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Coeur de Dragon

En Asie, un enfant de 9 ans se pose des questions existentielles… Il va voir son grand-père et lui demande conseil :

Je suis un peu perdu,  pourquoi certaines journées je suis heureux, rempli de joie, de motivations, je ne vois que les belles choses et je ressens beaucoup d’amour. D’autres fois  je ne vois que les problèmes, je suis triste,  malheureux, j’ai envie de rien faire…

Le grand-père lui répond :

Tout va bien, c’est tout à fait normal.  Quand ton âme arrive sur terre et s’incarne, un Dragon blanc (pôle positif) et un Dragon noir (pôle négatif) font partis du jeu de l’attraction terrestre,  c’est le principe du Yin et du Yang.

Mais moi je ne veux pas du dragon noir,  je ne veux que le dragon blanc, c’était tellement plus agréable…

Impossible ! Comme nous tous, tu es né avec les deux  et ils resteront présents toute ta vie…

Donc si j’ai bien compris, je ne peux rien faire ?

Bien sûr que si ! A toi de trouver ce sur quoi tu peux agir et ce que tu ne peux changer.

Le garçon repartit avec encore plus de questions qu’avant… Cependant après quelques jours de recul, le déclic lui vient après une matinée passée à la ferme.  Il retourne immédiatement voir son grand-père pour lui annoncer la nouvelle :

J’ai trouvé la solution ! Ce matin en nourrissant les poules (il y avait des poules noires et blanches) j’ai compris qu’en nourrissant davantage le dragon blanc, il sera plus fort et battra le dragon noir !

Effectivement tu as trouvé une part de la vérité, tu as le pouvoir de renforcer le dragon blanc par tes pensées, ton état d’esprit, tes actes etc. Mais  il ne s’agit pas de se battre contre le dragon noir, ça ne ferait que le renforcer. Il s’agit de l’accepter tel qu’il est et de chercher la part de lumière, de positif qui est en lui. Que serait la joie sans  la tristesse, la confiance sans le doute, l’amour sans la peur…T’aimer tel que tu es, accepter l’imperfection, aimer la vie telle qu’elle est, est le chemin qui te mènera à l’équilibre et à l’amour inconditionnel.

En percevant la lumière de la conscience sur le visage de l’enfant, il lui partage une prière :

Mon Dieu, donnez-moi la sérénité d’accepter les choses que je ne peux pas changer, le courage de changer ce qui est en mon pouvoir et la sagesse d’en voir la différence.

Ce qu’on ne peut pas mesurer n’existe pas

On me dit parfois que cette histoire de Qi, d’énergie, d’énergie vitale, c’est rien, c’est incompréhensible, et que ça n’existe pas, car ce n’est pas scientifiquement prouvé.

En effet, la mesure de cette énergie subtile n’est pas encore admise. C’est simplement que certaines choses ne peuvent pas être mesurées selon des normes reconnues.

Pour autant est-ce qu’une idée ou une pensée, ou encore une émotion n’existent pas, parce que personne n’a jamais pu trouver une idée ou une émotion en ouvrant un crâne ou un cœur ?

Cela voudrait dire que l’empathie, la compassion, ou l’amour qu’on a pour un enfant n’existent pas ! Puisqu’elles ne peuvent être mesurées par des appareils agréés par la science ?

Ce n’est donc pas parce qu’on ne peut mesurer quelque chose que ça n’existe pas !

L’homme a toujours du mal à se séparer de ses certitudes, et de son arrogance à vouloir tout contrôler.

En tout état de cause, ce besoin de mesurer pour admettre a dépassé la notion de science dure pour devenir une religion, un dogme.

Car finalement, les sciences, aussi utiles soient-elles, ne sont-elles pas des conventions basées sur des concepts ? Les concepts sont des idées humaines. Les idées humaines sont propres à l’homme, et n’existent pas dans la nature. Par exemple, la croissance d’un arbre n’a pas besoin d’être ni mesurée, ni conceptualisée, ni calculée pour simplement être ! La croissance de l’arbre n’a même pas besoin d’être conceptualisée ! Et l’arbre n’a pas besoin de croissance pour croitre, ni pour exister ! Et l’arbre n’a pas besoin de se nommer arbre, ou plus précisément hêtre ou bouleau par exemples, pour être !

