Catégorie : Méditation&Spiritualité (Page 43 of 58)

Sortir de la Nasse – Clés de la Nasse

Imagine deux personnes perdues en forêt. Le premier ne connait rien à la forêt et ne trouve pas de chemin de sortie, sans repères il est perdu et panique vite. Le deuxième est habitué à lire les nombreux signes que donne la nature et trouve rapidement la et même les chemins vers la sortie. C’est parce qu’il a appris à porter attention aux signes.

Dans la vie courante, garder son attention ouverte est un talent de base. Les trois premières choses à observer comment on se sent soi dans l’instant présent, comme les autres se sentent au même moment, et comment est la situation au même moment. En gardant ton attention ouverte sur ces trois aspects, tu conserves un esprit clair et tu évites de te sentir perdu et confus. Tu es en connexion. C’est entendu ou relxa, les gens sont cool et ouverts ou aggressifs et fermés ?

Aussi, reste focus, ne te disperse pas sans cesse, ni polluer. Sois engagé et porte ton attention sur ce que tu fais.

Enfin, reste calme. Ce n’est pas être passif, mais c’est être dans l’instant présent en accueillant pleinement ce qui est, en tant que témoin.

Tu peux ensuite non seulement accueillir mais aussi t’abandonner et aimer ce qui est, même ce que tu n’approuves pas.

Sois plein de compassion pour ce qui est, et pour tout être, même et particulièrement ceux qui ne partagent pas ni tes pensées ni tes options de vie. Rappelle toi que nous ne sommes pas nos pensées ni nos émotions.

Ainsi, se présenteront à toi des nouvelles possibilités, car tu auras libéré la créativité en toi et celle qui vient à toi.

Inspiré et complémenté à partir de Getting Unstuck ep11

 » Quand tu réalises que toutes choses changent, alors tu cesses enfin de vouloir les retenir  » – Lao Tseu

 » Quand tu réalises que toutes choses changent, alors tu cesses enfin de vouloir les retenir  » – Lao Tseu

 

On ouvre alors les portes à ce qu’on appelle le lâcher-prise. A quoi ça sert de lâcher-prise ?  Ca sert à prendre du recul.   Ca sert à ne pas bloquer la vie.

Quand on se trouve devant un changement dans ce qui constitue notre réalité, on a tendance à retenir, et à rectifier, à revenir à la situation d’avant.

Pour quelle raison ? Cela arrive quand le changement s’opère sur un ou des éléments extérieurs sur lesquels reposent la sécurité, l’harmonie avec le monde, l’amour de l’autre. Un équilibre est rompu, un statu quo qui tournait tranquillement devient chaos.

Nous pouvons trouver de nombreux exemples de chaos. Un deuil en est un exemple très parlant. L’autre n’est plus là, la relation à cet autre change alors. Tous ceux qui ont vécu le deuil d’un proche savent dans leur chair à quel point une partie de soi est arrachée. C’est ensuite le processus de deuil, que j’appelle un processus de vie, et un processus vital, qui se met en route. Processus de vie, car alors la vie se ré-invente.

La vie continue sans nous, elle s’insinue partout, elle avance sans nous, elle ne nous attend jamais. C’est un processus inexorable. Dans sa grande arrogance, l’homme croit encore que la vie s’arrête quand il s’arrête, ou quand il le décide. C’est une preuve de faiblesse que de mettre fin à l’existence d’une personne, ou de l’enfermer, car la Vie, elle, continue toujours. D’ailleurs, ceux qui tuent ne tuent que de la matière, ils ne tuent jamais la liberté de penser, et renforcent en eux-mêmes, pour toute leur existence, ce qu’ils pensent avoir tué en tuant les personnes : ils ont tué personne, en fait, mais ne tuent jamais un Être, car Être est, n’a pas de forme ni de temporalité, ne peut être stoppé.

