si l’esprit est agité à cause de l’attachement à des préoccupations reliées au travail, aux amis, etc…, on peut utiliser la technique du compte de la respiration, en comptant « 1 » pour l’inspiration, « 2 » pour l’expiration, ainsi de suite jusqu’au compte de « 7 », en essayant de conserver l’esprit concentré intérieurement. Si cela ne fonctionne pas, on recommence en comptant jusqu’à « 9 ». De la même façon, on peut recommencer le processus pour se rendre à « 11 », « 15 » ou « 21 ». On dit qu’il s’agit de la meilleure façon de mettre un terme à la distraction et de garder l’esprit concentré.
Mois : août 2023 (Page 3 of 4)
Si l’esprit éprouve des difficultés parce qu’il est distrait par des pensées conceptuelles dérangeantes, il est possible de visualiser que tous ces éléments perturbants s’échappent du corps sur-le-champ sous forme de lumière ou de fumée noire, lors d’une expiration naturelle. Lors de l’inspiration, on imagine qu’une lumière blanche pénètre en nous et purifie notre esprit.
La technique des « neuf cycles respiratoires », permet de purifier les blocages du corps subtil composé de canaux et de vents.
Tout d’abord, les cinq centres d’énergie (chakras) où circulent les vents sont : 1) le chakra de la grande félicité situé au sommet de la tête, 2) le chakra de la jouissance situé au niveau de la gorge, 3) le chakra du Dharma situé au niveau du cœur, 4) le chakra de l’émanation situé sous le nombril et 5) le chakra qui entretient la félicité situé au niveau de la région secrète (c’est-à-dire le sexe).
Associés à ces cinq chakras circulent cinq vents : 1) le vent imprégnant de couleur bleue pâle, 2) le vent ascendant de couleur rouge, 3) le vent vitalisant de couleur blanche, 4) le vent de glissement régulier de couleur verte et 5) le vent d’élimination de couleur jaune. Cette technique permet de purifier les cinq émotions perturbatrices que sont : 1) l’aversion, 2) le désir-attachement, 3) l’ignorance, 4) la jalousie et 5) l’orgueil.[1]
Avec cette technique permettant de purifier les blocages du corps subtil (canaux et vents), le calme mental ainsi que d’autres qualités ne seront pas difficiles à obtenir et pourront être actualisées en cette vie même.
Pratique
On fait d’abord trois respirations en expirant de la narine droite et en inspirant de la narine gauche. Ensuite, on inverse l’ordre pour trois respirations, en expirant de la narine gauche et en inspirant de la droite. Pour terminer, on fait trois respirations en utilisant les deux narines simultanément.
Habituellement, on ne fait pas mention des canaux et des vents dans l’enseignement des soutras[2]. Toutefois, il est très utile d’en parler ici afin de savoir comment purifier les vents subtils.
https://www.centre-paramita.fr/blogs/meditation/preparations-3
Les préparations
Après avoir nettoyé la salle de méditation et avoir disposé des objets servant de supports de visualisation, prenons la posture en sept points:
1) Asseyons-nous sur un coussin, le dos surélevé par rapport au devant du corps, dans la position du lotus. Il est aussi convenable de simplement croiser les jambes. En cas d’incapacités physiques, on peut simplement s’asseoir sur une chaise.
2) Les deux mains reposent dans le moudra de l’équanimité méditative, les paumes vers le haut, la main droite repose sur la main gauche. Les extrémités des pouces se rejoignent vers le haut, ce qui représente l’union de la félicité et de la vacuité. La forme, ainsi produite, symbolise que cette union est la source d’émergence de tous les phénomènes. Les deux mains doivent être placées environ quatre centimètres plus bas que le nombril. Ce point est très important car c’est à cet endroit qu’est généré le feu interne (toumo en tibétain).
3) Le dos doit être aussi droit qu’une flèche. En effet, si le corps est droit, les canaux d’énergie subtile et les vents qui y circulent le seront aussi. Ainsi, l’esprit deviendra malléable.
