Étiquette : Textes (Page 21 of 26)

Les 5 portes la spiritualité réinterprétées

Fabrice Midal a lancé début 2022 un teaser autour des 5 portes de la spiritualité. Avant de plonger dans la signification précise de l’auteur, j’ai laissé mon inspiration (in-spirit, en spiritualité) courir sur les mots inscrits sur les 5 portes :

 

Agir : la créativité : Je suis dans l’action, plutôt que dans les pensées et les opinions et toute forme de jugement. La réflexion est celle destinée à l’action. Mon action est tournée vers la créativité lumineuse, et la bienveillance est son socle, la gratitude son moteur, l’amour son énergie.

– Voir : l’intuition.  Mon discernement est en constante progression. Pour cela je fais en sorte que mon cœur mon corps mon esprit soient en bonne forme, ils constituent une unité : je suis. Ainsi mon chemin s’éclaire constamment, mon intuition augmente et je distingue nettement les messages que la Vie m’offre.

-être en relation : le monde extérieur
Je suis conscient que j’ai ma propre carte du monde, et que chaque un est différent. Je sais que nous sommes tous uniques et c’est une énorme richesse. Je suis en relation avec moi m’aime et les autres, par l’intuition, par ma sensibilité, par mon ouverture au monde. Je peux ainsi apporter ma Paix et la recevoir.

– sens de complétude
Tout ce que je fais se rempli chaque jour de congruence, de cohérence, de cohésion, de résilience. Ainsi le chemin de ma vie est naturel et correspond pleinement à ce que je suis, et ce que je suis correspond à ce que je veux être. Au lieu de choisir inconsciemment mon chemin de vie, je dirige ma vie et j’en suis responsable : je réponds à la vie

– sentiment d’être en paix
Je m’abandonne, j’accueille et j’accepte tout ce qui me vient, et je prends conscience que je choisis ma manière de vivre ce qui vient de l’extérieur à moi. Chaque instant je veux choisir la paix, c’est comme ça que je vais l’émettre, chaque instant c’est moi qui choisis la voie de l’amour, je sais que c’est difficile, mais l’amour est la seule réponse : « Love is the only answer, hate is the root of cancer » dit la chanson. Chaque jour mon sentiment de paix augmente, elle m’éclaire et me sert de guide.

Est ce si difficile d’aimer ?

Est ce si difficile d’aimer ? C’est la question que j’ai à moi m’aime en ce moment.Ce n’est pas difficile d’aimer, aimer est ma nature m’aime ! Aimer c’est facile, c’est ma nature ! Ce sont toutes les barrières que je mets moi entre moi et aimer, qui me séparent de l’amour de tout en tout.

Aimer est ma nature m’aime. Je m’en sépare par mes pensées, mes opinions, mes certitudes, et même par mes cellules qui ont appris à : à me méfier, à m’éloigner, à reculer, à rejeter, par les expériences de peur, on appelle cela des traumatismes, nés de peur.

C’est la peur et tous ses enfants qui me séparent d’aimer. Non seulement on ne peut pas être à la fois dans l’amour et dans la peur, mais ce sont les deux pôles qui éloignent l’autre. La peur m’empêche de vivre dans l’amour, l’amour empêche la peur.

Accepter, m’abandonner et accueillir ce qui est. Et aimer ce qui est, aimer chaque être tel qu’elle est. Voilà ma nature.

En ces temps difficiles, il devient encore plus difficile d’aimer ce qui est, ceux qui sont à nos côtés. C’est pourtant le défi qui m’est posé par la Vie : aimer ce qui est, par delà les haines et les aveugléments, au delà des inconscientes maltraitances.

Lâcher prise, lâcher les barrières et les renverser une à une, aimer même Celui qui est mon bourreau, cesser d’être victime, me libérer des chaînes de la peur.

