Catégorie : Méditation&Spiritualité (Page 40 of 57)

Langage Commun

Le monde c’est le monde qu’on perçoit à partir de tout ce qui est entré en nous et que nous avons transformé dans notre cerveau à l’aide des connexions neuronales des synapses à chaque fois que nous apprenons une nouvelle chose un nouveau mot un nouveau concept une nouvelle idée à chaque fois se font de nouvelles connexions neuronales et notre monde s’élargit se transforme et se modifie.

Cette accumulation d’informations commence par les perceptions de nos cinq sens. Or nos perceptions ne sont pas identiques d’une personne à l’autre. Chaque personne perçoit le monde qui l’entour d’une manière vraiment différente. La couleur verte que tu perçois n’est pas la même que celle que je perçois et aucune de nos perceptions ne correspond aux valeurs théoriques que nous avons inventé par les instruments de mesure de la diffraction de la lumière. Le goût de cette pomme est différent chez toi que chez moi et pourtant nous pouvons parler ensemble du goût de la pomme.

et ce qui nous relie, c’est le langage commun. Nous voyons toi et moi cet arbre qui est devant nous. le point commun c’est le mot arbre et ensuite tout un tas de connaissances à propos de l’arbre qui sont communes, nous disant que l’arbre est grand parce que nous avons tous deux la même notion de « grand », que l’arbre est vert parce que nous avons tous les deux la même conception du vert etc…

une personne venant d’un autre pays verra exactement la même chose c’est-à-dire un grand arbre vert ! Par contre nous ne pourrons pas échanger au sujet de cette de cet arbre. Si je parle à cette personne qui ne comprend pas mon langage, je crois que cette personne est bête alors qu’elle voit parfaitement que l’arbre est grand et qu’il est vert.

Je peux donc juger la personne bête alors que nous avons simplement des différences dans le langage que nous donnons aux différentes choses que nous percevons. Le langage est donc un repère commun important.

 

En Bref

La vie est spirituelle

En conscience je mange, je me lave, je parle, j’écris, je touche, j’agis. Ainsi chargé d’Etre-itude, tout est transformé !

Illusions d’Optique

Illusions d’Optique

 

La vision occupe environ un tiers de notre cortex cérébral. Quand vous ouvrez vos yeux et jetez un coup d’œil dans cette pièce, des milliards de neurones et des milliers de milliards de synapses sont à l’œuvre. C’est un peu surprenant dans la mesure où quand nous pensons à notre vision, nous la voyons comme un appareil photo. Elle prend juste une image objective de la réalité. L’œil a une lentille qui concentre une image sur l’arrière de l’œil où se trouvent 130 millions de photo-récepteurs, donc on peut comparer l’œil à un appareil photo de 130 mégapixels. Mais ça n’explique pas les milliards de neurones et les milliers de milliards de synapses mobilisées. Que font ces neurones ? Eh bien, la neuroscience nous dit qu’ils créent, en temps réel, toutes les formes, les objets, les couleurs et les mouvements que nous voyons. Comme si nous prenions un cliché de cette pièce telle quelle, mais qu’en fait, nous construisions tout ce que nous voyons. Nous ne construisons pas tout en une seule fois. Nous construisons ce dont nous avons besoin à un moment donné.

( extrait de « Voyons-nous la réalité telle qu’elle est ? » Donald Hoffman – TED talks )

 

Observe ces oeuvres de Victor Vasarely

 

 

Dans cet exemple, nous ne voyons toi et moi pas les mêmes formes apparaitre…puis disparaitre pour se transformer selon que le regard est plus ou moins assoupli ou focalisé. Je peux moi-même y voir différentes formes selon mon regard.

Si je change ma façon de regarder une chose, cette chose change : elle change, c’est-à-dire qu’elle prend une autre signification, un autre sens.

Mais cette image est plate, totalement plate. Je n’arrive même pas à voir cette simple et autre réalité, tellement mon cerveau est conditionné à reconnaitre des formes.

A partir de là :  Notre perception du monde ne se limite pas à cette digression par les œuvres de Victor Vasarely. Nous pensons voir tout un tas de choses, c’est ok, mais c’est lorsque nous les prenons pour des vérités que ça commence à nous mener vers l’erreur.

On pensait que la Terre était plate car ça y ressemblait. Ensuite, nous avons pensé que la Terre était le centre immuable de l’univers parce que cela y ressemblait. On se trompait. Nous avions mal interprété nos perceptions. Dans notre vraie vie il en est de même. Nous ne voyons pas, nous interprétons. Je cite l’exemple de cette femme privée de son enfant par les services sociaux, sa petite fille présentait souvent des « traces de coups » selon le médecin.

