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Le sens de la méditation

Le sens de la méditation

« Méditation » (gom en langue tibétaine) provient étymologiquement du mot khom dans la même langue, qui signifie « se familiariser ». Tous les enseignements du Bouddha sont destinés à la méditation, qui est elle-même de deux catégories : de concentration et d’analyse.

La méditation de concentration vise la focalisation de l’esprit, qui elle-même permet la demeure stable et claire sur un objet de méditation choisi. Sa pratique permet l’atteinte du calme mental, qui est la demeure paisible de l’esprit combinée à une totale maniabilité de l’esprit et à un état de grand bien-être physique et mental.

Mes exemples : concentration de l’attention sur la respiration, ou sur le flux inspir/expir de la respiration « j’inspire la lumière de l’énergie, j’expire ce qui doit partir / j’inspire l’amour (pour moi), j’expire l’amour (pour les autres), j’inspire le long de la colonne vertébrale vers le bas/vers le haut ou inversement, j’inspire / expir par le glande pinéale …

La méditation analytique, quant à elle, implique un mouvement de l’esprit, par l’utilisation de différents raisonnements logiques permettant d’éliminer les fausses perceptions et compréhensions qui sont les racines des perturbations mentales et de la souffrance. Elle fait croître la compréhension ou une vision supérieure.

Ex : méditer sur l’impermanence, en explorer les différentes facettes. Selon moi c’est un exercice assez philosophique finalement.

Aujourd’hui, j’ai déjà été …

Aujourd’hui, je prends le temps de contempler la journée se dérouler. Chaque instant m’offre son moment présent. Ainsi, aujourd’hui, j’ai déjà vécu tout un tas de petits moments au présent. Certaines n’ont pas été agréables, quand il s’est agit de retrouver un mot de passe. Mais la plupart sont magnifiques, il fallait seulement que je porte mon attention sur les moments de joie. Comme si les moments de joie n’avaient pas le même poids que les moments de non-joie. Ces petits moments de non-joie portent encore leur trace en moi, dans une envie de me détendre. Leurs traces s’accrochent en moi. Traces émotionnelles. Pourquoi n’ai-je pas encore appris à passer au travers sans générer autant de négativité en moi ? Pendant ce temps, les moments de joie sont plutôt inscrits dans l’instantaneïté, ils ne laissent pas de grandes traces en moi. N’ai-je simplement pas appris à les mettre en valeur ? Quand je pense à quelques beaux moments qui se sont passés juste il y a quelques minutes, je trouve qu’ils sont inscrits dans le passé : cette odeur de linge qui sèche près du radiateur, ces chants d’oiseaux, cette jolie mélodie au piano que j’entendais.

La Joie est un muscle, tout comme la non-joie. Cette dernière semble bien plus musclée que la première, chez moi.

Alors je ferme les yeux, je respire profondément, et je pense d’abord au moment de Joie passé, cette odeur de linge qui sèche, et je m’en imprègne : « oui, cette belle sensation est toujours là, elle est légitime, elle existe toujours en moi » Oui, car elle n’est pas dépendante du linge mais de ce qui se passe en moi, pas besoin que le linge dégage toujours cette belle odeur pour que je la ressente en moi, puisque ça se passe en moi. J’ai parfaitement le droit de revivre le passé heureux, si c’est mon choix. Ce qui m’importe n’est pas si c’est vrai ou pas, ce qui est important c’est « est-ce que ça me fait du bien ? »

