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LA LIBERTE : change la signification et la vie change

la signification est dans l’esprit. Donc, changer la signification d’un évènement, d’un objet, d’une fonction, d’une personne, d’un processus, change ces choses.

 

évènement + signification = émotion

on ne peut pas changer un évènement, mais on peut revoir sa signification.

changer la signification d’un évènement = changer l’émotion

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Je suis tombé à vélo et je me suis cassé les deux épaules. Quelle signification cela a ?  exemples : « maladroit », « imprudent », « malchance », « inconsciemment tu l’as voulu », « le destin », « ton karma », etc… sont des significations. L’évènement est le même, pourtant.

Hier au restaurant, au bout de 3 heures de repas j’ai pris ma veste et je suis sorti pour prendre l’air deux minutes. En me levant, mon père assis à l’autre bout de la grande tablée a donné une signification  » tu t’en vas ?  » … non, et j’ai été obligé de rectifier sa signification en expliquant que je ne sors que pour prendre l’air. Le geste est pourtant le même, je mettais la veste et je sortais.

J’offre des roses rouges à une femme : cela « signifie » que j’exprime de l’attirance affective et/ou sexuelle. C’est une « signification culturelle ». Pour d’autres cultures, ces mêmes roses n’ont pas du tout cette signification. Ce sont les mêmes roses, pourtant.

L’autre jour, une collègue me demande si je veux prendre un café. Je mets une fraction de seconde avant de répondre car je ne demandais si nous n’étions pas déjà proches de la prochaine réunion. Cela a suffit à générer chez elle la question  » si t’as pas envie, c’est pas un souci « . J’ai alors expliqué la raison de ce qui a pu paraitre être une hésitation, cela a désactivé l’émotion née en elle.

Dans la rue j’ai failli être renversé par un vélo. L’évènement c’est la peur. J’ai gueulé sur le cycliste. C’est la réaction que j’ai eu après avoir donné une signification, celle de l’inconscience du cycliste, de son manque d’attention, ou même de sa stupidité, ou de son manque de respect, etc… je peux donner tout un tas de significations, ou pas. Je peux aussi dire « j’ai eu peur, cependant il ne m’est rien arrivé, c’est cool »

 

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L’évènement est simple, neutre,  l’évènement est la nature, c’est l’énergie de vie.

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La signification :  Le vécu émotionnel colorie tout évènement.

Si j’associe la douleur de la chute à vélo à de la maladresse, je vais vivre la douleur comme une émotion de dévalorisation de ma personne;

Si je la vis comme une malchance, je vais l’associer à une émotion de « pauvre de moi j’ai encore de la malchance », et je vais faire remonter tous les souvenirs d’autres « malchances » pour conforter cette croyance.

Si j’ai associé la couleur rouge des roses à de l’amour, je vais pouvoir exprimer par les roses rouges ce que je n’ose pas exprimer de façon directe.

Mais si la personne ne connait pas ce « code », elle ne va pas comprendre. Si mon père associe le fait de sortir du restaurant à quitter la fête familiale, il donne une signification négative à l’évènement.

Si la personne a vécu un enfer avec un homme qui lui offrait des roses rouges pour se faire pardonner de l’avoir battue, son vécu émotionnel peut réveiller des blessures.

 

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Les associations émotionnelles inconscientes et individuelles colorient les évènements

L’évènement n’a pas de signification, c’est notre association émotionnelle qui colorie chaque évènement.

Le coloriage émotionnel des évènements est inconscient. L’exemple des roses rouges = amour est une association inconsciente. Nous en avons des tas. Elles sont souvent inconscientes, liées à des croyances, liés à la science.

Dans l’exemple de mon père qui me voyait me lever pour sortir du restaurant, sa réaction était immédiate, instinctive, c’est une réaction inconsciente.

Dans l’exemple du cycliste qui a failli me renverser, il ne s’est rien passé, pourtant mon émotion de peur a été sollicitée, avec justesse d’ailleurs. Mais ensuite, si j’associe cet évènement au cycliste, ou a tous les cyclistes, je fais une association d’idée qui va me mener à un certain comportement.

On l’a vu pendant la crise covid et aujourd’hui encore, le port du masque pour se protéger soi est totalement inutile, mais associé à la peur il rassure les personnes qui pensent que le masque les protège. Et le fait de ne pas être dans le stress permanent de la peur « si je ne porte pas de masque, je vais tomber malade » va les protéger dans les faits, puisque le stress génère un affaiblissement du système immunitaire.