L’homme a besoin de tous ces concepts pour bâtir ses sciences, qui sont souvent bien utiles et parfois aussi néfastes. Mais les sciences n’ont pas besoin d’exister pour que la vie soit la vie, et la vie n’a pas besoin de science.

Les domaines scientifiques sont des conglomérats de d’idées qu’on a validées et transformées en certitudes, générant ce qu’on appelle des « faits ». Mais la quasi-totalité des faits n’en sont pas.

Des idées qui sont partagées sont des égrégores, c’est-à-dire des croyances érigées en « vérités ». L’homme a besoin de ces croyances, surtout dans un monde dépourvu de foi. Comme il n’a plus de foi en rien, l’homme s’est tourné vers la matière pour y construire des croyances. Celles-ci sont devenues ce qu’on appelle des sciences.

Sauf que ce n’est pas stable. Les sciences étant basées sur les croyances, les croyances étant dépendantes des perceptions, autre mot pour désigner les relevés scientifiques, les sciences évoluent au fil de la vie qui passe. Et donc, les vérités sont basées sur un lit mouvant de croyances qui ne cessent de bouger. Ce qui était scientifiquement vrai il y a 50 ans est dépassé, et dans nombre de sciences, l’accélération des découvertes génère une accélération de l’obsolescence scientifique.

En confondant science et vérité, l’homme a érigé des dogmes.

Par vanité, parce que l’homme a une intelligence limitée, il a inventé des certitudes matières. Or, la seule chose qui ne bouge pas, c’est cette énergie vitale, universelle et impalpable, à la fois tout et rien, qui est à la fois infiniment petit et infiniment grand en même temps, qui n’a ni début ni fin, pas de temps ni d’espace, et rien que ces notions perdent le mental humain qui ne sait plus comment s’orienter.

Finalement, laisser la science dite dure là où elle est, dans le domaine de la science vivante, sans vouloir la manipuler pour vouloir la rendre utile ou l’utiliser pour contraindre et enfermer, serait une preuve de sagesse. Encore faut-il avoir une notion de sagesse, puisque là aussi, personne n’a jamais pu en trouver dans aucun corps, même en regardant bien avec l’imagerie médicale, et donc, ça n’existe pas …

Autoroutes de Lumière – hommage aux camps de cette autre concentration

Les jambes si légères, scintillantes aiguilles dorées dans la nuit
Tu es danseuse de l’âme, chatoyantes couleurs sans âge,
Rien ne t’effaces tu es libre et aérienne, si souriante et fragile à la fois
Sous les notes de Schubert au piano, tu es sortie des camps par l’autoroute des âmes
Toi petite fille pianiste des quartiers populaires de Budapest

 

Les hommes intelligents, au service de la bonne morale, qui avaient reconstitué une protection du peuple, ceux qui avaient reconstruit le pays, redonné du travail et un sens de la fierté, créé la voiture pour tous et les autoroutes, que de belles choses alors on pouvait bien fermer les yeux sur les bridages du parti du petit homme qui détenait de plus en plus de pouvoir, et puis de toutes façons c’est bien d’avoir des hommes plutôt fermes face à des tranches du peuple qui ne font pas comme tout le monde …

Et d’inventer la solution finalement, car il fallait en arriver là pour se débarrasser de la vermine…

Ces hommes et ces femmes sont devenus des fossoyeurs d’humanité, à force de vouloir défendre les bonnes idées, les bonnes gens, contre les autres qui faisaient circuler des maladies des races des idées ou même des rebellions, toute autre forme de pensée a été bannie, puis chassée, puis concentrée, puis anéantie …

Anéantie ?

