Catégorie : Méditation&Spiritualité (Page 23 of 58)

Idées reçues sur la santé

Parfois, je peux me mettre à avancer dans une réflexion qui me mène à des affirmations qui me semblent des évidences. Ce sont les suites logiques. Pourtant, on a vite fait de paraitre péremptoire, décalé, original, pour nos semblables…exemple…

Avez-vous déjà vu un médicament qui puisse guérir quelqu’un ? moi non. C’est le corps qui guérit. Un médicament peut aider le corps à guérir : ça s’appelle soigner. La plupart des médicaments sont des sparadraps, d’autres interviennent dans le fonctionnement du corps. Si un médicament guérissait, il serait efficace à 100% pour le monde, en permanence. Par principe, un médicament est un agent externe. Aucun médicament ne procure la santé. La santé n’est pas l’absence de maladie.

Le fait de se rappeler que le médicament soigne et c’est le corps qui guérit permet de replacer l’humain au centre de la santé. La santé appartient à la personne, ce n’est pas l’affaire des médicaments, des médecins, des ministres ou d’autres Dieux.

La santé est un équilibre, une harmonie, une gestion en bonne intelligence non seulement du corps, mais tout autant du cerveau et du coeur, les 3C. La maladie étant l’opposé de la santé, elle ne devrait pas être associée au mot santé.

Le fait de reconsidérer la notion de maladie et la place des médicaments, permettrait de reconsidérer la place de la santé et l’absence naturelle de besoin de médicament dans nos vies. Si nous ne pouvons pas changer la société (quoique), nous pouvons du moins reconsidérer nos vies de façon individuelle. Il est de la liberté de chacun de se faire à manger de façon saine, de respirer correctement, d’avoir des activités saines. Parfois il suffit d’éteindre la télé et de s’éloigner des sources de violence pour gagner en sérénité, pour voir le monde d’une autre manière.

 

Le rendez-vous discret

Dans une autre vie, j’avais l’habitude de jeter mes opinions dans le web. Mes argumentations étaient souvent valables, bien qu’orientées. Aujourd’hui, je suis parfois tenté de poser un article sur linkedIn. Mais cette discrétion me va bien : ici, personne ne me lit, et pourtant mes écrits sont sur le web, libres, librement lisibles mais non lus.

… Dimanche dernier, je me promenais dans les forêts alluviales du Rhin sauvage. Ce sont souvent de longues lignes droites, qui seraient monotones sans cette incroyable richesse végétale et animale. Dans une de ces rêveries aussi longues que le chemin, j’aperçu un chemin qui entrait timidement dans une clairière, une percée dans cette forêt de forêt. Deux traces de la largeur d’un véhicule à 4 roues s’enfoncaient dans l’inconnu. Je suivi les herbes couchées. A chaque pas, l’interrogation de la découverte, et à chaque pas, la révélation de l’inconnu. Ce qui arrive n’est JAMAIS ce qu’on imagine. A moins bien sûr de le produire. Dans le cas présent, je ne maitrisais pas ce qui allait arriver, auquel cas ce n’est pas l’in-connu. Au bout de deux cent mètres, le tracé se termina dans un cul-de-sac. Je reprenais alors le chemin retour. C’est alors que j’étais pris par la magie de la connexion : j’avais fait connaissance avec un morceau de cette planète nouveau pour moi; Je passais un moment unique. Cette existence est désormais riche de ce moment. Cet endroit ne représente rien de spécial, c’est « seulement » un cul-de-sac, mais c’est « totalement » ce cheminement de plus : l’énergie a fait un détour qui est inutile mais ce détour a été essence-ciel.

Stress au travail

Quand la structure humaine d’une entreprise recherche à la fois la productivité et en même temps la réduction des effectifs, monte peu à peu une tension qui s’oriente vers ce que les effectifs peuvent vraiment délivrer. Arrive ensuite le moment où la corde craque : à force de se presser, on finit par tomber, déraper, se blesser …

Que pouvons-nous faire, nous les personnes ?