Et vivre enfin et de plus en plus dans cet autre amour, celui qui est là, en moi, puisque je suis amour, cet amour qui n’a besoin de rien pour être, nulle nourriture, c’est une énergie universelle et infinie, nulle raison car elle se suffit à elle-maime.

Et pour célébrer celà, la Vie m’a offert ta présence, qui que tu sois qui lit ces mots, toi qui es, toi que je veux aimer au-delà de tous ces raisonnables que sont les barrières de l’existence, celles qui nous séparent peut être.

Je veux aimer au delà de la raison, parce que l’amour n’a pas de raison, l’amour n’a pas besoin de bonne ou mauvaise raison pour aimer, il est, et je suis amour.

Je veux aimer parce que l’amour n’est nulle part qu’en moi, si tu le veux, laisse moi me regarder dans le miroir de ton amour, car tu es amour.

Regarde toi dans le miroir de mon amour, celui qui est vivant et qui danse en toi entre les mots lus : il t’appartient, il est en toi, il est toi, tu es l’amour.

Namaste.

Aimer vraiment, un petit truc au passage

Inspiré de  » le pouvoir de l’Amour  » de Don Miguel Ruiz

Aimer, c’est aimer sans intérêt propre, sans conditionnels. Dans toute relation, chacun est responsable de sa moitié de la relation, mais pas celle de l’autre.

Aussi, ne pas vouloir contrôler l’autre est essentiel pour ne pas tomber dans les jugements et les conditions. Car ce n’est alors pas aimer l’autre personne, mais ce serait aimer la personne que l’autre devrait être selon sa propre image.

Or, personne ne sera jamais comme on voudrait que l’autre soi ! C’est une illusion.

Aimer, c’est aimer sans poser de conditions, et c’est aussi sans intervenir dans son Être. C’est lui faire confiance quand ça ne va pas, l’encourager et valoriser, lui dire qu’on a pleinement confiance en ses capacités, et ne pas vouloir faire à sa place.

Aimer, c’est aimer sans condition : de façon inconditionnelle.

TRUC POUR PRISE DE CONSCIENCE : imagine que tu as un chien. Tu t’occupes de lui, tu le promènes et tu joues avec lui, tu le nourris et il te fait la fête quand tu rentres. Si tu as un chat, voudrais-tu que le chat se comporte comme le chien ? Non ! Evidemment non ! Et l’inverse n’est pas moins faux !

Donc, pourquoi s’acharner à attendre de ses enfants, de son conjoint, de ses amis ou de ses collègues, ou même du gouvernement qu’ils se comportent comme autres que ce que chaque-Un Est ?

Nous avons chacun une carte du monde personnelle, singulière, et aimer c’est respecter ce que chaque-Un EST !

S’il y a des comportements qui ne correspondent pas, c’est qu’ils ne correspondent pas à ce qu’on attend : c’est un besoin en soi qui n’est pas nourri. L’autre n’est qu’un stimulant. Mais le besoin non nourri est en soi, pas dans l’autre ! L’autre peut aider à ce que ton besoin soit nourri, mais il ne pourra jamais le faire à ta place.

C’est comme ça que trop de personnes placent leur équilibre interne entre les mains d’autres, dont ils deviennent esclave en les maltraitant jusqu’à ce qu’ils fassent comme il leur convient. Les besoins ne sont cependant jamais vraiment nourris, c’est une dépendance qui se crée.

Donc, ne faisons pas de nos relations avec les humains ce qu’on ne demande même pas à nos chats ou nos chiens, et même pas à nos poissons rouges : respectons et recevons chaque-Un de façon inconditionnelle, pour profiter des formidables richesses qui s’y trouvent en vérité !

 » Quand tu réalises que toutes choses changent, alors tu cesses enfin de vouloir les retenir  » – Lao Tseu

 » Quand tu réalises que toutes choses changent, alors tu cesses enfin de vouloir les retenir  » – Lao Tseu

 

On ouvre alors les portes à ce qu’on appelle le lâcher-prise. A quoi ça sert de lâcher-prise ?  Ca sert à prendre du recul.   Ca sert à ne pas bloquer la vie.

