La Vie d’un être est comme une année, saisons rythment le fil de la vie.
On ne se rend pas encore compte, jeune, qu’on est au printemps de la vie, et que la vie va s’arrêter, un jour.
Si tu vois la vie en saisons, tu vois la vie en couleurs, la mienne est flamboyante, l’automne, et le regard tendre sur le passé, sur mon été, sur mon printemps.
L’avenir prend des allures de rêve, et d’où je suis je peux imaginer, il n’y a plus que l’imagination : ma mort sera mon hiver.
Et ensuite ? est-ce que comme pour la nature, il y a un solstice d’hiver, puis la montée lente et inéxorable vers un nouveau printemps, un nouveau cycle de la vie ? …
A la fois continuité, et à la fois totalement nouvelle, la vie se réinvente sans cesse, dans le cycle majestueux de sa nature obstinée.
… alors, alors je rêve … l’énergie qui m’a formée sera comme les feuilles mortes, tombée à terre, digérée, elle constituera le substrat pour une nouvelle vie, une autre vie, sous une autre forme, l’énergie sera débarassée de toute notion d’égo, d’appartenance, elle est une et universelle.
Je suis Vie, je suis énergie, et le jour où je partirai, je servirai à l’émergeance d’une nouvelle vie. Ainsi, la vie que je mène va déterminée si j’offre une bonne énergie à la suite, à la redistribution de mon énergie…
Celle qui m’a été léguée, que je veux respecter, et transmettre avec mon empreinte, ma joie, tout ce qui est unique de moi.
Ainsi, je peux aller en Paix, je n »‘ai rien à prouver, rien à terminer, rien à déterminer, je suis, je suis cela, et tout est pour le mieux.
Namaste, voilà que le printemps revient, réinventons la Vie !
Le décompte morbide des décès attribués à ce virus qui reste inconnu génère un stress permanent. La bassesse des médias n’a jamais été aussi sombre : on attend toujours plus de morts, comme si c’était un jeu. On déplore dans une réjouissance morbide. Et mortelle.
être effrayé, avoir peur, craindre, s’attendre à pire, se prémunir, etc… génère des hormones de la peur. Ces mêmes hormones qui sont utiles devant un vrai danger, un danger immédiat, comme par exemple une voiture qui perd sa trajectoire et nous fonce dessus, un chien méchant, etc… des occasions heureusement très très rares.
Notre corps n’est pas fait pour vivre dans le stress. Il n’y a pas de bon stress. Ces réactions corporelles de la peur ralentissent les fonctions de la digestion en chassant le sang des organes de la digestion pour les donner aux membres. Une digestion faible génère une faible extraction des nutriments, et affaibli le système immunitaire. A ce propos, le système immunitaire ne doit pas être vu comme un système de défense, mais un centre de tri et de traitement interne, et intelligent.
Le fait que le sang chargé d’homrones de stress irrigue les membres génère des syndromes de « chaleur interne » qui mènent aux maladies en ite : tendinites, arthrite, et mes fybromyalgies, etc…
Un état de stress génère aussi une respiration courte. Il suffit de s’observer pour le remarquer.
L’état de stress, pas le stress lui-même mais l’état qui en découle ou si voue voulez les réactions, induit une action rapide pour se sortir de l’origine du stress, un état de stress n’a pas le temps de réfléchir posément. Un état de stress empêche donc une réflexion posée, une prise de recul, et on se retrouve à généraliser, et à omettre certaines informations qu’on a pourtant sous le yeux, et on fait cela pour se protéger d’une ouverture d’esprit qu’on fuit à tout prix quand on est dans un état de stress. Enfin, on se met même à distordre la réalité, en clair à me mentir à soi et parfois aux autres, distordre pour là aussi traiter la peur : prendre du recul serait éloigner la peur, le stress dans lequel on est habitué à vivre.
Faisons le compte de nos moments de stress dans une journée, et le compte de nos moments de joie sereine.
