Connaitre vos objectifs, savoir en changer quand ça ne marche pas.
On peut savoir si une croyance produit des résultats attendus, sinon on peut en changer. C’est aussi avoir l »honnêteté de reconnaitre quand une croyance ne fonctionne pas.
1 -Tout évènement a un sens, même si on ne le comprend pas : laisser être la Vie. tout revers comporte l’amorce d’un nouvel avantage, puisqu’il nous indique ce qui ne fonctionne pas, puisqu’il va nous pousser du nouveau.
2 – l’échec n’existe pas, seules existent des expériences. Chaque expérience permet de rectifier le cap, comme un barreur ne lâche pas la barre mais rectifie toujours le cap, en regardant en avant. Ce n’est pas le sillage du bateau qui lui donne la direction, mais c’est le regard vers l’avant.
3 – être Responsable = Ré(s)ponse à ce dont je suis (cap)able, ce que je communique est contenu dans la réaction que j’obtiens. C’est même un contraire à la culpabilité.
4 – Pas besoin de tout comprendre pour l’utiliser. Attarde-toi sur ce qui te parle et puis fonce !
5 – Aimes les autres et respecte chaque personne comme un être cher et profondément humain.
6 – Le travail est un jeu !
7 – Engages-toi à fond ! Ceux qui réussissent ne sont pas les plus intelligents, ni les meilleurs, mais les plus engagés !
+ : tes propres croyances
+ : Imite ceux qui ont déjà réussi dans ton domaine, dans ce que tu sens vibrer en toi !
+ : sois aligné : fais ce que tu sais faire avec les tripes selon tes valeurs en descende directe avec ton identité.
+ : cultive les accords toltèques chaque jour !
+ : chaque jour consacre du temps au travail (un jeu) au plaisir, à la méditation, à ton corps.
Changer un comportement qu’on ne veut plus
Réduite une angoisse
Amplifier une ressource
(on peut ne pas parler du comportement, si la personne n’a pas envie d’en parler, dans ce cas on donne un mot de passe)
1 – Identifier le comportement
« Procrastination à faire le ménage »
( si comportement alors identifier les + : « plus de temps pour moi », « je me laisse vivre » et les – : « laisse trainer les choses » )
2 – rechercher l’intention positive : » je prends soin de moi » et amplifier – reformuler
3 – monter dans l’échelle des valeurs par l’énergie Connecte toi et ressens cette intention de ( intention ) et demande-lui de t’indiquer ce qui est encore plus important » que de … (intention)
4 – amplifier – reformuler la réponse
5 – Connecte-toi et ressens cette intention (dernière intention) et qu’est-ce que cela permet de encore plus important ?
ex : de prendre soin de toi » ? + important => « de profiter au max » => +important => « chaque chose doit apporter du plaisir » => +important? => « vivre dans le moment présent, c’est valorisant » => +important ? => « de me sentir libre ce que je veux quand tu veux, comment je veux » => + important? => » le fait me respecter de 100%, je me reconnais, pas de diktat de l’extérieur c’est le respect absolu de moi « » = le point haut est atteint = état source
4 – connecte toi à l’énergie cet (état source) » « du respect absolu de toi » comment tu te sens , le faire vivre à fond, faire ressentir l’énergie dans le corps,
+ : faire descendre la boule d’énergie par la fontanelle se répandant petit à petit dans tout le corps Lumière bleue pour les douleurs pour tout ce qui est chaud / aigu / plénitude
5 – en étant dans l’énergie de (état source) « du respect absolu de toi » redescendre les étages en quoi cela améliore ton (intention précédente) » me sentir libre » – etc…
en quoi cela l’enrichit, le rend plus présent ? jusqu’à la première intention positive
STOP ici Si le point de départ est un point positif /une ressource à amplifier,
6 – En étant toujours et encore connecté à ton (état source) réévalue en quoi cet (état source) » le respect absolu de toi » te permets de porter un regard différent / ressentir différemment sur ton (point de départ négatif) » ta procrastination « , comment tu ressens ton (point de départ négatif)
identifier les différences positives : je n’aurais pas cette bataille en moi, je me respecterai, je me respecte de vivre dans une maison propre.
7 – si comportement : qu’est-ce qui a changé avec cette prise de conscience ? Comment tu vas agir maintenant ?
