Catégorie : Méditation&Spiritualité (Page 14 of 58)

Définition de la Confiance en soi

confiance :

  • dans ce mot il y a le verbe se fier, c’est la fiabilité : la confiance en soi c’est sentir que je suis fiable.
  • La confiance est loin de la croyance, mais c’est avoir la foi (au-delà des questions religieuses évidemment), est-ce que j’ai foi en moi, est-ce que j’ai foi en la vie, est-ce que j’ai foi en les autres.
  • est-ce que je suis capable de me confier à moi-même, avoir ce discours intérieur honnête et transparent, ne pas le faire c’est déjà se raconter des histoires.
  • plus concrètement avoir confiance en soi c’est être bien avec soi-même, c’est avoir une bonne relation avec soi.

la différence entre s’aimer et avoir une relation égotique à soi

la différence entre s’aimer et avoir une relation égotique à soi :

le show off, le fait de se montrer de vouloir prendre la première place, ça c’est le contraire de l’amour de soi ! avoir comme projet d’être très visible, de prendre plus de place que les autres, de parler plus fort, ça c’est pas du tout de l’amour de soi !

L’amour de soi c’est être capable de s’accepter exactement comme on est, avec son âge, avec son corps tel qu’il est, avec ses qualités ses défauts, avec ce moment où se sent à l’aise les

moments où on se sent mal à l’aise, mais aussi les bêtises que l’on a fait ou les échecs que l’on a vécu, les moments où on se dit qu’on aurait pu être plus sympa avec quelqu’un ou plus adroit…c’est pouvoir accepter la personne qu’on est dans sa globalité !

Erreurs de conception de la confiance en soi

Erreurs de conception de la confiance en soi :

On peut imaginer que les personnes qui se montrent beaucoup ont une grande confiance en elles. C’est justement ce type de personnes-là, qui ont besoin d’être extravagant, d’avoir besoin de se montrer sans arrêt sur les réseaux sociaux qui n’a pas confiance en elle !

Et inversement on peut très bien être introverti, discret, réservé et avoir confiance en soi.

L’image que nous renvoie notre société est biaisée, il faut essayer de ne pas avaler tout cru ce qu’on nous fait croire.

les intuitions sont liées aux sensations et aux émotions

les intuitions sont liées aux sensations et aux émotions : des émotions saines, et des sensations saines mènent à des intuitions fiables. Des émotions saines sont celles d’un esprit en équilibre, elles ne bloquent pas les pensées, les sensations saines sont celles d’un corps en équilibre, leur signal est fluide et bien interprété.

Différents types de souffrance

Les souffrances

Nous sommes sans cesse confrontés à des « souffrances » : le soufre-en-se.

Et nous connaissons tous les différents types de souffrances, à tous les stades de notre évolution, selon les domaines de vie abordés.

J’ai repéré quelques souffrances :

Souffrance de la déprime  :  La souffrance chronique, monotone, on tourne en rond, perdu. On la trouve dans les états de déprime.

La souffrance de la dépendance : le monde (ou les personnes) n’obéit pas suffisamment de façon immédiate et régulière à ce qu’il devrait être : la tranquilité est dépendante du monde extérieur, où l’on se victimise.

Souffrance de la culpabilité : celle qui angoisse, celle qui fait se réveiller la nuit en pensant à ce qu’on devrait avoir dit, ou ce qu’on devrait faire. C’est aussi celle des regrets, de la rumination.

Souffrance de la contradiction : C’est la souffrance qui vient de la morale qu’on devrait s’appliquer alors que ses pulsions et les désirs sont contraires, c’est une souffrance qui déchire.

La souffrance orgueilleuse, ou résignée : la souffrance résignée des rôles et responsabilités, qui empêche celle d’être la personne ou de faire le métier qu’on voudrait vraiment au fond de soi. On eprouve des rancunes latentes, la difficulté à pardonner (surtout à soi-même).

La souffrance de la perdition : Celle du stade existentiel, la prise de conscience que la vie est éphémère, un sentiment d’absurdité, un vertige car le rationnel ne répond plus, dans un malaise semi-dépressif.

La nostalgie de la souffrance : Une fois qu’on atteint un état transpersonnel, c’est celle de la nostalgie de l’attachement, la nostalgie de la maman en somme, la nostalgie de ce qui donnait corps à sa souffrance : tristesse, peine, mélancolie sont lointaines

La souffrance joyeuse :  La souffrance est vue comme un effet secondaire de la croissance spirituelle : Hourra ! C’est la souffrance utile et indispensable pour vivre sa propre vie.

Nous pouvons être très mâture dans un domaine de vie, et en même temps être immature dans d’autres. Et même si on avance dans les stades de maturité, nous pouvons reculer brutalement en fonction de nos états émotionnels, des événements de la vie, de l’environnement. Mais les avoir déjà connues, ou du moins en avoir conscience, permet de relativiser.

 

Rigidité Outil de coaching

Pour les trop « musclés » : assouplir les règles rigides qu’il s’est imposées

s’imposer des règles strictes, avoir des opinions bien arrêtées sur la façon dont les autres et la vie elle-même devaient être, ne laissant que peu de place à l’humour ou à la tolérance, que ce soit pour soi ou pour les autres.

