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Chacun a le choix de sa propre réalité, et aucune n’est fausse

Qu’est-ce que la REALITE ? ça dépend, chacun a le choix, et aucune n’est fausse.

je me permets de reprendre un bout d’un post de Forum publié par le pseudo « Fredocaster » :

Imaginez deux états, triste et joyeux, et à gauche d’une égalité, une combinaison linéaire des deux états désignée par la lettre Psi. L’équation est:

Psi = Alpha |triste> + Bêta |joyeux> où Alpha et Bêta sont des Nombres complexes.

Lors de l’interaction avec l’environnement, il y a intrication à ce dernier par prise de trace partielle, de sorte à révéler un état particulier, triste ou joyeux.

Qu’est-ce donc que la réalité ? La combinaison linéaire des deux états avant mesure par l’environnement ? Où la réalité est-elle le résultat que révèle la mesure ? À vous de choisir !

Mécanique quantique et représentation classique post mesure ne sont que des modèles d’appréhension du monde et de ses constituants.

Où est la réalité dans tout ça? Elle est là où on choisit de la situer 🙂

 

Comment reconnaitre la bonne et la mauvaise énergie ?

Comment reconnaitre la bonne et la mauvaise énergie ?

Tout ce que nous pensons, disons, faisons, porte une énergie. Cette énergie va soit dans le sens de l’épanouissement de la Vie, soit elle va à l’encontre de l’épanouissement de la Vie.

Pour ça,on utilise l’Observation.

Si je pense du mal de mon voisin, même si j’ai « raison », est-ce que ça va dans le sens de la Vie ? Je cultive alors la haine en moi, elle est en moi, elle ne peut que me faire du mal.

Si je mange trop et mal, même si j’ai « besoin », est-ce que ça va dans le sens de la Vie ? Ca ne peut que nuire à ma digestion, d’où une mauvaise extraction de nutriments, d’où une mauvaise alimentation de mon corps et de mon cerveau.

Si je parle mal de quelqu’un, est-ce que ça va dans le sens de la Vie ? Est-ce comme ça que ça va arranger mes relations ?

 

Quand on dit que l’Energie est information

La science quantique nous informe que l’observateur a une influence sur le résultat d’une expérience, même s’il n’est qu’observateur.

 

La Réalité, c’est relatif et mouvant.

La Réalité c’est relatif et mouvant.

La réalité statique est très limitée ! La réalité, c’est « il pleut », ou « il fait jour ». Le nombre de jours de pluie n’est pas une réalité, c’est un chiffre, un décompte, ce n’est pas une réalité.

La réalité est une notion très fragile, dynamique : la science se sert des interprétations, des mesures, des calculs, des équations issues d’observations, et la réalité évolue sans cesse. Donc, il faut éviter de lui accorder trop de crédit, car beaucoup de réalités peuvent évoluer.

La « réalité » est relative à nos connaissances. La réalité évolue à mesure que la recherche ou le hasard découvre d’autres paramètres, à mesure qu’on développe des appareils pour mesurer plus finement ce qu’on peut observer et même plus.

Exemple : Avant l’invention des « molécules », elles n’existaient pas aux yeux des « réalistes », on est bien d’accord ? Pourtant, on peut aujourd’hui soigner des maladies à partir de molécules qui ont été inventées. Elles existaient avant leur invention, mais elles sont devenues « réalité » avec leur découverte : on utilise le mot invention pour les découvertes, ce n’est pas pour rien ! Donc, ces molécules ne sont pas plus réelles après leur découverte qu’avant !

Dans certains domaines, on a même dépassé le stade de la perception humaine. Les ultrasons et infrasons nous permettent des calculs et des soins dont nous ne pouvions pas soupçonner la « réalité » avant leurs « inventions ». Là aussi, la réalité a beaucoup évolué, elle est dynamique.

