Catégorie : Méditation&Spiritualité (Page 25 of 57)

2 Mars 2003

Les paysages défilent et perdent leurs couleurs comme le soir tombe sur la Terre,

Les méandres paisibles et paresseux des cours d’eau charrient les débris d’émotion

Chaque arbre s’enfuit dans le temps qui crie la distance qui nous sépare

Je reviens du pays de ton absence

 

Là-bas le vent balayait mon esprit encombré des volutes de ta présence

Et les vagues ramenaient sans cesse ton image sur la grève

Lancinante mélodie de ton éloignement, chaque vague déroule un peu plus ton éloignement

Sur les longues plages de ton absence

 

L’inavoué guerrier à l’âme perdue

Ne voulait plus croire à la flamme éternelle

Refoulant  dans l’ombre de ses rêves les matins clairs

Jusqu’à ce voyage dans ton absence

 

Quelle est donc cette chaleur sourde dans la poitrine, ce nœud dans l’estomac,

Ces jambes de coton qui pourtant me porteraient jusqu’au bout du monde

Pourvu que ma tête soit emplie jusqu’au plus profond de mon être,

de ton prénom, de ton prénom et encore de ton prénom, mon absente

 

J’ai laissé mon coeur là-bas dans l’écume de nacre

J’ai laissé mon âme là-bas dans les embruns du vent d’ailleurs

mon coeur attend que tu le ramasse tel un coquillage

mon âme viendra caresser tes rêves sur les rives de ton sommeil

 

J’ai laissé au vent là-bas le soin de faire chanter,

Une dernière fois mon cœur avant la fin des lendemains

Je n’en peux plus, lassé de chercher, buter et d’errer,

Dans les récifs des côtes de ton absence

 

Je reviens de ce pays-là, cœur et corps déchirés

Seule brûle encore bien malgré moi

La flamme de la vie cet espoir satané

Rapporté du pays de ton immense absence

 

Il faudra un jour que je m’endorme sur ces lointaines plages

Et mourir d’attendre que l’hypothétique délivrance de l’Amour

enflamme l’horizon et déchaîne les dieux du ciel

dans l’écume grelottante du clair de lune

 

irons-nous un jour sur ce bout de Terre

et nos pas accordés dans le mystère

unir nos vagues à l’âme et nos corps enroulés

au vent du pays de l’oubli ?

 

1er Aout 2004

Longue langue de terre posée sur l’horizon,

La lande se troue de hautes herbes jaunies,

Mes pas m’y portent, le paysage me transporte,

Sur les sentiers de cette autre Atlantide,

Ton absence prend forme dans ces altitudes.

 

Les chemins se croisent et les fourches me font douter,

De ma destinée que je pensais enfin tracée,

Jusqu’à ce jour de printemps, lorsque le temps s’est arrêté,

Quand se sont fondus dans l’instant le futur et le passé

Cet instant magique où nos routes se sont croisées.

 

Depuis, pris dans l’ouragan je tente de m’accrocher

Par tous les mots à ton parfum d’âme qui flotte en moi

Et chercher et planer dans les courants ascendants

Par dessus les plaines m’élever vers toi

Pour te rejoindre sur ton nuage, inaccessible

 

Mais je n’ai ni la force ni les talents

De me hisser sur les hauteurs de tes sentiments

Et je ne connaîtrai jamais la couleur de tes aubes

Et je ne jouerai pas la mélodie des crépuscules sereins

Dans la complétude d’une amitié partagée

 

Alors pour fuir ton silence assourdissant je m’enfuis, là-haut dans mon ermitage

Chercher un peu de toi au soleil couchant, quiétude de passage

Ta silhouette s’évanouissant dans la course d’un chevreuil

Tes gestes dans l’harmonieux balancement des branches

Ton parfum dans ces arbres aux fleurs blanches

 

Je veux rester là haut jusqu’à ce qu’une averse vienne me réveiller

Et me noyer dans ton absence et qu’elle cesse de me bruler.

Et dans l’espoir qu’un jour ce doux nuage blanc

M’enveloppe et m’emporte vers d’autres Terres

Je veux m’endormir dans le creux de tes rêves.

