Catégorie : Psychée (Page 33 of 40)

Thomas d’Ansembourg les bases de la communication non-violente les 4 éléments de la CNV

Les 4 critères de la demande

Concrète : « est-ce que tu veux bien mettre la table ? ». Ne pas rester vague du genre « est-ce que tu peux m’aider ? »

Positif  » pourrais-tu chanter dans le jardin ? »  et non pas « arrête de faire du bruit »

Réaliste « je vais méditer chaque matin 5 minutes » et non pas « à partir de maintenant je vais méditer 2 heures par jour »

Négociable : Laisser à l’autre le choix, s’ouvrir à l’échec.

 

+ à coeur ouvert : « je ressens »

+ pas affirmatif : « je peux me tromper mais je ressens »

+ pas impératif : « je souhaite propoper » et non pas « je veux que tu fasses »

Letting Go – Mode d’emploi du Lâcher-prise

A partir du Daily Breath du 28 12 2020

Mode d’emploi de la compétence du Laisser-Venir

https://podcasts.apple.com/us/podcast/the-secrets-of-the-self-letting-go/id1458887650?i=1000467190658

1 – Fais le maximum de chaque moment de Vie : cultives la Joie spontanée. Si tu regardes à n’importe quel objet, ne l’interprète pas, ne juge pas, ne le place pas dans une hiérarchie ou dans le bon ou le mauvais. Alors tu ouvres la porte à la joie spontanée.

2 – Ne cherches pas obstinément les bonnes décisions. Sois conscient que tu es en train de vouloir chercher les décisions.

3 – Cesse de vouloir avoir raison, de faire le bien

4 – Vas au-delà des risques : Dans chaque décision il y a des risques. Or, la créativité de la Vie réside dans les initiatives, dans les choix, les décisions : S’il n’y a pas de risque il n’y a pas de Vie

5 – Ne prends pas de décision quand tu es dans le doute. Appuye sur pause, dors sur la question.

6 – Vois en chaque expérience de Vie une opportunité, spécialement dans les mauvaises expériences.

En définitive tout ceci va te permettre de réaliser que le laisser venir est de ressentir la Joie dans chaque moment de Vie.

deux hommes tous les deux gravement malades occupaient la même chambre d’hôpital. L’un d’eux devait s’asseoir dans son lit pendant une heure chaque après midi afin d’évacuer les sécrétions de ses poumons. Son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre, l’autre devait passer ses journées couché sur le dos. Les deux compagnons d’infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses, de leurs
familles, décrivaient leurs maisons leur travail leurs participations au service militaire et les endroits où ils avait été en vacances etc… et chaque après-midi quand l’homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s’asseoir, il y passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu’il voyait dehors. L’homme dans l’autre lit commençait à vivre pendant ces périodes d’une heure où son monde était élargie et égayée par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur de la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac les canards et les cygnes jouaient sur l’eau… tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux en modèle réduit, les amoureux marchaient bras dessus bras dessous parmi des fleurs aux couleurs de l’arc-en-ciel. de grands arbres décoraient le paysage, et on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner … pendant que l’homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l’homme de l’autre côté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque. Lors d’un bel après-midi l’homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par là, bien que l’autre homme n’ait pu entendre l’orchestre il pouvait le voir avec les yeux de son imagination tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante ! les jours et les semaines passèrent.
un matin à l’heure du bain, l’infirmière trouva le corps sans vie de l’homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil. Attristée, elle appela les préposés pour qu’ils viennent prendre le corps. dès qu’il senti que le moment était appropriée l’autre homme demanda s’il pouvait être placé à côté de la fenêtre. l’infirmière, heureuse de lui accorder cette petite faveur, s’assurera de son confort puis elle le laissa seul.
Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu en s’appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d’oeil dehors. Tout à la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. or tout ce qu’il vit fut un mur ! l’homme demanda à l’infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité ! l’infirmière répondit que l’homme était aveugle il ne pouvait même pas voir le mur peut être a-t-il seulement voulu vous encourager ! commenta t il y ! à un bonheur extraordinaire à rendre d’autres heureux en dépit de nos propres épreuves la peine partagée réduit de moitié la douleur, mais le bonheur une fois partagé s’en trouve doublé

Affirmations positives pour se libérer des peurs – EFT

 

* Je suis prêt à libérer mes peurs.
* Je vis et me déplace dans un monde sûr et sécurisé.
* Je me libère de toutes les peurs et de tous les doutes destructeurs.
* Je m’accepte et je crée la paix dans mon esprit et mon cœur.
* Je m’élève au-dessus des pensées qui tentent de me mettre en colère ou de me faire peur.
* Je libère le passé avec facilité et fais confiance au processus de la vie.
* Je suis prêt à renoncer au besoin de cette protection.
* Je suis maintenant prêt à ne voir que ma magnificence.
* J’ai le pouvoir de faire des changements.
* Je suis toujours divinement protégé.