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Chacun est responsable de ses associations.

Et par sa question, mon père a probablement associé le fait que je me lève par le fait que je quitte la fête familiale, ce qui n’est probablement pas une émotion – d’énergie montante – positive. Pourtant, je n’avais pas cette intention, c’est son vécu en lui, son association. Chacun est responsable de ses associations.

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La signification est dans la tête

La signification de tout évènement, ou de la couleur des roses, ou d’une parole, ou d’une action, est dans la tête. Je peux choisir de changer la signification de tout ce qui m’arrive.

Par exemple, quand il pleut, je peux donner une signification « il fait moche », et l’énergie sera celle d’une forme de tristesse, de colère, de frustration ou encore de lassitude. Je peux aussi lui donner une signification différente « c’est bon pour la nature », ou encore une signification neutre : « il pleut » sans y accrocher d’émotion particulière, en laissant la pluie tomber, je ne peux rien y faire de toutes manières. Lâcher prise.

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Prendre conscience du pouvoir

Etant donné que la signification est dans la tête, j’ai le pouvoir de considérer l’évènement comme je l’entends. Encore faut-il que je prenne conscience que j’ai ce pouvoir.

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Se donner le droit à ce pouvoir ce choisir

Régulièrement, je croise des personnes qui me disent  » oui enfin quand même, je n’ai pas le choix le monde est comme ça, regarde tous les malheurs !  » … ce n’est pas démissionner de son rôle de bon citoyen que de ne pas suivre le troupeau, surtout dans les émotions dites négatives.

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Ressentir la libération de ce choix

C’est une libération intérieure qui peut être une grande vague de soulagement : prendre conscience que les émotions associées à des évènements parfois « dramatiques » (émotion) de la vie sont en notre pouvoir.

Des personnes comme Shelly Lefkoe ont aidé des milliers de personnes abusées sexuellement à se débarrasser de traumatismes épouvantables. Ni magie, ni médicaments, ni techniques bizarres. Réassocier les émotions aux évènements.

Donc, si c’est possible pour des traumas, pourquoi ce ne serait pas possible de vivre moins mal tous les petits évènements pénibles du quotidien ? Les embouteillages, être en retard, la facture de gaz, l’enfant qui ne range pas sa chambre, les guerres dans le monde, le chef pénible, le bruit quand je veux dormir, ou inversement ne pas faire de bruit parce que les voisins veulent dormir, etc…

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Usez de ce pouvoir à volonté !

Voilà, la recette est là, à disposition. A chacun de l’utiliser comme bon lui semble. Pour pouvoir le faire, il faut avoir un esprit souple, clair, dégagé.

3 façons d’aider à ne plus être submergé par les émotions

1) Aidez-les à planifier à l’avance

Plutôt que d’être toujours pris par surprise par une émotion et d’être ensuite « vaincu par elle »  aider les clients à voir – et à planifier – les moments de vulnérabilité peut les aider à mieux gérer leurs sentiments.

Par exemple, comme les personnes déprimées ont tendance à rêver énormément (qu’elles se souviennent ou non de leurs rêves), leurs matinées sont souvent épuisantes et constituent souvent le pire moment de la journée. Le fait de prévoir à l’avance cette « pire partie de la journée » en se rappelant que l’énergie se rétablira, dans une certaine mesure, au fil de la journée, peut vraiment aider les clients déprimés à prendre de la distance par rapport au désespoir matinal.

Si une personne sait qu’une certaine personne la met en colère, elle peut prévoir de limiter ses contacts avec cette personne. Si votre cliente sait qu’elle est anxieuse lorsque le téléphone sonne, elle peut prévoir de prendre trois respirations profondes, en expirant lentement à chaque fois avant de répondre.

Il est essentiel d’avoir un plan, une stratégie, lorsqu’on traite des schémas émotionnels. Si vous savez comment aider vos clients par l’hypnose, plus vous leur ferez répéter par l’hypnose des réponses constructives à leurs schémas émotionnels, plus ils seront capables de le faire dans la réalité.

