Étiquette : Outil de PNL

Dissocition – Technique de PNL – syndrome post traumatique

La procédure est relativement simple.

  1. S’assurer que le client a une réaction de type phobique au stimulus ou au traumatisme. C’est-à-dire qu’en présence de rappels du traumatisme il fait bien l’expérience d’une survenue rapide de peur, de panique, de flashbacks ; Son expérience de vie peut être caractérisée par l’hyper vigilance, il peut être nerveux lorsqu’il est entouré par d’autres personnes, il peut avoir besoin d’être en position de contrôle et est incapable de se sentir en sécurité ; il peut également avoir des cauchemars dans lesquels le traumatisme réapparaît. Le protocole n’est pas approprié aux personnes souffrant de TSPT mais ne présentant pas ces principaux symptômes.
  2. Evoquer le traumatisme, avec ou sans description (La plupart des interventions en PNL peuvent être réalisées sans évocation du contenu)
  3. Interrompre la ré-emergence du trauma dès que le sujet commence à montrer des signes physiologiques liés à sa manifestation. Des changements dans la façon de respirer, la couleur de la peau, la posture, la dilatation des pupilles et la fixité des yeux sont des signes typiques de l’accès à la mémoire. Lorsqu’ils apparaissent, cet état doit être interrompu en réorientant le client sur le moment présent, en changeant de sujet, en redirigeant son attention dans un système sensoriel différent, ou en réutilisant un ancrage préexistant. Peu importe la manière dont cela est réalisé, il est important de stopper le développement des symptômes avant qu’ils prennent le contrôle de la conscience du client.
  4. Après s’être éloigné du traumatisme quelques minutes, demander au client de penser à une situation antérieure au traumatisme dans laquelle il faisait quelque chose d’agréable dans un contexte neutre et en sécurité.
  5. Demander au client d’imaginer qu’il est assis dans un cinéma et qu’il regarde cette scène sur l’écran.
  6. Faire imaginer au client qu’il peut flotter en dehors de son corps (dans le cinéma) et entrer dans la cabine de projection, peut-être derrière une fenêtre épaisse, d’où il peut s’observer, assis dans le cinéma, regardant l’image neutre et en sécurité.
  7. Demander au client de s’imaginer assis en sécurité devant l’écran de cinéma dans lequel passe un film en noir et blanc de l’événement traumatique. Le client est donc dissocié en regardant son propre corps assis dans le cinéma et observant sur le film le passage d’un moment de sécurité avant le trauma à un autre moment de sécurité après le trauma.
  8. A partir du point d’observation et de sécurité de la cabine de projection, demander au sujet de porter son attention sur les réactions de lui-même en tant que spectateur dissocié dans le cinéma pendant qu’il regarde le film.
  9. Répéter le processus du film en noir et blanc jusqu’à ce que le client puisse l’effectuer sans aucune gêne.
  10. Après avoir terminé les films en positions dissociés, demander au client d’imaginer qu’il flotte dans les airs depuis la cabine de projection pour réintégrer son propre corps, assis dans le cinéma. S’étant ré-associé avec ce corps, le laisser imaginer se lever du fauteuil, marcher vers l’écran du film et entrer dans l’image noir et blanc de l’activité neutre et sécurisante, avec laquelle il avait achevé la répétition du film en noir et blanc.
  11. Au moment où le sujet entre dans l’écran du film, demandez-lui d’activer le son, les couleurs, les mouvements, les odeurs et les goûts de la représentation neutre et de sécurité sur l’écran. Puis, demandez-lui de faire l’expérience du film du traumatisme dans tous ses détails sensoriels, à l’envers et très rapidement (deux à trois secondes). Laissez le terminer le film avec une photo de lui-même immobile et en couleurs dans l’endroit neutre et de sécurité dans lequel il se trouvait avant que le problème ait débuté.
  12. Répéter la représentation inversée assez de fois pour qu’elle puisse être effectuée facilement et rapidement, et que le client ait le sentiment d’être à l’aise dans le processus. Lorsque le client peut répéter le processus facilement, sans expérimenter de gêne, le processus est terminé.
  13. Essayer de réactiver le traumatisme. Demander au client d’y revenir, et de penser à des choses qui réactivent d’habitude le problème. Tester le traumatisme d’autant de manières que possible.
  14. Si le client a encore une expérience d’inconfort, répéter le processus du film inversé plusieurs fois encore.
  15. Quand le trauma ne peut plus être rappelé, le processus est achevé

Dépendances Projection dans l’avenir pour rectifier une mauvaise habitude addiction outil de coaching

Exemple de cas – Voir l’avenir

En PNL ou Hypnose

La dépendance emporte la personne dans un état de transe. L’attention est fortement réduite à la satisfaction immédiate de ce qui est désiré dans l’immédiateté : « Je le veux, et je le veux maintenant ». La volonté et toutes les bonnes résolutions sont oubliées ou expulsées.