Après une longue procédure, elle a récupéré son enfant et a pu la soigner :  en fait, la petite fille souffrait d’une maladie qui provoque des ecchymoses. Donc, ce qui était visible était vrai, la petite fille avait des bleus. Mais ce que certains ont cru voir était faux.

Il aura fallu l’ouverture d’esprit d’un médecin puis ensuite l’aide d’un avocat pour que ce qui était aussi évident que le nez au milieu de la figure soit admis comme faux.

Aujourd’hui nous savons bien que la Terre n’est pas plate, mais nous avons beaucoup d’autres croyances, et parmi celles-ci un certain nombre nous mènent à des actes qui sont erronés et même nocifs. Mais nous ne le savons pas, pas encore.

Il faut se méfier de ce que nous nommons trop rapidement la réalité. Nous avons besoin de tous ces raccourcis pour ne pas devoir traiter chaque image qui se présente à nos yeux de façon neuve, et donc reconnaitre une petite fille, des bleus, et son contexte familial à savoir entourée d’une mère, ainsi que savoir reconnaitre la valeur à-priori de la personne qui a fait le signalement. Mais tous ces éléments ne sont que des interprétations, que nous prenons pour des certitudes au point de réfuter le mot d’interprétation : j’entends tellement souvent dire « mais tu vois bien, ce sont des faits ! »…

Autour de nous, les faits sont rares, finalement : il fait jour, il pleut, sont des faits. Il fait chaud n’est pas un fait. On peut dire qu’il fait telle température mesurée sur l’échelle de Celcius.

Je vous laisse, je retourne encore une fois sur les images de Vasarely et je reconsidère encore une nouvelle fois ma conception de la réalité. Car la remettre toujours en doute me permet de ne pas trop m’identifier à ma « carte du monde » …

Durant cette balade sur Terre

longtemps sur les autoroutes d’une existence trop facile et pauvre,
la matière érigée en religion, égrégors formant réalités, monde de l’extérieur cherchant des chimères anxiogènes,
accumulation vaine de matière dans une course ecervelée sans sens toute ensanglantée
je cherchais à quitter la violence de l’avoir pour trouver l’être …
 
…alors …
 
j’ai quitté la grande route, et me suis enfoncé peu à peu vers la vallée de l’être
pour y trouver la petite route de ma vie, bordée de paysages variés, offerts au fil des pas,
recueillis par les sens en silence pour imprimer les pas dans le sable qui s’effacent déjà
marchant sur cette route aux sens unis,
 
un petit chemin s’est présenté tournant vers un nouvel inconnu,
je m’y suis engagé, confiant et sans questions sur la suite
le présent dans les pieds.
là je la plus petite Vallée encore plus encaissée
offrant alors plus de subtilité, magnifique de nuances, reliefs et découvertes
 
tout à ma cueillette j’ai à peine vu qu’une autre vallée, encore plus petite, encore plus sauvage,
s’offrait à mon pas de son air souriant.
je pénétrais avec confiance dans cette part cachée de la grande forêt de l’existence
venaient à moi les fragrances merveilleuses de trésors insoupçonnés,
régnait une paix et une quiétude qui invitait à la méditation, recueillement des âmes patientes, avec persévérance et amour,
la source du ruisseau est là toute proche, tapie entre les roches et les arbustes, je peux l’entendre …
quelques pas de plus et …
 
Merci merci merci la vie, merci merci merci l’Amour de m’offrir autant de merveilles
ETL 26 DEC 2020

Lumière, étoile et vide

L’étoile émet la lumière. Le vide entre les étoiles reçoit la lumière.

depuis l’étoile, on peut voir le vide.
depuis le vide on voit la lumière. Celle de l’étoile.

Le vide n’est donc pas rien, il a une existence par la lumière.
La lumière de l’étoile a une existence si le vide la reçoit.

Le vide n’a pas besoin de l’étoile, l’étoile n’a pas besoin du vide.
Les deux prennent une existence de sens par la présence de l’autre.

Nous sommes tous à la fois étoiles et vides, et avons besoin les uns des autres pour exister.
Nous n’avons pas besoin de réfléchir la lumière ni le vide, et nous émettons et recevons, c’est le sens que prend la vie en nous.

Namaste

Hier

Je suis parti hier, le Vendredi 11 Mars 2022 de l’ère des humains modernes.

En l’an moins 452, savaient-ils qu’ils étaient en moins 452 ? non ! donc, les numérologues, les l’an 2000, les nostradamus, désolé c’est du vent !

je suis parti hier, et je me crois toujours là, avec ceux qui se croient vivants. S’ils savaient ! s’ils savaient comme on est bien plus vivants « après » : ce qu’ils croient la mort, la fin, car pour eux la mort c’est la fin, pour eux la mort c’est l’absence de Vie. Comme s’ils ne savaient pas, chacun au fond d’eux depuis la plus tendre enfance, que ce qu’ils appellent la mort n’est qu’un passage, une autre dimension, une élévation, un ange qui prend son envol …

Voilà. Je suis ici, depuis hier, au milieu d’eux, au milieu des  » vivants « , et je suis là, à la fois dans l’ailleurs et là.