2) Aidez-les à voir la situation dans son ensemble

Diluer un sentiment est beaucoup plus efficace que d’essayer de le supprimer. Supposons que vous n’appréciez pas une certaine personne. Faire semblant de l’aimer peut parfois vous aider un peu, mais vous risquez davantage de ressentir du ressentiment. Cependant, trouver activement des éléments qui vous aideront à « humaniser » cette personne dans votre esprit peut vraiment contribuer à atténuer votre aversion.

Une de mes clientes ne supportait pas sa voisine, qu’elle considérait comme une fouineuse qui se mêlait de tout. Au cours de notre conversation, j’ai découvert que le mari de cette voisine l’avait quittée. J’ai demandé à ma cliente de réfléchir à la réalité d’avoir été quittée de la sorte, et à la terrible solitude que sa voisine a pu ressentir, etc… Bien que cette réflexion n’ait pas transformé par magie son irritation en sympathie, elle a permis à ma cliente de se sentir beaucoup plus détendue et moins agacée par sa voisine.

S’adapter aux croyances et préférences : Un jeune client a été encouragé à penser à l’immensité de l’univers lorsqu’il parlait à son patron intimidant. Parce qu’il avait un intérêt particulier pour cette immensité. Cette « perception globale » l’a aidé à mettre les rencontres avec ce patron autrefois effrayant dans une perspective beaucoup plus facile à gérer.

 

3) Trouver le « point de bascule

Les émotions peuvent nous prendre par surprise, et, avant même que nous nous en rendions compte, nous faire faire, penser, dire et bien sûr ressentir des choses que nous préférerions éviter.

Ce n’est pas facile au début, mais il y a toujours un « point de bascule » dans l’enchainement émotionnel que peut provoquer un évènement, souvent banal. Avant de l’atteindre, nous pouvons toujours faire marche arrière. Une fois que nous avons dépassé ce point, il devient de plus en plus difficile d’arrêter de glisser dans le marécage émotionnel.

Nous pouvons apprendre à localiser le point de basculement, et s’entraîner à l’éviter.

Par exemple, une mère se mettait en colère de façon incontrôlable lorsque son jeune fils utilisait un certain ton de voix. Elle essayait de ne pas se mettre en colère, mais à partir d’un certain point, elle ne pouvait plus s’en empêcher. Je lui ai demandé de s’entraîner à imaginer ce point de basculement et, lorsqu’elle l’atteignait, d’imaginer qu’elle s’éloignait de la situation et la regardait de l’extérieur.

Lorsqu’elle s’est imaginée faire cela, elle s’est instantanément sentie plus calme, et a rapporté plus tard que son fils ne pouvait plus « appuyer sur ses boutons » lorsqu’il utilisait ce ton de voix. Et il a très vite cessé de l’utiliser.

Oui, les clients ont besoin de comprendre leurs émotions. Les émotions sont des signaux importants et valables indiquant qu’un besoin émotionnel n’est pas satisfait. Cependant, si l’émotion n’est pas reconnue, elle nous pollue.

Exercice pour commencer à trouver son foyer émotionnel

Exercice pour commencer à trouver son foyer émotionnel

Listez les émotions ressenties dans le courant de la semaine passée. Classer dans une colonne agréable et désagréable.
entourer les deux émotions dans chaque colonne ressenties le plus souvent dans votre vie.
Parmi ces 4 émotions entourées, choisir celle ressenties régulièrement, sans raison apparente.
Il y a de fortes chances pour que cette émotion soit aussi celle qui sera l’émotion refuge en cas de difficultés rencontrées.

Pour décrire la peur :

Angoissé – Anxieux – Appréhension (avoir de l’) – Coincé – Confus – Coupable – Craintif – Défensive (sur la) – Désorienté – Effrayé – Épouvanté – Faible – Fourbe – Frousse (avoir la) – Harcelé – Horrifié – Incertain – Inhibé – Inquiet – Méfiant – Nerveux – Paniqué – Pessimiste – Perdu – Prudent – Secoué – Soucieux – Tendu – Terrifié – Timide – Timoré – Traumatisé – Troublé – Vulnérable

Pour décrire la colère :

Agacé – Agité – Agressif – Amer – Aversion (avoir) – Choqué – Contracté – Contrarié – Courroucé – Critique – Dérangé – Dur – Énervé – Envieux – Exaspéré – Excité – Fâché – Frustré – Furieux – Haineux – Hostile – Hystérique – Insatisfait – Irrité – Jaloux – Mécontent – Mesquin – Outré – Proteste (qui) – Rancunier – Renfrogné – Révolté – Sauvage – Suffisant – Vexé