Et pour le moment désagréable, celui du mot de passe perdu, celui dont je ressens encore les relents et même dans mon corps ? C’est pareil, je peux laisser aller, la situation est passée, elle n’existe plus, la situation ne m’impose rien. Donc, je peux, si je le choisis, respirer profondément, par le ventre, et laisser aller cette sensation désagréable. Je peux même utiliser une petite technique pour débarrasser l’émotion, qui ne m’appartient pas et que je partage : Où se situe l’émotion désagréable dans mon corps ? Quel est le trajet qu’elle fait ?  je définis petit à petit son trajet. un début, une fin. Et une fois le trajet ressenti ou visualisé, quel est le sens du spin du tourbillon de cette émotion sur le trajet ? La question semble étrange, je sais, mais dans quel sens tourne-t-elle ? Si elle devait tourner sur elle-même en tourbillonnant, dans quel sens ? Une fois défini le sens et le trajet, du début à la fin, je peux passer à l’étape suivante : Partir de la fin du trajet, inverser le sens du tourbillon, et faire le trajet inverse, jusqu’au point de départ initial. Ensuite je respire profondément, et j’observe. S’il le faut je referai ce trajet retour dans le sens inverse du spin. Jusqu’à sentir que l’émotion est détachée du moment. Je peux laisser aller ce moment, il est dans mon passé, il s’est produit, mais je ne le garde pas en moi, je peux le laisser partir, en paix.

Je reviens à la bonne odeur du linge qui sèche, et je m’en emplis encore une fois, et je fais grandir la sensation en moi. Elle prend toujours plus de place, elle m’emplit, elle parfume mon coeur. Que me dit-elle de beau, cette odeur ? Est-elle florale ? puissante ? pourquoi me plait-elle tant ? C’est cette odeur de douce chaleur, ces souvenirs d’enfance, quand Maman repaissait le linge, la quiétude que dégage ce phénomène de séchage, rien ne brusque, ça se passe en douceur, c’est une odeur de cocon, protectrice, l’enfant en moi se sent au chaud. Peut-être me vient-il d’autres belles choses à propos de ce moment où j’ai ressenti cette odeur, l’endroit où j’étais, ce que j’étais en train de faire, de regarder, avec qui j’étais, et je laisse grandir le beau moment, en moi, toujours un peu plus, grandir.

Pour moi, dans mon cas, c’était un moment fugace, ça n’a duré que deux secondes. Mais j’ai parfaitement la légitimité de faire grandir ce court moment, de le garder en moi, tout autant que je choisis de garder ou de ne pas garder ce que je veux de cette existence. Car ma réalité est faite d’une foule de ces petits moments, auxquels j’ai accroché des émotions, qui me font voir la vie d’une façon belle ou moche. C’est mon choix, finalement. Et je choisis d’être en paix.

 

Intention d’Amour et Champ magnétique du Coeur

Le champ magnétique du coeur est 5000 fois plus important que celui du cerveau et son champ électrique est 60 à 100 fois plus puissant que celui du cerveau.

La zone thoracique d’une personne moyenne émet 20 photons de lumière par seconde, quelqu’un qui médite sur son centre cardiaque et envoie de l’amour et de la lumière émet 100 000 photons par seconde.

Lorsque ces photons sont infusés d’une intention aimante et de guérison, leur fréquence et leurs vibrations augmentent au point où ils peuvent littéralement changer la matière, guérir la maladie et transformer les événements négatifs.

Méditation Tu es la vie elle-même Mooji

Tu es la vie elle-même. Mooji

 

Prends conscient de ton corps.

 

Maintenant, ton souffle se fait sur son propre rythme, naturel, sans contrainte.

Et tu es, ici. //

Simplement, tu es là. //

Ne rien faire du tout.  Ne pas être sur le point de faire quelque chose, ni de le défaire.

Juste une simple réalité(conscience), je suis ici. Ici maintenant. Ici est.

 

Les sens sont ouverts, ils fonctionnent par eux-mêmes, sans intention ou assistance.//
N’attends pas, la sensation de ce qui va arriver, ce qui va se manifester, de ce qui suit, il n’y a aucune interrogation pour cela.

Nous sommes simplement ici.

Donc, pas d’attente.         ( waiting)

Pas d’attente.//        (expecting)

 

Ne sois pas lié au temps,(be engage) aucun sens du temps, comme le passé. Tout ce qui est passé, est passé.