Donc, méfions-nous des affirmations définitives de la réalité, et des généralisations : ce n’est pas parce qu’il est établi que la Terre est ronde et non pas plate que toutes les vérités scientifiques actuelles sont définitives !

Réalités construites :

les « chiffres » mentent ou pas : Un chiffre est un chiffre, lui ne ment pas. Mais c’est le choix de la mesure qui peut être incomplet, mal mesuré, hors contexte.

Un chiffre ne parle pas : un chiffre est un chiffre, il ne parle pas en lui-même, c’est le contexte dans lequel il est placé qui parle, et la signification qu’on lui donne. Un chiffre « élevé » peut être considéré comme un résultat menant à un jugement négatif ou positif, selon le contexte.

Energie et Qi, immatériels et pourtant source de Vie

 

L’energie Qi et le lien avec l’énergie moderne

Dans ce billet, je résumais une vidéo du génial Etienne KLEIN. Pourtant, à la fin, le constat est le même que pour la notion de QI de la chine antique : l’énergie n’est pas définissable matériellement, ni conceptuellement.

On ne sait pas ce qu’est l’Énergie Qi , la source de ce que nous appelons l’Énergie.

L’énergie est à la source de beaucoup de ses manifestations physiques, que ce soit l’électricité, le Qi dans la MTC. Cependant, nous, en tant qu’humains, ne pouvons que la percevoir si nous en sommes capables, par définition !

C’est-à-dire que nous ne pouvons nous apercevoir de la manifestation de l’énergie qu’à partir du moment où elle se transforme, et encore faut-il qu’elle se transforme dans le champ de notre perception, celle de nos 5 sens corporels, ou encore, de nos jours, dans le champ des perceptions des appareils que nous avons fabriqués pour la percevoir dans des champs autres.

Mais il n’est absolument pas dit que d’autres champs de perceptions de la manifestation de l’énergie n’existent, et ne soient découverts !

L’énergie produit des effets quand elle se transforme.

Elle se transforme donc également dans des champs que nous ne percevons pas, avec des conséquences en termes de puissance du moment que ses conditions d’effort et de flux, et également d’entropie.

Par conséquent, je ne me vois pas condamner, juger, exclure des personnes, des cultures, des pratiques qui ne me sont seulement pas connues et reconnues, sous prétextes qu’elles échappent à ma compréhension.

Si d’autres manières de manifestation d’énergie existent, ce sont donc aussi des types de manifestations qui peuvent exister. Nous en connaissons un certain nombre, et donc, il peut en exister d’autres, dont les effets peuvent être déjà « efficaces », « utilisées », ou d’autres peuvent l’avoir été dans le passé, comme d’autres encore peuvent se manifester à l’avenir, poussés que nous sommes par la découverte. Donc, les personnes qui prétendent que certaines pratiques culturelles sont des fadaises, se tirent une balle dans le pied, celui de l’ouverture d’esprit qui leur permettrait peut-être justement de s’intéresser à ces fadaises.

Car toute forme d’énergie (manifestation d’) est régie par la même loi, celle que Einstein a expliquée E=mc2. Nous tenons là la loi universelle qui permet de faire le lien entre toutes les manifestations de l’Energie.

Cette loi universelle E=mc2 nous permet de comprendre que tout est Énergie, il n’y a pas différentes énergies, il n’y a que différents résultats de transformation de l’Énergie manifestée.

De plus, Planck et Noether nous ont montré que l’Énergie n’est pas consommée, elle ne disparait jamais, elle prend seulement différentes formes.

En MTC

En Médecine Chinoise, on connait bien ce principe, car on considère que l’énergie des aliments est transformée et transportée et les nutriments extraits pour se combiner à l’énergie de l’air inspiré pour former différentes formes de Qi, d’énergie. Elle est utilisée et se transforme. Elle est dépensée en activité physique, en pensées, en transpiration, etc… et une partie est expirée, excrétée.

L’activité d’un humain ne tourne pas en rond, elle n’est possible que grâce au produit de l’énergie qu’est la chaleur, la force, l’extraction d’eau, de nutriments.