Ces hommes de bonne morale que les peuples abreuvés de peur et de haine portaient en haute estime sont devenus, à leurs haines défendantes, les créateurs des autoroutes de lumière.

Des puits de lumière qui sont sortis pendant des années de ces cheminées l’immonde, tant et tant de Vie qu’ils pensaient chasser de leurs propres âmes salies d’idées en les envoyant dans l’air des camps qui emprisonnaient leurs propres parts d’humanité.

Tout être est énergie, tout être est lumière, et ces millions de morts au nom du non-sens élevé en science, ces millions de morts au nom de la tranquillité de ceux qui voulaient figer la vie dans leur confort doré,

Autant de lumières qui doucement, libérées, allégées de la pesanteur de la matière, libres de toute haine et de toute souffrance, dans la concentration … de fragments de lumière qui constituaient les autoroutes de lumière, puissants rais de lumière divine, pour remonter vers la Source, elles se sont élevées au-dessus de la vanité humaine, montant de la Terre vers le Ciel

Comme des cordes de rappel que l’humain est aussi amour et que rien ne pourra jamais tuer l’énergie en chacun de nous, Ces autoroutes d’énergie concentrée nous ont été offertes par nos bourreaux, l’Energie allait se réincarner dans d’autres formes de lumière, ici et là dans d’autres énergies, cendres d’amour retombant dans les cœurs des bourreaux et de leurs enfants ébahis

Merci à ces bourreaux de nous avoir construit des autoroutes d’amour qui retombent encore aujourd’hui en pluies de compassion sur les cœurs des nouveaux humains.

Toi devenue pianiste des âmes des quartiers de ma ville
Sous les notes de Schubert au piano, tu es présente là dans mon coeur
Pour briller de ton amour pur et inconditionnel
Rien ne t’effaces, libre et aérienne, souriante et fragile à la fois
Toi danseuse de l’âme, dans tes chatoyantes couleurs sans âge,

Il n’y a pas de chemin vers le bonheur. Le bonheur est le chemin. » Bouddha

Il n’y a pas de chemin vers le bonheur. Le bonheur est le chemin. » Bouddha

… la société de consommation m’a enseigné (l’illusion) qu’il existerait un chemin vers le bonheur : sois bon élève, aie un bon job, tu pourras construire une belle maison avec piscine, tu auras une belle voiture et tu pourras aller plusieurs fois en vacances … sinon, tu seras pauvre, tu devras aller travailler à l’usine, et tu seras malheureux !!! …

Cette phrase « chemin vers le bonheur» correspond au concept d’un bonheur promis, futur, qui se matérialiserait après avoir parcouru sagement le chemin vers ce bonheur. C’est un bonheur matériel, et un bonheur dans le futur, qui est toujours placé dans le tutur  qu’on poursuit, et qui s’éloigne toujours, donc non imaginaire, et par là même, non réel.

Mais le bonheur n‘étant pas matériel, comment pourrait-il alors être apporté par la matérialité ? On dit que l’argent aide à trouver le bonheur : ce qui me parait faux. C’est la simplicité qui ouvre au bonheur. Notre société au contraire mène les peuples à noyer leur capacité d’être heureux dans les complications d’une vie tournée vers la matérialité envahissante : celui qui mécanise sont cœur perd sa lumière. L’argent éloigne du bonheur, car il nous enchaine à l’avoir.

La société nous garde dans le premier et plus bas des 3 niveaux celui de l’avoir : avoir un job, pour avoir une maison, et ainsi on possède même des amis … ensuite, le deuxièmème niveau du faire nous permet de passer à la créativité, et ensuite nous pouvons nous élever au nivau de l’Être, c’est dans l’Être qu’on trouve le bonheur.

C’est plutôt ÊTRE que d’avoir : « le bonheur EST le chemin » nous invite donc à réfléchir sur la notion du bonheur dans l’instant, l’instant présent, celui faisant le chemin.