 

 

 

Consolation

15 Février – 22h30 – Seule dans ce chalet perdu au fond de l’immense forêt, Gila s’était glissée au fond de ce lit froid comme la mort. Dehors, le vent ronflait dans les grands arbres, couvrant tout autre bruit potentiel d’un air glacial, elle se sentait sourde. Aucun lampadaire, aucune lueur dans le ciel sans lune, on n’y voit pas à deux mètres, l’obscurité est un abîme et Gila se sentait prise dans le vertige du néant. Voilà deux heures que l’électricité s’était soudain coupée, de manière inexpliquée. La jeune archéologue n’en menait pas large pour ces vacances improvisées et décidées sur un coup de tête. Pas de réseau, un smartphone déchargé, et une unique bougie pour passer la nuit … la nuit allait être … longue … Gila se réfugiait au fond de la couette, il n’y avait rien à faire, pourvu que Luc la rejoigne vite, comme c’était prévu, normalement …

 

15 Février – 22h40 – Luc Gros, 38 ans, architecte et grand sportif, venait de s’enfoncer dans la forêt de Grand, la plus grande forêt de la Franche Comté. Au volant de sa voiture de sport, il se sentait en sécurité. Le poste diffusait le dernier album d’Ibrahim Maalouf, Natacha Atlas chantait … PAF !!!

 

16 Février – 08h30 – Le gendarme Benjamin arrive sur les lieux de l’accident signalé quelques minutes plus tôt. L’avant de l’Alfa est planté dans le marécage au fond de la vallée de la Dame Noire, portière conducteur ouverte, vide, le poste émet un son étrange de mélopées grinçantes qui s’amplifient dans le canyon que forme la rivière Ayre. Il lève le nez et grimace. Le monastère de la Dame Noire se dresse là, à 500 mètres, bâtiment immense, un bloc rectangulaire gris posé sur un socle de granite noir, entouré d’un haut mur, comme une menace au monde, il est enfoncé sur le flanc nord d’un bras de l’Ayre, et nul rayon soleil ne parvient jamais jusque sur ces murs-là.

 

16 Février – 10h30 – Madame Fleury est colère ! Sa locataire du chalet B n’est toujours pas sortie, le client suivant arrive dans quelques heures et elle doit décamper vite fait, faut faire le ménage, tout ranger, préparer pour le suivant. Elle décide de se rendre au chalet. Le vent s’est calmé, la voiture de la Gila est là. La proprio arrive devant la porte et frappe et … la porte est entre-ouverte et s’ouvre sous les coups de la proprio. Elle appelle « Gila vous êtes-là ? il faudrait voir à quitter les lieux, j’ai un autre client qui arrive ! ». Aucune réponse. Elle avance dans l’unique pièce du gite, la porte de la salle de bains est ouverte. Rien, il n’y a personne. Gila s’est volatilisée.

Sandy

CHAPITRE 1

 

01h54 : Le fourgon noir file vers le nord en ce froid soir de novembre. Les rais de lumière des phares sont absorbés par la pluie bâtante, et le vent balaye les flancs du véhicule, obligeant le conducteur à rectifier la trajectoire.

02h08 : Péage de Hochfelden, le ticket mouillé resté dans la borne témoigne du passage d’un  fourgon noir aux vitres opaques. La caméra infra-rouge n’a pas bippé la présence de chaleur humaine à l’arrière. Depuis les attentats, les péages sont équipes de caméras spécialisées dont le flux remonte directement dans la forteresse de Wielnitz, Allemagne, pour un examen électronique systématique. De plus, le système trackcar n’a pas décodé le trace GPS du véhicule, mais pas étonnant, depuis que la maintenance est sous-traitée et re-sous-traitée, plus rien n’est fiable.

02h46 le Ford s’enfonce dans la profonde forêt des Vosges du nord.  Des forêts à perte de vue sans réseau, car sans raison. Au fond d’un vallon interminable, des arbres serrés et une suite d’étangs bordent une route forestière étroite et sinueuse, chaque virage ressemble au précédent, et chaque étang au suivant. Seuls les phares du fourgon, absorbés par la pluie, balayent cette immensité faite d’obscurité, d’humidité et de froid.

03h33. Le véhicule s’arrête devant une grille haute et rouillée qui se prolonge de part et d’autre par un grillage tout aussi rouillé. Les phares dessinent un étang et, au fond, une baraque en bois avec un toit de rôle ondulée. La portière côté passager s’ouvre et la silhouette massive se dirige vers la grille. Surgissent alors trois gros chiens, restant muets ils se mettent à l’arrêt. Le molosse ouvre la grille, le fourgon s’y colle en marche-arrière, la porte arrière collée à la bicoque. Les portes du fourgon s’ouvrent, l’odeur pestilencielle donne des haut-le –coeur à Sandy, et « umm, ummmmm » sont les seuls sont qui dépassent du bâillon de scotch sous le sac de toile qui lui recouvre la tête. Puis « CLAC ! » le coup de trique s’abat sur le dos de la jeune femme en pleurs :«  ferme-là ma jolie ! » rugit le tas de muscle qui la traîne hors du fourgon. « De toutes manières, c’est ta dernière station  :  terminus  ! »