On observe depuis deux ans une dérive de la mortalité dans des tranches d’âge qui ne sont pas ou très peu touchés par le virus à la mode. Et on observe aussi une dérive des maladies cardiovasculaires dans ces mêmes tranches d’âge en dessous de 65 ans.
Alors une fois de plus on attribue cela au virus. Mais il n’y a pas de preuve de cela, ou alors on peut toujours faire parler les chiffres selon ce qu’on veut démontrer.
En tout cas, vivre dans un stress permanent, ça c’est prouvé, génère des maladies cardiovasculaires, et d’autres maladies, dont la dépression, les troubles nerveux etc… les chiffres impressionnants des plaintes remontées par le corps médical suite aux injections du produit mal nommé vaccin (ce n’est pas un vaccin) ne sont peut être autant liés au produit qu’au stress, y compris le stress lié à l’injection elle-même.
Une fois de plus, vivre dans le flux des médias est anxiogène, génèrant des maladies et des complications mortelles dans un certain nombre de cas. Ce n’est pas la faute des médias, car les médias vont seulement là où le vent va : l’audience ! Si l’audience des mauvaises nouvelles baissait, les mauvaises nouvelles seraient moins nombreuses, et si l’audience des bonnes nouvelles montait, il y aurait plus de bonnes nouvelles. Ensuite on dirait : ah c’est cool le monde va mieux ! non ! le monde ne va pas ni bien ni mal, le monde va, la vie va, tout simplement.
Nelson Mandela : » si tu parles à quelqu’un avec le langage que la personne comprend, ton message ira à son mental; Si tu lui parles dans son langage, alors ton message ira à son coeur «
ça me renvoie au libre de T Robbins quand il explique comment capter les codes de la personne que tu as en face de toi. A étudier de plus près, même si je pense que nous avons un don naturel à capter le langage de l’autre.
je fais aussi le constat d’un paradoxe : dès lors que l’affect est en place, on se perd d’autant plus facilement, et on se déconnecte vite du langage de l’autre et du vrai message qu’on veut faire passer, car on le fait à notre manière, car on estime que l’autre nous connait suffisamment pour nous connaitre, que l’autre devrait être dans notre tête … oui, dans la tête, mais jamais dans le coeur !
C’est une erreur dramatique que nous commettons trop souvent, alors que c’est une personne avec laquelle on veut être connecté. C’est le cas avec la famille, les conjoints, les amis très proches. Dans ces moments, l’autre n’est plus que le personnage qui est censé avoir la perfection nécessaire à nous comprendre, et l’autre devient ainsi l’incarnation de notre incompréhension : mais c’est quand même pas compliqué, il/elle devrait me comprendre assez pour savoir ce que je veux dire dans mon langage, je ne devrai pas avoir à traduire dans son langage, et perdre mon temps, je veux pouvoir m’exprimer directement. Alors l’autre « devient mes émotions » de colère, de frustration, qui sont des tristesses et des confusions, autant de messages qui veulent dire » s’il te plait j’ai un besoin qui n’est pas nourri » mais tellement mal formulés…
Les théoriciens de l’affect nous emmènent parfois trop loin dans le détachement. Nous sommes des êtres spirituels qui faisons une expérience matière, et nous sommes donc quand même matière, nous vivons dans la matière. Tant que nous sommes ici sur cette planète merveilleuse, nous y avons une mission terrestre. Respectons celà.
l’Amour n’est pas matière, ni extérieur, il est là dans le coeur de chaque-Un, et n’a pas besoin d’un autre pour être. L’Amour n’est pas quelque chose qui se vit à deux, dans le sens d’une relation amoureuse, ou avec un enfant dans le sens de l’amour maternel.
L’Amour, avec un grand A, est dedans de nous, il n’est pas matière, il est silence, humble, discret, gratitude, compassion, intégré, absolu.
Ceci dit, l’Amour ne peut pas indéfiniment aller vers l’ailleurs infini de l’Éternité, pour un être humain. Pour un humain, il faut une destination de l’Amour.
