Catégorie : Méditation&Spiritualité (Page 51 of 57)

L’être d’Amour

Je veux t’écrire une l’être d’Amour

dans l’Amour que je suis, dans l’Amour auquel je destine ces maux

j’écris l’être d’Amour, l’être d’Amour écrit, l’être d’Amour est destin-n’à-Terre

à chaque fois que j’écris l’Amour, moi l’Être d’Amour, je Suis, je me charge d’Amour, que je laisse monter en la matière

la matière qui toujours réclame l’Amour, la matière qui est destin-à-Terre, terre-à-Terre,

le miroir recherché, l’autre désiré, n’est autre que l’Amour dans une autre matière,

car l’Amour que je deviens dans l’autre me libère de la pesanteur de ma matière,

l’Amour que je trouve dans chaque atome de matière de l’Autre me permet de re-co-naitre

l’essence des sens, l’atmosphère élevée des sentiments, l’indicible vague de paix qui s’échoue sur la plage des éternités unies

Ananda

(auteur inconnu)

quelques mots d’Amour

ma mort m’importe peu

la tienne me détruit

entre les lacs de l’absence

ton ombre plane sur l’espérance.

 

ma mort n’est qu’une libération

la tienne est inscrite dans l’absence

l’essence de ma vivance, des-espérance

espérance, rance et fumante

 

ton absence est ma mort lente

et mon essence en même temps

pendant que dans les forêts de dissidences

tu es moi je suis toi

 

tu es moi je suis toi

en toi coule le sang de mon flux d’amour

tes veines reçoivent en battement

les vaines vagues de mon âme errante

 

je suis en toi, tu es en moi

je te sens dans chaque cellule de mon âme

le corps tout entier porte la signature de ta présence

dans les cris étouffés de ton absence, saignante, régnante, prégnante,

 

les cicatrices de toi comme le tatouage de l’âme

je te transporte dans tous mes sens, toutes mes perceptions

là où va le vent me porte mes états d’âmes

s’échouent sur la grève sur la plage du levant

 

et je me relève te mon rêve étrange

et te prends toi ma reine, ma déesse mystérieuse,

assise au milieu d’un cercle d’arbres, tu contemples ton royaume,

mon coeur est ton jardinier et ton guide

 

et je serai celui qui dansera autour de tes sentiments mêlés

je ferai tourner les arbres tu resteras sur ton trône de terre

sans que rien vienne troubler l’aurore dansante

autour de tes cheveux au vent libres

 

Ton pas sera inscrit dans le mien guidant

je serai là à tes côtés mon âme

sans que rien puisse venir troubler notre pas sûr

sans que jamais plus rien vienne séparer ce qui EST

 

du moment que nos amours se sont mêlées

l’univers a posé son empreinte douce sur le NOUS

l’a béni et le conduit vers sa présence

dans le ciel de la montgolfière envolée…

 

Les liants déliants – quelques mots glissés

Plus haut, et plus profond. Plus haut dans les profondeurs abyssales de l’expérience terrestre. Plus loin, dans le domaine des pieuvres, dans le domaine des étoiles. Là où il n’y a plus, plus de temps, plus d’avant ni d’après, quand le temps s’efface, la souffrance n’existe plus…

La matière me relie, je me lie à cet état de jeûne spirituel, par la Conscience qui a faim, tandis que  les nutriments qui me gardent en vie et à la fois m’éloignent de la profondeur intérieure. Digestion avant le repos, l’action du corps implique la suspension de la complétude spirituelle, puis celle-ci à son apogée, revient la faim. Alternance, balance, Yin-Yang.

Nul doute que je me réjouis de te retrouver, mais en même temps, je SAIS que ce cheminement actuel, présent, est beau et sain, complet comme tout ce que nous vivons, ensemble et ce que nous vivons dans le ensemble du non-ensemble, indispensable unicités pour que puisse exister l’union.