Elle attend sous la pluie

09h48 : Piétinant sur le bitume lacéré de nervures, le dos collé contre un immeuble trop droit, Mathiée attend nerveusement en ce gris et froid matin de Novembre. Le lampadaire à sodium dilue un rayon orange sur sa capuche dont dépasse sa crinière brune. L’étudiante n’entend pas les bruits de circulation avec ses chuintements de roues sur la chaussée mouillée, elle préfère le rythme assourdissant de la pop joyeuse qui déborde des oreillettes. Elle se fiche de la grise ville qui défie la beauté du jour et se fige dans la pluie fine sous les parapluies qui se bousculent autour d’ombres filantes sur les noirs trottoirs. Mathiée attend.

09h50 : Zatan est sous l’auvent du bistrot, Paris mord fort quand le matin est d’hiver, le bruit le saoule et lui se mord les doigts, les lèvres, jette autour de lui des regards inquiets, et toujours revient vers elle, elle. Comment s’en sortir, quoi faire, fuir ou rester, merde.

10h10 : La Merco s’avance doucement et stoppe devant Mathiée. Un homme en descend, côté passager. Il s’adresse à elle, direct. Zatan peut l’observer mais ne peut rien entendre, d’où il est. Merde que se passe-t-il ? Elle ne dit rien. Après quelques mots, l’homme remonte dans la voiture, elle démarre, Mathiée reste figée, regarde autour d’elle.

10h11 Un bus traverse le carrefour et cache la jeune femme à la vue du jeune homme. L’instant d’après, Mathiée a disparue. Où est-elle ? Zatan sort de son abri et traverse en courant.

 

Des Hommes et des Dieux

de tous temps l’Homme cherche à trouver du sens dans tout. Ainsi pense-t-il sans cesse au sens de tout ce qu’il voit et touche.Le soleil sert à éclairer, la pluie à arroser, etc… l’arbre à faire de l’ombre et des planches, l’eau courante pour boire, etc… ce n’est pas faux, mais ce n’est pas la nature du soleil d’éclairer, ni la nature de la pluie d’arroser : l’Homme a donné des fonctions à toute chose;

C’est notamment ce qui a permis à l’Homme de devenir Homo Sapiens, puisqu’il a appris à optimisé tout ce qui l’entoure, pour utiliser tout ce qui l’entoure pour son confort à lui. Ainsi le charbon sert-il à chauffer, la vapeur à faire avancer, le pétrole à fabriquer tout un tas de choses, etc… ce n’est pas la nature de ces choses, mais l’Homme leur a donné une fonction, et a même déduit que des choses n’ont aucune utilité si ce n’est ce qu’il en fait  » à quoi ça servirait le pétrole si on n’en faisait pas ce qu’on en a fait ?  »

L’Homme a donc pris l’habitude d’exploiter tout son environnement, car il pense que toutes ces utilités lui sont dues.

A force de tout prendre pour acquis et pour sa propriété, il pense que tout a une utilité et ne voit plus le monde qu’au travers des fonctions attribuées.

Parfois ça ne fonctionne pas. Les ouragans et les canicules privent l’Homme de nombreuses fonctions de la nature. C’est perturbant. C’est frustrant.

Alors à toute fonction il faut trouver un coupable : l’Homme lui-même ! Alors on a inventé les Dieux. On leur a offert des sacrifices. Les Dieux sont des entités qui pensent mieux que l’Homme, qui savent, et qui punissent ou récompensent. L’Homme en a inventé des milliers, leur a donné des fonctions. Dieu ne s’occupe pas de politique, mais il donne une morale, un code de conduite vertueux. Quand les fonctions de la nature déraillent, on demande à Dieu de l’aide;

Aujourd’hui, ces Dieux n’existent plus dans le monde actuel, et l’Homme a été désigné Dieu. Avec les sciences, l’Homme croit tout comprendre, tout savoir, et la science est la seule voie possible vers la compréhension du monde. Tout ce qui n’est pas scientifique ne doit pas exister. Un arbre est un organisme complexe, d’un point de vue biologique, énergétique, fibreux, etc… il donne des planches et de la sève, des feuilles et a des fonctions d’abri pour les oiseaux, etc … our les personnes qui sont plus dans le domaine spirituel, il a même des fonctions spirituelles, avec son symbolisme d’être entre le ciel et la terre, avec les racines, les branches, le tronc, plein de beaux symboles !