Quand on se trouve devant un changement dans ce qui constitue notre réalité, on a tendance à retenir, et à rectifier, à revenir à la situation d’avant.

Pour quelle raison ? Cela arrive quand le changement s’opère sur un ou des éléments extérieurs sur lesquels reposent la sécurité, l’harmonie avec le monde, l’amour de l’autre. Un équilibre est rompu, un statu quo qui tournait tranquillement devient chaos.

Nous pouvons trouver de nombreux exemples de chaos. Un deuil en est un exemple très parlant. L’autre n’est plus là, la relation à cet autre change alors. Tous ceux qui ont vécu le deuil d’un proche savent dans leur chair à quel point une partie de soi est arrachée. C’est ensuite le processus de deuil, que j’appelle un processus de vie, et un processus vital, qui se met en route. Processus de vie, car alors la vie se ré-invente.

La vie continue sans nous, elle s’insinue partout, elle avance sans nous, elle ne nous attend jamais. C’est un processus inexorable. Dans sa grande arrogance, l’homme croit encore que la vie s’arrête quand il s’arrête, ou quand il le décide. C’est une preuve de faiblesse que de mettre fin à l’existence d’une personne, ou de l’enfermer, car la Vie, elle, continue toujours. D’ailleurs, ceux qui tuent ne tuent que de la matière, ils ne tuent jamais la liberté de penser, et renforcent en eux-mêmes, pour toute leur existence, ce qu’ils pensent avoir tué en tuant les personnes : ils ont tué personne, en fait, mais ne tuent jamais un Être, car Être est, n’a pas de forme ni de temporalité, ne peut être stoppé.

Quand on veut retrouver  » la vie d’avant  » on retient ce qui n’existe déjà plus. Même hier n’existe plus. Ce qui nous donne l’illusion qu’aujourd’hui est la continuité de hier, c’est l’illusion que nous avons de contrôler la vie. Moins elle bouge, plus nous avons l’impression qu’aujourd’hui ressemble à hier. Et c’est comme ça que nous nous retrouvons à avoir des jours qui passent vite, des semaines qui passent vite, des mois et des années, et la vie passe à une vitesse folle. Un jour, on se rend compte qu’on n’en a qu’une, et qu’elle est passée.

Retenir la vie d’avant est une illusion, car la vie ne recule jamais. Ce qui existe, par contre, c’est un nouveau lendemain, c’est du neuf, c’est de construire à nouveau, d’inventer et de réinventer la vie qu’on a.

Pour inventer du neuf, la recette est-elle de vouloir à tout prix revenir à la vie d’avant ? Quand c’est possible, on trouve des éléments extérieurs qu’on désigne coupables. Mais ce n’est que reculer l’échéance, finalement.

En voulant retenir la vie d’avant, tu t’opposes à vivre la transformation déjà à l’oeuvre.

06012022

Finalement l’émotion monte en moi, celle de la peur suite à la nouvelle escalade de violence de cette loi de pass vaccinal.

Les vaccinés qui étaient tentés de ne pas faire la troisième dose vont rentrer dans le rang.

Les non vaccinés encore plus mis à l’écart.

Mais ce qui est plus difficile c’est le regard des autres, je suis le méchant égoïste et responsable de leur malheur. Je fais un peu semblant mais ça me travaille.

Et puis personne pour en parler. Juste exprimer, mieux pouvoir une fois peut être pleurer pour expulser la peine, l’effroi, la perte.

Je ne veux pas savoir quelle sera la prochaine étape de cette escalade, mais le peuple a peur et se couche, doute mais suit comme un troupeau de moutons, mais ceux qui vont à l’abattoir ce sont les méchants, les autres.

Ce sont des voisins, des collègues et des membres de la famille, mais malgré ça chacun préfère se coucher.

Comment faire ?

