L’épigénétique
Tous les gènes du corps sont identiques, c’est leur expression qui s’active ou pas.
L’expression d’un gène est modifiée par
La possibilité héritée
Les émotions, que ce soit trauma soudain ou long
L’alimentation (microbiome)
L’environnement
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La psychothérapie humaniste montre que les méthodes psycho-corporelles peuvent agir sur
– des troubles émotionnels
– les comportements alimentaires
– les comportements sociaux
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il y a donc une intelligence psycho-corporelle, activée ou non.
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L’épigénétique explique et rationalise, les techniques psycho-corporelles activent et désactivent.
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Je pense qu’une thérapie qui agit seulement sur la psychée n’est pas suffisante. je pense qu’une thérapie qui agit seulement sur le corps n’est pas suffisante.
On montre par exemple que les traitements chimiques contre l’obésité ne sont pas efficaces pour ôter le principe métabolique qui mène à l’obésité, car les cellules gardent en mémoire leur fonctionnement premier. La médication n’est donc pas une solution, ce n’est qu’un sparadrap, avec la contrepartie des effets indésirables.
Si l’obésité est une anomalie du métabolisme (de l’eau). la possibilité est intrinsèque et normale. Elle est activée dans certaines situations au mauvais endroit. Sous l’effet de l’alimentation, du stress, d’un trauma.
Mais il semble que n’importe quel résultat ne soit pas activé sous l’effet de n’importe que facteur. Par exemple, un stress peut induire une digestion altérée menant à l’obésité, mais si l’alimentation est correcte, il n’y aura peut-être pas d’obésité ? L’obésité n’étant qu’un des résultats possibles, c’est la digestion altérée que je peux pointer.
Donc, la digestion est mauvaise suite à un stress traumatique. Le résultat n’est qu’une expression, par exemple si l’alimentation est « mauvaise ». Mais l’obésité peut aussi survenir avec une alimentation normale dans laquelle le moindre écart est accumulé par le corps, mais pas éliminé. D’un point de vue symbolique, on peut considérer que la personne garde tout le mauvais. Le gros intestin ne fait pas son travail d’élimination.
Si j’agis sur le traumatisme, est-ce qu’automatiquement l’obésité va disparaitre ? Il faut agir sur le fonctionnement du gros intestin, puisque c’est lui qui dysfonctionne.
Il y a une relation : trauma – gros intestin – obésité.
Ce qui est visible, c’est l’obésité, cependant ce n’est que le résultat.
Si j’agis sur le gros intestin, ok, il va mieux fonctionner. Pour autant, cela va-t-il résoudre le trauma ? Non. Et l’expression du trauma va peut-être (probablement) s’exprimer d’une autre manière. Soit dans un conflit entre le trauma et le métabolisme, soit dans l’expression du trauma d’une autre « manière corporelle ». Je pense que donner des rémède de naturopathie n’est pas suffisant.
Si j’agis sur le gros intestin, cela peut-il réduire le trauma ? Oui, car le corps a ses aspects mentaux. Agir sur le corps agit sur ses aspects mentaux. Ceci dit, cela ne va pas résoudre le trauma initial.
Une personne qui garde un équilibre de vie sain peut-elle accumuler des stress sans tomber malade ? Autrement dit, peut-on vivre sans conséquences négatives de traumatismes du moment qu’on vit sainement ? Je ne pense pas, car on rencontre parfois des personnes qui ont une vie très saine qui développent des maladies graves. Ce n’est donc pas une garantie.
Pour ces personnes, justement, l’aqui initial, le Qi hérité, est déterminant.
L’environnement : social, humain, pollution. C’est une intrusion. Si la personne ne s’y soustrait pas, ou ne peut pas, l’expression des gènes risque de réapparaitre. Dans ce cas, les techniques psycho-corporelles sont à effet limité dans le temps. La médecine chinoise est conseillée pour redonner peps et équilibre régulièrement. L’autre option sera la médication chimique, qui pose un sparadrap sur le malaise.