1 – Pense à une situation très agréable. Un souvenir ancien ou récent. Ferme les yeux. Détends-toi, respire profondément, concentre-toi sur cette situation.
Maintenant, rends cette scène plus claire. A mesure qu’elle s’éclaircit, rapproche la scène de toi agrandit cette scène.
Prends un temps pour te concentrer à le faire, puis à observer les changements.
Maintenant, augmente le volume des voix et des sons, musique, que tu entends dans cette scène.
Prends un temps pour te concentrer à le faire, puis à observer les changements.
Maintenant, augmente les sensations de ce souvenir en toi; là où il se trouve dans ton corps, augmente les belles sensations, rends le plus chaud, plus soyeux, plus doux, très confortable.
Prends un temps pour te concentrer à le faire, puis à observer les changements.
Quelles sensations la scène provoque-t-elle maintenant en toi ? Est-ce que l’expérience vécue est plus intense, encore plus joyeuse ?
2 – Prends maintenant le souvenir désagréable que tu veux traiter.
Maintenant, rends cette scène floue, opaque, indistincte.
A mesure qu’elle s’assombrit, éloigne la scène de toi et rapetisse là, jusqu’à ce que tu ne puisses plus la voir. Pour finir, ramène-la et expose-là en plein soleil brulant.
Prends un temps pour te concentrer à le faire, puis à observer les changements.
Maintenant, baisse le volume des voix et des sons, ralentis le rythme et les sons, qui sont mous et indistincts.
Prends un temps pour te concentrer à le faire, puis à observer les changements.
Maintenant, abaisse les sensations de ce souvenir en toi; rends-le plus froid, sans texture, rugueux et mou, gluant et inconfortable.
Prends un temps pour te concentrer à le faire, puis à observer les changements.
Est-ce que l’expérience vécue est moins intense, moins puissante ?
Pour commencer à être toi, bouge ! Pour commencer à être toi, commence peut-être par t’autoriser à te poser des questions à toi-même, sans toi-même te taxer de faible, de perchée, d’inconstant(e), finalement pourquoi chercher en toi, finalement ça va se résoudre tout seul … Pour commencer bouge, choisis de bouger avant que la vie ne t’y oblige par la maladie, la rupture, la destruction venues de l’extérieur.
N’aies pas peur d’être toi !
Toutes les personnes qui ont « réussi » ont commencé par ÊTRE SOI ! tu voudrais réussir tout en restant ton personnage, tes rôles ? heum … quel que soit le domaine de vie, intime, familial, professionnel ou social, tu crois vraiment que jouer un rôle est suffisant, appliquer des méthodes, des principes, des organisations ? Ce sont des outils oui, mais est-ce que tout ça est créateur, motivant, générateur de joie ?
Tu trouves ta vie, ton objectif, ton bien-être dans TA VISION DU MONDE, dans ta singularité qui fait ta richesse, à tous les niveaux et dans tous les domaines de vie.
Voilà pourquoi je ne vais pas te proposer des solutions toutes faites en fonction d’un profil. Au contraire, ensemble nous allons extraire ce qu’il y a d’original en toi, de spécifiquement beau en toi, le faire briller pour l’utiliser au contraire de le garder dans un petit coin de ta vie ou même dans un coin de ta tête « projet d’être moi : si j’étais moi je serais, je ferai … »
– Public Cible ??? à faire!!!
– ensuite comment cibler ce public ?
– Vidéo de présentation de mon activité
– Ce que je fais, qui je suis, et pourquoi le client viendrai chez moi plutôt que chez quelqu’un d’autre ? – Interviewer des coachs : comment ils ont monté leur entreprise ?
– En parler autour de moi
– Donner des exemples
– avoir des avis positifs
– décrire l’activité avec précision
– proposer des échanges de bons procédés avec des thérapeutes : MTC, Hypno, Kiné…
– Support physiques : carte de visite, flyer
– Site internet : fait
– Page LinkedIn : à faire
– Page Ambassadeurs d’Alsace : à faire
– Livre Grinder et Bandler « les secrets de la communication » page 191 et suivantes;
co = coach
cl= client
fl = facteur psychologique limitatif. C’est généralement une phobie, physique ou immatérielle, une peur irraisonnée.
Origine : quantité excessive de stimuli = assailli = stress => ceci a mené une décision insconsciente => cl réagit ensuite toujours de la même manière au même stimuli. C’est une réaction marquée.