Tout ce qui peut être appelé futur, c’est seulement imaginé. //Seulement ici et maintenant. Ce maintenant est si frais. Il ne peut y avoir d’histoire du maintenant. Il n’y a pas de temps.(It is not time)

Quoi que nous puissions percevoir physiquement, tout apparaît et disparaît, va et vient.

Il n’y a rien à poursuivre, rien à suivre.//

Spontanément, tu sais que tu es.//

Et il y a une complétude en cela. Tu ne deviens pas par étapes. Tu es.

Ressens le sentiment d’être, le sentiment « Je suis ». //

Mais n’y ajoute pas d’histoire. Juste le sens de l’existence. Il n’y a pas de modèle à suivre.

Tu es le sens de ton existence, tu n’en es pas séparé.

Et aussi, tu es conscient de tout ce qui va et vient.

Observe,  et vois que ce qui apparaît ou disparaît a lieu dans un espace qui lui-même n’apparaît ou ne disparaît pas, et qui est simplement ici maintenant. //

Ta respiration même est en mouvement dans cet espace d’être.

Les sens fonctionnent dans cet espace d’être.

 

En remarquant le corps, tu ne peux pas être simplement le corps.

En observant les sens, tu es au-delà des sens.

En observant les pensées, tu es en dehors de la pensée.

En observant l’esprit, tu es au-delà de l’esprit.

En observant l’expérience, tu es au-delà de l’expérience.

En observant le changement, tu es toi-même immuable.//

Souviens-toi. Tu n’es pas en train d’attendre.

 

Il n’y a rien à venir qui puisse te donner quelque chose de plus que ce que tu es déjà.

Tu n’as pas de poches, rien qui retienne ( store house).

 

Pourrais-tu simplement rêver de cela ? Imaginer cela ? Ou simplement le remarquer ?

Le corps est là. Regarder ce corps, ou t’éloigner de ce corps, cela ne fait aucune différence pour la Conscience.         La Conscience que tu es.

Tu n’es pas la taille de ton corps, ni sa forme. Et pourtant, à travers ce corps, tu as le sentiment d’être ici, avec des doigts et des bras.

 

Les sens des autres et de moi peut se manifester, le vaste monde, dont tu deviens une petite partie. En tant que personne, tu es à l’intérieur de ce corps. En tant que Conscience, ce corps est à l’intérieur de toi. Il en a toujours été ainsi.

 

Si une quelconque tension apparaît dans le corps, c’est aussi une sensation. Sois-en conscient. Ce n’est pas toi. C’est une sensation qui apparaît dans le corps, que tu peux appeler tienne. Les sensations vont et viennent, comme toutes les choses perçues vont et viennent, coulent dans ton  rythme naturel.

 

Il n’est pas nécessaire de lutter avec ton esprit. Restes simplement l’Être, tel que tu es maintenant. Tout est en place pour que la vie se déroule dans son cheminement naturel.  Sois-en conscient. Tu n’es pas séparé de la vie, mais la vie elle-même.

 

Maintenant, tu n’es pas concentré sur les objets, mais repose toi dans ta propre immobilité, ta propre source, ton propre Être. Prends une posture interne (look) de telle sorte que tu puisses confirmer.

Encore une fois, il n’y a rien à devenir.

Rien à changer ou à réparer.

Rien à garder ou à repousser.

Pas de meilleur endroit où être.

Pas de soi à devenir ou à dé-devenir.

 

Sachant cela, ta joie est complète.

Simplement, tu es ici.

Ce sentiment d’être ici, remarque qu’il ne s’agit pas simplement d’un emplacement géographique.     Cela signifie simplement que tu es ici avec ton Être.

 

Indivisible. Entier. Complet. Heureux.

 

Pourtant, il n’y a pas besoin d’histoires. Pas de victoires, pas de défaites. Pas besoin de rapprochements. Sois confiant dans la complétude.