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La tentation d’externaliser les causes : Nous avons une tendance à chercher des « coupables », généralement chez l’autre. C’est le management qui demande « trop », ou alors c’est la supply chain qui demande trop, ou alors c’est le marketing qui demande trop, ou alors c’est le management financier ou celui des ventes … chacun trouvera des coupables. Ca ne règle rien !

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 L’environnement extérieur, ce sont tous les objectifs qui nous sont demandés dans le cadre de notre activité salariée. Si vous êtes cadre ou salarié, même si vous recevez des actions de votre entreprise, vous avez une relation contractuelle avec l’entreprise : executer les tâches de votre fiche de poste en échange d’un salaire. Vous n’êtes pas l’entreprise. Vous être dégagé de la charge d’être le détenteur de la réussite ou de l’échec de l’entreprise, de ses résultats financiers, commerciaux, productifs, structurels, sociaux.

 » C’est bien beau de le dire  » : Je ne vous demande pas d’adhérer à cette idée, simplement faites l’expérience de pensée suivante : vous avez un contrat avec une entreprise, celle pour laquelle vous travaillez, dégagé de la responsabilité de la réussite de l’entreprise. Ressentez-vous un allégement ? Un poids qui tombe de vos épaules ? Ressentez…

Qui a ce contrat ? Vous ! Vous dans toute votre personne ! Vous, dans vos compétences, celles pour lesquelles l’entreprise vous a engagé ! Avez-vous besoin des autres, par exemple de votre manager, pour valoriser votre place dans la structure de l’entreprise ? Ca fait toujours plaisir, certes. Et les entreprises ont la très mauvaise habitude de ne valoriser que certains jobs et que certaines personnes, celles qui sont les plus visibles, et quand on est visible, généralement on n’est pas en train de travailler. Si l’entreprise fonctionne ainsi, vous n’avez pas besoin de vous mettre en colère, vous n’êtes pas l’entreprise, vous êtes un salarié. Ceci dit, pourquoi attendre que ça vienne des autres ? Finalement, vous êtes bien mieux capable de savoir ce que vous apportez à l’entreprise, ce qui émane de vos aptitudes à vous, vos compétences naturelles. Votre valeur doit-elle venir de l’entreprise ? C’est lui accorder un pouvoir sur votre valorisation personnelle. Et vous allez l’emporter à la maison.

 » C’est bien beau de le dire  » : Je ne vous demande pas d’adhérer à cette idée, simplement faites l’expérience de pensée suivante : imaginez que vous privez l’entreprise du pouvoir de vous valoriser, et ressentez ! Ressentez…

 

 

*Notez comme vous pourriez encore mieux faire partie de cette structure d’entreprise ! Notez comme vous pourriez trouver votre place dans l’entreprise !
Notez comme vous pouvez bien mieux apporter votre personnalité dans ce qui est alors plutôt une communauté de personnes qui sont là pour partager des mêmes objectifs.

 

Si vous saviez … Lundi 4 Juin 2023

Si vous saviez … Lundi 4 Juin 2023, comme la peine me prend à nouveau… j’observe mes sensations, et hier, d’un coup, d’un seul, dans la matinée, sans raison autre que toutes les raisons suffisantes de mon déséquilibre affectif, m’est revenue cette sensation, cette douce sensation de tendresse………perdue….donc une sensation d’affection et en même temps une sensation de perdition et de vide criant….

…oui c’est dans la tête, je sais…mais…oui, c’est un biais, ok….mais c’est moi….aujourd’hui…à chaque fois cependant, j’évolue, j’avance. Ca faisait longtemps que je n’avais replongé dans les notes graves en mode mineur des vagues de l’âme…

….vous ne pouvez pas comprendre, vous qui restez dans vos théories, dans vos techniques que vous pensez miraculeuses …comme moi je pense les miennes peuvent aider…..oui, elles peuvent aider, mais pas maintenant ! … maintenant, laissez-moi, laissez-moi déguster, en douceur, ce chant de merle, cette jolie mélodie qui passe. Encouragez-moi seulement, non ! encouragez-moi carrément ! à soigner ma tristesse insondable de ces tendresses…

La tendresse, cette oubliée de toutes les thérapies, de toutes les « comm », cette abouisée de la société, et maintenant cette oubliée de l’amitié, et même de la famille, parfois, et quand on n’a pas de tendresse de couple, elle se replie dans un chant, une mélodie, dans l’air du soir ou dans celui du matin, ou encore dans le regard d’un être inconnu, ou dans le balancement d’un arbre…dans la trajectoire d’un canard ou dans le balancement subtil d’une montgolfière….que de fragilités, que de choses éphémères…..