1 – co n’a pas du tout besoin de savoir quel est le sujet du fl. ça peut être pratique si le fl est d’ordre intime, ou si cl est très réservé. cl n’a pas besoin d’exprimer le facteur limitatif.
stp note que je n’ai pas besoin de connaitre le contenu de ton FL. C’est souvent déprimant, ça remue le passé. Mais si tu le souhaites, tu peux l’exprimer, simplement nous n’avons pas besoin du contenu, nous traitons le processus qui génère le FL.
Faire perdre l’équilibre de cl : grimaces / postures / bruits / gestes étranges … de préférence en pénétrant la réalité de cl.
2 – » veux-tu te défaire de ce FL » ? – vérifier si oui
3 – Donne un nom à ton FL : une fleur, un animal, un prénom, une chose quelconque.
4 – Pense à un moment où tu as exprimé tes pleines capacités, toutes les ressources d’une personne accomplie, où tu t’es sentie très satisfaite de ce que tu faisais. Prends ton temps pour retourner à cette expérience. Observer les changements par vakog.
5 – je voudrais que tu rentres vraiment à l’intérieur de cette représentation afin que tu revives pleinement, ce moment, totalement épanouie, jusqu’à ce que tu sentes ce moment remémoré dans ton corps, dans le ressenti.
ANCRAGE + : Lorsque ce sera le cas, fais un geste – ou – tends le bras et donne-moi la main – ou – donne le nom d’une chose quelconque à ce qui représente ce moment de personne épanouie
6 – te rappeles-tu du premier moment où est apparu ton FL ? Réponse : « non »
donc, tu peux remarquer que tu as une réaction intense à un évènement dont tu ne te souviens même pas, c’est peut-être que ce n’est pas l’évènement originel qui te dérange, mais plutôt ta réaction à un stimuli ? Chercher à faire comprendre que le problème n’est pas dans l’origine mais dans la réaction au stimuli. Et c’est exactement ce qu’il te fallait, car cette réaction peut te sauver face à un danger. je ne veux pas t’ôter la capacité de réagir face à ce stimuli qui a généré cette réaction systématique comme celle d’une phobie, Je veux que tu ne sois pas obligée de réagir de la sorte, je veux te laisser le choix d’opter pour une autre réaction.
je veux que tu puisses librement réagir face à ce même stimuli comme la personne accomplie en pleine possession de ses capacités, heureuse et épanouie. (laisser le choix, options)
7 – Je vais t’inviter à voyager dans le temps. Dès que tu auras besoin de retrouver les ressources de la personne pleinement épanouie que tu as ressenti tout à l’heure, tu feras le geste / mot de rappel (ANCRAGE+)
8 – Peux-tu identifier les sensations et émotions qui sont associées à ton FL ?
cl : « oui »
ANCRAGE- : Maintenant fais un petit geste qui est associé à « … » (nom donné au FL)
9 – Ton (ANCRAGE+) représente le lien avec ta force personnelle de personne épanouie et sereine. Nous allons retourner dans un moment où ton facteur limitant est apparu, mais cette fois tu n’éprouveras plus les sensations désagréables associées. Tu te sentiras bien, très bien.
10 – Ferme les yeux. à chaque fois que tu en auras besoin, tu feras ton geste de rappel.
11 – Maintenant, je veux que tu te postes à l’extérieur en tant qu’observatrice. En faisant le geste de l’ancrage de la FL, et en nommant FL, nous allons maintenant rappeler UN PEU des sensations liées à FL. Juste la fraction de sensations nécessaires à observer saune petite partie de ton FL.
12 – Tu vois une scène tirée de ton enfance. tu es à l’extérieur, tu observes. Prends une photo mentale de cette scène.
13 – Rapelle toi que tu contrôles la quantité de retour dans le passé, que tu peux maintenant choisir.
(Adapté du Livre « Pouvoir Illimité » de Anthony Robbins- pages 140 et +)
Etape n° 1:
Identifier la conduite que vous voulez transformer. Représentez-vous mentalement cette
conduite. Pour les peurs ou les insatisfactions : Pensez à une chose que vous redoutez.
exemple, vous désirez cesser de vous ronger les ongles, imaginez-vous en train de porter vos doigts à votre bouche et de commencer à vous ronger les ongles. formez une image claire.