Mais où est passé l’arbre ? où est passée la nature de l’arbre, qui est d’être arbre ? Mon esprit est pollué toutes ces fonctions enchevetrées, et je dois faire un effort intellectuel pour mettre de coté l’intellect, et accéder à la connexion avec l’arbre, et que disparaisse même le mot arbre qui est déjà une mise en fonction de ce qui est devant mes yeux et que je nomme arbre.

L’Homme est devenu Dieu, et il doit se rendre coupable de ses méfaits, mais cette fois c’est lui-même qui est responsable d’arranger les choses. Ainsi est-il désigné coupable du réchauffement climatique ! que ce soit vrai ou pas n’est pas ici la question, c’est la culpabilité qui est en cause. Et l’Homme se croyant Dieu, il pense qu’il pourra s’en tirer grâce à son intelligence technologique, basée sur les sciences.

Rien n’a changé depuis la nuit des temps : l’Homme pense qu’il est supérieur.

C’est écrit dans la Bible, un livre écrit par des Hommes : quand Adam et Eve ont croqué la pomme de l’arbre de la connaissance, ils ont été chassés du paradis : la connaissance, la conscience avec un petit c, le fait de savoir, de vouloir toujours tout comprendre, en ne sachant pas être, fait qu’il se chasse lui-même du paradis qui est là, dans lequel il vit.

Le paradis n’est pas ailleurs !

Ce qui empêche l’Homme d’être au paradis, c’est qu’il s’enferme dans sa tête : les concepts, les pensées, les sciences, des explications de l’origine de l’univers aux technologies les plus « avancées » sont le fruit de ce qui est à l’intérieur de la tête des Hommes. La pollution de la planète est dans la tête, tout comme les plus beaux sentiments. Tout ça n’existe pas dans la nature.

 

naturopathie programme

Structure de la formation

 

Module A1 : Alimentation et bien-être

  • Connaître le fonctionnement physiologique de l’être humain
    • Biologie humaine
  • Savoir établir un bilan alimentaire personnalisé
    • Alimentation et base de la nutrition, l’assiette santé bien-être

Module B1 : Techniques naturelles

  • S’initier à la connaissance des plantes et aux techniques naturelles de base pour restaurer et maintenir le bien-être de la personne.
    • Fondamentaux de la naturopathie
    • Monde des plantes médicinales et des huiles essentielles
    • Réflexologie plantaire : initiation
    • Cataplasmes et argiles : connaissances et utilisation
    • Hydrologie et bien-être
    • Techniques de relaxation : yoga – sophrologie

 

Modules A1 et B1 du Conseiller en Naturopathie

+

Module A2 : Alimentation et nutrition cellulaire

  • Acquérir des notions sur les dysfonctionnements majeurs de l’organisme, comprendre le fonctionnement cellulaire pour optimiser et restaurer l’homéostasie.
    • Biologie humaine, pathologies
    • Micronutrition, cures, divers régimes alimentaires
    • Terrains fondamentaux

Module B2 : Techniques naturelles

  • Approfondir la connaissance des plantes à travers l’étude des principaux effets recherchés, apprendre des techniques naturelles pour restaurer et maintenir le bien-être de la personne.
    • Phyto aromatologie – Phyto embryologie
    • Fleurs de Bach
    • Réflexologie plantaire : protocole bien-être
    • Points de Knap
    • Massages aromatiques
    • Homéopathie : initiation

Module C : Installation professionnelle

  • Mener un entretien naturopathique,
    • Anamnèse, techniques de bilan
    • Législation, aide à l’installation

 

Neurosciences – GaiaTV – résumé et idées

On passe de mode beta à Alpha quand le monde intérieur devient plus réel que le monde extérieur.

Exemple : tu lis ces phrases ou écoutes quelqu’un qui te parles tu es donc concentré sur le monde extérieur. D’un coup tu t’arrêtes et tu réfléchis, tu as besoin de faire une pause parce que quelque chose t’as interpelé et tu as besoin de réfléchir en toi même : à ce moment tu passes en mode alpha, ton attention se porte sur le monde intérieur.