Défiler en silence chaque lundi soir avec une bougie à la main avec comme seul slogan liberté et tolérance, où encore bouder les restaurants et les ciné, organiser des sessions de sport ou d’activité culturelles et des repas libres, arrêter de dénoncer les personnes cas contact, réclamer la liberté et particulièrement pour les plus démunis, ne pas agresser le camp d’en face mais lui demander de respecter les besoins de tous avec honnêteté et sans discrimination et sans aucune forme de violence, demander que les vaccins soient utilisés selon leur destination médicale initiale seulement, demander l’honnêteté aux médias, bouder les médias … et tant d’autres choses qui sont possibles … si on veut, tout ça sans même perdre cette fameuse  » liberté » « comme avant »…

Mais c’est une illusion je le crains, car les méchants seront bientôt encore beaucoup moins nombreux, ils ne sont déjà plus beaucoup, il faudrait que le peuple soit touché dans sa totalité.

Donc les non vaccinés sont désormais des sous citoyens, comme le sont déjà des minorités ethniques, culturelles ou religieuses dans certains pays.

Ça fait partie du paysage, seuls quelques groupes isolés arrivent à se faire entendre parfois, quand les médias en parlent ou pas, puis les médias les oublient et les peuples aussi.

Pas besoin de museler les peuples, les peuples s’auto domestiquent.

Il en est ainsi au travers de l’histoire de l’humanité et actuellement aussi au travers de la planète.

On connait parfois même pas l »existence de ces humains particuliers. Ici aussi, en France, il y a déjà ces discriminations, acceptées, normalisées : personnes de certaines apparences, femmes, handicapés, musulmans, juifs, « jeunes », partout le bon et le mauvais séparent les humains des autres. tout est basé sur  » l’autre est le méchant », l’autre est partout.

Être coupé des autres c’est se couper de soi.

Tous ces constats ne servent à rien, ça ne sert à rien de les dire, tout le monde se retrouve dans un désert de coeurs desséchés, par la peine ou la haine et la peur et la culpabilité, réduits en sable d’amour, sable soulevé par le vent de l’amour pour emporter ces poussières d’amour vers le ciel, où rien ne meurt, tout se transforme… la Vie est toujours gagnante, elle n’a pas besoin des humains, mais les humains ont besoin d’elle, mais ils l’ont oublié….

Les perceptions créent notre réalité

(Inspiré de D Chopra, Getting Unstuck, Day 7)

Notre réalité est faite de nos perceptions. Ce qui nous arrive est dénué de sens. Ce qui nous arrive n’a pas d’intention, pas de couleur, pas de flaveur, pas de signification, pas de direction, aucun sens. Tout EST, tout simplement, et tout ce qui EST n’est rien d’autre que EST.

Tout ce qui donne un sens, une signification à ce qui nous arrive, est « inventé » à partir de la manière dont nous percevons ce qui nous arrive. Nous ressentons et colorons tout ce qui nous arrive.

Etant donné qu’aucune situation n’a de sens en elle-même, c’est notre créativité qui peut lui donner un sens. Chacun a le pouvoir de colorer toute situation à sa manière.

La coloration de la vie lui donne son sens

Tous les jours nous colorons ce qui nous arrive de sens, et nous le faisons souvent inconsciemment. Chacun donne la couleur à ce qu’elle/il perçoit en fonction d’un tas de choses, à commencer par son expérience passée, la pression des autres donc de l’environnement, des règles que nous avons assimilées, des chiffres que nous avons gobés etc…

Et ces perceptions nous mènent à des pensées et des opinions, puis à des émotions, et enfin à des comportements souvent inconscients et elles génèrent des résultats ! Par exemple s’exposer aux rabachages forcément négatif des médias mène à penser et juger tel actualité comme anormale ou menaçante ; Cela génère des émotions négatives et du stress ; Ce qui mène à pensées angoissées et hostiles ; Ce qui nous mène à des actions (ou à de l’inaction) qui correspondent cela : Ce que mène à des résultats ! Or, on n’a jamais vu quelqu’un d’angoissé ou de colérique avoir un comportement joyeux et créatif de changement positif … alors pensez à une communauté ou un pays tout entier qui vivrait dans une crainte collective permanente …