Ce que je ne sais pas, ou pas encore, c’est s’ils me voient, eux.

Mon frère et sa femme étaient là, pour le déjeuner. Ce soir, je ne sais pas, je ne sais pas si j’tais là, vraiment. Ou si eux étaient ailleurs.

Sensation étrange, que j’avais déjà, de n’être plus vraiment là.

Suis-je « vivant » ?

Les soit-disant preuves ne sont pas des preuves. Le fait que je mange, que j’écoute cette musique, ou que je tape ces mots sur le clavier, avec les sensations corporelles du jour, ne sont pas des preuves, elles sont tellement apprises qu’elles peuvent être … senties, ressenties, mais pas forcément réelles …

Qu’est-ce qui est réel ? …

… je peux être ce jeune homme Suisse, dans une station Alpine, qui plie le linge dans un local d’un hotel-spa, qui ne voit pas les clients, oprhelin de père, blessé par la vie, il s’appelle Anton, et a un faible pour la patronne, Patricia. Je me sens en lui, je me sens lui, et comme on papillon je redécolle, et je l’emporte, lui et tous les autres, les autres anges à la fois terrestres et à la fois célestes…

… ai-je été au-desus du Lac Blanc ? … rien n’est plus angoissant, tout est égal, les dimensions se confondent, dans l’hamonie…

Et plus rien n’est si important. La Vie, seulement la Vie.

Courir après le bonheur là où il n’est pas

Autour de moi, je ne vois que des gentilles personnes. Vraiment, et j’ai énormément de chance. Parmi elles, une grande majorité se contente de se laisser mener, car ces personnes font partie de la population qui a un métaprogramme dirigé par la nécessité. Ces personnes se sentent bien dans la stabilité, et aiment être dirigés, le changement permanent les indispose. Ils aiment les semblables. D’autres sont mus par la possibilité : ces personnes sont ouverts au changement, au challenge, à la différence.

Il faut de tout pour faire un monde. Notre monde actuel est celui de la nécessité, alors qu’en même temps on nous berce dans l’idée que nous sommes dans un monde des possibles.

Je ne pense pas que ce soit vrai : nous sommes plutôt censés marcher sagement dans les sillons tracés par ceux qui ont le pouvoir de poser les jalons du changement. Ainsi, les nouveautés vont très majoritairement dans le même sens : celui du fric, celui du pouvoir, celui de la division.

Division entre les gens, division dans la société, division entre les peuples, entre les jeunes et les vieux, entre les riches et les pauvres, etc… il n’a jamais été automatique que toutes ces sphères ne puissent pas être rassemblées : c’est là une certitude fondée sur des croyances. Ces croyances qui veulent que  » l’être humain est comme ça, c’est tout  » , ou  » ça a toujours été comme ça « , ou bien d’autres croyances. Une croyances soutenue par des chiffres collectés pour la renforcer reste cependant une croyance. Bref.

Autour de moi, je vois une grande majorité de personnes qui n’ont pas le besoin de chercher ou de trouver une quelconque bonheur. Et c’est tant mieux pour elles ! Regulièrement, j’entends des inspirateurs insinuer que tout le monde devrait se bouger le cul pour aller chercher le bonheur. Non, certains n’ont pas ce besoin, et je le respecte.

Mais je vois aussi autour de moi, et c’est l’objet de ma réflexion, des personnes en quête de bonheur. Cette quête du graal, cette vie où on vit le bonheur. Ces dernières années, un grand business du bonheur s’est créé : crééz votre bonheur, trouvez votre voie, batissez votre avenir heureux … Contre quelques euros, centaines ou milliers d’euros, sous formes de livres, de webinaires et de formations, on accèderai à la voie du bonheur …

Sauf que le bonheur n’est pas ailleurs, il est DEJA LA ! Le bonheur n’est pas un gain, un résultat, ou on objectif. Le bonheur est un état.

Saisons

La Vie d’un être est comme une année, saisons rythment le fil de la vie.

On ne se rend pas encore compte, jeune, qu’on est au printemps de la vie, et que la vie va s’arrêter, un jour.

Si tu vois la vie en saisons, tu vois la vie en couleurs, la mienne est flamboyante, l’automne, et le regard tendre sur le passé, sur mon été, sur mon printemps.

L’avenir prend des allures de rêve, et d’où je suis je peux imaginer, il n’y a plus que l’imagination : ma mort sera mon hiver.

