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Developpement de mon Coaching

Au 12/12/21

 

l’humain au centre de ma pratique : Ce qui compte c’est l’humain, les techniques et thérapies sont des outils. La meilleure technique du monde ne peut rien si l’humain n’est pas présent, ouvert, réceptif.  Voir : lire Carl Rogers, Dilts et quels autres ?

Me Spécialiser :

Coaching et développement de l’Être : estime, confiance, valorisation, alignement; Comment ? Processus d’accompagnement + techniques PNL de valorisation et de rectification des processus limitants. Quand ? tout de suite ? Quoi ? Vidéo ? avec qui ? Associations, tel à JM

Coaching et santé avec la PNL :  les acupuncteurs font circuler l’énergie, les techniques émotionnelles libèrent les émotions bloquées, je veux amener la personne à changer le comportement qui l’amène à générer à nouveau des blocages, les mêmes ou d’autres. Ca peut devenir une spécialité.

Coaching et émotions : PNL : les maladies chroniques sont d’origine émotionnelle. Les émotions coupent la circulation de l’énergie. Quel est le but ici ? : libérer les émotions. Comment ? Psycho-Bio-Acupresure : apprendre !
oui, ça a de la valeur ! ça a de la valeur de faire monter le positif chez une personne ! ça a de la valeur de l’amener à ses propres talents, valeurs, solutions, son propre chemin ! Ma valeur, c ‘est d’abord ça ! Et plus je sais faire cela, plus je suis un meilleur coach !

Coaching Sylvatique : Pourquoi ? parce que j’aime la nature ! Formation avec l’ICA ? Quel est le contenu ? … quand ? : le Samedi : ok, et quelle anéne : saisons ? printemps été 2022 ?  combien ça coute ?

– la CNV : Comment ? pratiquer, intégrer, simplifier, rendre accessible. par les exemples…à développer. Pourquoi l’emmener dans mon coaching ? Parce que ça peut vraiment aider mes coachés à communiquer mieux avec l’extérieur, à formuler d’autres accords.

– les Accords : écrire, diffuser, vulgariser.

 

Les 4 Quadrants de la Vision Intégrale – Ken Wilber

partiellement tiré de : integralia.be

 

4 Quadrants (AQAL – All Quadrants All Levels) qui constituent la synthèse de la théorie.

Ainsi un fait ou un événement peut être vu selon différentes perspectives :

1) Du point de vue Subjectif-Individuel [JE] : ce qu’un individu ressent par rapport à quelque chose, comment est-ce qu’il interprète cela ?, quel sens donne-t-il à CA ?

2) Du point de vue Objectif-Individuel [CA] : nous sommes là dans le concret, ce qui est palpable, ce qui se passe objectivement d’un point de vue physique/chimique/neuro-cognitif, ce qui est mesurable, ce qui est « scientifiquement prouvé » (ou validé selon des processus solides et fiables).

3) Du point de vue Subjectif-Collectif [NOUS] : il s’agit de la symbolique d’un événement ou d’une info au niveau « micro-collectif » (famille, communauté, nation, ethnie, tribu, …), l’interprétation qui est donnée à travers le prisme d’un ancrage culturel (forcément inconscient, et forcément subjectif), et le sens qui est collectivement donné.

4) Du point de vue Objectif-Collectif [EUX] : nous sommes là dans le « macro-collectif », dans ce qu’on pourrait appeler « la civilisation » ou encore « le Système », c’est-à-dire les normes en vigueur communément admises, ou encore La Loi. C’est le socle commun objectif qui structure une société. Un paradigme.

 

un événement factuel [quadrant II] peut provoquer un ressenti particulier (et subjectif) chez un individu [quadrant I], ce dernier adoptera des comportements [quadrant II] (1) conformément à son éducation, son milieu social, son appartenance ethnique (valeurs ancrées) [quadrant III]. Mais il doit aussi réguler son ressenti, ce qu’il vit, et la façon dont il réagirait spontanément, au regard des normes sociales en vigueur, selon les procédures « communément admises » (2) [quadrant IV]

 

 

(1) Un autre individu recevra l’information d’un point de vue factuel [Quadrant II], en développera un ressenti subjectif personnel [Quadrant I], etc. Voilà comment ces quatre Quadrants définissent une complexité en mouvement perpétuel aussi d’un seul paradigme.