Colorer en « bien » et « mal » ce que nous vivons donne un sens à notre vie qui est génère des comportements automatisés et inconscients de jugements automatisés « bien » ou « mal ». Pourtant, ces colorations divisent et génèrent de la violence. Pensez à la manière dont des peuples tombent facilement dans le  » nous contre eux  » durant une crise, cherchant un groupe cible à blâmer, le désigner comme coupable.

Prendre conscience de notre pouvoir sur nos réalités

Arrêt sur image : qu’est-ce qui m’OBLIGE à percevoir la pluie comme un évènement négatif ? Rien ! c’est un choix !   Qu’est-ce qui m’OBLIGE à percevoir tel comportement de telle personne comme « mal » ? Personne ! c’est mon jugement, fait à partir de mes perceptions !

Selon mon expérience passée, je peux percevoir le vélo comme un engin très dangereux qui devrait être interdit sur route tandis que mon voisin le considère comme un engin très utile, écolo et que tout le monde devrait adopter. Voilà deux perceptions qui mènent des jugements limités et partiels.

Selon la perception, la même situation peut sembler, et être vécue, comme noire ou lumineuse, joyeuse ou triste, pleine de promesses ou désespérée, gentille ou hostile, égoïste ou bienveillant, empathique ou indifférent. Non parce que ce sont des réalités, puisqu’elle est faite de nos perceptions, mais parce que nous faisons le choix de colorer d’une certaine manière nos perceptions. Et il est tentant et confortable d’abandonner sa créativité pour se conformer et adopter la manière que d’autres voient les choses. Mais nous avons objectivement le choix de reprendre le pouvoir sur nos perceptions.

Le choix

Quand il arrive un évènement qui change le cours de la  vie, chacun a le choix de décider soit d’en faire quelque chose de négatif soit quelque chose de positif. Chaque personne donne une couleur différente à un même évènement.

Alors si on veut que la vie soit meilleure, il ne sert à rien d’espérer que les évènements changent, car les évènements n’ont pas de signification.

Pour avoir une vie meilleure, il faut commencer par être ouvert et d’autoriser une nouvelle façon de percevoir les choses. Développer une autre conscience, celle avec un grand C : la Conscience. C’est d’abord ne pas chercher des opinions et des attitudes que d’autres approuvent. C’est aussi prendre conscience que la perception a du pouvoir.

Le pouvoir de créer sa réalité

Les humains sont les seuls animaux à être autant sensibles au sens qu’on donne à tout : par le langage, nous interprétons tout ce que nous voyons, sentons, ressentons, goutons, entendons, tout ce qui nous est sensible. Or, les mots sont porteurs de sens, et ce qui nous arrive se charge de sens et perd sa neutralité initiale. C’est ce qui distingue notamment les comportements des petits enfants ou des animaux des adultes « éduqués ». Rien que  » il pleut  » ces mots donnent un sens à la pluie, et nous sommes souvent incapables de prendre la pluie pour ce qu’elle est.

La coloration que nous donnons à tout ce qui nous arrive est d’une puissance colossale, et tout ce qui nous arrive constitue ce que nous appelons notre existence : c’est le tableau de notre réalité. Nous pouvons avoir des journées, et semaines, des mois et des années et toute une vie soit « nulle », « banale », « résignée », « subie » ou alors joyeuse et remplie de bonheur.

Quand on prend conscience que c’est nous qui donnons la coloration à tout ce que nous percevons, que nous pouvons réaliser que nous sommes chacun le peintre de notre réalité personnelle. Ca veut dire qu’on peut changer l’image, quand on veut.