Et ensuite ? est-ce que comme pour la nature, il y a un solstice d’hiver, puis la montée lente et inéxorable vers un nouveau printemps, un nouveau cycle de la vie ? …

A la fois continuité, et à la fois totalement nouvelle, la vie se réinvente sans cesse, dans le cycle majestueux de sa nature obstinée.

… alors, alors je rêve … l’énergie qui m’a formée sera comme les feuilles mortes, tombée à terre, digérée, elle constituera le substrat pour une nouvelle vie, une autre vie, sous une autre forme, l’énergie sera débarassée de toute notion d’égo, d’appartenance, elle est une et universelle.

Je suis Vie, je suis énergie, et le jour où je partirai, je servirai à l’émergeance d’une nouvelle vie. Ainsi, la vie que je mène va déterminée si j’offre une bonne énergie à la suite, à la redistribution de mon énergie…

Celle qui m’a été léguée, que je veux respecter, et transmettre avec mon empreinte, ma joie, tout ce qui est unique de moi.

Ainsi, je peux aller en Paix, je n »‘ai rien à prouver, rien à terminer, rien à déterminer, je suis, je suis cela, et tout est pour le mieux.

Namaste, voilà que le printemps revient, réinventons la Vie !

Eric le 05 Mars 2022

Ambiance Covid et maladies induites

Le décompte morbide des décès attribués à ce virus qui reste inconnu génère un stress permanent. La bassesse des médias n’a jamais été aussi sombre : on attend toujours plus de morts, comme si c’était un jeu. On déplore dans une réjouissance morbide. Et mortelle.

être effrayé, avoir peur, craindre, s’attendre à pire, se prémunir, etc… génère des hormones de la peur. Ces mêmes hormones qui sont utiles devant un vrai danger, un danger immédiat, comme par exemple une voiture qui perd sa trajectoire et nous fonce dessus, un chien méchant, etc… des occasions heureusement très très rares.

Notre corps n’est pas fait pour vivre dans le stress. Il n’y a pas de bon stress. Ces réactions corporelles de la peur ralentissent les fonctions de la digestion en chassant le sang des organes de la digestion pour les donner aux membres. Une digestion faible génère une faible extraction des nutriments, et affaibli le système immunitaire. A ce propos, le système immunitaire ne doit pas être vu comme un système de défense, mais un centre de tri et de traitement interne, et intelligent.

Le fait que le sang chargé d’homrones de stress irrigue les membres génère des syndromes de « chaleur interne » qui mènent aux maladies en ite : tendinites, arthrite, et mes fybromyalgies, etc…

Un état de stress génère aussi une respiration courte. Il suffit de s’observer pour le remarquer.

L’état de stress, pas le stress lui-même mais l’état qui en découle ou si voue voulez les réactions, induit une action rapide pour se sortir de l’origine du stress, un état de stress n’a pas le temps de réfléchir posément. Un état de stress empêche donc une réflexion posée, une prise de recul, et on se retrouve à généraliser, et à omettre certaines informations qu’on a pourtant sous le yeux, et on fait cela pour se protéger d’une ouverture d’esprit qu’on fuit à tout prix quand on est dans un état de stress. Enfin, on se met même à distordre la réalité, en clair à me mentir à soi et parfois aux autres, distordre pour là aussi traiter la peur : prendre du recul serait éloigner la peur, le stress dans lequel on est habitué à vivre.

Faisons le compte de nos moments de stress dans une journée, et le compte de nos moments de joie sereine.

On observe depuis deux ans une dérive de la mortalité dans des tranches d’âge qui ne sont pas ou très peu touchés par le virus à la mode. Et on observe aussi une dérive des maladies cardiovasculaires dans ces mêmes tranches d’âge en dessous de 65 ans.

Alors une fois de plus on attribue cela au virus. Mais il n’y a pas de preuve de cela, ou alors on peut toujours faire parler les chiffres selon ce qu’on veut démontrer.

En tout cas, vivre dans un stress permanent, ça c’est prouvé, génère des maladies cardiovasculaires, et d’autres maladies, dont la dépression, les troubles nerveux etc… les chiffres impressionnants des plaintes remontées par le corps médical suite aux injections du produit mal nommé vaccin (ce n’est pas un vaccin) ne sont peut être autant liés au produit qu’au stress, y compris le stress lié à l’injection elle-même.

Une fois de plus, vivre dans le flux des médias est anxiogène, génèrant des maladies et des complications mortelles dans un certain nombre de cas. Ce n’est pas la faute des médias, car les médias vont seulement là où le vent va : l’audience ! Si l’audience des mauvaises nouvelles baissait, les mauvaises nouvelles seraient moins nombreuses, et si l’audience des bonnes nouvelles montait, il y aurait plus de bonnes nouvelles. Ensuite on dirait : ah c’est cool le monde va mieux ! non ! le monde ne va pas ni bien ni mal, le monde va, la vie va, tout simplement.

Namaste.

 

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