 

Le fait que le coeur bat est une des manifestations de l’énergie. Sa source est où ?

 

 

Out of the Box

Je suis déjà « mort ». « mort » et « vivant » à la fois.

L’aspect Yang et « vivant » de mon existence est celle du Ciel Postérieur, celle liée à la matière.

L’aspect Yin est la face « mort », liée au Ciel Antérieur, à l’immatérialité.

Je suis les deux à la fois, je ne suis pas seulement dans le vivant des humains.

Si j’oublie l’aspect antérieur, Yin, de mon existence, il me manquera quelque chose dans ma vie. Quelque chose qui me lie à quelque chose de plus grand que mon existence alimentaire, la part spirituelle c’est à dire ce qui donne du sens à ce que je fais.

Dans une passion, un hobby, on cherche et donne du sens à ce qu’on fait. On trouve une nourriture interne à une activité qui est pourtant extérieure. Et quand on est expert, on transmet, et quand on expert, on passe à autre chose. Demandez aux artistes accomplis quels sont leurs centres d’intérêt, ils vous répondront souvent qu’ils aiment tel autre loisir, passion, métier…

Pour exercer une activité qui nous fait plaisir dans les tripes, on mobilise le mouvement Yang celui qui monte, dans l’activité en elle-même, pour nourrir le mouvement Yin qui descend en soi. C’est une respiration, un mouvement intégré.

Nous ne sommes pas séparés de la Vie en nous, du fonctionnement de notre corps, nous sommes ce fonctionnement, c’est une intrication permanente et globale.

Notre éducation, et l’école, ne nous sensibilise pas à notre corporalité, et le sport ne s’enseigne pas de cette manière à l’école, ou si peu, on y enseigne des techniques.

 

Le diagnostic culpabilité et responsabilité

Certaines personnes sont très enthousiastes à l’idée d’un diagnostic, car elles y voient une explication claire de la façon dont leur vie s’est déroulée. Elles peuvent y voir une déstigmatisation, voire une sorte de statut. D’autres l’utilisent comme un moyen de se soustraire à leurs responsabilités et à leur obligation de rendre des comptes. Après tout, si je peux attribuer mon comportement à un diagnostic, je suis tiré d’affaire.

Un autre risque est qu’une fois étiqueté, on en vienne à penser que l’on est incapable de changer parce que « les substances chimiques de notre cerveau sont toutes mauvaises ».

Réflexion du Dimanche 21 Janvier 2024

L’épigénétique
Tous les gènes du corps sont identiques, c’est leur expression qui s’active ou pas.
L’expression d’un gène est modifiée par
La possibilité héritée
Les émotions, que ce soit trauma soudain ou long
L’alimentation (microbiome)
L’environnement

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La psychothérapie humaniste montre que les méthodes psycho-corporelles peuvent agir sur
– des troubles émotionnels
– les comportements alimentaires
– les comportements sociaux

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il y a donc une intelligence psycho-corporelle, activée ou non.

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L’épigénétique explique et rationalise, les techniques psycho-corporelles activent et désactivent.

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Je pense qu’une thérapie qui agit seulement sur la psychée n’est pas suffisante. je pense qu’une thérapie qui agit seulement sur le corps n’est pas suffisante.

On montre par exemple que les traitements chimiques contre l’obésité ne sont pas efficaces pour ôter le principe métabolique qui mène à l’obésité, car les cellules gardent en mémoire leur fonctionnement premier. La médication n’est donc pas une solution, ce n’est qu’un sparadrap, avec la contrepartie des effets indésirables.

Si l’obésité est une anomalie du métabolisme (de l’eau). la possibilité est intrinsèque et normale. Elle est activée dans certaines situations au mauvais endroit. Sous l’effet de l’alimentation, du stress, d’un trauma.

