Ne t’inquiète pas du temps que ça va prendre, ou de ce que pensent les autres, ou de combien ça sera difficile.
Catégorie : Textes (Page 50 of 50)
Les maladies chroniques trouvent leurs origines dans l’environnement stressant pour 95 %.
Voyons voir un peu la journée type :
Réveil avant l’heure du réveil naturel : c’est un stress pour le corps.
Je checke les facebook, whatsapp, mail, instagram, etc … et je suis envahi de nouvelles qui sont loin d’être harmonieuses, le tout par ces relations distantes et irréelles. Ce plongeon immédiat dans le monde agité est un stress pour l’organisme.
Direction la salle de bain avec une radio qui braille soir des news, soit des musiques saccadées soit encore des pseudos-comiques qui « font rire » avec un humour cynique, dégradant. Totalement dysharmonieux.
Ensuite petit déjeuner de sucre et de pain blanc et de jus de fruits froids, avec une autre radio qui braille. Du moment qu’il faut un café pour se réveiller, c’est signe de mauvaise récupération, de mauvais état de l’organisme.
Ensuite on est déjà en retard. Alors on se dépêche. Stress.
Circulation auto ou transports en commun : stress.
Le travail : Stress, rien que par l’ambiance induite de compétition interne, les délais, les objectifs.
Déjeuner sur le pouce, ou rapide, ou dans un environnement bruyant, sans vraiment le choix des mets, pas un déjeuner calme et joyeux. Stress.
Re-travail.
Toute la journée est douleurs, le dos, ou l’estomac, ou la tête, ou les pieds. Stress.
Le soir, vite faire à manger, faire des choses vite. Stress.
Se mettre devant la télé et regarder les news une série policière. Le cerveau enregistre toutes l’anxiété des images de faits divers, les agressions dans les séries et films. Stress.
Enfin on dort, et si on dort bien et assez longtemps et en continu on a de la chance. Sinon, Stress.
Entre tous ces moments, on aura eu quelques moments de joie. Un bisou, une embrassade, une rigolade, un moment de sport cool sans chrono ni performance, un regard, un autre bisou, un gentil message, peut être un peu de yoga.
Mais au final, quand on fait le total de tous les moments de stress, et de joie, quelles sont les proportions ?
Ce qu’on appelle l’éternité c’est maintenant
il n’y a pas une éternité qui soit ailleurs
elle est là ici et maintenant
puisque le maintenant n’a pas besoin de temps
le futur et le passé en besoin d’autres choses
ils ont besoin de maintenant
ils ont besoin de penser
ils ont besoin de projets
ils ont besoin de mémoire
mais le maintenant a besoin de rien !
il n’a pas besoin de se rapporter au passé ni au futur
il EST
il est maintenant
maintenant à chaque instant
il est éternité.
2 Septembre 2020
Avant d’arriver à un sommet, avant d’arriver à un objectif, tu peux imaginer le sommet, tu peux imaginer tout un tas de choses
mais comment ça va être là-haut, comment ça va être dans toi, quand tu seras arrivée au sommet ? tu peux imaginer tu peux projeter tu peux penser tu peux même projeter des émotions à l’avance,
et peu à peu tu avances vers le sommet, tu imagines tu imagines tu imagines encore,
même quand tu es près du sommet tu continues d’imaginer,
imagine que tu aies vu une partie, une des faces de la montagne, que tu es en train de le vivre symboliquement ou alors physiquement, tu peux regarder toutes les faces de la montagne, mais tu ne la verras jamais toute, en même temps et entièrement
et tu ne verras jamais ce qu’on voit depuis le sommet
alors tu imagines à chaque fois comment ça va être, mais est-ce que tu prends soin de profiter de ta montée de ton ascension de chaque pas que tu fais vers ce sommet ? est-ce que tu en prends soin ?
c’est seulement quand tu arrives réellement au sommet que tu peux avoir cette vue du sommet, c’est à ce moment-là seulement que tu as une vue d’ensemble, et que tu peux te rendre compte que tout ce que tu as imaginé, ce n’était pas ce qui EST ! Ce que tu vis au moment où tu es au sommet n’est jamais comme tu l’as imaginé avant !
C’est aussi ce qui rend ce moment d’arriver au sommet unique, unique pour toi unique en toi, personne d’autre ne l’aura vécu comme toi, et ce que tu auras imaginé sera éffacé
Ce n’est pas le fait d’être au sommet qui te rendra plus fort ou meilleur, c’est le chemin parcouru, c’est le moment vécu ! C’est en contemplant un paysage depuis un sommet que tu oublies tout le reste, note comme tout te paraît futile, comme toutes les pensées toutes les émotions négatives tous les remords tous les regrets toutes les ruminations n’existent plus dans ce moment-là !