La Conscience d’être un être infini et lié à l’univers est une chose; ensuite de me savoir lié aux être dans le là-bas était une autre révélation;

Ensuite cette connexion à la nature liant et lien à l’univers est un terreau fertile de l’unicité avec le tout;

Et maintenant, d’être dans une relation terrestre qui est aussi celle du tout et du Un, c’est je crois quelque chose que je n’aurais jamais imaginé Vivre ici bas, car je ne pouvais le concevoir;

l’élévation capte la lumière universelle grâce à la Vie terrestre que nous mettons dans cette expérience actuelle. Un petit paradoxe, qui fait le lien le liant entre Terre et Ciel, qui ne sont pas Yin et Yang, mais qui sont UN et TOUT, tout comme nous SOMMES.

… parfois les mots sont superflus, car quand on atteint les prairies de l’abondance vraie, alors un regard suffit, celui que nous avons chacun sur la Vie et sur la compagnie de l’autre, que nous nous offrons dans cette temporalité éphémère.

La mission de Vie – une autre manière de la voir

La mission de Vie

 

Beaucoup cherchent leur mission de vie, et se demandent comment d’autres l’ont trouvée. La mission de vie, comme tout le reste, ne vient pas de l’extérieur, d’une illumination qui arrive par un canal quelconque. Elle se trouve dans l’Être : elle est là, à portée de main.

La mission de vie est là, déjà là, dans l’Être : c’est en étant soi, profondément, en étant connecté à son Être profond que la mission de vie se réalise déjà.

C’est en étant soi, toujours plus, qu’EST la mission de vie : mais elle se trouve dans l’état d’Être lui-même. C’est en étant soi qu’on réalise sa mission de vie. Car la mission de vie se trouve dans l’Être ! Plus je me connecte à mon Être profond, plus ma mission de vie se réalise. Être soi constitue la réalisation de la mission de vie, car la mission de vie EST Être !

La mission de vie n’est pas quelque chose d’externe à l’état d’Être, qui serait à atteindre. On n’a pas besoin de passer par une étape de révélation puis de mise en œuvre de la mission de vie On n’a pas besoin de la révéler puis de la travailler comme un talent.

Le temps est mort

Le concept de mort n’est il pas lié au concept de temps ? Si je ne suis pas lié au temps, je n’ai pas de mort.
La mort est un égrégore. Une illusion. Une chaîne. Elle limite ma vie. Elle est le temps. Le temps m’empêche de vivre dans le présent. Le temps est la mort. Le temps stoppe la Vie.

 

Il n’y a pas de parcours de vie, je suis ma vie !
Le temps n’existe pas.

Si l’existence se déroulait sur une ligne de temps, toi et moi serions dans des temps différents. Tu serais à 46 ans et moi à 27 (oui je sais je fais pas mon âge, merci c’est sympa)

Or nous pouvons vivre le même moment présent. Car nos existences terrestres sont dans le moment présent.

Le passé n’existe pas ni le futur, car ton passé n’est pas le mien ni celui de quiconque.

Personne n’est jamais allé dans le passé. La mort se définit comme la fin du passé. Si je n’ai pas peur du passé et si je n’y crois pas, je n’ai pas peur de la mort. Me libérer du passé c’est me libérer de la mort.

Car le passé est mort. La mort est passé.

Personne n’est trop vieux ou trop jeune, chacun est dans son temps de vie, à savoir son présent. Être présent c’est être au présent, c’est tout simplement être

Egrégores

Un égrégore est, un concept désignant un esprit de groupe constitué par l’agrégation des intentions, des énergies et des désirs de plusieurs individus unis dans un but bien défini.

Les concepts que sont les égrégores dominent nos vies ils forment notre réalité, ce que nous désignons comme réel, factuel, vrai. Or, tout ce qui constitue notre réalité est issu de concepts. Et l’humain est un animal étrange obsédé par la conceptualisation.

Nous avons aujourd’hui une réalité de plus en plus mondiale, uniforme, et sa religion imposée à tous est la science. les humains ont transposé en science toutes les croyances validées; la science admise est en fait une science anthropomorphique, construite pour qu’il puisse la comprendre. Sans possibilité de s’identifier, les humains sont perdus.