C’est seulement ainsi que tu pourras profiter du monde sans crainte.

Ici, tu n’es ni une victime, ni un vainqueur.            Une pure Conscience.//

 

Il n’y a pas besoin d’argumenter avec ton mental, ni de chercher son approbation.

Habitue-toi à être vide de tout concept.

Tu es simplement ici.//

Ainsi, puisse la graine, l’essence de ce que tu as entendu, germer dans ton cœur et porter des fruits vrais et doux.

 

Om

Vis dans le présent

Le regret ne change rien au passé, il t’empêche de vivre sereinement l’instant présent : maintenant.
L’inquiétude ne change rien au futur, elle te coupe de vivre sereinement l’instant présent : maintenant.
Vis au présent !

j’entends parfois des paroles résignées : « si c’était si facile à faire qu’à dire … ».

Alors comment faire ? …
Et si pour une fois, quelque chose n’était pas compliqué, ni réservé à une élite, ni payant, ni à apprendre ? Si pour une fois, c’était juste la vie ?

Et si tu t’accordais, à toi même, juste un temps pour t’arrêter, et observer.
L’as-tu déjà fait ? Arrêter de cogiter, de planifier, de calculer, arrêter en fait de s’inquiéter et de regretter permet en soi-même de commencer à faire de l’espace en soi : c’est dans cet espace que grandit la sérénité.

Observer sans analyser, sans réfléchir, sans mesurer, sans attendre la suite. Qu’y-a-til devant toi ? un écran ? un mur ? un paysage ? peu importe, observe juste, sans poser des noms, des définitions, des intentions, des utilisations, des couleurs, des formes…
et là, pose ton regard sur un objet, un paysage, évite les mots et les photos de personne chère. Ensuite défocalise ton regard, ne fixe rien.

maintenant ton regard se pose, tout simplement, il se pose…
…et là, tu peux sentir que en fait, tu respires,
que en fait tu entends d’autres sons,
tu ressens certaines parties de ton corps, qui se manifestent parce qu’elles se détendent.
peux maintenant respirer, profondément, tu sens comme le diaphragme se détend.

c’est dans cet espace que grandit la sérénité. ça n’a l’air de rien, comme ça. C’est du temps perdu ? Façon de voir…justement, en faisant cela de temps en temps, tu vois les choses d’une autre manière, ce qui est si important perd de sa criticité, les urgences prennent du recul, et l’espace grandit à chaque fois un peu plus…

Tu peux maintenant retourner dans le mental, dans tes tâches du quotidien, du travail, de la vie de famille…quand tu reviendras à ce moment de déconnexion, tu te rendras compte que c’est au contraire une autre connexion, une connexion à ta paix intérieure qui se met en place.

La paix, elle se trouve là, à l’intérieur, elle ne vient pas de l’extérieur … elle est toujours là, toujours disponible, tu peux t’y connecter à tout moment, dans les moments de stress, dans les moments où justement tes émotions te prennent…

Respire, observe, défocalise, respire
Respire, observe, défocalise, respire
Respire, observe, défocalise, respire

 

Tu es la vie elle-même – Méditation traduite – Auteur : Mooji

Tu es la vie elle-même. Mooji

 

Tu es la vie elle-même. Mooji

 

Prends conscient de ton corps.

 

Maintenant, ton souffle se fait sur son propre rythme, naturel, sans contrainte.

Et tu es, ici. //

Simplement, tu es là. //

Ne rien faire du tout.  Ne pas être sur le point de faire quelque chose, ni de le défaire.

Juste une simple réalité (conscience), je suis ici. Ici maintenant. Ici est.

 

Les sens sont ouverts, ils fonctionnent par eux-mêmes, sans intention ou assistance.//
N’attends pas, la sensation de ce qui va arriver, ce qui va se manifester, de ce qui suit, il n’y a aucune interrogation pour cela.

Nous sommes simplement ici.

Donc, il n’y a rien à attendre.