 

Thomas d’Ansembourg jour 1 video 6 et 7 La Grammaire de la CNV

les copyrights sont à M d’Ansembourg, ceci n’est qu’un condensé personnel destiné à vous donner envie de suivre les formidables formations de ce coach exceptionnel plein d’humanité. Merci à lui.

 

Lorsqu’on juge on enferme. On a tendance à tout interpréter. Mettre en pratique le premier accord toltèque.

On a intérêt à ne pas juger.

Oui mais « Alors comment prendre les choses ? il faut bien écouter ? on ne peut pas rester sans rien faire, car alors ce n’est pas de la communication ?  »

Au lieu de juger, ressentir.

Exercice 1 :différencier subjectif et objectif

Une situation qui ne s’est pas passée comme tu l’avais espérée.

a – écris ce qui s’est passé en toi, comment tu l’as interprété.

b – la situation telle qu’elle était, sans passé ni futur, sans interpréter, sans « mais », sans affect. Vois la situation de l’extérieur.

Alors tu peux établir la différence entre les faits et l’effet.

Comment tu te sens quand tu passes de a à b ? …. voir aussi Byron Katie

 

Exercice 2 : les sentiments

a – Dans la situation jugée,  JE ME SENS … : nommer

b – Dans la situation observée, je nomme les faits et l’effet que ça me fait : nommer

(  » on  » = personne !    faire dire   » je  » )

Laisser le temps. Aller à la rencontre de soi. A ce moment-là on a souvent tendance à fuir, à passer sur autre chose et à nos addictions.

 

Exercice 3 : les besoins

quels sont les besoins qui ne sont pas nourris. Les besoins les plus criants sont les plus difficiles à exprimer. Introspection.

 

 

Méthodes : Psych-K, train qui passe, gauche-droite

Victime :
je ne me prends pas en main
se plaindre
ne change rien

Communication Non Violente : Communication a-violente, éviter la violence. J’essaye de nommer les faits.

Je parle de moi, de l’effet que ça me fait. ne pas parler de l’autre.
je parle de mes besoins. des besoins dans lesquels l’autre peut se retrouver.
progressivement pour arriver  un résultat plus grand à la fin.
demande ouverte qui accepte le non.

 

 

 

Thomas d’Ansembourg les bases de la communication non-violente ep 4 le fil rouge de l’existence

les copyrights sont à M d’Ansembourg, ceci n’est qu’un condensé personnel destiné à vous donner envie de suivre les formidables formations de ce coach exceptionnel plein d’humanité. Merci à lui.

 

 

L’enfant est dans l’instant présent : il n’a pas de cloisonnement.

L’enfant est à la fois celui qui court derrière le papillon, le papillon, l’herbe haute, le soleil, etc…

L’enfant est à la fois l’enfant qui fait un calin à son parent, et son parent et le canapé, et le tapis et…

L’adulte moderne fonctionne dans ses enfer-me-ment : routines, fonctionnements compensatoires, systèmes de pensée, habitudes qui ne sont pas questionnés par confort, on n’a pas besoin, et si ça ne va pas on prend des cachets.  La vie est ennuyeuse.

Nous avons besoin de déchirer le carton, de libérer le danseur, de nous réaligner sur la musique intérieure. De se réaligner sur le fil rouge de la vie.

Tension entre vie rêvée et vie vécue : s’engouffrent dans cet espace les mécanismes compensatoires.

Dans une société de consommation, c’est facile de compenser le mal-être, et on a assez de confort pour ne pas se remettre vraiment en question soi, mais on remet en question son environnement. Alcool, anxiolytiques, accro au travail … et toutes les distractions. Dans notre société, nous avons plus appris à compenser notre mal-être qu’à nourrir notre bien-être. La société de consommation et des loisirs.

C’est quand je vis vraiment la vie que j’aime que je suis joyeux et contagieux de ma joie

Observer nos enfer-me-ments : s’observer, ce qui se passe en moi : corps, émotions, spirituel.

 

 

 

Phrases d’éveil

Une fois que tu ne vois rien à l’extérieur autre que le produit de ton mental, et que tu te relies au TOUT de l’Être seule vérité, tu peux lâcher toute objectivité et entrer pleinement dans le bain de jouvence de la subjectivité, car c’est là que monte en toi l’intuition guidante

L’impossible devient totalement possible du moment qu’on le libère Et tu sais que tu es complètement libéré quand tu n’émets plus le moindre besoin

Est-ce que je suis heureux en cherchant à être heureux ? Ou bien suis-je malheureux en espérant être heureux un jour ? (T d’Ansembourg)

Fais le fil de ta journée et dis-moi combien de temps tu passes dans un état de bien-être profond ?

la seule émotion dite négative qui est naturelle et non-induite est la peur. Les anxiétés, les regrets, etc… sont liées à nos croyances. Alors, combien de fois par an es-tu confronté à une vraie peur, et combien de peurs liées à tes croyances pourrais-tu travailler pour ne plus les générer ?