Pas une personnification, ce qui est un piège, mais une destination, un miroir, toujours partiel et toujours déformant, de l’Amour.
» il est rare que les gens qui réussissent ne prennent pas de plaisir à ce qu’ils font » – Dale Carnegie.
… réfléchissons un peu, sans se forcer à trouver le contre-exemple : ceux qui réussissent leur vie, c’est à dire ceux qui sont heureux, le font toujours par et avec plaisir !
je ne parle pas de la réussite sociale : combien de burn-out parmi les managers…
La Joie : le plaisir, ce qu’on aussi nomme souvent l’amour, la joie sous toutes ses formes, sérénité, explosive, apprenante, restauratrice, reposante, souriante, et tant d’autres formes de Joie, est le moteur de nos réussites réelles, celles qui nous portent.
La joie réelle ne peut venir que de l’intérieur. Ceux qui font dépendre leur joie des éléments extérieurs se mettent en état de dépendance : dépendance affective, dépendance aux comportements des autres, dépendance à l’environnement. La Joie se vit n’importe où.
La Joie se vit uniquement au présent. On n’a jamais de Joie dans le passé ni dans le futur. Faire dépendre sa Joie de circonstances futures, c’est vivre dans la dépendance à la réalisation de ce futur. Ce n’est pas la Joie. Et une fois que ces circonstances sont réunies, la Joie ne dure pas longtemps : parce qu’elle dépendait d’éléments extérieurs et extra-temporels. La Joie se vit uniquement au présent ! On peut construire une autre Joie pour le futur, mais on ne peut vivre que la Joie au présent.
Chaque Joie est unique, comme nous tous sommes Uniques
Personne n’a la Joie de quiconque autre. Chacun a sa Joie, faite d’une foule d’ingrédients. Les perceptions ne sont pas identiques, le sens que nous donnons à chaque mot de notre vocabulaire n’est pas identique, nos expériences de vie sont très différentes. Les coach-consultants vous donneront des listes de recette toutes faites : soit celle du coach, soit dans le meilleur des cas en fonction d’un profil qui vous catalogue, vous standardise.
Voilà notamment pourquoi en coaching, je souhaite que la personne que j’accompagne génère sa propre Joie : en fonction de sa façon de fonctionner, de ses capacités naturelles, de ses valeurs, la Joie est propre à chacun.
Car un objectif réalisé sans la Joie profonde, ce qui nous fait vibrer, ce qui vient des tripes, n’est pas porteur, pas nourricier. Je veux que mes coachés s’épanouissent, se sentent vivre, et ressentent dans leur corps comme ils sont vivants !
Je ressens de la Joie à être là, je ressens de la Joie quand tu es là. C’est ma Joie, et elle ne dépend que de moi. Merci.
tu rêves de printemps, les cris des enfants,
tapis de fleurs s’éveillent, tes yeux s’émerveillent
rosée scintille dans les champs, le soleil timide s’y étend
un frisson te traverses, fraiche caresse
tu rêves de printemps, les souffles des amants,
les jours s’allongent, libre le cheval sans longe
les oiseaux en fête, le lièvre s’échappe, en fait
tu rêves d’été, le vent dans le grand marronnier,
te lever tôt pour profiter, marcher et respirer
avant que le soleil écrase, sans pitié la plaine rase
refuge en forêt, calme et fraicheur
Fabrice Midal a lancé début 2022 un teaser autour des 5 portes de la spiritualité. Avant de plonger dans la signification précise de l’auteur, j’ai laissé mon inspiration (in-spirit, en spiritualité) courir sur les mots inscrits sur les 5 portes :
Agir : la créativité : Je suis dans l’action, plutôt que dans les pensées et les opinions et toute forme de jugement. La réflexion est celle destinée à l’action. Mon action est tournée vers la créativité lumineuse, et la bienveillance est son socle, la gratitude son moteur, l’amour son énergie.