Ainsi, les penseurs négatifs créent souvent des attentes et des règles irréalistes sur la façon dont la vie devrait se dérouler. Nous pouvons les aider à examiner leurs attentes et à se demander si elles ne sont pas trop étroites ou trop rigides. Nous pouvons les encourager à adopter une approche plus ouverte.

Certains penseurs négatifs semblent imposer des règles rigides à la vie. Au lieu d’accepter avec curiosité les différences entre les gens et les imperfections (perçues) de la vie, des autres et d’eux-mêmes, ils cherchent à exercer une emprise presque tyrannique. Ces personnes pensent souvent comme suit : « Les gens doivent être comme je pense qu’ils devraient être ! »…

En posant simplement des questions aux gens et en leur proposant des exercices, nous pouvons les aider à assouplir des règles dures, cassantes et rigides, afin qu’elles deviennent moins blessantes et impitoyables, tant à l’extérieur qu’à l’intérieur. Nous pouvons les aider à mieux se tolérer en leur posant des questions telles que :

– Une personne qui est généralement bonne et honnête peut-elle faire une chose qui n’est pas top ? Dans quelles circonstances cela peut-il se produire ?
– Une personne très intelligente peut-elle commettre une erreur ? Tout peut-il toujours être parfait ? que serait la vie si elle était parfaite ? Comment pouvez-vous être sûr qu’une vie parfaite serait meilleure ? Comment pouvez-vous être sûr qu’être comme vous l’exigez est forcément la seule manière d’être valable ? Avez-vous tenté d’autres options et lesquelles avant d’affirmer que votre opinion est la seule ? Votre opinion semble très affirmée, puis-je donc être assuré que vous avez tenté toutes les autres options ? Comment pouvez-vous être sûr que d’autres options peuvent avoir échappé à votre connaissance ? N’a-t-on jamais fait de découverte qui remettait en cause les vérités établies ? Une opinion affirmée au point de ne pas pouvoir être discutée est-elle encore une opinion ? Comment pouvez-vous êtres sûr que ce que vous attendez des autres ne génère que du positif ? Que pensez-vous des personnes qui campent sur leur position ?

questions socratiques

 

– « Quel est le pourcentage de responsabilité qui peut m’être attribué si je constate que mon collègue est de mauvaise humeur et que je ne sais pas pourquoi ? »

– Si mon fils adolescent refuse d’étudier pour un examen, quel est le pourcentage de responsabilité qui m’incombe et quel est le pourcentage qui lui incombe ?

– Si je fais un discours et que certaines personnes ne semblent pas très intéressées, quelle est la part de responsabilité qui m’incombe et celle qui leur revient ?

 

 

Qui est responsable – Responsabilité et Culpabilisation

Qui est responsable ici ?

Les personnes ayant des idées négatives peuvent avoir tendance à internaliser le blâme pour les résultats négatifs, même lorsque ce blâme est injustifié. Ils peuvent également penser que tous les résultats négatifs sont dus à d’autres personnes. Les deux pensées donne peu de pouvoir et d’influence sur sa propre vie – une sorte d’impuissance apprise.

C’est une voie bien pratique de tout culpabiliser. Ca évite de parler de responsabilité, justement parce que la responsabilité est comprise comme une forme grave de culpabilité. C’est bien dommage.

Au contraire, la responsabilité, c’est « être en capacité de répondre », repons-habileté ! Je suis en capacité de répondre à la problématique, je peux me mettre en mouvement, j’ai une capacité d’action, j’ai mon libre-arbitre, je suis acteur et non pas victime ou coupable, donc passif.

On peut même aller plus loin, en finissant par être heureux d’être responsable. Mais « le responsable » ne doit pas être vécu comme un expert qui doit tout savoir sur tout !

Être responsable, c’est seulement être en capacité de répondre, de prendre sa responsabilité, de répondre, c’est de se mettre en mouvement pour répondre

 

ce que je veux faire

1- soigner les gens
les maladies internes sont liées aux émotions.
les maladies chroniques sont liées aux émotions.
les maladies externes sont liées directement aux facteurs de cause visibles.
les empoisonnements et facteurs externes indirects sont plus difficiles à détecter.
Processus :
– BILAN de MTC, Il permet de détecter les tableaux.
– PRINCIPES DE TRAITEMENT : Au lieu de traiter les organes et leurs fonctions, par ex par les méthodes d’acupuncture et de pharmacopée je veux utiliser :
– Tuina
– questions socratiques
– huiles essentielles

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2 – DONNER LA BONNE PAROLE
Faire réfléchir les gens. par des vidéos courtes à thème d’introductions; vidéos plus longues développement, conférences, web conf

3 – Ecrire des Livres
3.1 Thèmes de développement :
traduire les accords toltèques
dédramatiser les abus de language ex : « on choisit ce qui nous arrive »

3.2 Thèmes naturalistes :
Traduire la MTC
Traduire les principes du TaoTeKing et de Tchouang
Traduire le YiKing

4 – Coaching génératif
Préciser un objectif
Se motiver
Définir ses valeurs
définir la personnalité

technique de vente

phase 1 : le client veut parler de ses besoins et du budget

Phase 2 : le client veut que je lui parle de la solution, pas du budget

Phase 3 : Budget et Risque que le client estime prendre

 

Situation
Problème
Conséquence négative si on fait rien
Gain

Ne pas donner d’abord les arguments qui sont expliqués plus tard.

 

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