Pour décrire la tristesse :

Abattu – Affligé – Apathique – Blessé – Bouleversé – Cafardeux – Chagriné – Découragé – Déçu – Dégoûté – Déprimé – Désespéré – Embarrassé – Ennuyé – Éteint – Fatigué – Honteux – Humilié – Inadéquat – Inintéressant – Isolé – Lugubre – Malheureux – Meurtri – Nostalgique – Navré – Paumé – Pessimiste – Prostré – Résigné – Submergé – Tourmenté – Triste – Vaincu – Vidé

Pour décrire la joie :

Affectueux – Agréable – Allègre – Amical – Amusé – Bon – Chaleureux – Chanceux – Comblé – Confortable – Content – Décontracté – Enchanté – Entrain (plein d’) – Enthousiaste – Euphorique – Exubérant – Fier – Forme (en) – Gai – Harmonie (en) – Heureux – Jovial – Joyeux – Libre – Lumineux – Motivé – Nourri – Optimiste – Passionné – Ravi – Reconnaissant – Satisfait – Stimulé – Transporté

De l’injonction « sois heureux »

Coachs ou annoncés comme tels, guérisseuses, chamanes, conseillers en bien-être, naturopathes, psychothérapeutes, art-thérapeutes, etc… trop souvent j’entends des paroles qui se résument à :

 » sois heureux  »

ça peut être :  » on ne peut être heureux si on est dans la colère ou la peur « , ou  » on ne peut pas être en paix avec les autres si on ne l’est pas avec soi « , ou encore  » il faut éliminer les énergies qui nous tirent vers le bas pour pouvoir nous élever  »

La plupart du temps, ça part d’un bon sentiment : on voudrait voir la personne heureuse.

Mais est-ce qu’on dit à une personne malade  » on ne peut pas être heureux si on a un cancer « , ou encore  » pour t’élever, peut-être que tu pourrais penser à ne pas avoir ta sclérose en plaque  » ou encore  » si tu n’avais pas ce mal de tête aussi souvent, tu serais plus heureuse, tu ne crois pas ?  »

Ce n’est pas une méthode de donner des conseils sous forme d’injonctions déguisées.

C’est renvoyer la personne à ses souffrances, ça ne l’aide pas, et ça ne fait que creuser la plaie, et ce genre de  » conseils  » peut même aigrir la personne avec une pensée  » il/elle ne me comprend pas ».

C’est aussi d’une certaine manière démissionner de sa fonction de conseiller et/ou d’ami, car cette personne a juste envie d’entendre  » je t’écoute  » au lieu de  » je te dis ce que tu devrais faire  » que contiennent ces « conseils ».

ALORS QUOI FAIRE ?

Ecouter ! qui sait encore écouter ? Tout simplement ! Ecouter, c’est ne pas interpréter, car chaque-un possède sa propre carte du monde. Ecouter sans juger selon sa propre carte du monde, permet d’accéder à la carte du monde de l’autre, et puis d’entrer en connexion avec l’Être vivant que vous avez en face de vous.

L’Être : pas seulement l’ami, le client, le collègue, le pote, le voisin,
pas seulement ce que vous savez de cette personne, car vous ne savez que très peu de choses d’elle, même si vous êtes le conjoint … (d’ailleurs qui vous connait vraiment, vous ? Voudriez-vous qu’on vous connaisse vraiment ? non ? eh bien les autres pas non plus)
pas seulement ce que la « personne » exprime dans ses apparences, à savoir ses habits, sa coiffure, son apparence physique;

Nous sommes bien autre chose que tout ce qui se rapporte au « je ». Nous sommes aussi « suis » : je suis.

Les maux émotionnels comme la peur, la colère, la tristesse, le ressentiment etc… sont comme les maladies du corps : elles nous coupent du « je suis », et elles nous projettent dans l’urgence de retrouver la paix, la simple paix !

Celle qu’on n’a pas quand on a mal aux dents, ou mal à la tête : ce n’est pas autre chose que cela !