La conséquence future d’un comportement : dire à un adolescent que fumer pourrait le tuer avant qu’il ait cinquante ans ne sert à rien, parce que ce moment futur n’est pas   » maintenant, c’est maintenant qu’il veut fumer !  » idem pour les autres comportements qui ont comme récompense la dopamine. Sucre, alcool, sexe, drogue, argent, dépenses, dépendance amoureuse, et bien d’autres addictions qui apportent une réponse immédiate en dopamine.

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Un alcoolique a été amené par sa femme. On lui avait dit que s’il continuait à boire au rythme actuel, il mourrait jeune car son foie montrait déjà des signes de dommages.

Par le questionnement il a ensuite été projeté cinq, puis dix et enfin quinze ans dans le futur qui l’attend s’il continue à boire au même rythme.

On lui a demandé de remarquer comment son corps se sentait et de se regarder dans un miroir, en remarquant où était sa famille et ce qu’il faisait dans la vie.  On lui a demandé ce qu’il ressentait dans un corps qui avait bu à un tel rythme pendant si longtemps…

Ensuite on lui a suggéré qu’il pouvait avoir une conscience très réelle de cette réalité à chaque fois qu’il pensait à boire. Par exemple par un ancrage.

Après être revenu dans le présent, on a convenu avec lui de ce qu’il désirait pour son avenir. Aimant l’aspect convivial et appréciant le bon vin, nous avons choisi une consommation modérée d’alcool

Puis on l’a fait progresser à nouveau dans le même futur, dans celui de quelqu’un qui buvait modérément. De nouveau il a remarqué comment était sa vie et ce qu’il faisait, mais cette fois, il avait l’air beaucoup plus sain et heureux.

On lui a suggéré que la réalité de cette progression pourrait s’étendre dans sa vie quotidienne.

 

Tester l’écologie d’un nouveau comportement envisagé

Pont vers le futur

Progression en âge pour tester l’écologie d’un nouveau comportement envisagé

Pour savoir si un nouveau comportement est approprié pour une personne, nous pouvons la faire se projeter en âge jusqu’à un moment où les changements ont eu lieu.

Puis lui demander si elle est satisfaite de sa vie projetée.

S’il y a un désaccord avec l’un ou l’autre ou tous les aspects du résultat du nouveau comportement, il est possible d’y remédier avant qu’elle n’adopte ce comportement envisagé dans la vie réelle, d’ajuster ou de changer.

Anxiété – Outil de Coaching – Steve Andreas

Anxiété – Outil de Coaching – Steve Andreas

 

fermer les yeux

se mettre dans la situation (précise) d’anxiété
ressentir la sensation désagréable :
où se situe-t-elle ? faire préciser car son trajet se précise au fil du ressentir. Bien définir le trajet et l’ordre
Quelle est sa taille ? la forme ?
Quelle est la couleur ?
( Quel son/bruit ? Odeur ? Goût ? Texture ? )
Dans quel sens (rotation) tourne la sensation ? Horaire ou anti-horaire. si ce n’est pas clair, demander à la personne de tester les deux sens et de fixer le sens le plus familier

Ensuite :

Se remettre dans la situation désagréable
Changer le sens de rotation
et et changer la couleur pour une belle couleur
(Modifier les sons, l’odeur, le goût, la texture)

Faire vérifier
Si pas assez, recommencer

Accélerer la rotation dans le sens inverse
faire vérifier si ça s’améliore encore

Faire vérifier pour des situations futures (car l’anxiété est située dans le futur)

Une fois l’expérience réparée, faire appliquer à d’autres situations pour que la personne emporte la méthode avec elle pour qu’elle puisse régler d’autres situations d’anxiété en toute autonomie

 

Pont des Affects – Outil de PNL – Charge émotionnelle

Comme le chemin de vie.

Situation où la personne réagit de la même façon dont elle a réagit lors d’un souvenir ancien mais dont elle voudrait se débarrasser

1 – Raconter la situation non voulue

2 – Quelle est l’émotion ?

3 – Associer la personne à l’émotion  » quand tu penses à cette situation peux-tu ressentir cette émotion  »

4 – Ca se situe où dans ton corps ? (la tension émotionnelle)

5.1 – et y’a-t-il un son un bruit ou un dialogue interne qui accompagne cette sensation corporelle ?

5.2 – et y-a-t-il une image qui accompagne cette sensation ?