Ephémères, comme moi, comme toi, comme tout, qui rejoignons l’éternité que nous n’avons jamais quittée, simplement séparée par cette fichue conscience, origine de la souffrance….

EE Schmidt Ch3 partie 1 L’empathie avec un inconnu

Si jétais  … I

« Je » sors du boulot, j’en ai marre, aujourd’hui j’ai envie de profiter, ils font chier les collègues. je me sens fatiguée, j’ai mal dormi, peu dormi. Il faut que je fasse des machines. Mon chef ce con est parti en déplacement pro.

(je rentre)

Finalement je n’ai pas envie de bouger. je vais me reposer.

I prend une douche. Ensuite elle s’allonge dans le lit, et se touche. Elle a besoin de se masturber. Elle pense à un ami, un collègue, un ex … « si seulement quelqu’un s’occupait de moi, de ma chatte en feu, je suis si vieille et si nulle que ça ? » … soudain, I se lève, elle n’a pas jouit, une fois de plus. C’est pas marrant. I se prépare un jus, et se pose dans le canapé, allume la télé, végète. « Tiens, le vent se lève, il faut que je rentre la tour à linge » … « ah, elle est tombée, je m’en serai doutée »…

 

Si j’étais un personnage que je n’aime pas :

Je suis A, anesthésiste à l’hôpital public. Encore un week-end en famille, heureusement. Enfin un peu de calme. J’attends qu’on refuse enfin  les non vaccinés à l’hôpital, je ne comprends pas qu’on puisse les accepter, on prend tous tellement de risques à cause d’eux. Ca n’arriverai pas si j’étais directeur, c’est moi qui vous le dis. Pourtant je vais voir le directeur régulièrement. je suis allé voir la préfète, qui est d’accord avec moi. Mais alors pourquoi elle ne bouge pas ? elle semble coincée, elle aussi, par Paris. Le ministère, les gauchistes, les gens. Ils sont cons les gens, ils ne savent rien. Je sais, par expérience, j’en ai vu des choses, moi, je n’invente rien. Ce monde est fou, irresponsable, il n’y a que la force qui permet de réguler canaliser. J’ai peur pour mes parents, pour tous les innocents qui meurent à cause de ces imbéciles de réfractaires au progrès, au changement, à la science. Personne n’a le droit de s’approprier la santé des autres, c’est … irresponsable. J’ai besoin qu’on m’écoute, enfin, bordel ! je suis en première ligne, je sais ! je sais comment ça se passe ! Ecoutez-moi ! je voudrais être entendu, qu’on m’écoute,qu’on arrête de discuter, de perdre du temps et des vies !

 

EE Schmidt Ch2 L’envie d’écrire

J’avais 14, peut-être 15 ans. L’adolescence. On n’est pas conscient des tempêtes qui se passent dans le corps, mais celles du coeur, oui ! j’écrivais pour m’exprimer, pour exprimer mon envie de vivre, mais je ne le savais pas encore.

Le stylo à bille du gaucher noircissait des pages et des pages.

J’écrivais aux filles. Hummm, ce doux sentiment, je m’en rappelle encore, ce désir si pur, si profondément humain, de connaitre l’autre. Je ressentais une fille comme je ressens un sentiment, dans mon coeur. C’est tendre, ça sent les fleurs de printemps, une légère brise, et dans le même temps une mélancolie, un regret, l’été arrive et les grandes vacances vont me séparer d’Elle; Elle, elle s’appelait Claudine, Cathy ou encore Elisabeth. Comme j’étais trop moche, trop complexé, trop nul à l’oral, trop timide, j’écrivais des lettres aux filles. Pas des lettres d’amour. Enfin, pas directement. J’y parlais de la vie, du monde, de belles valeurs, de la révolte d’ado, de grands sentiments. Et ça leur plaisait. Elles me répondaient. Quand j’osais jeter la lettre dans la boite aux lettres ! quand j’allais jusque là, je courrais le plus vite possible pour m’éloigner de l’acte que je venais de commettre « oh mon Dieu, que va-t-elle penser ? » « et si c’est son père qui ouvre ? » … aussi je ne signais pas vraiment, ou pas un code que seule elle et moi connaissions … et après, j’attendais. Le lendemain à l’école, comment elle me regardait ? …