4) Les dents et les lèvres sont dans une position naturelle et le bout de la langue touche au palais. Cela préviendra l’assèchement de la bouche et empêchera que la salive ne s’écoule hors de celle-ci lors d’absorptions méditatives profondes.
5) La tête est légèrement penchée vers l’avant.
6) Les yeux regardent vers le bas suivant les ailes du nez. Cette technique aide à prévenir l’agitation et le relâchement mentaux. Il est parfois expliqué de méditer les yeux complètement fermés ou encore en regardant devant soi. Cela n’est toutefois pas conforme à la tradition suivie ici. En effet, en méditant les yeux fermés, on risque de devenir facilement en proie à la léthargie, au relâchement mental, à la torpeur, au sommeil, à la fatigue physique ou mentale, etc… À l’autre extrême, les yeux complètement ouverts peuvent conduire à l’agitation, la dispersion et la distraction. C’est pourquoi les saints maîtres du passé expliquent qu’il faut méditer les yeux juste entrouverts pour se prémunir contre ces difficultés.
Certaines personnes trouvent toutefois plus facile de méditer les yeux fermés ou les yeux ouverts et ne sont pas aux prises avec les difficultés mentionnées ci-haut. Le but de la méditation étant d’atteindre la concentration, si une technique nous convient mieux qu’une autre, il est permis de l’adopter. Le fait d’avoir les yeux fermés ou ouverts n’est qu’une condition extérieure. En effet, le calme mental et la concentration s’atteignent par la conscience mentale et non par la conscience visuelle.
7) Les épaules sont droites, ni trop tendues ni trop relâchées, juste un peu surélevées, à la manière d’un oiseau qui s’apprêterait à s’envoler.
Le Coeur est l’organe Empereur en Médecine Traditionnelle Chinoise. Il est le siège du Shen, et des 5 Shens. Le Shen est l’esprit, au sens spirituel, et les Shen sont les propriétés spirituelles, psychiques et émotionnelles des 5 organes. Le Shen se reflète dans le yeux : « il a un beau Shen » dit-on d’une personne qui rayonne du regard.
C’est ça, dont je parle, quand je parle de la Vie en moi que je crois éternelle. Quand je serai sans vie, ce Shen disparaitra totalement. On voit parfois des gens qui ont un Shen faible, si faible qu’on ne le perçoit pas.
Le Coeur est autre chose que cet organe vital pour la médecine allopathique qui oublie l’aspect sensible de l’être humain.
Ce corps dans lequel je vis les joies et les peines, les douleurs et les jouissances, cessera de fonctionner. La Vie partira, ailleurs, rejoindra le grand tout dont l’incarnation actuelle fait partie, sans la carne.
Ce qui m’anime, c’est la Vie, c’est cette indescriptible énergie qui fait mon coeur, mon coeur-figuré et je décris là autre chose que mon coeur-organe. Le coeur est l’organe Empereur en Médecine Traditionnelle Chinoise. Il est le siège du Shen, l’esprit, au sens spirituel, qui se reflète dans les yeux, cette lumière dans les yeux, c’est le Shen. C’est ça, dont je parle, quand je parle de la Vie en moi que je crois éternelle. Quand je serai sans vie, ce Shen disparaitra totalement.
La Vie est éternelle, c’est mon choix. La Vie éternelle dont je parle est la Vie dans tous les sens : depuis le BigBang et peut-être même bien avant, dans le sens où cette expansion de l’Univers peut avoir suivi une contraction du précédent, et comme j’aime à le penser les contractions et les expansions de l’Univers forment une respiration de la Vie, de manière éternelle, c’est-à-dire sans début et sans fin.
La Vie, c’est aussi cette transformation permanente que nous pouvons observer autour de nous : rien n’est figé, tout évolue en permanence. Même la pierre du socle de la Terre, le Granite, évolue et se délite en arènes granitiques. Tout, absolument tout évolue, en permanence, le rythme est plus ou moins rapide, ou lent.