Le bonheur, c’est alors d’abord la bonne heure : être dans la bonne heure, vivre dans l’heure, c’est-à-dire au présent. C’est cela le chemin : je construis le chemin en vivant dans la bonne heure, en étant dans la bonne heure : ETRE dans le bonheur !

Quand je vis dans le moment présent, je peux aussi être dans la joie : si je n’ai plus de passé qui me poursuit, ni d’angoisse pour le futur, je peux gouter tout simplement à ce qui EST, ICI ET MAINTENANT. Et la joie est alors quasiment permanente.

On y est ! le bonheur, c’est vivre dans la bonne-heure, c’est vivre dans l’heure, c’est-à-dire heure-eux comme d’autres sont peur-eux. En fait, le chemin fait le bonheur :  A force de vivre dans l’instant présent, petit à petit se forme le chemin. Le chemin se constitue au fur et à mesure que je vis dans la bonne-heure. C’est mon chemin du bonheur !

Je suis un lumineux être spirituel –  So Hum (relations miraculeuses, Deepak Chopra, Jour 2)

Je suis un lumineux être spirituel –  So Hum

(relations miraculeuses, Deepak Chopra, Jour 2)

Tu n’es pas ton corps changeant, tu n’es pas tes) idées changeantes, tu n’es pas tes émotions changeantes.

il y a une part de toi qui es l’observateur, la Conscience qui ne juge pas, l’observateur du corps et de l’esprit.

Tu peux prendre contact avec cette part de toi en portant ton attention sur celui en toi qui observe.

La présence que tu sens est ton âme, ton essence, la source.

Elle est infinie, Amour, compassion, joie, créativité, intuition et grâce. Elle est silencieuse, innée, permanente, sagesse.

À chaque fois que tu es dans les émotions, la tristesse ou la peur, et que tu te sens isolé et seul, tourne toi vers ta nature profonde qui brille comme mille soleils.

 

Tu n’es pas ton corps, tes pensées, ton métier, ton savoir faire, tes relations, tes émotions, !

Tout cela est changeant, rien de permanent ! Ton corps n’est pas le même depuis que tu étais un bébé, puis un enfant. À chaque instant ton corps évolue, se transforme et transforme.

Tu n’es pas tes pensées, elles défilent à toute vitesse !
Tu n’es pas tes émotions, même si parfois tu les retiens en toi, une émotion dure physiologiquement 30 secondes.

Tu n’es pas Ta personnalité changeante, pas ton métier, il évolue sans cesse ! Ni ton savoir faire, tes activités de loisirs, artistiques, associatives.
Tu n’es pas ta maison ni toute possession, car tu en es séparé , ni ton chien, tout cela est extérieur à toi.

Mais il y a une part de toi qui es l’observateur, observer contempler,
On l’appelle l’âme, la Conscience avec un grand C, cette Conscience qui ne juge pas, l’observateur du corps et de l’esprit.

Tu es une entité spirituelle, du spirit dans la notion éthérique. Ton âme, ta nature divine, ton Essence, ton  » je suis », ou encore la Vie en toi.

 

Fabrice Midal Nier la souffrance c’est nier la Vie.

Fabrice Midal

La sagesse néo libéralisme veut nier toute souffrance. Nier la souffrance c’est nier la Vie. Oui la vie n’est pas toujours facile. Si une vinaigrette n’est pas bonne il faudrait nier, au lieu de rectifier et mettre plus d’huile ou plus de vinaigre. Aller voir un psy, essayer la méditation du vide de pensées, c’est souvent nier la difficulté normale de la vie.
Comment peut-on régler une difficulté si on l’évite ?
À un enfant qui rentre de l’école stressé on ne dit pas que c’est son égo, mais on accueille son stress.
Un hypnothérapeute disait  » si au moment où un patient entre vous n’avez pas peur alors changez de métier « 