Quand on veut retrouver  » la vie d’avant  » on retient ce qui n’existe déjà plus. Même hier n’existe plus. Ce qui nous donne l’illusion qu’aujourd’hui est la continuité de hier, c’est l’illusion que nous avons de contrôler la vie. Moins elle bouge, plus nous avons l’impression qu’aujourd’hui ressemble à hier. Et c’est comme ça que nous nous retrouvons à avoir des jours qui passent vite, des semaines qui passent vite, des mois et des années, et la vie passe à une vitesse folle. Un jour, on se rend compte qu’on n’en a qu’une, et qu’elle est passée.

Retenir la vie d’avant est une illusion, car la vie ne recule jamais. Ce qui existe, par contre, c’est un nouveau lendemain, c’est du neuf, c’est de construire à nouveau, d’inventer et de réinventer la vie qu’on a.

Pour inventer du neuf, la recette est-elle de vouloir à tout prix revenir à la vie d’avant ? Quand c’est possible, on trouve des éléments extérieurs qu’on désigne coupables. Mais ce n’est que reculer l’échéance, finalement.

En voulant retenir la vie d’avant, tu t’opposes à vivre la transformation déjà à l’oeuvre.

06012022

Finalement l’émotion monte en moi, celle de la peur suite à la nouvelle escalade de violence de cette loi de pass vaccinal.

Les vaccinés qui étaient tentés de ne pas faire la troisième dose vont rentrer dans le rang.

Les non vaccinés encore plus mis à l’écart.

Mais ce qui est plus difficile c’est le regard des autres, je suis le méchant égoïste et responsable de leur malheur. Je fais un peu semblant mais ça me travaille.

Et puis personne pour en parler. Juste exprimer, mieux pouvoir une fois peut être pleurer pour expulser la peine, l’effroi, la perte.

Je ne veux pas savoir quelle sera la prochaine étape de cette escalade, mais le peuple a peur et se couche, doute mais suit comme un troupeau de moutons, mais ceux qui vont à l’abattoir ce sont les méchants, les autres.

Ce sont des voisins, des collègues et des membres de la famille, mais malgré ça chacun préfère se coucher.

Comment faire ?

Défiler en silence chaque lundi soir avec une bougie à la main avec comme seul slogan liberté et tolérance, où encore bouder les restaurants et les ciné, organiser des sessions de sport ou d’activité culturelles et des repas libres, arrêter de dénoncer les personnes cas contact, réclamer la liberté et particulièrement pour les plus démunis, ne pas agresser le camp d’en face mais lui demander de respecter les besoins de tous avec honnêteté et sans discrimination et sans aucune forme de violence, demander que les vaccins soient utilisés selon leur destination médicale initiale seulement, demander l’honnêteté aux médias, bouder les médias … et tant d’autres choses qui sont possibles … si on veut, tout ça sans même perdre cette fameuse  » liberté » « comme avant »…

Mais c’est une illusion je le crains, car les méchants seront bientôt encore beaucoup moins nombreux, ils ne sont déjà plus beaucoup, il faudrait que le peuple soit touché dans sa totalité.

Donc les non vaccinés sont désormais des sous citoyens, comme le sont déjà des minorités ethniques, culturelles ou religieuses dans certains pays.

Ça fait partie du paysage, seuls quelques groupes isolés arrivent à se faire entendre parfois, quand les médias en parlent ou pas, puis les médias les oublient et les peuples aussi.

Pas besoin de museler les peuples, les peuples s’auto domestiquent.

Il en est ainsi au travers de l’histoire de l’humanité et actuellement aussi au travers de la planète.

On connait parfois même pas l »existence de ces humains particuliers. Ici aussi, en France, il y a déjà ces discriminations, acceptées, normalisées : personnes de certaines apparences, femmes, handicapés, musulmans, juifs, « jeunes », partout le bon et le mauvais séparent les humains des autres. tout est basé sur  » l’autre est le méchant », l’autre est partout.