Ca veut dire qu’on peut arrêter d’adopter la coloration négative que d’autres veulent nous faire passer pour  » la réalité « , et donc qu’on peut cesser d’adopter comme des moutons les pensées, opinions et comportements que d’autres décident à notre place. En ouvrant le champ du possible de nos perceptions, nous générons d’autres émotions ! Et en ayant d’autres émotions, plus positives, notre attitude change, et les résultats aussi : notre existence s’améliore.

En décidant cela, nous ouvrons une curiosité positive, et nous avons plaisir à découvrir notre propre vision des choses ; Nous savons mettre de la distance avec ce qui arrive ; Nous savons nous distancier du jugement ; Nous savons prendre de la distance avec ceux qui veulent nous imposer leurs façons de voir les choses.

Le concept de mort n’est il pas lié au concept de temps ? Si je ne suis pas lié au temps, je n’ai pas de mort.
La mort est un égrégore. Une illusion. Une chaîne. Elle limite ma vie. Elle est le temps. Le temps m’empêche de vivre dans le présent. Le temps est la mort. Le temps stoppe la Vie
Il n’y a pas de parcours de vie, je suis ma vie !
Le temps n’existe pas.

Si l’existence se déroulait sur une ligne de temps, toi et moi serions dans des temps différents. Tu serais à 46 ans et moi à 27 (oui je sais je fais pas mon âge, merci c’est sympa)

Or nous pouvons vivre le même moment présent. Car nos existences terrestres sont dans le moment présent.

Le passé n’existe pas ni le futur, car ton passé n’est pas le mien ni celui de quiconque.

Personne n’est jamais allé dans le passé. La mort se définit comme la fin du passé. Si je n’ai pas peur du passé et si je n’y crois pas, je n’ai pas peur de la mort. Me libérer du passé c’est me libérer de la mort.

Car le passé est mort. La mort est passé.

Personne n’est trop vieux ou trop jeune, chacun est dans son temps de vie, à savoir son présent. Être présent c’est être au présent, c’est tout simplement être

Utilise tes mains !

« Grand-Maman, que faire avec la souffrance ?
– Utilise tes mains mon enfant ! Si tu utilises ton mental, la souffrance s’accentue.
– Mes mains ?
– Oui, oui ! Nos mains sont les antennes de notre âme.
Quand tu les utilises en cousant, en cuisinant, en peignant, en touchant le sol ou en les plongeant dans la terre, tes mains envoient des signaux d’amour au plus profond de toi et ton âme se calme. Et elle n’a plus besoin de la souffrance pour que tu prennes soin d’elle.
– Les mains sont-elles vraiment si importantes ?
– Oui, pense aux bébés, ils découvrent le monde en le touchant. Quand tu regardes les mains des personnes âgées, elles t’en racontent davantage sur leurs vies que n’importe quelle autre partie de leur corps.
Il est dit que tout ce qui est « fait main » est fait par le cœur, parce que c’est vrai, les mains et le cœur sont connectés. Les masseuses le savent. Quand elles touchent le corps de quelqu’un avec leurs mains, elles créent avec cette personne une connexion profonde. Pense aux amoureux, quand ils se prennent la main, ils subliment leur amour.
– Grand-Maman, depuis combien de temps n’ai-je pas utilisé mes mains de cette façon ?
– Utilise-les, mon enfant ! Crée de tes mains ! Et tout à l’intérieur de toi se transformera ! La douleur ne disparaîtra pas, mais elle se métamorphosera en la plus merveilleuse des œuvres d’art. Elle ne te fera plus souffrir. Parce que tu auras réussi à embellir ton essence. »
Elena Barnabé

Vis dans le présent

Le regret ne change rien au passé, il t’empêche de vivre sereinement l’instant présent : maintenant.
L’inquiétude ne change rien au futur, elle te coupe de vivre sereinement l’instant présent : maintenant.
Vis au présent !

j’entends parfois des paroles résignées : « si c’était si facile à faire qu’à dire … ».