Quand on calme l’activité cérébrale quand on cesse d’analyser et de réfléchir, l’énergie se dirige naturellement du néocortex vers le cerveau limbique , là où est inscrit le système nerveux autonome. C’est cet organe du cerveau qui gère toutes les fonctions automatiques, celles notamment de l’homéostasie qui permet toutes les fonctions des organes de façons automatique sans avoir besoin d’y penser. C’est cette partie du cerveau qu’on active en hypnose ou encore en méditation, c’est ici qu’on reprogramme des fonctionnements, c’est ce que font les sportifs ou les personnes qui ont changé de vie. La volonté ne sert à rien ou de façon ponctuelle seulement car elle se situe au niveau du cerveau conscient et l’effort sera continu pour maintenir par exemple l’arrêt du tabac, mais en plus l’automatisme de fumer sera toujours inscrit dans le cerveau limbique et il y aura conflit.

Penser à la cohérence comme une musique synchronisée qui est bien en ordre organisé. Penser à l’incohérence comme un groupe de joueurs de tambour ou chacun joue de son côté c’est totalement désynchronisé. C’est ce qui se passe quand nous sommes sous l’influence des hormones de stress même à un niveau faible, par exemple marcher dans un centre ville, au milieu de la circulation, écouter des musiques agressives, écouter un discours agressif, regarder une série de violence ou les news.

Si une foule de spectateurs tapent dans les mains en synchro, il se dégage une cohérence collective qui augmente à la fois l’énergie du cerveau et celle du cœur et du corps, on peut ressentir une cohérence dans son corps et ça vous emporte.

Ouvrir la focalisation sur le fait que tout est espace, hors de la matière et de la matérialité. Ce champ ne se ressent pas mais il est accessible en emportant la conscience dans ce champ de l’espace

Quand on est complet on n’a aucun désir.

Chaque cellule du corps mis à part les globules rouges  produisent les protéines de notre équilibre de bonne santé, elles sont responsables de la structure et du fonctionnement du corps. Les cellules produisent des protéines de plus ou moins bonne qualité.
Pour qu’une cellule produise une protéine il faut qu’un gène soit regule : il est activé ou désactivé.

C’est l’environnement qui est à la base de cette activation ou désactivation du gène.

Voir étude Toronto université 16 juillet 2015, why bad genes don’t Always lead to bad diseases

Si deux personnes travaillent en Commun dans le même environnement, l’une va être sensible à un agent cancérogène alors que son collègue non. Ce dernier aura un ordre interne plus solide que son collègue plus sensible. On aura tendance à dire que c’est génétique, mais c’est bien la réaction à l’environnement qui est la cause de la maladie, il ne l’aurait pas développé sans cet agent toxique.
Et notre manière de réagir à l’environnement dépend de notre manière de le percevoir, de notre état émotionnel.

Par exemple si je n’ai jamais été dans une foule bruyante je peux être perturbé et ne pas bien vivre cette immersion. À côté de moi j’aurai peut-être une personne qui aime être dans cet environnement. Nos cellules ne vont pas réagir de la même manière et les protéines ne seront pas de la même qualité, ce qui conduira à des équilibres corporels plus ou moins de bonne qualité.

Né après terme

Mon décalage horaire : je suis né « en retard ». C’est ce que mes parents m’ont dit. En fait non, je ne suis pas né ni en retard ni en avance ni à l’heure, je suis né quand je devais naitre.

Je passe ma vie à lâcher prise.

Je passe ma vie à lâcher prise.

Lâcher prise de quoi ? quelle est la prise ? c’est tout ce qu’on m’a enseigné qui est faux, et j’ai aujourd’hui l’impression qu’une part immense de ce que je sais est faux. Ce sont des concepts.

C’est le lâcher-prise de ces illusions

Celle qu’il faut être quelqu’un, il faut que l’être s’incarne dans un quelqu’un. Le quelqu’un est un modèle, choisis ton modèle à l’intérieur d’une trame, et puis fais-y ta vie.

La trame, c’est le cadre familial et social dans lequel je suis né. Et en effet, on ne devient pas le même adulte si l’on nait dans une famille de Calcutta que dans une autre des beaux quartiers.

Mais ce n’est pas ça qui me limite. Ce qui limite, c’est que je devais me conformer aux codes qui ne sont pas les miens. j’ai mis énormément de temps pour quitter les « il faut » d’un conformisme; pour quitter les anticipations  » tu étais chez ton garagiste ? ah tu as donc un problème avec ta voiture ! » cette pensée automatique négative est une plaie de notre société.

L’oiseau vit sa vie sans se soucier du lendemain.

On n’a pas besoin de but dans la vie, pas besoin que la vie soit un travail, ou une compétition, ni même une souffrance. Nous sommes là pour vivre, pour prendre le plus de joie active possible.

La joie active est celle que je crée, par exemple en écrivant. La joie passive est celle que je reçois tout cuit, déjà faite : un repas au restaurant.

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