deux hommes tous les deux gravement malades occupaient la même chambre d’hôpital. L’un d’eux devait s’asseoir dans son lit pendant une heure chaque après midi afin d’évacuer les sécrétions de ses poumons. Son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre, l’autre devait passer ses journées couché sur le dos. Les deux compagnons d’infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses, de leurs
familles, décrivaient leurs maisons leur travail leurs participations au service militaire et les endroits où ils avait été en vacances etc… et chaque après-midi quand l’homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s’asseoir, il y passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu’il voyait dehors. L’homme dans l’autre lit commençait à vivre pendant ces périodes d’une heure où son monde était élargie et égayée par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur de la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac les canards et les cygnes jouaient sur l’eau… tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux en modèle réduit, les amoureux marchaient bras dessus bras dessous parmi des fleurs aux couleurs de l’arc-en-ciel. de grands arbres décoraient le paysage, et on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner … pendant que l’homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l’homme de l’autre côté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque. Lors d’un bel après-midi l’homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par là, bien que l’autre homme n’ait pu entendre l’orchestre il pouvait le voir avec les yeux de son imagination tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante ! les jours et les semaines passèrent.
un matin à l’heure du bain, l’infirmière trouva le corps sans vie de l’homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil. Attristée, elle appela les préposés pour qu’ils viennent prendre le corps. dès qu’il senti que le moment était appropriée l’autre homme demanda s’il pouvait être placé à côté de la fenêtre. l’infirmière, heureuse de lui accorder cette petite faveur, s’assurera de son confort puis elle le laissa seul.
Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu en s’appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d’oeil dehors. Tout à la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. or tout ce qu’il vit fut un mur ! l’homme demanda à l’infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité ! l’infirmière répondit que l’homme était aveugle il ne pouvait même pas voir le mur peut être a-t-il seulement voulu vous encourager ! commenta t il y ! à un bonheur extraordinaire à rendre d’autres heureux en dépit de nos propres épreuves la peine partagée réduit de moitié la douleur, mais le bonheur une fois partagé s’en trouve doublé

Les objets

Les objets

Est-ce que les objets rendent heureux est-ce que un objet peut rendre quelqu’un heureux

combien d’objets qui ont rendu heureux qui vous ont rendu heureux étant enfant sont encore autour de vous ? si l’objet est le bonheur, alors à chaque fois qu’on se débarrasse d’un objet ou qu’il est cassé, et bien c’est une partie du bonheur qui est cassé ou dont on se débarrasse …

quel bonheur réside dans une voiture, dans une maison, une paire de ski, dans un vélo, dans un appareil électronique ?
Est-ce que c’est l’objet en lui-même qui rend heureux ou ce qu’il représente ce qu’il apporte ?

de la joie de la sécurité du partage ? ou un moyen de joie de sécurité de partager ?

ça veut dire que ce qui rend heureux ce n’est pas un objet mais ce que ce qu’on en fait !

un vélo peut être un objet de partage avec d’autres cyclistes OK mais si il n’y a pas d’autres cyclistes il n’y a pas de partage !

une maison on peut représenter le bonheur en famille mais si il n’y a pas de famille il n’y a pas de bonheur dans la maison …

voilà pourquoi certaines personnes se défont de tout ce qu’elles possèdent parce que le bonheur n’est pas dans les objets dans la possession, mais le bonheur est dans le cœur, dans toutes ses valeurs dans la compassion la bienveillance …

voilà pourquoi aussi dans certaines régions du monde les gens sont beaucoup plus heureux que nous ici en Occident avec de toutes nos choses partout !

voilà pourquoi aussi parfois on voit des gens pauvres qui ont leur bien plus heureux que les plus riches

finalement de quelle richesse parle t on ? de celle des objets de l’argent des pouvoirs ou de celle du cœur celle du bonheur

En plus par ici en Occident pour accéder à certaines possession, certain chimères du bonheur comme on nous l’a appris, pour le bonheur par les objets il faut faire tant de sacrifices et il faut consacrer tellement d’efforts tellement de renoncement tellement de regrets pour arriver à quoi finalement ? À une accumulation d’objets qui sont en fait éphémère qui ne sont rien d’autres que des promesses, des objets qui sont statiques des objets qui sont juste des objets…