Il n’existe que le beau, qui se déploie sous les yeux, c’est ton regard éclairé qui embrasse le monde entier, ton monde transformé par ton ascension.
2 Septembre 2020 – Corloy La Grande
Ce n’est pas ton dos qui fait mal, mais le fardeau.
Nous, enfants de terre mère et père ciel
Nous rassemblons par la connexion des cœurs
trouvons l’inspiration et le courage
et respirons d’un seul souffle uni d’amour
Nous agissons humblement et en discrétion Là où nous vivons
Par nos actes, nos paroles et nos silences
Nous décidons que l’amour est le levain pour Transformer la pâte humaine
Nous ouvrons dès à présent les frontières de nos esprits et nous libérons les chaînes de nos cœurs
Nous refusons que notre vie soit gouvernée par la peur, la haine et les discours
Et donnons toujours la priorité au cœur sur le raisonnement de l’égo
Pour accueillir nos sœurs et nos frères D’où qu’ils viennent dans l’estime et le respect
Ensemble nous marchons d’un pas uni et décidé Par tous les chemins de la bienveillance
Nous répandons le pardon La compassion et l’amour sur toute la terre
Que tous les êtres sur terre soient heureux et en bonne santé
D’où qu’ils viennent quoiqu’ils fassent
Que tous soient soulagés de leurs souffrances et que leurs cœurs soient libérés apaisés et pleins de bienveillance de compassion et d’humble gratitude
Pour que tous respirent la joie
Celle des êtres de lumières qui nous montrent le chemin et qu’ils en soient remerciés d’amour
Que l’amour grandisse et rayonne
Les Ballons Sont Comme Le Bonheur

Un professeur a amené des ballons à l’école et a demandé aux enfants de les gonfler.
Et que chacun écrive son nom sur un ballon.
Ils ont jeté tous les ballons dans le couloir et le professeur les a mélangés d’un bout à l’autre.
Ensuite le professeur leur a donné 5 minutes pour trouver le ballon avec leur nom dessus. Les enfant allaient dans tous les sens, regardant frénétiquement, mais quand le temps a été écoulé, personne n’avait trouvé son propre ballon.
Puis le professeur leur a dit de prendre le ballon le plus proche d’eux et de le donner à la personne dont le nom est écrit dessus. En moins de 2 minutes chacun avait son propre ballon.
À la fin, après que les élèves aient pu s’exprimer sur ce qu’ils apprenaient de cette expérience, le professeur a dit ceci :
« Les ballons sont comme le bonheur. Personne ne le trouvera s’il cherche le sien seulement. Au lieu de cela, si tout le monde se soucie les uns des autres, chacun trouvera son propre bonheur plus aisément. »
Auteur Anonyme
la matière m’est indispensable pour vivre mon expérience spirituelle actuelle.
C’est important de vivre pleinement ma matérialité, et de ne pas m’élever plus haut qu’elle, ne pas me prendre pour un ange, car si je suis matière, ce n’est pas une punition !
mais c’est qu’il m’a été offert d’être ainsi, et que c’est dans cette limitation humaine qu’il m’est offert d’apporter ma contribution, dans la magnificence de l’imperfection humaine, nos si belles vulnérabilités, nos si belles brèches, c’est bien nos fragilités que nos âmes profondes perçoivent et aiment dans nos autres, dans nos miroirs.
La trinité est chère à mon existence, ciel, corps, terre. C’est ainsi que j’évolue, avec grand plaisir.
Voilà. C’est ainsi que se termine ce Vendredi 24 Juillet 2020.
Un jour de plus dans cette expérience terrestre, un autre miracle, avec toute ma gratitude, un jour de plus dans cette vie, un jour de plus avec ce coeur qui bat, dans ce corps qui vit et qui vibre, un jour de plus avec vous tous, les êtres, tous les êtres, dont vous les êtres proches et chers êtes les représentants, chacun à sa manière unique et dans l’union.
Le vent bruisse dans les grands épicéas, et le vent fait sonner le carillon, pour dire au-revoir au jour, ce beau jour, cette nouvelle expérience, vécue, pleinement, intensément,
et les moments au travail absorbés par les tâches des automatismes et dans les pensées ne sont pas des moments perdus, ils font partie de la beauté du jour, il n’y a pas de temps perdu puisque le temps n’existe pas.
Ce jour va s’éteindre doucement, le soir porte en lui une infinie douceur. Alors que le matin est fraicheur et excitation, gonflé comme une cornemuse, le soir quant à lui est ce moment où la respiration arrive à son plus bas niveau, quand on y est habitué ce moment de vide offre une sérénité infinie, une douceur, un moment où l’âme émerge dans toute sa largeur dans toute son immensité, sa paix. C »est cette sérénité de fin d’expir que je trouve dans le soir, cher soir, qui signe le jour offert, merci merci merci