(2) Exemple : dans nos pays (en Occident) on ne se fait pas justice soi-même. Ce qui peut être totalement différent au sein d’un autre type de société. Il ne s’agit pas de porter un jugement sur d’autres modes de fonctionnement, mais bien de comprendre comment les sociétés se structurent et fonctionnent ; et comment les individus y prennent leur place [anthropologie et sociologie]. Mais aussi comprendre comment les individus peuvent potentiellement développer des névroses (voire des pathologies) dans un cadre et un contexte systémique et écologique. Tel est l’intérêt (un intérêt parmi d’autres) de la Vision Intégrale dans une démarche de coaching.

 

 

 

LA PHILOSOPHIE DE LA PNL – Postulats de base

LA PHILOSOPHIE DE LA PNL  – Postulats de base

Notre vision du monde n’est pas le monde (la carte n’est pas le territoire).

Chaque modèle du monde est unique.

Il n’y a pas de modèle du monde plus « vrai », mais certains sont plus aidants que d’autres.

Si c’est possible quelque part dans le monde, c’est également possible pour moi.

(Ceci ne signifie pas que je suis prêt ou prête à mettre l’énergie et le temps nécessaire pour réaliser ce dont il s’agit).

Les limites sur lesquelles nous butons ne sont généralement pas dans le monde mais dans la représentation que nous en avons.

Mieux vaut savoir comment « ça marche » plutôt que pourquoi « ça ne marche pas ».

 

« Vision de l’être humain »

Plus on a de choix, mieux cela vaut (la PNL est un modèle d’addition de choix plutôt que de soustraction d’un problème).

Chacun de nous possède les ressources nécessaires pour évoluer, atteindre des objectifs ou résoudre des problèmes.

Lorsqu’une personne ne dispose pas des ressources dont elle aurait besoin, elle possède la capacité de les acquérir.

Il n’y a pas d’échec, seulement un feed-back qui permet d’apprendre et de rectifier. L’erreur est donc une étape sur le chemin de la réussite.

Quel que soit le comportement manifesté, il a une fonction positive.

 

« Vision des relations »

Une attitude de confiance et de respect vis-à-vis de soi-même et d’autrui est l’attitude la plus utile pour établir et maintenir une relation constructive et atteindre ses objectifs.

C’est notre interlocuteur qui donne son sens aux messages que nous émettons.

Chaque fois que c’est possible, il vaut mieux se situer dans un cadre de coopération plutôt que dans un cadre de compétition.

La Technique du Seuil de tolérance – PNL

La Technique du Seuil de tolérance

Indications :

  • Nous devons ce modèle à Robert Dilts. Il permet de traiter la relation lorsque le seuil est franchi sans que la personne soit capable de prendre une décision claire.
  • Un seuil insupportable, inacceptable est dépassé. Une « goutte » d’eau a fait déborder le vase. Pour le sujet, une valeur capitale a été heurtée, baffouée.

 

             But :

  • Rétablir le confort du sujet en éliminant la réponse indésirable.
  • Cette technique a montré son efficacité dans les relations au sein de l’entreprise, du couple…
  • Il peut être parfois difficile de la mettre en oeuvre seul, l’aide d’un coach qui jouera le rôle de « facilitateur » peut être réellement bénéfique.

 

  1. Trouver la goutte d’eau. Rechercher l’origine du conflit. Quelle est la « goutte » d’eau qui a fait déborder le vase ?

* Demander au sujet de retrouver l’expérience qui a fait  » déborder le vase « .

* Lui faire raconter cette expérience.

* S’il est associé, il est utile de le laisser exprimer son émotion.

A quel moment cela s’est-il produit ? Revivre cet instant en faisant revenir le ressenti du moment : « c’est l’état interne. »

Concrètement : Il est important de revivre cette situation, pour se « rebrancher » sur les émotions du moment.

 

  1. Dissocier (Prendre de la distance.)

* Guider le sujet pour qu’il regarde la scène  » de loin « , du point de vue d’un observateur extérieur.

* Le sujet déroule cette scène jusqu’au seuil, en s’arrêtant juste avant celui-ci, avant qu’il ne prenne la décision qui fait basculer tous les critères du côté négatif.

Concrètement : Faites comme si vous étiez un observateur extérieur, neutre.

Que voyez-vous? Décrivez la scène en parlant de vous comme si vous étiez une autre personne: si vous êtes Pierre: « je vois Pierre qui est en face de … »

 

  1. Rechercher les critères. Quel est le point sensible que le partenaire a touché ?

* Quels sont les critères importants et les valeurs qui ont été « bafoués » de façon plus ou moins répétitive?