Etape nº 2: (l’image devra être dissociée)
formez l’image du comportement que vous désirez et du changement que cela représentera pour vous. Pour les peurs ou les insatisfactions : Imaginez la situation telle que vous la désirez. Rendez-en l’image très agréable. L’image doit être extrêmement attirante, plaisante et désirable. qu’elle vous mette dans un état de motivation et de désir. Ajouter des sous-modalités.
Exemple : vous éloignez vos doigts de votre bouche, tout en opérant une légère pression sur le doigt que vous vous apprêtiez à ronger, vous imaginez que vos ongles sont parfaitement manucurés et que vous êtes bien habillé, extrêmement soigné, rempli de confiance et maître de vous.
Etape nº 3 : relier les deux images par un « coup de fouet » :
– formez une grande image lumineuse du comportement que vous désirez modifier.
– Puis dans l’angle inférieur droit de l’image, voyez une petite image sombre du comportement futur.
– Concentrez-vous alors sur la petite image et, en moins d’une seconde, agrandissez-la et augmentez-en
la luminosité jusqu’à ce qu’elle envahisse tout le champ de vision, en prononçant « ouf ».
– Ouvrez les yeux une fraction de seconde puis refermez-les répétez le processus 7 fois en tout, aussi rapidement que possible.
Que c’est bon d’avoir le droit d’être vulnérable ! Les vulnérabilités nous font avancer, elles nous font aimer, découvrir, évoluer ! Elles sont le moteur du flux de vie dans notre esprit … encore faut-il s’autoriser à l’être, vulnérable, l’écouter, et clarifier pour avancer…
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LEVER LES IDEES RECUES
Dans notre société, la vulnérabilité a une forte étiquette dégradante, de faiblesse, de petitesse. Mais c’est seulement une signification sociétale imposée ! C’est une croyance collective ! On a collé à la vulnérabilité ces qualificatifs négatifs ! Ce ne sont que des étiquettes ! Nous pourrions aussi évoluer dans une société où la vulnérabilité serait positive ! (il ne tient qu’à nous de le faire !)
Du moment que je continue de croire qu’elle est négative, je ne vais pas avoir envie de l’utiliser. Commencer par réaliser que le mot a une connotation imposée dont je peux me libérer à tout moment est un premier pas vers le détachement de ces étiquettes, et donc vers un usage positif de la vulnérabilité.
L’INVULNÉRABILITÉ N’EXISTE PAS
La non-vulnérabilité ne sert à rien, contrairement à la peur par exemple, ou à d’autres notions qu’on nous apprend pour nous protéger. De même, on nous enseigne que les forts, les dominants, les puissants sont un contraire de vulnérabilité. Ça voudrait dire que être fort, dominant, puissant sont des qualités positives. Ah bon ? C’est donc positif ce qu’ont fait Hitler, Staline, ou de nos jours d’autres puissants, dans le monde financier, politique, et même dans notre entourage ? … là aussi, ce sont des croyances collectives. Ne pas être vulnérable, c’est quoi ? Ca n’a pas de nom, il faut mettre « in » devant vulnérable, ce qui veut tout dire. Personne ni rien n’est invulnérable. L’invulnérabilité voudrait dire absence de vie, absence de flux, et là où il n’y a pas de flux, il n’y a pas de vie.
VULNÉRABILITÉS PARTOUT, ET BIENVENUES
En coaching, je vois beaucoup de vulnérabilité : Celle du moindre projet personnel qu’on veut mettre sur pied, parfois depuis longtemps, mais on n’ose pas, on ne l’a jamais fait, et ce sont des vocations ratées; Ou encore celle du domaine relationnel, à reconstruire ; Ou celle celle d’un changement de job, celle d’un changement de vie, celle d’une reconstruction personnelle … mais aussi dans la vie de tous les jours, celle des tracas du coeur, tracas du travail, tracas familial…
La vulnérabilité est le courage d’avancer. Nul projet ne se réalise sans vulnérabilité. Nulle relation ne se noue sans vulnérabilité. On ne décroche aucun boulot, aucun contrat, sans vulnérabilité. Et plus on va vers l’innovation, plus il faut de vulnérabilité ! On n’obtient rien de grand, de beau, sans se mettre en danger, sans se découvrir aux autres, sans prise de risque : sans vulnérabilité !