6 – Concentre toi sur cette sensation, avec cette image et ce son et associe-les

7 – Tu es la conscience internet et maintenant tu vas revenir à ce souvenir ancien et laisser venir ce qui remonte

*** souvent la personne ne ressent rien ***

+7.1 : Ok ne force rien, laisser de côté la nécessité de trouver un souvenir, mais concentre toi sur les sensations, le bruit et l’image, puis dis-toi à toi-même  » va à la situation initiale quand je ressentais cela  »

8 : « J’aimerais que tu te concentres sur ce sentiment associé avec l’image et le son, et permets à tout ce qui se passe de se produire et demande à ton esprit inconscient d’aller à la première fois que tu as eu ce sentiment. »

REVENIR A LA SITUATION INITIALE comme dans le chemin de vie

 

PNL Traitement de tout facteur psychologique limitatif (dont phobies)

– Livre Grinder et Bandler « les secrets de la communication » page 191 et suivantes;

co = coach
cl= client
fl = facteur psychologique limitatif. C’est généralement une phobie, physique ou immatérielle, une peur irraisonnée.

Origine :  quantité excessive de stimuli = assailli = stress => ceci a mené une décision insconsciente   =>  cl réagit ensuite toujours de la même manière au même stimuli.  C’est une réaction marquée.

1 – co n’a pas du tout besoin de savoir quel est le sujet du fl. ça peut être pratique si le fl est d’ordre intime, ou si cl est très réservé. cl n’a pas besoin d’exprimer le facteur limitatif.

stp note que je n’ai pas besoin de connaitre le contenu de ton FL. C’est souvent déprimant, ça remue le passé. Mais si tu le souhaites, tu peux l’exprimer, simplement nous n’avons pas besoin du contenu, nous traitons le processus qui génère le FL.

Faire perdre l’équilibre de cl : grimaces / postures / bruits / gestes étranges … de préférence en pénétrant la réalité de cl.

2 –  » veux-tu te défaire de ce FL » ?  – vérifier si oui

3 – Donne un nom à ton FL : une fleur, un animal, un prénom, une chose quelconque.

4 – Pense à un moment où tu as exprimé tes pleines capacités,  toutes les ressources d’une personne accomplie, où tu t’es sentie très satisfaite de ce que tu faisais.
Prends ton temps pour retourner à cette expérience.
Observer les changements par vakog.

5 – je voudrais que tu rentres vraiment à l’intérieur de cette représentation afin que tu revives pleinement, ce moment, totalement épanouie, jusqu’à ce que tu sentes ce moment remémoré dans ton corps, dans le ressenti.
ANCRAGE + : Lorsque ce sera le cas, fais un geste – ou –  tends le bras et donne-moi la main – ou – donne le nom d’une chose quelconque à ce qui représente ce moment de personne épanouie

6 – te rappeles-tu du premier moment où est apparu ton FL ?
Réponse : « non »
donc, tu peux remarquer que tu as une réaction intense à un évènement dont tu ne te souviens même pas, c’est peut-être que ce n’est pas l’évènement originel qui te dérange, mais plutôt ta réaction à un stimuli ?
Chercher à faire comprendre que le problème n’est pas dans l’origine mais dans la réaction au stimuli.
Et c’est exactement ce qu’il te fallait, car cette réaction peut te sauver face à un danger. je ne veux pas t’ôter la capacité de réagir face à ce stimuli qui a généré cette réaction systématique comme celle d’une phobie,
Je veux que tu ne sois pas obligée de réagir de la sorte, je veux te laisser le choix d’opter pour une autre réaction.
je veux que tu puisses librement réagir face à ce même stimuli comme la
personne accomplie en pleine possession de ses capacités, heureuse et épanouie.
(laisser le choix, options)

7 – Je vais t’inviter à voyager dans le temps. Dès que tu auras besoin de retrouver les ressources de la personne pleinement épanouie que tu as ressenti tout à l’heure, tu feras le geste  / mot de rappel (ANCRAGE+)

8 – Peux-tu identifier les sensations et émotions qui sont associées à ton FL ?
cl : « oui »
ANCRAGE- : Maintenant fais un petit geste qui est associé à « … » (nom donné au FL)

9 – Ton (ANCRAGE+) représente le lien avec ta force personnelle de personne épanouie et sereine. Nous allons retourner dans un moment où ton facteur limitant est apparu, mais cette fois tu n’éprouveras plus les sensations désagréables associées. Tu te sentiras bien, très bien.

10 – Ferme les yeux. à chaque fois que tu en auras besoin, tu feras ton geste de rappel.

11 –  Maintenant, je veux que tu te postes à l’extérieur en tant qu’observatrice. En faisant le geste de l’ancrage de la FL, et en nommant FL, nous allons maintenant rappeler UN PEU des sensations liées à FL. Juste la fraction de sensations nécessaires à observer saune petite partie de ton FL.

12 – Tu vois une scène tirée de ton enfance. tu es à l’extérieur, tu observes. Prends une photo mentale de cette scène.

13 – Rapelle toi que tu contrôles la quantité de retour dans le passé, que tu peux maintenant choisir.

 

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