La science quantique, qui n’est pas admise, dit par exemple que le temps n’existe pas, que la distance n’existe pas, qu’il n’y a pas de poids etc… toutes choses qui sont inconcevables pour un esprit humain qui n’a pas d’égrégore pour cette science qui est donc rejetée, par manque d’égrégore.

J’ai vu une série documentaire qui explique à quel point tout est mathématiques. C’est amusant à regarder, car même si on ne comprend rien des maths, on voit à quel point oui, en effet, tout est maths puisque on a inventé les maths; les maths existent pas dans la nature. Ainsi, tout sera également physique, chimique, etc… ils sont marrants les humains 🙂

les concepts humains ont besoin de codes. Les codes sont inscrits dans les mots. Les humains ne peuvent construire des égrégores qu’à partir du langage commun. Ainsi, ce n’est pas seulement ce qui nous arrive à nos sens qui nous parlent de notre environnement extérieur, mais les sens sont éduqués selon des égrégores.

Donc, notre réalité même, même ce que nous envoient nos sens, sont des égrégores, des constructions mentales communes. Il en est ainsi jusque dans les égrégores les plus fous, comme l’univers, que nous imaginons comme des galaxies et tout un tas d’éléments infinis, et jusqu’à l’atome, la plus petite, et tout ça tient ensemble dans un autre concept que nous nommons l’énergie universelle, autre concept…

Donc, si tout est égrégore, où se situe notre réalité ? ce que je raconte est absurde ? Non, car nous avons inventé tout ça parce que nous en avons besoin.

Quand on regarde la vie de la nature, les animaux et les plantes n’ont pas besoin de nom, ni d’existence, ni de place, ni de se situer, .. Les arbres par exemple n’ont pas besoin de langage pour commun; les arbres font ce qu’ils ont à faire, sans savoir comment ni pourquoi, sans avoir besoin de connaissance, la connaissance ayant besoin d’égrégore.

Un oiseau n’a pas besoin de savoir chanter, il le fait. Finalement, toute la nature n’existe pas sous la forme que nous la conceptualisons. Ni l’univers, ni rien.

C’est un joli vertige, que la seule réalité qui n’a pas de réalité conceptualisable. Et finalement, si on s’en remettait simplement à notre instinct, notre instinct humain, accepter notre besoin de concepts, mais non pas pour tenter de tout expliquer et avoir raison, mais juste pour vivre, juste pour aimer …

et finalement, la seule chose à faire, qui n’a pas besoin d’égrégore, c’est aimer !!!

 

identification

Sans identification aux idées sans identification aux pensées sans identification aux émotions alors…

Sans identification aux pensées aux émotions et aux idées alors il n’y a pas il n’y a pas de racisme il n’y a pas de différence il n’y a pas de discrimination il n’y a pas de jugement

Sans identification aux pensées aux émotions et aux idées il n’y a pas de dogme il n’y a pas de principe absolu il n’y a pas de vérité il n’y a pas de domination et il n’y a même pas de volonté de pouvoir.

Sans identification au penser aux émotions et aux idées il n’y a pas de volonté de s’approprier quoi que ce soit il n’y a pas d’attachement aux aux choses aux objets et à la propriété

Sans identification aux pensées et aux émotions et aux idées il n’y a pas de frontières il n’y a pas de séparation il n’y a pas de division

À chaque fois que je m’identifie à mes pensées je ne suis rien je suis éphémère car les pensées défilent à toute vitesse si les pensées des fils moi aussi j’ai des fils et je ne peux pas montrer être entré dans une continuité je ne peux pas être dans la paix car les pensées se bousculent les unes après les autres les unes contre les autres

À chaque fois que je m’identifie à mes émotions je les cultive et je les ressens une émotion dure entre une minute et une minute 30 tout ce qui est au-delà de une minute 30 c’est moi qui l’ai créé en moi c’est moi qui l’ai retiens et je me coupe de la joie de la joie profonde car on ne peut être à la fois dans la joie et dans le domaine vaste de la peur

À chaque fois que je m’identifie à mes idées je vais créer de l’idéologie et cela crée une vérité qui est propre à moi-même à moi seul et cela me sépare des autres

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