La Vie est éternelle par nature, nul besoin de qualifie la Vie d’éternelle.
Pour moi, la Vie est une énergie, universelle, omniprésente, unifiée elle est partout, elle remplit même le vide, les 96% de l’Univers qui sont dits vides. Seulement vides de matière, pas d’énergie de Vie.
La Vie est une énergie, et l’énergie n’est pas matérielle. D’ailleurs, la physique décrit l’énergie comme immatérielle aussi. En physique, l’énergie a besoin de précurseurs, de substrat. Elle est un résultat, alors que dans ma croyance, l’énergie EST, elle est la VIE.
Les mots : Parler de notre planète comme la nature ou l’environnement change le sens, dénote les valeurs et valide les comportements.
Si on considère tout ce dans quoi nous vivons et dont nous faisons partie comme la nature, nous lui donnons un mot qui donne un sens, une existence, une légitimité, une réalité. Il est difficile de considérer la nature comme une « chose » extérieure que nous pouvons exploiter sans nous soucier des répercussions.
Tandis que le mot environnement implique que nous n’en faisons pas partie, nous en sommes séparés, nous ne réalisons pas que nous en dépendons, que nous en faisons partie. L’environnement nous environne, c’est autour de nous, nous en sommes le centre, ce qui renvoie à la vanité humaine qui se croit supérieure à tout et en tout. Se croire supérieur et plus fort que tout induit la négligence, celle de prendre soin de notre équilibre de vie en tant qu’êtres humains, de nos fragilités, et renforce l’illusion que nous serions soit-disant indépendants de la nature, de la planète.
Or, nous ne pouvons pas manger du plastique ni respirer un air différent : changez le taux d’oxygène de 2% et nous mourrons. Nous sommes dépendants de l’eau, de l’air, des plantes, du vent et de la pluie, etc… nous faisons pleinement partie de la nature. Alors que dire « nous faisons partie de l’environnement » est un non-sens, on ne peut pas être à la fois dedans et séparé.
Les mots sont lourds de sens, ils découlent de nos valeurs. Et ils dirigent nos comportements. Choisir le mot environnement n’est pas mon choix. Je préfère le mot nature.
Les conventions deviennent des vérités.
Si, pour décrire notre monde, nous parlons tous d’environnement, nous suivons tous une conception d’une nature séparée, d’un humain supérieur, d’un monde qui est à notre disposition et que nous pouvons exploiter.
Si nous utilisons le mot nature, nous adoptons le concept d’une entité vivante, inclusive, nous sommes plus enclins à en prendre soin.
Chacun a le droit d’utiliser les mots qu’il veut. Si je croise une personne qui utilise le mot « environnement », j’en sais plus sur ses valeurs et son comportement vis-à-vis de la nature. Pour autant, je ne suis pas obligé de partager sa vérité, et je peux utiliser le mot nature, car j’agis d’une manière différente vis-à-vis du vivant, car ce mot correspond à mes valeurs, et mon comportement en découle. Et puisque je veux continuer à cultiver ces valeurs, j’évite d’utiliser les mots qui sont contraires à mes valeurs. Les mots se réfèrent à des valeurs, et quand on partage un mot, on partage des valeurs, et on valide des comportements. Alors tout le monde a le choix de ses mots, et de ses valeurs, simplement nous ne sommes pas obligés de suivre les vérités d’autres.
Ces différences génèrent parfois des conflits, des incompréhensions, et des mises à l’écart. On peut assez vite se retrouver mis à l’écart quand on ne partage pas le vocabulaire, les valeurs, les comportements. D’un autre côté, c’est en disant, en expliquant, en allant vers l’autre que les vérités peuvent changer, évoluer. Beaucoup de certitudes absolues d’hier sont devenues des absurdités. N’ayons jamais peur de ne pas penser comme les autres.
Les structures profondes correspondent à notre identité et à nos valeurs. Elles s’expriment au travers de nos capacités et finalement dans nos comportements.