Être coupé des autres c’est se couper de soi.

Tous ces constats ne servent à rien, ça ne sert à rien de les dire, tout le monde se retrouve dans un désert de coeurs desséchés, par la peine ou la haine et la peur et la culpabilité, réduits en sable d’amour, sable soulevé par le vent de l’amour pour emporter ces poussières d’amour vers le ciel, où rien ne meurt, tout se transforme… la Vie est toujours gagnante, elle n’a pas besoin des humains, mais les humains ont besoin d’elle, mais ils l’ont oublié….

Les perceptions créent notre réalité

(Inspiré de D Chopra, Getting Unstuck, Day 7)

Notre réalité est faite de nos perceptions. Ce qui nous arrive est dénué de sens. Ce qui nous arrive n’a pas d’intention, pas de couleur, pas de flaveur, pas de signification, pas de direction, aucun sens. Tout EST, tout simplement, et tout ce qui EST n’est rien d’autre que EST.

Tout ce qui donne un sens, une signification à ce qui nous arrive, est « inventé » à partir de la manière dont nous percevons ce qui nous arrive. Nous ressentons et colorons tout ce qui nous arrive.

Etant donné qu’aucune situation n’a de sens en elle-même, c’est notre créativité qui peut lui donner un sens. Chacun a le pouvoir de colorer toute situation à sa manière.

La coloration de la vie lui donne son sens

Tous les jours nous colorons ce qui nous arrive de sens, et nous le faisons souvent inconsciemment. Chacun donne la couleur à ce qu’elle/il perçoit en fonction d’un tas de choses, à commencer par son expérience passée, la pression des autres donc de l’environnement, des règles que nous avons assimilées, des chiffres que nous avons gobés etc…

Et ces perceptions nous mènent à des pensées et des opinions, puis à des émotions, et enfin à des comportements souvent inconscients et elles génèrent des résultats ! Par exemple s’exposer aux rabachages forcément négatif des médias mène à penser et juger tel actualité comme anormale ou menaçante ; Cela génère des émotions négatives et du stress ; Ce qui mène à pensées angoissées et hostiles ; Ce qui nous mène à des actions (ou à de l’inaction) qui correspondent cela : Ce que mène à des résultats ! Or, on n’a jamais vu quelqu’un d’angoissé ou de colérique avoir un comportement joyeux et créatif de changement positif … alors pensez à une communauté ou un pays tout entier qui vivrait dans une crainte collective permanente …

Colorer en « bien » et « mal » ce que nous vivons donne un sens à notre vie qui est génère des comportements automatisés et inconscients de jugements automatisés « bien » ou « mal ». Pourtant, ces colorations divisent et génèrent de la violence. Pensez à la manière dont des peuples tombent facilement dans le  » nous contre eux  » durant une crise, cherchant un groupe cible à blâmer, le désigner comme coupable.

Prendre conscience de notre pouvoir sur nos réalités

Arrêt sur image : qu’est-ce qui m’OBLIGE à percevoir la pluie comme un évènement négatif ? Rien ! c’est un choix !   Qu’est-ce qui m’OBLIGE à percevoir tel comportement de telle personne comme « mal » ? Personne ! c’est mon jugement, fait à partir de mes perceptions !

Selon mon expérience passée, je peux percevoir le vélo comme un engin très dangereux qui devrait être interdit sur route tandis que mon voisin le considère comme un engin très utile, écolo et que tout le monde devrait adopter. Voilà deux perceptions qui mènent des jugements limités et partiels.

Selon la perception, la même situation peut sembler, et être vécue, comme noire ou lumineuse, joyeuse ou triste, pleine de promesses ou désespérée, gentille ou hostile, égoïste ou bienveillant, empathique ou indifférent. Non parce que ce sont des réalités, puisqu’elle est faite de nos perceptions, mais parce que nous faisons le choix de colorer d’une certaine manière nos perceptions. Et il est tentant et confortable d’abandonner sa créativité pour se conformer et adopter la manière que d’autres voient les choses. Mais nous avons objectivement le choix de reprendre le pouvoir sur nos perceptions.