Alors comment faire ? …
Et si pour une fois, quelque chose n’était pas compliqué, ni réservé à une élite, ni payant, ni à apprendre ? Si pour une fois, c’était juste la vie ?

Et si tu t’accordais, à toi même, juste un temps pour t’arrêter, et observer.
L’as-tu déjà fait ? Arrêter de cogiter, de planifier, de calculer, arrêter en fait de s’inquiéter et de regretter permet en soi-même de commencer à faire de l’espace en soi : c’est dans cet espace que grandit la sérénité.

Observer sans analyser, sans réfléchir, sans mesurer, sans attendre la suite. Qu’y-a-til devant toi ? un écran ? un mur ? un paysage ? peu importe, observe juste, sans poser des noms, des définitions, des intentions, des utilisations, des couleurs, des formes…
et là, pose ton regard sur un objet, un paysage, évite les mots et les photos de personne chère. Ensuite défocalise ton regard, ne fixe rien.

maintenant ton regard se pose, tout simplement, il se pose…
…et là, tu peux sentir que en fait, tu respires,
que en fait tu entends d’autres sons,
tu ressens certaines parties de ton corps, qui se manifestent parce qu’elles se détendent.
peux maintenant respirer, profondément, tu sens comme le diaphragme se détend.

c’est dans cet espace que grandit la sérénité. ça n’a l’air de rien, comme ça. C’est du temps perdu ? Façon de voir…justement, en faisant cela de temps en temps, tu vois les choses d’une autre manière, ce qui est si important perd de sa criticité, les urgences prennent du recul, et l’espace grandit à chaque fois un peu plus…

Tu peux maintenant retourner dans le mental, dans tes tâches du quotidien, du travail, de la vie de famille…quand tu reviendras à ce moment de déconnexion, tu te rendras compte que c’est au contraire une autre connexion, une connexion à ta paix intérieure qui se met en place.

La paix, elle se trouve là, à l’intérieur, elle ne vient pas de l’extérieur … elle est toujours là, toujours disponible, tu peux t’y connecter à tout moment, dans les moments de stress, dans les moments où justement tes émotions te prennent…

Respire, observe, défocalise, respire
Respire, observe, défocalise, respire
Respire, observe, défocalise, respire

 

Réflexions sur la Vie, l’Amour, l’Être

Le Calme est le Voile de l’Instant Présent

********************

La division est liée à toutes les souffrances de tous les Êtres

***************

Une vie créative est dynamique, curieuse, ouverte, fascinée par la découverte

********************

Le lâcher prise n’est pas renoncer !

**********************

l’espoir au-dessus du doute
la Vulnérabilité au-dessus de la peur
l’expansion au-dessus de l’inquiétude

******************

rien ne doit changer pour que vous soyez ce que vous êtes déjà
la joie, la détente et la connaissance sont naturelles, c’est ce qui a toujours été là !
la vie ne s’arrête pas, la vie continue
ce qui s’arrête, c’est la création de la souffrance
( Mars 2021)

************************************

Toute rencontre est naissance, co-naissance, re-co-naissance,
les esprits créent l’espace de la communication,
tandis que les âmes créent l’espace de la communion
(d’après François Cheng – Mars 2021)

************************************

Quand deux êtres se rencontrent,
les deux se dissolvent dans l’Un,
car l’Être est UN
(Mars 2021)

************************************

L’esprit raisonne, Le Coeur Resonne   –   Mars 2021

************************************

Quand ce qui m’arrive dans le quotidien se passe dans le bruit des pensées, des émotions et des opinions (croyances) re-penser ce que je croise sur mon chemin, c’est panser pour dé-couvrir l’essence de la vie dans chaque instant, les signes et les messages que chaque instant a portés à mon Être  –   Mars 2021

************************************

Devant une angoisse, une menace, un avenir sombre, devant toute mauvaise nouvelle, devant chaque regret, chaque incertitude
ne choisis pas la peur car non seulement n’empêche pas la mort mais elle entrave la Vie
seul l’Amour mène à la Vie, seul avancer mène à un changement, seul le changement peut te mener vers la lumière. Mars 2021

************************************

You can only change what you are aware of
tu ne peux changer que ce dont tu es conscient

************************************

Ai confiance d’être guidé sans attendre ce que sera le résultat final

************************************

Le changement ne peut survenir que dans l’inconnu : s’ouvrir à l’inconnu, accepter de lâcher ses certitudes, lâcher prise du connu sont des préalables au changement.