Un objet n’a pas de vie il n’est pas vivant et en ce sens il ne peut pas apporter quelque chose de vivant au vivant, nous sommes vivant nous sommes profondément vivants, nous avons besoin de vivant et de vivre, les objets les objets n’ont pas de vie ils sont inanimés

Les objets c’est tout le matériel autour de nous qui peut être évidemment utile qui peut être un moyen qui peut être agréable mais un objet Mais les objets doivent-ils devenir le moteur d’une vie d’une vie de famille ou d’une vie de toute une société ? …

 

Le vide intérieur est un Univers

Pourquoi est-ce si difficile de convaincre que la solution vient de l’intérieur ?

Parce que dans notre société, nous sommes identifiés à ce qui nous est extérieur. L’identification aux croyances, la rétention des émotions et la suprématie de la pensée rationnelle mènent à la dissociation de l’être de la personne. La personne est seule à évoluer. L’Être n’existe pas. C’est même une notion abstraite pour la plupart des gens.

De là, si on prive les gens de leurs identifications, qui sont-ils encore ? … là survient la peur. La peur du vide. Car à l’intérieur, c’est vide.

Ce vide n’est qu’une impression. C’est un peu comme l’espace : on peut avoir peur de se noyer dans le vide sidéral. On peut avoir peur de cette nuit sans fin.

Par conséquent, la première chose à faire sera de rassurer, puis de faire prendre conscience que le monde intérieur est non seulement une vide, mais un univers. Ensuite, que ce monde intérieur est totalement à notre disposition. Qu’on a le pouvoir de le rendre joyeux ou triste, coloré ou gris, … le pouvoir est immense.

S’approprier son monde intérieur, l’aimer, le peupler, le rendre joyeux.

Quand l’identification se fait au monde extériur, l’esprit n’est pas ancré, la protection est dans les objets, et la stagnation provoque l’enlisement. Suit la pensée fermée, unique, automatique. Suivent les maladies.

Mais les maladies ne suffisent pas à réveiller les Êtres. Car les médicaments cachent les maladies, comme des sparadraps.

Quand vraiment ça ne va plus, c’est le burn-out, c’est la dépression grave, c’est le pétage de plomb, et souvent la maladie grave, cancers et autres déréglements de systèmes (hormonal, endocrinien, surénales…).

Si l’esprit est occupé, et identifié par les pensées, les émotions et les croyances (opinions), celui-ci est d’abord instable et à la fois stagnant.

Les croyances restent les mêmes, par besoin de stabilité, de sécurité, de besoin de repères. Pour construire notre monde artificiel, nous avons besoin de nous appuyer sur les croyances, égrégores, ou encore les sciences, qui ont permis de construire les objets dans lesquels nous vivons. Nous nous sommes ainsi identifiés aux croyances des sciences et techniques, et nous finissons par nous identifier aux objets. Nous ne sommes plus rien sans nos objets éléctroniques, et nous priver de liberté ne nous fait pas réagir du moment que nous avons nos objets d’information (on ne peut pas appeler les réseaux sociaux de la communication).

Dans la nature, l’humain n’a pas besoin d’asseoir son besoin de sécurité sur les objets, il n’y en a pas. De plus, dans la nature, il n’y a pas autant de dangers, donc pas besoin d’autant de sécurité. De plus les dangers de notre monde sont quasi tous imaginaires.

Le lâcher-prise, c’est le laisser-aller.

Les pensées : Instables, les pensées nouvelles défilent à toute vitesse. On ne s’y arrête pas, on ne réfléchit pas. Quand avez-vous vu quelqu’un réfléchir pour la dernière fois ?

Emotions : Les émotions induites sont les fausses émotions provoquées par le vécu qui se confronte aux chapelets de croyances formant la sécurité. A longueur de journée, des informations nous viennent qui se heurtent aux croyances de la sécurité. De là, on crée des émotions. Des fausses émotions.