Mais il semble que n’importe quel résultat ne soit pas activé sous l’effet de n’importe que facteur. Par exemple, un stress peut induire une digestion altérée menant à l’obésité, mais si l’alimentation est correcte, il n’y aura peut-être pas d’obésité ? L’obésité n’étant qu’un des résultats possibles, c’est la digestion altérée que je peux pointer.

Donc, la digestion est mauvaise suite à un stress traumatique. Le résultat n’est qu’une expression, par exemple si l’alimentation est « mauvaise ». Mais l’obésité peut aussi survenir avec une alimentation normale dans laquelle le moindre écart est accumulé par le corps, mais pas éliminé. D’un point de vue symbolique, on peut considérer que la personne garde tout le mauvais. Le gros intestin ne fait pas son travail d’élimination.

Si j’agis sur le traumatisme, est-ce qu’automatiquement l’obésité va disparaitre ? Il faut agir sur le fonctionnement du gros intestin, puisque c’est lui qui dysfonctionne.

Il y a une relation : trauma – gros intestin – obésité.

Ce qui est visible, c’est l’obésité, cependant ce n’est que le résultat.

Si j’agis sur le gros intestin, ok, il va mieux fonctionner. Pour autant, cela va-t-il résoudre le trauma ? Non. Et l’expression du trauma va peut-être (probablement) s’exprimer d’une autre manière. Soit dans un conflit entre le trauma et le métabolisme, soit dans l’expression du trauma d’une autre « manière corporelle ». Je pense que donner des rémède de naturopathie n’est pas suffisant.

Si j’agis sur le gros intestin, cela peut-il réduire le trauma ? Oui, car le corps a ses aspects mentaux. Agir sur le corps agit sur ses aspects mentaux. Ceci dit, cela ne va pas résoudre le trauma initial.

Une personne qui garde un équilibre de vie sain peut-elle accumuler des stress sans tomber malade ? Autrement dit, peut-on vivre sans conséquences négatives de traumatismes du moment qu’on vit sainement ? Je ne pense pas, car on rencontre parfois des personnes qui ont une vie très saine qui développent des maladies graves. Ce n’est donc pas une garantie.

Pour ces personnes, justement, l’aqui initial, le Qi hérité, est déterminant.

L’environnement : social, humain, pollution. C’est une intrusion. Si la personne ne s’y soustrait pas, ou ne peut pas, l’expression des gènes risque de réapparaitre. Dans ce cas, les techniques psycho-corporelles sont à effet limité dans le temps. La médecine chinoise est conseillée pour redonner peps et équilibre régulièrement. L’autre option sera la médication chimique, qui pose un sparadrap sur le malaise.

 

L’éveil n’est pas un truc d’illuminés

L’éveil n’est pas un truc d’illuminé. C’est un processus !

D’abord ne pas confondre avec la Révélation : « Tiens, c’est donc comme ça que ça marche », ou « Ah voilà j’ai compris ».

La révélation n’est pas de l’éveil ! La révélation, avec son effet surprise, est un éveil de la conscience, c’est une prise de conscience de quelque chose qui était sous-jacent, mais qui avait besoin d’émerger à la surface. C’est même plutôt la conscience qui s’est mise à la hauteur de ce qui est révélé !

Et puis, que fais-tu de la révélation ? Savoir c’est bien, et qu’en fais-tu ? comment tu appliques ta révélation dans ta vie « réelle » ? Que peux-tu en tirer ? Dans quel contexte tu la places ? Dans quel contexte tu ne veux pas la placer ? Que tires-tu du fait qu’elle (la révélation) arrive pile à ce moment ?

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L’éveil ne tombe pas du ciel ! C’est un processus !

L’éveil est comme une révélation au ralenti. L’éveil est un processus qui se fait sans qu’on le remarque vraiment. il est autonome de l’égo, au contraire. C’est plus que la connaissance, c’est quand on vit son art, ou plus précisément quand ce qu’on fait devient un art, singulier, profond, intuitif, personnel, nourrissant.

