Le cercle vertueux : si j’ai confiance en moi que je me sens fiable, si je me sens fiable je me fie à mes intuitions car elles sont justes, mes inspirations sont justes, et donc je deviens créateur de ma vie. Si je laisse venir sincèrement et spontanément qui je suis dans ma façon d’être avec moi-même et avec les autres, ma singularité, mon originalité vont s’exprimer d’elles-mêmes sans que j’ai d’efforts à faire ! Alors on savoure, on goûte, on apprécie, on se délecte de vivre soi en soi.
Étiquette : Confiance en soi
Signes de mauvaise confiance en soi :
ne pas réussir à s’aimer tel qu’on est
accorder beaucoup d’importance au regard des autres, du coup je vais vivre non plus par rapport à ce que je suis et ce que je ressens, mais je vais m’adapter aux critères des autres et à leurs attentes. Dans le groupe qui nous correspond pas, on est vite isolé et donc on a tendance à se sur-adapter, et à ne pas respecter qui on est, on ne va pas poser de limites,
Vouloir se faire aimer : construire un discours pour se mettre en valeur, qui n’est pas un discours spontané mais qui est « je vais dire ça parce que je sais que ça va leur plaire et que ça va me mettre en valeur à leurs yeux » pour se faire aimer.
la rigidité : s’enfermer dans un cadre de valeurs ou de façons de faire très rigide.
Les croyances envahissantes : tout vouloir expliquer au travers d’une croyance, fut-elle aussi scientifique qu’elle soit. On peut tout rapporter aux chiffres, ou aux étoiles, ou encore aux gènes… ne pas laisser à la vie sa part de mystère.
le jugement : je n’arrive pas à trouver de la valeur en moi, donc je vais me trouver de la valeur socialement par rapport à certains critères du groupe social auquel j’appartiens ou de système de croyance auquel j’adhère. Et je vais juger les autres en comparant ce qu’ils font et je ne veux pas les fréquenter s’il ne corresponde pas à aux critères que j’ai adopté.
La dureté : je n’arrive pas à me faire confiance je n’arrive pas à faire confiance aux autres.
ne pas s’écouter : on ne prend pas soin de soi, on croit qu’on prend soin de soi parce qu’on fait des choses qui sont dites dans les journaux ou sur les réseaux, mais finalement pour prendre soin de soi on aurait besoin de faire d’autres choses.
se croire indigne : beaucoup étouffer ses désirs de ne pas écouter ses aspirations de faire les choses en fonction de ce qui est bien.
se sacrifier : on va se dévouer au point de s’oublier, faire plein de choses pour les autres.
Se poser en victime : C’est une façon de se déresponsabiliser, et quand on manque de confiance en soi, cette capacité à se dire les choses avec franchise sans détour ni culpabilité, alors on ne peut pas répondre de ses actes.
Confondre stabilité et sécurité : La sécurité est un besoin fondamental. Mais elle ne peut pas venir d’une vie statique. Une personne qui, par son éducation et la culture occidentale, fonde son sentiment de sécurité sur la stabilité, aura beaucoup de risque de n’avoir pas confiance en elle. Or, la vie est mouvement, la vie est imprévisible. C’est justement notre capacité à nous ajuster d’instant en instant qui fait que nous sommes vivants au milieu de l’océan. La santé psychique, c’est quoi qu’il arrive, facile ou difficile, de connu ou d’inconnu, on est capable de se rattraper aux branches, et comme font les chats de retomber sur ses pattes même si on n’avait pas prévu de sauter ou de tomber. Cette souplesse-là elle est vraiment le signe d’une bonne confiance en soi et en la vie.
Développer des comportements sécuritaires : avoir besoin d’empêcher tout ce qui pourrait me prendre au dépourvu être une surprise désagréable, de plus en plus
contrôler tous les aspects du quotidien, tout programmer, sécuriser… au bout d’un moment on perd complètement toute flexibilité, et tout changement est une agression de ce qu’on a prévu car on croit qu’on a besoin de sécurité, y compris du point de vue affectif. On perd aussi notre naturel, notre spontanéité, notre créativité, et on va sans s’en rendre compte enfermer les autres petit à petit dans ces ornières d’une vie sécuritaire. On va dire « c’est pour votre bien »… reflexion : ne serions-nous pas dans une société qui n’a pas confiance en elle ?…
Ne pas accepter sa singularité : nous avons besoin d’être en relation avec d’autres humains, mais ne pas supporter sa propre compagnie signe que la personne n’existe pas assez par elle-même.
la honte : en fait chez une personne qui a peu confiance en elle va plus vite et avoir honte.
Réactions défensives d’animal acculé : mélange de peur de rejet, de honte, de manque d’estime, c’est l’agression de personnes qu’on aime ou apprécie quand on se sent pris en défaut;
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massage : ce qui est d’ordre corporelle manuelle physique et les massages notamment ça aide énormément retrouver confiance en soi parce que ça re ça nous permet de retisser l’enveloppe : le contact, la peau les muscles même les os, le massage c’est très thérapeutique
Avec une bonne confiance en soi : on dort mieux on écoute mieux les autres on a moins besoin de se justifier, on sait dire non, on va choisir des choses qui nous plaisent et plus celles que d’autres nous disent de choisir, on attire vers nous les personnes qui nous ressemblent plus.
Accepter des moments de baisse de confiance en soi : si je suis fatiguée, si j’ai appris une mauvaise nouvelle, si je suis malade, si on m’a fait une réflexion désagréable mon niveau de confiance va baisser : c’est normal ! Une personne qui a peu confiance en elle va se sentir beaucoup plus affectée.