Les deux seules émotions sont la joie et la peur. Les autres sont des émotions construites. Elles sont le résultat de la confrontation de nos croyances issues du passé et des projections du futur avec ce qui nous vient aux sens. Ainsi il suffit qu’une voiture soit mal garée et bloque le passage pour que nous croyons que nous allons arriver en retard car cela va nous retarder dans le trajet et si c’est le cas toute la journée est foutue et sera speed. Ou encore, il suffit de ressentir la même douleur pour qu’on croie qu’elle va dégénérer « comme la dernière fois ». etc…  Ces projections à partir du passé nous mènent à reproduire le passé.

Croyances : tout ce qui fait nos repères, ce à quoi on croit sans même le savoir, sans remettre en cause. Ce sont nos boulets.

Quand dans les traditions de sagesse, toutes les sagesses disent que la paix se trouve à l’intérieur, dans la simplicité, dans le détachement, c’est cela : une vie heureuse est une vie intérieure, où nulle croyance ne se heurte à nul évènement extérieur, ne provoquant aucune fausse émotion stagnante.

 

La quasi totalité de nos maladies ne sont pas liées aux cellules, mais à leur commandant : l’esprit. C’est lui qui ordonne tout le fonctionnement, le comportement des cellules. Le message de l’esprit circule dans toutes les cellules, de sorte que l’esprit EST dans tout le corps.

C’Elle

je connais cet air

il était là dans le paysage de mon  adolescent moi
par-dessus la fenêtre double de ma chambre du premier
au-dessus des vergers des nuages et de l’horizon vers l’Elle
qui habite mon coeur depuis mon à-venir de son Amour depuis mes 14 ans…

je connais cet air

… Mon Amour, toi qui lis ces mots, qui que tu sois,
que je n’ai pas connue ou que j’ai connue, amoure ou passagère
ne t’inquiète jamais des mots d’Amour, de qui que ce soit,
car ils ne sont jamais adressés à toi, mais à l’Elle !

je connais cet air

L’Elle, celle qui habite le coeur de l’ado laissant éternel
c’Elle qui m’accompagne depuis toujours et qui sera toujours là
dans son manteau d’absence, c’Elle qui vole à tire d’Elle
au-dessus des horizons qui toujours s’éloignent et qui me poussent à avancer

je connais cet air

l’Elle, c’est cette ado laissante au coeur tendre, au regard de velours,
celle qui me comprend, celle qui me prend la main et m’emmène vers demain
au pays des coeurs soudés noyés unis et réunis dans l’éternel
là où les vagues font des cimes d’Amour et des creux du Rein

je connais cet air

Ne t’inquiète jamais de mes mots, mon Amour, car ce n’est pas à toi qu’ils sont adressés
mais à c’Elle qui est en toi, celle qui rêve encore un peu peut-être
à une nouvelle l’Une, de miel éternelle, celle qui est sous les auspices de l’Amour
la Lune de Rêve, la femme de la Lune dont je ne suis que le pierrot

je connais cet air

Au contraire, toi qui est là devant ces mots qui te font peur
c’est toi que je veux co-naitre, je veux et naitre à tes côtés,
car tu es pleine de tes blessures et de tes murs,
car tu es celle, unique, femme, vraie, multiple, multicolore, humaine d’abord

je connais cet air

Dans les plis de ta peau se cache les secrets de ta vie à toi
Dans les cheveux défaits au petit matin s’ouvrent tes vérités
Dans tes mains ouvertes sont exposées tes sensibilités
Dans ton regard l’infinitude d’une présence autre, Être

je connais cet air

je connais cet air de rien en moi qui ne serai jamais le prince
qui appelle celle, c’Elle qui tire d’Elle,
viens plutôt toi, mon amie humaine, ma complice dans la matière
déployer tes Ailes d’imperfection, de vulnérabilité, de fragilité, de la vraie vie

je connais cet air

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