J’écrivais beaucoup plus à la société, au monde, pour crier ma révolte. Les injustices, la faim dans le monde, les guerres, et puis les relents de la deuxième guerre mondiale, la shoah, les gens méchants, les politiciens. Il y avait bien quelques figures héroïques, cependant je m’identifiais surtout à moi, la rage m’habitais, elle m’habite encore, tiens ! Les groupes de rock que j’écoutais chantaient, moi j’écrivais des textes chansons.

Oui, il y avait ces textes, ces poèmes sans rimes, juste des cris, des mélopées, des envolées…

La technique, j’en n’avais pas. Le dictionnaire était mon ami permanent. Comme je ne savais pas conjuguer, accorder les verbes, je prenais un synonyme. Le petit Robert était bon pour ça, car à la fin de chaque définition, il donne des synonymes. Alors je découvrais des mots nouveaux.

Tout ça, ça ne s’est jamais vraiment arrêté. J’ai toujours écrit mon amour romantique aux filles, ma révolte au monde. je suis toujours cet ado qui regarde par la fenêtre au loin, à espérer que dans les nuages là-bas, vienne mon amazone, dans un monde d’amour.

Dans les vestiges du jour

Dans les vestiges du jour
Quand la fraîcheur enveloppe les douceurs
Dans les vallons perdus
Entre les rangées de buissons
Sont tapies nos mélancolies

Elles sont quasi immobiles
Elles se cachent au fond du cœur
Les tristesses profondes sont les miroirs de nos plus fous espoirs

C’est en levant le regard que l’on trouve
Dans l’infini du ciel, zébré des dernières lueurs du jour
Notre source à tous, lucarne des cœurs tous unis
La douce chaleur de la « présence »
Dans laquelle je me love doucement

Et voilà que de nos parcours uniques jaillit la magie humaine
Et voilà nos êtres humains rejoignent notre être uni
Dans la douceur du soir
Et se fond dans l’océan d’amour

Chroniques de con-finé sur la vaccination de confort

La très très grande majorité des gens se sont fait « vacciner » non pas à cause du risque d’être malades mais pour pouvoir continuer à avoir la vie sociale qui nous avait été ôtée totalement pendant le confinement. Je peux le comprendre. Et en plus, on nous l’a proposé en été, quand c’est les vacances, à la mi-juillet au moment pile où on a le plus besoin et l’occasion de sortir. je n’ai pas entendu les complotistes relever cela … bref.

La vaccination était une injection non pas sanitaire, mais de confort ! Alors que s’injecter un produit inconnu dans le corps est un acte qui se doit d’être murement réfléchi. Ce n’est pas un produit anodin. De plus, il y a une responsabilité collective à cela.

Imaginez si tous ces gens-là n’avaient pas fait la démarche, disons pendant cet été-là : la campagne de vaccination rendue obligatoire pour aller au restau aurait fait flop !

Et toute la suite de ce que nous avons vécu aurait été différente : les vaccinations pour aller au sport ou à l’école ou au boulot en septembre, les semi-confinements, les doses de rappel, les effets indésirables chez les femmes, la guerre des non-vaccinés et les amitiés brisées, etc… nous nous serions dispensés de tout ça, j’en suis presque certain.

à peine tout le monde piqué, on nous a dit  » ça n’empêche pas d’être malade » et plus tard on a appris que ça n’empêche pas de transmettre. Mais là non plus, personne n’a tiqué …

Et ça ne nous aurait pas empêché de soigner les personnes en danger et de mieux soigner les malades, et les campagnes de vaccination auraient pu être plus ciblées. On aurait pu mobiliser les soignants sur les malades, sans encombrer les services avec des bien-portants : combien de personnes ont été hospitalisées alors qu’en fait, elles n’étaient pas en danger ?