Le choix

Quand il arrive un évènement qui change le cours de la  vie, chacun a le choix de décider soit d’en faire quelque chose de négatif soit quelque chose de positif. Chaque personne donne une couleur différente à un même évènement.

Alors si on veut que la vie soit meilleure, il ne sert à rien d’espérer que les évènements changent, car les évènements n’ont pas de signification.

Pour avoir une vie meilleure, il faut commencer par être ouvert et d’autoriser une nouvelle façon de percevoir les choses. Développer une autre conscience, celle avec un grand C : la Conscience. C’est d’abord ne pas chercher des opinions et des attitudes que d’autres approuvent. C’est aussi prendre conscience que la perception a du pouvoir.

Le pouvoir de créer sa réalité

Les humains sont les seuls animaux à être autant sensibles au sens qu’on donne à tout : par le langage, nous interprétons tout ce que nous voyons, sentons, ressentons, goutons, entendons, tout ce qui nous est sensible. Or, les mots sont porteurs de sens, et ce qui nous arrive se charge de sens et perd sa neutralité initiale. C’est ce qui distingue notamment les comportements des petits enfants ou des animaux des adultes « éduqués ». Rien que  » il pleut  » ces mots donnent un sens à la pluie, et nous sommes souvent incapables de prendre la pluie pour ce qu’elle est.

La coloration que nous donnons à tout ce qui nous arrive est d’une puissance colossale, et tout ce qui nous arrive constitue ce que nous appelons notre existence : c’est le tableau de notre réalité. Nous pouvons avoir des journées, et semaines, des mois et des années et toute une vie soit « nulle », « banale », « résignée », « subie » ou alors joyeuse et remplie de bonheur.

Quand on prend conscience que c’est nous qui donnons la coloration à tout ce que nous percevons, que nous pouvons réaliser que nous sommes chacun le peintre de notre réalité personnelle. Ca veut dire qu’on peut changer l’image, quand on veut.

Ca veut dire qu’on peut arrêter d’adopter la coloration négative que d’autres veulent nous faire passer pour  » la réalité « , et donc qu’on peut cesser d’adopter comme des moutons les pensées, opinions et comportements que d’autres décident à notre place. En ouvrant le champ du possible de nos perceptions, nous générons d’autres émotions ! Et en ayant d’autres émotions, plus positives, notre attitude change, et les résultats aussi : notre existence s’améliore.

En décidant cela, nous ouvrons une curiosité positive, et nous avons plaisir à découvrir notre propre vision des choses ; Nous savons mettre de la distance avec ce qui arrive ; Nous savons nous distancier du jugement ; Nous savons prendre de la distance avec ceux qui veulent nous imposer leurs façons de voir les choses.

Le concept de mort n’est il pas lié au concept de temps ? Si je ne suis pas lié au temps, je n’ai pas de mort.
La mort est un égrégore. Une illusion. Une chaîne. Elle limite ma vie. Elle est le temps. Le temps m’empêche de vivre dans le présent. Le temps est la mort. Le temps stoppe la Vie
Il n’y a pas de parcours de vie, je suis ma vie !
Le temps n’existe pas.

Si l’existence se déroulait sur une ligne de temps, toi et moi serions dans des temps différents. Tu serais à 46 ans et moi à 27 (oui je sais je fais pas mon âge, merci c’est sympa)

Or nous pouvons vivre le même moment présent. Car nos existences terrestres sont dans le moment présent.

Le passé n’existe pas ni le futur, car ton passé n’est pas le mien ni celui de quiconque.

Personne n’est jamais allé dans le passé. La mort se définit comme la fin du passé. Si je n’ai pas peur du passé et si je n’y crois pas, je n’ai pas peur de la mort. Me libérer du passé c’est me libérer de la mort.