Et Pas d’attente.//

 

Ne sois pas préoccupé par le temps, il n’y a aucun sens du temps, comme le passé. Tout ce qui est passé, est passé.

Tout ce qui peut être appelé futur, c’est seulement imaginé. //Seulement ici et maintenant. Ce maintenant est si frais. Il ne peut y avoir d’histoire du maintenant. Il n’y a pas de temps.

Quoi que nous puissions percevoir physiquement, tout apparaît et disparaît, va et vient.

Il n’y a rien à poursuivre, rien à suivre.//

Spontanément, tu sais que tu es.//

Et il y a une complétude en cela. Tu ne deviens pas par étapes. Tu es.

Ressens le sentiment d’être, le sentiment « Je suis ». //

Mais n’y ajoute pas d’histoire. Juste le sens de l’existence. Il n’y a pas de modèle à suivre.

Tu es le sens de ton existence, tu n’en es pas séparé.

Et aussi, tu es conscient de tout ce qui va et vient.

Observe,  et vois que ce qui apparaît ou disparaît a lieu dans un espace qui lui-même n’apparaît ou ne disparaît pas, et qui est simplement ici maintenant. //

Ta respiration même est en mouvement dans cet espace d’être.

Les sens fonctionnent dans cet espace d’être.

 

En remarquant le corps, tu ne peux pas être simplement le corps.

En observant les sens, tu es au-delà des sens.

En observant les pensées, tu es en dehors de la pensée.

En observant l’esprit, tu es au-delà de l’esprit.

En observant l’expérience, tu es au-delà de l’expérience.

En observant le changement, tu es toi-même immuable.//

Souviens-toi. Tu n’es pas en train d’attendre.

 

Il n’y a rien à venir qui puisse te donner quelque chose de plus que ce que tu es déjà.

Tu n’as pas de poches, rien qui ne sois stocké

 

Pourrais-tu simplement rêver de cela ? Imaginer cela ? Ou simplement le remarquer ?

Le corps est là. Regarder ce corps, ou t’éloigner de ce corps, cela ne fait aucune différence pour la Conscience.          La Conscience que tu es.

Tu n’es pas la taille de ton corps, ni sa forme. Et pourtant, à travers ce corps, tu as le sentiment d’être ici, avec des doigts et des bras.

 

Les sens des autres et de moi peuvent alors se manifester, le vaste monde, dont tu deviens une petite partie. En tant que personne, tu es à l’intérieur de ce corps. En tant que Conscience, ce corps est à l’intérieur de toi.   Il en a toujours été ainsi.

 

Si une quelconque tension apparaît dans le corps, c’est aussi une sensation. Sois-en conscient. Ce n’est pas toi. C’est une sensation qui apparaît dans le corps, que tu peux appeler tienne. Les sensations vont et viennent, comme toutes les choses perçues vont et viennent, coulent dans ton  rythme naturel.

 

Il n’est pas nécessaire de lutter avec ton esprit. Restes simplement l’Être, tel que tu es maintenant. Tout est en place pour que la vie se déroule dans son cheminement naturel.  Sois-en conscient. Tu n’es pas séparé de la vie, mais la vie elle-même.

 

Maintenant, tu sois pas concentré sur les objets, mais restes dans ta propre immobilité, ta propre source, ton propre Être. Prends une posture interne (look) de telle sorte que tu puisses le ressentir.

Encore une fois, il n’y a rien à devenir.

Rien à changer ou à réparer.

Rien à garder ou à repousser.

Pas de meilleur endroit où être.

Pas de soi à devenir ou à dé-devenir.

 

Sachant cela, ta joie est complète.

Simplement, tu es ici.

Ce sentiment d’être ici, remarque qu’il ne s’agit pas simplement d’un emplacement géographique.          Cela signifie simplement que tu es ici avec ton Être.

 

Indivisible. Entier. Complet. Heureux.