************************************

L’inconnu n’est pas un ennemi mais le seul chemin vers autre chose.

************************************

Le passé n’existe pas, n’essaye donc pas de le faire revivre, mais ouvre toi à l’avenir.

************************************

L’autre est en soi, c’est l’être aimé qui n’est qu’un, tout et partout. L’autre est partout, dans le moindre caillou, dans un bruit, dans une chaise, dans tout être vivant et toutes formes et choses.

L’autre être aimé et humain est le révélateur d’une partie de soi, de cette partie de l’être qui se présente comme une aventure à vivre dans le maintenant, dans l’instant présent à construire à deux

4 Février 2021

************************************

Si tu penses que ta vie est banale, rappelle-toi que toi seule vis cette vie, celle que tu vis, toi seul vois la vie à ta manière et toi seule a eu ce parcours de vie ! Il n’y a jamais eu et n’y aura jamais d’autre toi ! Depuis l’aube des temps, tu es unique, et ceci constitue ta complétude. – 20 Janvier 2021

************************************

Tout ce pourquoi on n’arrive pas à dire « Merci » est un  bagage, et tout ce pourquoi on arrive à dire merci est un carburant

************************

On pense qu’on s’est trompé quand on essaie les valeurs de quelqu’un d’autre
et on pense que quelqu’un s’est trompé quand on projette ses propres valeurs sur l’autre

***********************

N’aies pas peur du vide, car le vide t’as enfanté

************************

Si le mort est la non-existence, alors pourquoi avoir peur de quelque chose qui n’existe pas ?

************************

Le doute est la déconnexion avec la Concsience – Deepak Chopra

Notre société est une société de doutes, elle vit dans le passé et dans les projections du futur faites à partir du passé, dont elle va reproduire les mêmes effets. Elle nie la Conscience en reléguant la spiritualité à la sphère personnelle tout en la dénigrant (ETL)

*****************************

Ne t’attaches pas ni aux mauvaises expériences ni aux heureuses, car elles n’existent plus, tu dois vivre l’expérience suivante. Nous avons tendance à rechercher une belle expérience dans toutes les autres suivantes, en voulant la retrouver dans tout ce que nous vivons, mais nous nous dispersons ainsi.

*************************

L’impossible devient totalement possible du moment qu’on le libère
Et tu sais que tu es complètement libéré quand tu n’émets plus la moindre attente

********************

L’intuition est la langue de l’Être (ETL Mars 2021)

tout ce qui m’arrive par le canal de l’intuition est une langue, et si je la comprends de mieux en mieux, je saurais décoder la langue de l’Essence pure dont je suis constitué

****************

Je ne peux pas être proche des autres sans d’abord être en connexion avec moi-même. Ce n’est pas de l’égoïsme que de s’occuper de soi, mais c’est au contraire se permettre d’être proche des autres. Mars 2021

**************************

Sensations + Perceptions = Emotions
avec de l’attention on peut changer cela
pour cela il faut apporter une intention
et peu à peu se fait la révélation
pour rééducation des perceptions, puis les sensations, et donc les émotions

***************

La femme enceinte n’est pas passive. Elle ne décide rien, elle accueille et Elle fait tout ce qu’il faut pour laisser la nature (se) faire. Ayons le même rapport à la vie, à nos difficultés. Un rapport au possible.

***********

 

 

 

« Older posts Newer posts »

© 2025 La Montgolfiere

Theme by Anders NorenUp ↑