Car le passé est mort. La mort est passé.

Personne n’est trop vieux ou trop jeune, chacun est dans son temps de vie, à savoir son présent. Être présent c’est être au présent, c’est tout simplement être

Le semeur de positif

Le Positiculteur heureux – la Culture du positif

Le positif se trouve en graines à germer dans les champs de Joie. Les coach ICA cultivent des champs de Joie, et par défaut l’équipe ICA en possède toujours des greniers pleins. La monnaie d’échange est le MERCI avec le coeur.

La particularité du positif est qu’il germe à toute époque de l’année. Le temps de germination est plus ou moins court selon l’énergie du coaché : qualité du substrat, apport extérieur. L’apport extérieur est très varié, mais ce ne sera qu’un stimuli. La qualité du substrat est inhérente à chaque être. Certaines personnes sont dotées d’un capital plus ou moins élevé, selon la singularité de la personne, mais aucun n’est lié à l’avoir, c’est un état d’être. Ca tombe bien, nous voulons le cultiver dans des êtres humains, pas dans des avoirs-humains.

Technique : aller dans un des champs du possible de la personne. On les repère dans le discours et l’attitude de la personne, le coach peut s’aider des indicateurs comme HBDI, le langage non verbal du VAKOG, car il y a en chaque être des champs du possible.

Quand le positif n’est pas très présent, ce qui est très souvent le cas par l’éducation de notre société, on le trouvera à partir du négatif par effet de  dualité : il n’y a pas de négatif sans positif.

Le coach utilisera d’abord son attitude, et pourra s’aider de techniques de PNL, peut être la modélisation, le carré magique, le core process ou encore le cercle d’excellence (que nous n’avons pas vu en cours).

Pour les personnes contrôlantes, évitantes, vérifier si elles ont vraiment envie d’être positiculteurs. Le coach n’est pas un magicien, ni un thérapeute, ni un consultant.

 

Le semeur de positif

Une fois dans le champ, prendre dans la main caleuse du vieux paysan avec sa casquette sous le soleil du soir une poignée de graines de positif et les lancer comme ça, voir figure A, dans un vaste  geste auguste circulaire à hauteur de poitrine, même si le positiculteur s’appelle Rodolphe. Si c’est une femme, évidement elle s’appeleroit (c’est joli ça fait vieux François) enfin je veux dire qu’elle se prénommera Henriette, ceci même si elle ne s’appelle pas Rodolphe. Si le geste auguste circulaire à hauteur de poitrine de Henriette excite le coach, changer de main. Si Rodolphe se jette sur Henriette, laisser mijoter 9 mois au feu doux de l’amour. Bref.

Une fois les graines disséminées de façon harmonieuse, les oiseaux viennent picorer les graines. Ils les diffuseront d’autant mieux dans toutes les parties du monde intérieur de la personne. Ensuite, arroser régulièrement de l’eau de l’encouragement, rester souriant, bienveillant, mais réaliste, relancer, reformuler le positif, inciter en subtilité à trouver dans le négatif l’intention positive, mener avec subtilité le coaché vers la germination du positif : la subtilité est l’art d’être coach, et ça ne s’achète pas.

Lorsque le positif aura germé, la personne coachée sera dans sa dynamique de Joie et le coach pourra être content dans un sourire de contentement intérieur qui le fait vibrer de l’intérieur, voir figure B. Si le coach vibre à l’extérieur voir figure C, appeler les secours. S’il s’élève dans les airs, voir figure D, laissez-le partir, c’est la  … FIN

Utilise tes mains !

