me dit de seulement éviter, refuser, m’éloigner sur un sentiment de fuite, alors c’est un réflexe, pas de l’intuition. Attention, un réflexe du subconscient n’est pas « mal » pour autant, il est là pour nous protéger.
Par exemple, un jour alors que je prenais tous les jours la même autoroute, je me suis mis à sortir pour prendre la route de campagne ente deux sorties d’autoroute. Il s’est avéré que je serai tombé dans un mégaembouteillage ! ce qui m’a fait prendre la sortie n’était pas une peur, juste une sorte de chemin naturel et fluide. L’intuition ne m’a pas protégé, mais guidé vers le meilleur chemin, et c’est dans le domaine de « autre chose », dans le domaine de la créativité !
D’autres fois, je remarque que j’évite certaines routes, ou situations, et que ces évitements sont basés en fait sur des vécus anciens qui sont similaires et négatifs, c’est-à-dire reliés à des expériences désagréables. Là, c’est mon subconscient qui me protège. C’est appréciable, certes, mais si je me laisse toujours guider par lui, je ne vais jamais oser faire quoi que ce soit de différent, de nouveau !
De plus, le subconscient ne peut me protéger qu’à partir de ce qu’il sait. Le jour de l’embouteillage, étant donné que cet évènement n’était jamais arrivé, ce n’est pas le subconscient qui pouvait me protéger, il n’avait pas cette information.
Mais le subconscient étant une banque de donnée qui ne connait pas ni la nuance entre vrai et faux ni la négation, il « croit » tout un tas de choses qui ne sont pas réelles, et va me lancer des messages de fuite devant des situations qui ne représentent aucun danger réel. Et si on accorde trop d’importance à ces messages, on peut passer à côté de belles opportunités de vivre de nouvelles choses qui nourrissent notre vie, et même constituer des handicaps et des dangers.
J’ai ainsi connu une personne qui pense sincèrement être guidée par son intuition, et qui n’accorde pas d’importance à la différence à faire entre les messages réflexes du subconscient et l’intuition. Cette personne accorde une grande confiance à ce qu’elle pense être ses guides. Ok jusque là.
Mais c’était une confiance aveugle. Je voyais cette personne se mettre régulièrement dans des situations qui la mettait dans l’impossibilité de faire certaines choses, d’arriver à l’heure parce que le chemin classique lui inspirait que son intuition lui disait de ne pas prendre, ou encore de ne pas acheter ou au contraire d’acheter telle chose inutile ou inadéquate. A la fin, la vie de cette personne devenait confuse, et dans ses relations il était très difficile de la suivre. En recherchant sans cesse le message de son « intuition », elle réinterprétait absolument tout évènement et toute présence d’autres dans sa vie; Dans le quotidien cela donne des situations extrêmes : un jour, elle s’est arrêtée sur une route en forêt, en plein virage caché, juste parce qu’elle attendait les messages de son « intuition ». Cette situation était génératrice de danger pour elle et pour les autres. Je lui ai gentiment fait part du danger de la situation, et donc je devenais un perturbateur des messages de ses guides …
Le discernement n’est pas évident à avoir. Il existe des méthodes pour y aider, et les premières méthodes sont de s’éloigner de la croyance en ses idées et de prendre une grande respiration en laissant aller, en lâchant le mental, et en se disant que tout va bien se passer : en pensant cette phrase » tout va bien se passer » on génère cela !
Pour développer son discernement, il est utile d’avoir à ses côtés un coach qui accompagne sur le chemin du discernement, sans jugement et en toute bienveillance.