La vulnérabilité est une qualité ! C’est à elle que je fais appel quand je veux réaliser quelque chose de ma vie. J’ai le choix, là aussi, soit de la fuir comme la société me l’a appris, ou de l’adopter, pour en faire une alliée.
OSONS ÊTRE VULNERABLES, ET ÉCOUTER SES VULNÉRABILITÉS
Donc, soyons vulnérables ! Osons être vulnérables ! Et écoutons la vulnérabilité des autres ! Avoir le droit d’exprimer sa vulnérabilité, nous permet de clarifier l’esprit et le coeur.
Doutes, incertitude, angoisses, sentiment d’abandon, de rejet, impressions négatives, peur de se lancer … Exposer la vulnérabilité, la mettre en mots, laisser monter les émotions, est une étape clé. Pour cela, le mieux est de le faire auprès d’une présence humaine, une oreille attentive, le « lien » pour exprimer sa vulnérabilité.
Comment ? En étant sincère, direct, sans vouloir paraitre parfait, adulte, responsable. Simplement laisser parler les émotions.
Nous ne sommes pas nos émotions, donc nous n’avons pas à avoir honte d’elles, elles ne font que passer, elles répondent à un besoin, et le besoin répond à la vie qui circule en nous. Bloquer les émotions c’est bloquer la vie ! Exprimer sa vulnérabilité va lever les stagnations et faire circuler l’énergie. Et on va trouver ensuite des apaisements à nos angoisses.
On peut aussi observer, où ça se passe dans le corps, et poser des sub-modalités sur les ressentis. Rien que nommer et détailler est libérateur. On utilisera des outils de PNL pour aller plus loin.
Le coach intervient ensuite pour clarifier, dégager le chemin, valoriser, cultiver le positif, aider à relever et à avancer, accompagner sur ce nouveau chemin.
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INSPIRATIONS : Tony Robbins (vivez votre vie, ne vivez pas la vie des autres), Steve Andreas (libération par les ressentis), Brene Brown (Vulnérabilité), Mooji et Eckart Tollé (vous n’êtes pas vos émotions), Grinder et Bandler (PNL)
PNL est un modèle pour utiliser nos talents naturels pour réaliser un tas d’objectifs personnels.
Notre système nerveux (N) est un filtre du monde. Selon que nous utilisons ce filtre, nous serons capables de percevoir un grand nombre de possibilités , ou alors dans d’autres états, nous ne verrons pas grand-chose. Mon job est faire en sorte de mener mes clients dans un état génératif c’est à dire créatif, innovant, de créer la vie qu’on désire. On utilise le langage (L) pour déprogrammer et reprogrammer (P) les croyances limitantes. En somme, la PNL c’est d’utiliser le Langage pour Programmer notre système Nerveux pour générer la réalisation de nos objectifs.
la PNL c’est mener la personne sur son propre chemin du succès.
La bible débute par » au commencement était le Verbe « ; La particularité de l’humain est d’avoir un langage qui va au-delà des significations concrètes, notre langage est multiple et souvent non verbal. Nous communiquons sans mots, comme les animaux, mais nous communiquons également avec des langages complexes.
Les personnes qui ont le plus de succès n’ont pas seulement des mots, mais des images, une représentation sommatique de ce qu’ils veulent. L’objectif n’est pas quelque chose d’extérieur, ni quelque chose qu’on veut atteindre, mais c’est à l’intérieur, on le vie, on le rêve, on le dort, et ça active l’inconscient créatif. Car le mental est limité.
Il y a deux moyens de modeler
La première est l’approche consciente en posant des questions. Quels sont tes objectifs ? Les as-tu atteints ? que fais-tu pour les atteindre ? Que se passe-t-il quand tu rencontres des obstacles ?
L’autre manière de faire de la PNL c’est la double dissociation : la première position est quand on est dans ses propres chaussures, la deuxième position c’est quand on se place dans la peau d’une autre personne (l’ami dans la colonne de gauche du carré magique), la troisième position c’est celle d’une observation plus éloignée, (l’inspirateur dans la colonne de droite du carré magique)
La manière la plus rapide pour arriver à un résultat est d’associer les deux méthodes pour les combiner : poser des questions « conscientes » aux différentes parties de la dissociation.
Notre monde où d’autres nous apportent l’information et la distraction, nous ne créons plus notre réalité par nous-même.
Il y a différents niveaux logiques
L’environnement, c’est quand et où ?