« Grand-Maman, que faire avec la souffrance ?
– Utilise tes mains mon enfant ! Si tu utilises ton mental, la souffrance s’accentue.
– Mes mains ?
– Oui, oui ! Nos mains sont les antennes de notre âme.
Quand tu les utilises en cousant, en cuisinant, en peignant, en touchant le sol ou en les plongeant dans la terre, tes mains envoient des signaux d’amour au plus profond de toi et ton âme se calme. Et elle n’a plus besoin de la souffrance pour que tu prennes soin d’elle.
– Les mains sont-elles vraiment si importantes ?
– Oui, pense aux bébés, ils découvrent le monde en le touchant. Quand tu regardes les mains des personnes âgées, elles t’en racontent davantage sur leurs vies que n’importe quelle autre partie de leur corps.
Il est dit que tout ce qui est « fait main » est fait par le cœur, parce que c’est vrai, les mains et le cœur sont connectés. Les masseuses le savent. Quand elles touchent le corps de quelqu’un avec leurs mains, elles créent avec cette personne une connexion profonde. Pense aux amoureux, quand ils se prennent la main, ils subliment leur amour.
– Grand-Maman, depuis combien de temps n’ai-je pas utilisé mes mains de cette façon ?
– Utilise-les, mon enfant ! Crée de tes mains ! Et tout à l’intérieur de toi se transformera ! La douleur ne disparaîtra pas, mais elle se métamorphosera en la plus merveilleuse des œuvres d’art. Elle ne te fera plus souffrir. Parce que tu auras réussi à embellir ton essence. »
Elena Barnabé

Les ateliers PNL à réviser pour l’évaluation

Les ateliers PNL à réviser pour l’évaluation de vos connaissances (en connaître le but et le protocole)

 

 

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Les niveaux logiques de Dilts : Outil pour le Coach pour repérer à quel niveau travailler : N+1 du Niveau qui pêche

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La modélisation :
But : repérer les stratégies de réussite,  les valeurs et talents.
Faire parler à la personne de trois réussites dans sa vie, de quels talents (capacités) elle a fait preuve, quelles valeurs ont été nourries, comment elle a ressenti. Repérer les stratégies de réussite, les valeurs et les capacités.

Le carré magique :
But : cultiver les ressources+, alimenter les réponses, cultiver le positif
Etablir un quadrillage 3X3 et placer la personne au centre : elle dans le présent. La ligne avant représente le futur, la ligne arrière le passé, celle du milieu représente le présent. la colonne du milieu représente la personne coachée, la colonne de gauche un ami/e, la colonne de droite une présence spirituelle (guide, ange gardien, personne admirée…)
Ensuite, faire demander à la personne de s’adresser (dissociation) aux différents personnage dans les différents temps pour leur demander le conseil que chacun peu donner par rapport à une situation à traiter. En principe la personne cochée ressort avec un tas de réponses, des messages positifs, de l’assurance en elle

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Négociation des parties du moi – les minis “moi » :
But : quand 2 parties en conflit. identifier les valeurs, et les conséquences négatives. nommer les valeurs, visualiser un lieu propice à l’échange, faire venir toutes les parties concernées et un animateur. Faire exprimer les intentions positives de chaque partie. Animation du débat. Recherche d’un consensus. image de fin, pont vers le futur.

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l’ancrage désancrage :
But : désancrer une situation négative d’intensité moyenne (inférieure à 7/10)
Protocole : identifier la situation et les émotions + et –
raconter la dernière fois où la situation était vécue, au présent du début à la fin
raconter une situation ressource+, l’amplifier
rester connecté à la ressource+ et reraconter la situation à traiter du début à la fgin
Bilan quelle sont les différences,
Pont vers le futur

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Le chemin de vie : se défaire d’une situation récurrente – de forte intensité (+8/10)
Protocole : – identifier la situation et les émotions + et –
– raconter la dernière fois où la situation était vécue, au présent du début à la fin. la raconter du début à la fin plusieurs fois, en ajoutant des détails. Noter le fil rouge émotionnel.
– accueillir dans un temps encore antérieur la première scène qui se présente (pas en rapport avec la première scène liée au problème à traiter), et la raconter du début à la fin plusieurs fois, en ajoutant des détails. Noter le fil rouge émotionnel
— R
épéter le processus jusqu’à ce que la personne arrive au bout. On peut remonter dans des vies antérieures.
Se connecter à un état ressource +++
En restant connecté, reconsidérer les différentes scènes en commençant par la plus ancienne, noter différences et les prises de conscience.
– Pont vers le futur