Dans ces moments-là, nous dire qu’on devrait quitter les émotions qui nous habitent c’est comme nous dire de quitter le mal de tête ou le mal de dents : ce n’est pas comme ça que ça marche !  Car « s’élever » et « prendre soin de son soi intérieur », concerne le « je suis », et ne se commande pas !

Ca ne se commande pas, ça s’acquière

La paix intérieure ne se commande pas. Elle s’acquière à force de s’exercer à l’intériorité, à faire de la place. Mais quand on n’est pas bien, les émotions sont comme une maladie physique, elles prennent toute la place des pensées. Les émotions rendent la vue trouble.

Et aux émotions répond le plus vite le mental, qui protège, le conservateur, celui qui ne veut pas bouger de ce qu’il connait. Dans un tel contexte, venir et dire  » il faut s’élever  » est une agression. L’enjeu est de calmer les émotions pour libérer la pensée, puis le coeur de ses chaines émotionnelles.

On peut faire quoi concrètement ?

On peut accompagner ! Ecouter vraiment, avec le coeur, sans juger, sans donner de conseils. Encourager. Ne pas insister trop sur les qualités de la personne. Rester doux, présent. Soyez présents physiquement : ne faites jamais de séances d’écoute par SMS ! C’est vraiment quelque chose qui limite énormément, et les pièges de l’écrit réduit sont très nombreux !

Calmer les émotions, c’est d’entrainer la personne à s’exprimer certes, et de l’entrainer doucement vers la liberté de la paix intérieure. Capter un souvenir heureux, capter une exception à la généralisation, puis très très doucement l’entrainer vers le positif. C’est un véritable travail de patience, car en tant qu’ami ou coach, on a tendance à vouloir aller trop vite, puisqu’on n’est pas dans cette pensée extrême.

 

 

Lorsque nos besoins ne sont pas satisfaits, nous pouvons nous sentir … CNV

FATIGUE   :  épuisé –  inerte  – léthargique  – indifférent  – ramolli   –  dépasséimpuissant  – lourd  – endormi  – saturé  – sans élan  – rompu

TRISTESSE   :    navrépeiné  –mélancolique  – sombre  – découragé  – désabu  –  en détresse  – déprimé  – d’humeur noire  – consterné  – démoralisé  – désespéré  – dépité  – seul   – impuissant  –   sur la réserve  – mécontent  –  malheureux  – chagriné  – cafardeux  – blessé   –  abattu –  débordé

DEGOUT  :  dégoûté  –  écœuré

PEUR  :    alarmé  – apeuré  –  angoissé  – anxieux   – inquiet  – effrayé
gêné
  – transi  – tendu  –  sur ses gardes   – bloqué  – craintif  – avec la trouille   – fragile  – vulnérable

TERREUR   :   terrifié  – horrifié  – glacé de peur   – paniqué  – terrorisé
épouvanté

COLERE   :     en colère   –  enragé   –  exaspéré  – agacé  –  contrarié  –  nerveux  – irrité  – qui en a mare   – amer  – plein de ressentiment   – horripilé   – crispé   – ulcéré   – excédé  – furieux  –   hors de moi  –   enragé  –    impatient

CONFUSION   :  perplexe  –   hésitant  – troublé  –  inconfortable  – embrouillé  – tiraillé  – partagé  – déchiré  – embarrassé  – embêté
mal à l’aise
  – frustré   – méfiant  – bloqué  – agité  –

SURPRISE  :    stupéfait  perplexe  sidéré  choqué  effaré  dépassé
abasourdi
  ébahi  hésitant  démuni  désorienté  décontenancé
étonné
  intrigué


Madelrieux Formation Niveau 1 Les émotions Video 68

Les émotions

Video 68

Le sentiment de non-sécurité = émotions négatives.

Le sentiment de sécurité ne s’obtient pas avec l’extérieur : avoir une belle maison, un bon job, un bon vaccin, un médecin, une police ou un gouvernement qui sont en charge de ma sécurité.

Les émotions sont issues des pensées pour 99% des émotions

La peur génère la culpabilité.

On ne peut alors que vivre un futur fait à partir des pensées négatives stratifiées.

La plupart des adultes refoulent leurs peurs gardées de l’enfance.

Il ne faut pas parler de l’enfant intérieur mais de l’adulte intérieur. On est adulte entretemps. Tout e qu’on désire se trouve au-delà de la peur.

Désir = peur : voir quel est le besoin ?

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