Nous créons pour cela des « modèles », une collection de modèles qui composent nos cartes du monde.
Plus la structure profonde est riche, plus nous avons de possibilités d’élargir le monde, de souplesse, de lâcher-prise et de prise de recul.
L’un des buts de la PNL est d’identifier les généralisations, omissions et distorsions problématiques.
La modélisation permet justement de changer de modèles, ou de les enrichir, pour créer les chemins les plus pertinents entre nos structures profondes et de surface. C’est comme ça qu’on peut être plus aligné.
Un jeune qui veut être footballeur parce qu’il se passionne pour ce sport peut ne pas être en phase avec les valeurs véhiculées par ce sport dans sa « réalité ». Ou à l’inverse, une personne qu’on pousse vers le métier de boulanger parce que c’est un métier porteur et que pole emploi lui offre la formation peut ne pas du tout avoir les capacités de ce métier.
Nous avons tous les capacités de nos valeurs et croyances, et pouvons les exprimer dans un contexte qui est favorable : Vouloir forcer le talent ou se forcer à avoir un comportement qui ne correspond pas à nos valeurs mène au mal-être et selon moi aux maladies, car le corps n’est pas séparé de la tête et du coeur, nous formons un tout.
Nos modèles peuvent nous induire en erreur et mener vers un chemin qui n’est pas le sien. Changer les modèles peut permettre d’aligner les valeurs avec les capacités et les comportements pour évoluer de façon harmonieuse dans un contexte qui plait.
« comment je sais que je sais cela ? »
« comment je sais que j’ai cette compétence ? »
« comment je sais que tu sais ? (quelque chose) ? »
» comment je sais que tu as telle compétence ? »
» par quels moyens on développe une connaissance ou une compétence ? »
Livre Modéliser avec la PNL R Dilts – 7 – les Transformations : Généralisations Omissions Distorsions
Les structures profondes que sont les concepts, les expériences sensorielles, émotionnelles, les apprentissages, sont reflétées au travers des structures de surface que sont les mots, les signes, les symboles.
Entre les deux doivent obligatoirement opérer des transformations.
Par exemple « ma mère » renvoie à tout un tas de souvenirs, émotions, une part d’identité, des sons, des images mentales, un sens … que je ne vais pas exprimer à chaque fois en détails quand je pense à ma mère, ou que je parle de ma mère. Je « vis » cette expérience « ma mère » quand je pense à elle.
Entre le monde vaste de tout ce qui structure (profonde) « ma mère » pour moi, et l’utilisation des mots, signes et symboles qui sont des structures de surface, j’opère des transformations.
– Généralisation : des fragments de l’expérience « ma mère » se détachent de l’expérience d’origine, singulière et personnelle, pour pouvoir généraliser le « concept » de mère : ma mère, ta mère, sa mère, leur mère, notre mère … renvoient à chaque fois à une « réalité » différente, singulière. Pourtant, grâce à la généralisation, nous pouvons tous utiliser le mot « mère » de façon commune, bien que les vécus soient très différents. On observe qu’on peut même parler de la mère dans des langues différentes. Le langage est structure de surface. Le mot mère ne peut pas être structure profonde, car chaque langue possède son mot propre qui y correspond : mère, mother, mutter, mama, etc…
De plus, je « vis » cette expérience « ma mère » à chaque fois que je pense à elle, et je vis cette expérience à chaque fois d’une manière un peu différente, en fonction de mon humeur, en fonction du contexte dans lequel je pense à ma mère : si je parle d’elle de manière très intime, ou si par exemple je te dis « c’est une recette que m’a transmis ma mère », auquel cas ma mère n’est pas le sujet principal (mais c’est la recette). Mais j’utilise à chaque fois le mot « ma mère ». La généralisation nous permet de communiquer, de signifier, de symboliser notre monde personnel et commun.