Regrets et Inquiétude

 

Regrets et Inquiétude

…beaucoup de personnes passent leur temps à organiser leur vie de manière à espérer qu’il ne se passe rien d’indésirable. Nous sommes mêmes éduqués à cela ! Travaille bien à l’école et tu auras un bon job. Sois comme ci et pas comme ça, et tu auras de bon amis, une bonne femme et une maison avec piscine. Tout ceci représente la sécurité. une certaine idée de sécurité.

C’est comme ça qu’on accumule du savoir-faire pour avoir des avoirs, c’est constituer des murs autour de soi pour se protéger, c’est accumuler des sécurités. Comme ça ne rend pas profondément heureux, on continue d’accumuler.

Et tout ça, c’est pour éviter quoi ? Pour éviter que ne se reproduise ce qui s’est passé dans le passé, on est dans le regret, et pour sécuriser le futur, ce qui est de l’inquiétude.

On évite même le passé qui ne nous appartient pas : celui de nos parents, de nos grands-parents, etc…qui forcément, vivaient tous des vies moins heureuses ! … ah bon, tu y étais pour en être si sûr ? Ah oui, ils n’avaient pas notre confort ? ok, mais est-ce que notre confort nous rend libres, joyeux, heureux ? … excuse-moi, j’ai comme un doute, et remets ton masque correctement stp …

On sécurise le futur, qui ne peut être que imaginé, sur la base de quoi ? Sur la base de ce qu’on connait déjà, c’est à dire le passé. Donc, en verrouillant le plus possible le futur, on ne peut que reproduire le passé, ce passé qu’on considère pourtant comme moins bon…paradoxal, non ? 🙂

En organisant la vie de cette manière, il y a peu de place pour la nouveauté. En voulant contrôler l’existence, on ne fait que reproduire ce qui existe déjà, en serrant les fesses pour que rien ne change. On estime avoir assez travaillé, avoir mérité la tranquillité, avoir fait ce qu’il faut pour avoir la paix. Pour ne plus bouger, car la vie est compliquée, la vie c’est pas facile…

En agissant ainsi, tu te compliques la vie, et oui, la vie n’est pas facile. Tu ne peux pas trouver de paix, de sérénité, dans une vie compliquée.

Et si tu lâchais un peu ton envie de changer le monde extérieur ? Pour te tourner vers toi et voir quel besoin n’est pas nourri en toi ?

 

La fuite : les autres

Et pourtant, la Vie change, c’est sa nature même ! Alors, comme on ne choisit pas le changement, on subit le changement. Alors on érige encore plus de murs, et on accuse les autres : ceux qu’on nous incite à accuser : le voisin, le collègue, le chef, le gouvernement, les américains et les russes, les arabes et le juifs, maintenant les non-vaccinés, et demain qui d’autre encore ? … ça marche tellement bien qu’on ne sait même pas vraiment pourquoi on déteste les autres … la preuve, quand une de ces tares touche un proche, on dit  » ah oui mais Mohammed, lui, c’est pas pareil !  » …

Accuser les autres, c’est une réaction de peur et de tristesse devant un changement imposé de l’extérieur. Mais l’accusation divise, et érige des positions de bon et de méchant, l’autre étant le méchant, la plupart du temps mais pas toujours. Et on se coupe de soi, de la possibilité de changer sa propre vie. En  accusant l’autre, je dis  » je n’ai pas voulu changer, fais-le à ma place, ensuite je pourrai choisir d’en être heureux ou malheureux, selon mon bon vouloir ».  C’est ainsi que nous sommes des milliards à vivre la vie que d’autres ont choisi pour nous.