Oui mais voilà, c’était plus urgent d’aller au restau en Juillet 2021 que d’avoir un peu de patience…dommage, hein

Oui c’est humain de vouloir vivre, mais là, c’est du confort, de la paresse, et une démission collective.

 

Chroniques de con-finé : le contexte change les gens

De plus en plus de personnes se plaignent de maux qu’elles attribuent aux « vaccins » arn de la campagne covid. Il ne s’agit pas là de discuter de la justesse de la ruée sur le premier produit qui pourrait marcher, ni de son efficacité. Nous avons tous vécu une période compliquée, et il est humainement compréhensible qu’on se jette sur les solutions et sur la recherche d’une solution. On peut seulement regretter l’absence totale de débat au sein de la classe scientifique, et que les protocoles de mise sur le marché aient été court-circuités, ce qui permet habituellement et justement de déterminer les effets collatéraux et de pouvoir peser un nouveau produit. La panique générale justifiait-elle cette prise de risque ? la pression que les médias et les dirigeants était immense, et seul un organisme indépendant et neutre aurait pu trancher. Mais le discours était plus ou moins  » si vous freinez la mise sur le marché, vous êtes donc des assassins ?  » : le discours a totalement mis de côté l’aspect sanitaire, et le fait qu’on injecte un produit inconnu à des personnes, des vrais gens, et à échelle mondiale. Je ne parle pas là de covid, ni de vaccin arn, je parle simplement de l’ambiance psychologique dans laquelle nous étions tous plongés, la tension du narratif, induite par la peur. Combien de fois ne nous a-t-on pas promis des hécatombes qui ne sont heureusement pas venues ? On nous aurait raconté, il y a 10 ans, que nous serions nous-même demandeurs de nous faire injecter tous les 6 mois une dose d’un produit qui n’a pas passé les tests de précautions minimales nécessaires à un médicament alors que ce produit n’est pas encore un médicament et que les rares tests faits sur des malades se sont révélés inefficaces, je ne suis pas certain que nous l’aurions cru possible, nous aurions nié que ce soit un jour possible, nous aurions surement dit  » non, c’est trop dangereux, on ne peut pas faire ça, ce serait criminel « .

Seulement, le contexte a changé. Je le répète sans cesse : le contexte fait tout ! Nous étions devant la menace (quelque chose qui n’arrive pas, c’est seulement une menace) d’une hécatombe mondiale, une pandémie. Les médias, experts dans la production d’anxiété, ont répondu à leur réflexe morbide habituel et pendant deux ans on n’a pas entendu trois interviews raisonnables, contradictoires, nuancées. L’absence de débat contradictoire aurait pourtant dû nous mettre la puce à l’oreille…mais tout ce qui n’allait pas dans le sens de la panique était classifié de complotiste.

Chroniques de con-finé : le complotisme là où on ne pensait pas

Le complotisme en despote absolutiste

Le complotisme, c’est bien de voir le mal partout, de mettre en lumière chaque indice qui soutient une théorie, et s’il le faut, on invente la lumière pour révéler un indice qui n’existe pas.

Pendant la crise covid, il n’était question que de cela, en permanence !

Le complot mondial s’est répandu chez les anti-covid, mais d’abord et même plus encore chez les pro-covid : médias et ensuite gouvernements n’ont eu de cesse de mettre en lumière les indices de leurs théories.

Ils ont même changé d’avis en cours de route sans jamais se démonter : les indices scientifiques parlent, les chiffres sont là !

Ils ont ainsi changé d’avis plusieurs fois sur le port du masque, mais surtout, ils ont promis qu’avec le vaccin il n’y aurait pas transmission et qu’on ne tombe plus malade. Jamais, jamais personne n’a levé son petit doigt pour dire  » hep, ça suffit, vous vous fichez de nous, maintenant on veut une politique sanitaire et pas une politique de la propagande »

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