– Omission ou Sélection : Nous sélectionnons certaines parties de nos expériences, et en excluons d’autres. Par exemple, dans un environnement bruyant nous pouvons sélectionner la voix de notre partenaire de conversation. Nous sommes obligés de passer par ce processus de sélection pour réduire là aussi le monde de telle manière à pouvoir gérer le vécu. Nous en avons besoin. Ainsi nous procédons à des réductions qui sont différentes en fonction des personnes, des cultures, des contextes. L’omission est aussi celle qui nous exclue, ou qui retranche une partie de notre affect, et nous pouvons en être blessé quand quelqu’un retranche une partie qui nous est chère dans le sujet qui est discuté.
– La distorsion ou déformation : Ce mot évoque plutôt la transformation qu’effectue notre imaginaire. Nous devons être capables de dénaturer et déformer (distordre), ou encore de travestir la réalité pour la « manipuler », par exemple imaginer une nouvelle manière de faire. Les inventions scientifiques et les artistes sont des expressions de la capacité à la distorsion. Nous en avons besoin.
Nous devons être capables de généraliser, sélectionner et dénaturer nos vécus pour pouvoir nous débrouiller dans le monde qui nous entoure. C’est même indispensable pour la survie de notre espèce !
Question : certaines personnes sont-elles plus proches de leurs structures profondes et ne savent-elles pas bien procéder aux transformations vers des structures de surfaces. Peut-on parler en ces termes pour les personnes qui sont autistes ou apparentés tels ? Dans ce cas, on s’intéresse non pas au langage, mais plutôt, en amont, au processus de transformation dont le langage est l’expression.
Les structures profondes sont personnelles, singulières, évolutives au fil de l’existence, et inconscientes. Nous ne jetons que très rarement, ou jamais, un oeil sur nos structures profondes.
exercice : se pencher sur une valeur, par exemple la liberté, décrire tout ce que ce mot représente pour soi, dans tout ce que ce mot a de très personnel, aller de plus en plus vers l’expérience singulière de ce mot. On peut aussi, par exemple, parler de « ma mère » et aller au fond de ce vécu très personnel. Il en ressort que nous avons des expériences très différentes les uns des autres de ces concepts pourtant généraux de « liberté » ou « ma mère ».
Les structures de surface ne sont pas seulement celles de la communication avec l’extérieur de soi. J’ai besoin des symboles, signes, simplifications (généralisation, omission, distorsion) pour me débrouiller avec le monde, même avec moi-même. Par exemple, si je veux écrire un article sur ce livre, j’utilise tout un tas de simplifications pour me concentrer sur la compréhension puis sur la traduction avec mes mots de la partie du livre dont je veux parler dans cet article. Je ne m’attache pas à mon environnement, ni à mon ordi, ni à la taille des caractères, je me concentre sur ce dont j’ai besoin pour écrire. J’ai besoin de cela pour écrire.
J’ai besoin de me mettre en état de conscience modifiée pour écrire, d’ignorer les distractions que peuvent être les sons autour, le vent qui agite les arbres, etc…
Je peux en arriver à oublier d’avoir une position correcte et de me retrouver avec un mal de dos à force de rester ainsi focalisé.
De cette même manière, le processus de transformation peut être source de conflit interne ou externe, si je vais trop loin dans la généralisation, la sélection ou encore le travestissement de ce qui se passe.
Livre Modéliser avec la PNL R Dilts – 6 – Structures Profondes, Structures de surface, et transformations
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Selon la théorie de grammaire générative de Noam Chomsky,
– les pensées, concepts et idées produites à partir des images mentales, représentations sensorielles correspondent aux structures profondes,
– elles s’expriment au travers de structures de surface comme les mots, les symboles, les signes,
Par exemple, le mot mère renvoie à un grand nombre d’images mentales, des émotions, des souvenirs, de concepts, de sens différents (ma mère, ta mère, la mère nature …).
Nous utilisons les mots, les signes et les symboles pour représenter notre monde intérieur. La structure profonde se reflète dans la structure de surface verbale.
Entre les deux s’opèrent des transformations, et des simplifications. Voir le bille suivant.