On me dit alors « mais regarde, ce sont des faits, tu ne peux pas nier ce qu’ils ont fait !  » … Il ne s’agit pas de nier. Notre société est organisée d’une manière pyramidale, où certains ont le pouvoir sur d’autres. Le pouvoir divise. Car il n’y a pas de joie véritable dans le pouvoir. C’est une joie malsaine. Celui qui a le pouvoir a besoin de sa marionnette pour avoir une joie perverse, ce qui n’est pas de la joie.

Et en disant cela, tu voudrais quoi ? Tu voudrais qu’ils n’aient pas fait ce qu’ils ont déjà fait ? Trop tard, c’est du passé ! Tu voudrais qu’ils reviennent sur leurs actes ? Et donc, tu voudrais que tout le monde vive selon tes préceptes, tes valeurs, tes vérités ? Tu passerais sans doute toute ta vie à rectifier le comportement et les valeurs des autres… et tu passerais à côté de la joie, la joie de vivre ! Tu voudrais en fait avoir le pouvoir, celui de faire un monde meilleur, meilleur selon TES vérités ? Avec le pouvoir, tu serais celui qui dicte ta vérité…

 

 

 

Vis dans le présent

Le regret ne change rien au passé, il t’empêche de vivre sereinement l’instant présent : maintenant.
L’inquiétude ne change rien au futur, elle te coupe de vivre sereinement l’instant présent : maintenant.
Vis au présent !

j’entends parfois des paroles résignées : « si c’était si facile à faire qu’à dire … ».

Alors comment faire ? …
Et si pour une fois, quelque chose n’était pas compliqué, ni réservé à une élite, ni payant, ni à apprendre ? Si pour une fois, c’était juste la vie ?

Et si tu t’accordais, à toi même, juste un temps pour t’arrêter, et observer.
L’as-tu déjà fait ? Arrêter de cogiter, de planifier, de calculer, arrêter en fait de s’inquiéter et de regretter permet en soi-même de commencer à faire de l’espace en soi : c’est dans cet espace que grandit la sérénité.

Observer sans analyser, sans réfléchir, sans mesurer, sans attendre la suite. Qu’y-a-til devant toi ? un écran ? un mur ? un paysage ? peu importe, observe juste, sans poser des noms, des définitions, des intentions, des utilisations, des couleurs, des formes…
et là, pose ton regard sur un objet, un paysage, évite les mots et les photos de personne chère. Ensuite défocalise ton regard, ne fixe rien.

maintenant ton regard se pose, tout simplement, il se pose…
…et là, tu peux sentir que en fait, tu respires,
que en fait tu entends d’autres sons,
tu ressens certaines parties de ton corps, qui se manifestent parce qu’elles se détendent.
peux maintenant respirer, profondément, tu sens comme le diaphragme se détend.

c’est dans cet espace que grandit la sérénité. ça n’a l’air de rien, comme ça. C’est du temps perdu ? Façon de voir…justement, en faisant cela de temps en temps, tu vois les choses d’une autre manière, ce qui est si important perd de sa criticité, les urgences prennent du recul, et l’espace grandit à chaque fois un peu plus…

Tu peux maintenant retourner dans le mental, dans tes tâches du quotidien, du travail, de la vie de famille…quand tu reviendras à ce moment de déconnexion, tu te rendras compte que c’est au contraire une autre connexion, une connexion à ta paix intérieure qui se met en place.

La paix, elle se trouve là, à l’intérieur, elle ne vient pas de l’extérieur … elle est toujours là, toujours disponible, tu peux t’y connecter à tout moment, dans les moments de stress, dans les moments où justement tes émotions te prennent…

Respire, observe, défocalise, respire
Respire, observe, défocalise, respire
Respire, observe, défocalise, respire

 

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