 

Pourtant, il n’y a pas besoin d’histoires. Pas de victoires, pas de défaites. Pas besoin de nouer des alliances.   Sois confiant dans la complétude.

C’est seulement ainsi que tu pourras profiter du monde sans crainte.

Ici, tu n’es ni une victime, ni un vainqueur.                   Une pure Conscience.//

 

Il n’y a pas besoin d’argumenter avec ton mental, ni de chercher son approbation.

Habitue-toi à être vide de tout concept.

Tu es simplement ici.//

Ainsi, puisse la graine, l’essence de ce que tu as entendu là germer dans ton cœur et porter des fruits vrais et doux.

 

Om

 

Meditation Eckart Tolle pour entrer en contact avec le corps subtil

méditation simple mais puissante d’autoguérison et renforcer votre système immunitaire
quand vous avez quelques minutes de libre particulièrement le soir juste avant de vous endormir ou le matin juste après vous être réveillé et avant de vous lever

inondez votre corps de conscience
fermez les yeux
choisissez différentes parties de votre corps
pour tout d’abord ils sont très brièvement votre attention
les mains et pieds les bras les jambes l’abdomen la poitrine la tête et cetera
aussi intensément que vous le pouvez
santez d’abord l’énergie vitale dans ces parties du corps en restant environ 15 secondes sur chacune d’elles
puis laissez votre attention parcourir à quelques reprises tout votre corps à la manière d’une vague des pieds à la tête et vice-versa
cela ne prendra qu’une minute environ
ensuite votre corps énergétique dans sa totalité comme un champ énergétique unique maintenez votre attention sur cette sensation durant quelques minutes
pendant toute la durée de l’exercice soyez intensément présent dans chaque cellule de votre corps
ne vous inquiétez pas si le mental réussit de temps en temps à attirer votre attention sur autre chose que le corps
et si vous vous perdez un peu dans vos pensées dès que vous le remarquez dirigez de nouveau votre attention sur le corps énergétique

 

 

Comment utiliser un Mantra

Comment utiliser un Mantra

 

Un mantra est une intention sacrée que vous répétez dans un espace de méditation afin de vous aligner sur son message. Pour commencer, trouvez un espace confortable et calme où vous ne serez pas dérangé.  Vous pouvez créer l’ambiance en allumant des bougies, en trouvant un espace agréable à l’extérieur ou en nettoyant l’endroit où vous prévoyez de méditer. L’environnement dans lequel vous méditez peut avoir un impact direct sur votre capacité à vous concentrer.

Vous pouvez choisir un mantra traditionnel en sanskrit ou une affirmation dans votre langue. Même un seul mot, comme « paix » ou « amour » peut être une excellente phrase à répéter.  Lorsque vous méditez, répétez cette phrase à chaque fois que vous respirez. Cela vous donnera une petite idée sur laquelle vous pourrez vous concentrer, ce qui gardera votre esprit suffisamment occupé pour qu’il ne s’éloigne pas.

METHODE

– Asseyez-vous en tailleur ou sur un tabouret, le dos droit,

– Effectuez une dizaines de respirations profondes, avec le ventre,

– Prenez conscience de l’état dans lequel vous êtes et prenez note de l’état dans lequel vous vous trouvez sans essayer de le changer

– Scannez votre corps avec votre esprit et concentrez-vous sur l’endroit où votre corps entre en contact avec la terre

– Passez au moins cinq minutes dans cet espace intérieur qui devient de plus en plus calme et plus centré avant de commencer à chanter

– Vous pouvez utiliser des perles de mala pour vous aider à prononcer dans votre tête à chaque expiration, ou chanter verbalement à haute voix. Répétez le chant pendant au moins 10 minutes ( vous pouvez régler une minuterie)

– Concentrez-vous à nouveau sur votre respiration et observez l’état de votre corps mental une fois qu’il est revenu au silence

– Sentez votre corps se relier à nouveau au sol et, lorsque vous êtes prêt, ouvrez les yeux

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