Le comportement : ce que je fais ? Physiquement.
Les capacités : ce que je sais faire ? il y a là un aspect cognitif, mais aussi émotionnel.
Les croyances et valeurs : une croyance n’est pas juste ce que je comprends, c’est plus profond et cela touche au sens de ce que je fais : pour quelle raison, quel est le sens ? Et donc cela touche la motivation, le motif à l’action. C’est ce qui est à l’intérieur. C’est les talents naturels versus les compétences (capacités). Ce qui distingue ceux qui ont du succès n’est pas leurs capacités. Il y a beaucoup de personnes très intelligentes, mais beaucoup ne croient pas en eux, ou ils ne croient pas en ce qu’ils font, ils ne font pas leur, intérieurement, ce qu’ils font. La foi est probablement le facteur le plus important dans le succès.
Identité ; Who : qui suis-je ? quelle mission je remplis dans le monde ? Ce n’est pas le rôle (de père, de scientifique, d’ami). Certaines personnes croient qu’ils SONT (les programmes de) leurs croyances. Et pensent que c’est normal d’être limité. Nous sommes bien plus que nos croyances ! On est programmés par les parents, par l’école, par tout notre environnement.
La particularité des génies est qu’elles et ils font partie de quelque chose de plus grand, plus globale, au travers de moi. Dans nos moments de génie, nous sentons que ce qui se passe n’est pas conscient, ça coule de source, ça semble venir de nulle part, c’est une inspiration (in-spirit, in-spirituel), et l’inspiration vient au travers de soi. Tout le monde peut atteindre cet état.
Coaching : c’est croire en ce qu’on veut avant qu’elle ne soit réalisé. Ce qu’une personne croit s’inscrit dans les neurones. Les neurones vont créer la réalité dans le corps et dans le coeur et les croyances vont descendre dans le comportement pour créer la réalité qui correspond à la croyance. En coaching génératif, ce n’est pas seulement un objectif atteint, mais de nouvelles choses émergent sont créées.
Intention : c’est une direction, une exploration (le chemin du bonheur), c’est l’ambition L’objectif : C’est la destination, c’est le résultat (le bonheur est le chemin), c’est la nourriture qu’on veut donner au monde. On peut être dans le succès sans être heureux, si ce qu’on fait ne nourrit pas.
Une femme a un cancer du sein, et croit que c’est une fatalité, car sa mère et sa soeur ont eu un cancer du sein. Elle respecte une loyauté familiale, et ne veut pas trahir la tradition. Voilà l’intention positive. Ok c’est une belle intention de respecter les héritages familiaux, mais est-ce le cas pour tous ? En lui demandant si elle veut aussi léguer cet héritage à sa fille, et donc que sa fille développe aussi un cancer du sein, elle se rend compte que non ! bien sûr que non ! quelle idée ! Déjà à ce moment, une prise de conscience a lieu. Ensuite on peut mettre en oeuvre : que peut-elle faire pour ne pas développer de cancer du sein ? Comment compte-t-elle annuler la croyance ? Est-elle ouverte à un travail psy pour prendre conscience qu’il s’agit d’une croyance qui descend dans le corps, et aussi que ce cancer n’est pas automatique ? ….etc…
Cette femme a ensuite pris conscience des limitations qu’elle avait et a libéré son potentiel. Déjà âgée elle est devenue actrice et a réalisé le rêve de sa vie, elle vivait son rêve. Elle disait alors que son cancer était la meilleure chose qui lui soit arrivée : le cancer était le même, mais c’est ce qu’elle en a fait qui était différente.
Traitement exemple : Je veux apprendre à bien parler Anglais
– Je le veux : c’est important, ce n’est pas en dernière position, c’est vraiment quelque chose que je veux
– C’est possible
– C’est approprié pour moi (c’est écologique)
– Je suis capable, je le mérite
– Je suis responsable de le faire
noter les éléments les plus faibles.
Ensuite : (Comme l’idée est abstraite) Faire la projection (l’objectif atteint) dans les submodalités du VAKOG : quelle image mentale, comment ça se manifestera dans le corps, les sons …
Ensuite : avec le carré magique, messages + les submodalités des ressentis. Et à l’instant, sans réflechir, quelles sont les différences principales dans le ressenti du personnage et la personne ? où dans le corps, dans la vision etc (VAKOG) : nommer les différences nommer les submodalités.