– Voir : l’intuition. Mon discernement est en constante progression. Pour cela je fais en sorte que mon cœur mon corps mon esprit soient en bonne forme, ils constituent une unité : je suis. Ainsi mon chemin s’éclaire constamment, mon intuition augmente et je distingue nettement les messages que la Vie m’offre.
-être en relation : le monde extérieur
Je suis conscient que j’ai ma propre carte du monde, et que chaque un est différent. Je sais que nous sommes tous uniques et c’est une énorme richesse. Je suis en relation avec moi m’aime et les autres, par l’intuition, par ma sensibilité, par mon ouverture au monde. Je peux ainsi apporter ma Paix et la recevoir.
– sens de complétude
Tout ce que je fais se rempli chaque jour de congruence, de cohérence, de cohésion, de résilience. Ainsi le chemin de ma vie est naturel et correspond pleinement à ce que je suis, et ce que je suis correspond à ce que je veux être. Au lieu de choisir inconsciemment mon chemin de vie, je dirige ma vie et j’en suis responsable : je réponds à la vie
– sentiment d’être en paix
Je m’abandonne, j’accueille et j’accepte tout ce qui me vient, et je prends conscience que je choisis ma manière de vivre ce qui vient de l’extérieur à moi. Chaque instant je veux choisir la paix, c’est comme ça que je vais l’émettre, chaque instant c’est moi qui choisis la voie de l’amour, je sais que c’est difficile, mais l’amour est la seule réponse : « Love is the only answer, hate is the root of cancer » dit la chanson. Chaque jour mon sentiment de paix augmente, elle m’éclaire et me sert de guide.
Est ce si difficile d’aimer ? C’est la question que j’ai à moi m’aime en ce moment.Ce n’est pas difficile d’aimer, aimer est ma nature m’aime ! Aimer c’est facile, c’est ma nature ! Ce sont toutes les barrières que je mets moi entre moi et aimer, qui me séparent de l’amour de tout en tout.
Aimer est ma nature m’aime. Je m’en sépare par mes pensées, mes opinions, mes certitudes, et même par mes cellules qui ont appris à : à me méfier, à m’éloigner, à reculer, à rejeter, par les expériences de peur, on appelle cela des traumatismes, nés de peur.
C’est la peur et tous ses enfants qui me séparent d’aimer. Non seulement on ne peut pas être à la fois dans l’amour et dans la peur, mais ce sont les deux pôles qui éloignent l’autre. La peur m’empêche de vivre dans l’amour, l’amour empêche la peur.
Accepter, m’abandonner et accueillir ce qui est. Et aimer ce qui est, aimer chaque être tel qu’elle est. Voilà ma nature.
En ces temps difficiles, il devient encore plus difficile d’aimer ce qui est, ceux qui sont à nos côtés. C’est pourtant le défi qui m’est posé par la Vie : aimer ce qui est, par delà les haines et les aveugléments, au delà des inconscientes maltraitances.
Lâcher prise, lâcher les barrières et les renverser une à une, aimer même Celui qui est mon bourreau, cesser d’être victime, me libérer des chaînes de la peur.
Et vivre enfin et de plus en plus dans cet autre amour, celui qui est là, en moi, puisque je suis amour, cet amour qui n’a besoin de rien pour être, nulle nourriture, c’est une énergie universelle et infinie, nulle raison car elle se suffit à elle-maime.
Et pour célébrer celà, la Vie m’a offert ta présence, qui que tu sois qui lit ces mots, toi qui es, toi que je veux aimer au-delà de tous ces raisonnables que sont les barrières de l’existence, celles qui nous séparent peut être.
Je veux aimer au delà de la raison, parce que l’amour n’a pas de raison, l’amour n’a pas besoin de bonne ou mauvaise raison pour aimer, il est, et je suis amour.
Je veux aimer parce que l’amour n’est nulle part qu’en moi, si tu le veux, laisse moi me regarder dans le miroir de ton amour, car tu es amour.
Regarde toi dans le miroir de mon amour, celui qui est vivant et qui danse en toi entre les mots lus : il t’appartient, il est en toi, il est toi, tu es l’amour.