Le cercle vertueux : si j’ai confiance en moi que je me sens fiable, si je me sens fiable je me fie à mes intuitions car elles sont justes, mes inspirations sont justes, et donc je deviens créateur de ma vie. Si je laisse venir sincèrement et spontanément qui je suis dans ma façon d’être avec moi-même et avec les autres, ma singularité, mon originalité vont s’exprimer d’elles-mêmes sans que j’ai d’efforts à faire ! Alors on savoure, on goûte, on apprécie, on se délecte de vivre soi en soi.
confiance :
- dans ce mot il y a le verbe se fier, c’est la fiabilité : la confiance en soi c’est sentir que je suis fiable.
- La confiance est loin de la croyance, mais c’est avoir la foi (au-delà des questions religieuses évidemment), est-ce que j’ai foi en moi, est-ce que j’ai foi en la vie, est-ce que j’ai foi en les autres.
- est-ce que je suis capable de me confier à moi-même, avoir ce discours intérieur honnête et transparent, ne pas le faire c’est déjà se raconter des histoires.
- plus concrètement avoir confiance en soi c’est être bien avec soi-même, c’est avoir une bonne relation avec soi.
la différence entre s’aimer et avoir une relation égotique à soi :
le show off, le fait de se montrer de vouloir prendre la première place, ça c’est le contraire de l’amour de soi ! avoir comme projet d’être très visible, de prendre plus de place que les autres, de parler plus fort, ça c’est pas du tout de l’amour de soi !
L’amour de soi c’est être capable de s’accepter exactement comme on est, avec son âge, avec son corps tel qu’il est, avec ses qualités ses défauts, avec ce moment où se sent à l’aise les
moments où on se sent mal à l’aise, mais aussi les bêtises que l’on a fait ou les échecs que l’on a vécu, les moments où on se dit qu’on aurait pu être plus sympa avec quelqu’un ou plus adroit…c’est pouvoir accepter la personne qu’on est dans sa globalité !
Erreurs de conception de la confiance en soi :
On peut imaginer que les personnes qui se montrent beaucoup ont une grande confiance en elles. C’est justement ce type de personnes-là, qui ont besoin d’être extravagant, d’avoir besoin de se montrer sans arrêt sur les réseaux sociaux qui n’a pas confiance en elle !
Et inversement on peut très bien être introverti, discret, réservé et avoir confiance en soi.
L’image que nous renvoie notre société est biaisée, il faut essayer de ne pas avaler tout cru ce qu’on nous fait croire.
1 La confiance en soi peut s’apprendre : elle n’est pas figée.
« personne ne peut dénigrer ta valeur sans ton consentement « . C’est réexaminer les pensées qu’on a de soi-même, c’est remettre en question les fréquentations qu’on peut avoir de personnes négatives, c’est faire le tour des activités qui nous plombent et s’en détacher parfois contre les bénéfices qu’elles nous apportent.
2 faire le point sur la voix interne négative.
D’ailleurs c’est la voix de qui ? Est-ce une voix d’amour et de bienveillance ? De tolérance et de compassion ? Est ce la voix qu’on aimerait avoir avec une personne qu’on aime ? Ou Est-ce la voix d’autres ? Ne serait ce pas la voix du fameux « il faudrait « : Les parents dans leur rôle d’éducateurs, les enseignants, les autorités ?… il faudrait il faudrait il faudrait, culpabilisante, la culpabilité entrave toute valorisation
3 retourner un défaut en valeur
commencez par ne pas juger un de vos comportements et trouvez ce qu’il y a de positif, l’intention positive.
J’ai un jour entendu parler d’un jeune homme qualifié comme délinquant et perdu pour la société. En effet, il avait produit une fausse ordonnance médicale pour obtenir les médicaments que sa mère doit impérativement avoir pour moins souffrir d’une maladie invalidante. Les médicaments étaient simplement un renouvellement.
Si on met le jugement de côté, on peut trouver des intentions positives à son acte, comme le souci de sa maman malade, l’intention de trouver une solution rapidement, et l’imagination et les efforts fournis pour imiter une ordonnance et même le fait de surmonter sa peur, le courage de ses actes…
(En mettant de côté la culpabilité, on peut l’amener à envisager quelles autres solutions plus acceptables pour la société il aurait pu trouver pour arriver au résultat visé. Rester dans l’interdît ne résoud rien et ne l’aide pas à voir plus loin).
4 écrivez vos superpouvoirs
le matin en commençant la journée. Toutes les qualités que vous voudriez avoir. On s’en fiche qu’elles soient beaucoup, un peu ou pas du tout les vôtres . Ex : force, courage, volonté, charisme, attrayant, efficace, rayonnant, …pensez fort à chaque mot, ce que représente chaque mot, et ressentez chaque mot !
5 soyez votre propre coach de motivation !
Que diriez-vous à une personne que vous souhaitez voir motivée ? Que diriez-vous à un ami pour le motiver ? En évitant le il faudrait, motivez une personne que vous aimez, avec positivité et avec compréhension, et reprenez vos arguments pour vous.
6 faites appel à un héros : que ferait une personne que vous admirez ? Écoutez ses conseils
Ces tips vous donneront une plus forte confiance en vous et vous apprendrez à accepter vos faiblesses en vivant avec, vous vous autoriserez des erreurs, et les autres vous feront plus confiance.
Confiance en soi = capacité à faire : apprendre, et c’est surtout de l’image
Estime de soi = être, ressenti