 

Descendre en moi

L’hiver est là pour ça. Descendre. Décembre et les fêtes devraient servir à cela, au lieu de la frénésie. La frénésie serait bien placée, je pense, à la fin du printemps. Le Noël de Coca Cola pollue mon besoin d’intériorité dont j’ai besoin, en hiver.

C’est par la mise en terre des cendres du cycle de vie écoulé, qu’on appelle année, que le terreau dont sortiront les idées nouvelles au printemps sont ensemencées. La mort ensemence la Vie.

Réaliser par l’erreur. Quels ensaignements puis-je tirer de mes erreurs ? Le sang des idées. Les idées sont comme un sang, le sang fait sens. Les idées sont des images mentales, des concepts, le résultat des perceptions.

Le sang est produit par le Coeur, le sens aussi. Le sang est produit grâce à l’énergie de la digestion, après ingestion, mastication, transformation et extraction des nutriments de la nourriture.

Une activité nourrissante aboutit à la production de sens, tout comme l’activité de se nourrir d’aliments aboutit à la production de sang.

 

Nous vivons dans un monde violent.

Nous vivons dans un monde violent. La violence n’est pas seulement physique. La violence est de plus en plus psychologique. Elle s’inscrit comme une normalité dans notre société. Elle commence par la déshumanisation des services publics, à commencer par celle de l’hôpital. A plus petite échelle, mais permanente, ce sont les transports en commun crados, les incivilités institutionnalisées, les formalités toujours plus complexes, la dématérialisation, la gouvernance par décret, le mépris des dirigeants à l’égard des personnes, l’éloignement de la gouvernance du terrain … etc… tout ce qui enlève du lien, tout ce qui catégorise, tout ce qui sectorise est instrument d’une violence sourde, inconsciente de la part des malfaiteurs, car ils pensent sincèrement faire le bien

Violence par absence de sens. La religion de la science dure nous dit non seulement que ce qui n’est pas prouvé scientifiquement n’existe pas, mais elle raille toute forme de sens. Nous n’avons presque plus le droit de donner un sens à ce que nous faisons, à nos vies, et parler de vie spirituelle (donner un sens profond) est de plus en plus mal vu, bientôt la spiritualité sera classée comme mouvement sectaire. Ces assimilations abusives sont une autre violence. Au passage, comme aucun scientifique n’a jamais pu trouver une pensée dans un cerveau, la pensée n’existe donc pas … ni l’idée, ni les émotions, ni les sentiments, ni le deuil ni l’affection, tout ça n’existe pas, nous sommes des machines, selon ces gens qui, selon mon avis, veulent tout expliquer selon leur manière de procéder, mais peut-être est-il des domaines où la science doit savoir s’arrêter ? …

Mais c’est aussi une société où le vivre ensemble est pauvre. L’aspect humain du fonctionnement de la société est laissée à des associations, ce qui dénote déjà une démission des dirigeants. Mais en plus ces mêmes dirigeants en réduisent fortement les subventions. Les institutions qui ont le plus besoin d’humain, l’hôpital, les maisons de retraite et le soutien psychologique, sont même des endroits d’une froideur extrême.

La violence « induite », petite mais permanente, est aussi celle qu’on s’impose à soi. A chaque fois qu’on juge quelqu’un, ce n’est pas d’abord la personne qu’on maljuge qui est touchée, mais soi. Les pensées négatives génèrent des substances inflammatoires qui sont néfastes pour notre système immunitaire, cardio-vasculaire, pour notre moral en général. A chaque fois qu’on regarde le JT, on s’inflige de la violence, puisqu’on peut très bien prendre connaissance de ce qui se passe dans le monde sans JT, et que l’émotionnel sanglant n’est pas une information, mais une violence.

Le fait de dire « ailleurs, c’est pire » n’enlève rien à la souffrance qui est induite ici, chez nous, dans nos coeurs, et dans nos corps.

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