Les situations sont ce qu’elles sont, notre vision est souvent déformée.

Lorsqu’on juge on enferme, on étouffe, on a intérêt à ressentir au lieu de juger.

 

 

 

Thomas d’Ansembourg les bases de la communication non-violente ep 3 le radar intérieur

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Avant de vouloir être proche des autres, est-ce que je suis proche de moi ? Amour, bienveillance, compassion.

Base : les besoins sont nourris ou pas nourris

Le radar intérieur

se demander ce qui se passe en soi : comment je me sens … en nommant les choses

  • comment je me sens lorsque je m’écoute : écouter ce qui est vivant en moi : quels besoins sont nourris, quels besoins ne sont pas nourris ? Quelles parties de moi sont en besoin ? (se sentir vivant, reconnu) lister puis se demander
    • émotions : cette liste génère quelles émotions ?
    • corps : cette liste génère quelles sensations corporelles ?
    • mental : celle liste génère quel commentaire spirituel ?
  • l’expression de soi : comment je me sens lorsque je nomme ce que je sens ? ça fait quoi que de nommer les ressentis et les besoins.
  • comment je me sens lorsque je suis écouté. ça fait quoi que d’être écouté ? Nourrit les besoins de lien, d’authenticité, de profondeur, de respect. Ni conseil ni solution. Quand on ne trouve pas d’écoute chez les proches, on va acheter l’écoute chez des thérapeutes.
  • comment je me sens lorsque j’écoute l’autre. ca me fait quoi à moi quand j’écoute l’autre ? ecouter l’autre dans son ressenti

« La Reconnaissance : la clé pour comprendre le fonctionnement du monde, à la fois intérieur et extérieur. »
Besoins : voir pyramide de Maslow

Thomas d’Ansembourg les bases de la communication non-violente ep 2

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Écoute intérieure & auto-empathie

Jour 1 partie 3 Minute 6 et suivantes

Première question : comment je vais ? Si la réponse est basique « ça va » ou alors « ça va pas trop » etc… on n’a aucune chance d’obtenir le discernement nécessaire pour réorienter sa vie.  Dans ce cas on reste dans un état de  » jusque-là ça va, jusque-là ça va »

Reposer la question « comment ça va ? » avec Deux clés de discernement :

Le ressenti : pour cela, commencer par sortir de l’obsession que tout doit et peut être résolu par le rationnel, par l’intelligence logico-mathématique. alors souvent on dit « je sens rien ». Non, c’est qu’on ne sent pas qu’on sent. L’émotion = emovere, mouvoir, si l’émotion m’emporte, elle m’emporte. La colère ou la tristesse, les émotions racontent des histoires sur soi. Aucune émotion n’est là par hasard.

– aucune émotion et sentiment ne sont ni positifs ni négatifs, on accueille toutes les émotions. Les émotions sont agréables ou désagréables. Les émotions agréables sont celles qui renseignent des besoins nourris. Les émotions désagréables dénotent des besoins en souffrance.

Image des lumières de tableau de bord : si je les ignore, il va m’arriver des bricoles à un moment donné.
Dans la vie on a des lumières qui clignotent :  » tu es triste « ,  » tu en as ras le bol « , « tu n’en peux plus » : si je mets ces warning sous le tapis,  » pas du tout, j’assure  » un jour c’est le burn out ou la maladie.

Pas de discernement + pas d’écoute de ce qui se passe en moi = pas de capacité d’action pour transformer.

Thomas d’Ansembourg les bases de la communication non-violente ep 1

les copyrights sont à M d’Ansembourg, ceci n’est qu’un condensé personnel destiné à vous donner envie de suivre les formidables formations de ce coach exceptionnel plein d’humanité. Merci à lui.

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Thomas d’Ansembourg les bases de la communication non-violente

Introduction

Jour 1 partie 1 Minute 9.

Il ne viendrai à l’idée d’aucun musicien d’entrer en scène sans deux choses : qu’il ait bien son instrument, et que celui-ci soit accordé. Notre instrument, c’est notre corps ! Si on veut avoir de l’écoute pour les autres, il faut comencer par s’écouter soi. On ne peut être en bonne communication avec l’extérieur, les autres, si on n’est pas en bonne communication avec soi. Il faut commencer par apprendre la lenteur. Laisser descendre le seau du discernement dans le puits de la connaissance profonde. Faire de la méditation scan corporel.

 

 

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