* Quel est le critère essentiel – pour maintenir une bonne relation qui, de façon répétitive, ont été violés jusqu’à l’expérience de seuil.

* En effet, c’est souvent la répétition qui fait atteindre le degré d’intensité considéré comme inacceptable.

* Noter les équivalents comportementaux de chaque critère : ce qui montre ou prouve que le critère a été violé.

Les critères et les valeurs sont ce qui est important pour nous, les valeurs se situant à un niveau hiérarchique plus élevé.

Exemple de valeurs: La liberté, l’honnêteté, la tolérance, la justice, l’amour, la fidélité…Je vous laisse rechercher vos propres valeurs.

 

 

  1. Introduire un doute

* Le guide recherche l’équivalence de comportement qui a provoqué l’expérience de seuil pour induire du doute et de la flexibilité ; demander des réponses précises.

* Reprendre chaque équivalence de critère et introduire un doute en procédant par recadrages successifs :

* – Se peut-il que X ne prouve pas Y ?

* – Y a-t-il une façon de justifier ou de comprendre ce que l’autre a fait en introduisant l’idée de boucle de rétroaction :

Est-ce que ça peut être acceptable de… ? Est-ce que tout le monde réagirait comme toi… ? Pourrais-tu réagir autrement ?

Et si ce qui est important pour moi n’avait pas la même importance, la même signification pour l’autre ?

Serait-il possible que ta réaction à son comportement soit excessive ou, d’une certaine manière, injustifiée ?

  1. Motiver en changeant de perspective. Se mettre à la place de l’autre

* Établir la liste de ce que la personne a fait de bien. Qu’est-ce que cela montre de positif. Quels sont les critères et les valeurs que cela satisfait.

* Répertorier les comportements du partenaire qui sont des équivalents positifs pour chaque critère important.

* Apprendre au sujet à modifier son attitude de façon à susciter chez le partenaire des comportements désirables prouvant que le critère est bien satisfait.

* Augmenter, par des recadrages, la tolérance du sujet en élargissant le champ de ce qui est acceptable et en augmentant son choix de critères.

Je me mets à la place de la personne avec laquelle le conflit est apparu (je suis lui ou elle). Je lui attribue une intention positive, quelque soit la difficulté que vous éprouvez à faire cela, c’est indispensable de « jouer » le jeu. Et si X voulait quelque chose de bien, qu’est-ce que ce serait ?

  1. Déterminer l’état désiré

* Faire visualiser la scène de seuil telle que la personne aurait voulu qu’elle se déroule ( état désiré ).

* Demander au sujet si cette construction est réaliste.

* Vérifier l’écologie pour le sujet et la relation, et faire les ajustements appropriés.

Qu’est ce que je veux à la place?

C’est ce que nous appelons l’état désiré (ED) par opposition à l’état présent (EP) qui est la situation conflictuelle.

  1. Ancrer les ressources nécessaires

* Pour que la scène se passe de la façon souhaitée. Je visualise la scène. Je vis en imagination la scène telle qu’elle se présente dans la phase précédente, on dit que l’on s’associe à la situation (ED)

  1. Comparer les deux futurs possibles

Demander au sujet de visualiser deux avenirs possibles :

* Que serait le futur s’il découle de l’expérience négative ?
* Que serait le futur s’il découle de l’expérience transformée et si le sujet utilise les ressources qu’il possède maintenant consciemment ?

 

  1. Changer l’histoire de la relation

Faire un changement d’histoire de la relation :

* Demander au sujet de repartir au tout début de la relation puis le faire « grandir » jusqu’au présent avec les nouvelles ressources, les modifications de critères et d’équivalents comportementaux.

Une nouvelle histoire…Reprendre les « choses » à zéro fort de tout ce qui vient d’être dit…

  1. NB

Cette technique peut être utilisée sur différentes scènes « seuil ».

Plusieurs facteurs permettent de modifier la perception de la relation : reconsidérer les critères et leurs équivalents, modifier certaines attentes, élargir ses choix, mieux comprendre le principe de l’interaction et savoir mettre en œuvre les ressources nécessaires.

Grâce à la modification des échanges avec l’autre, il est alors possible de mettre en place de nouvelles bases pour faire renaître la relation.

Le recadrage en six points

« Le recadrage en six points »

1ère partie : Créer les conditions de la réussite.

Buts :

  • Conduire la réconciliation préalable à toute autre intervention entre le sujet et la partie de lui qui l’empêche d’agir comme il voudrait le faire.
  • Trouver la fonction positive d’un comportement jugé indésirable.

 

  1. Identifier le comportement à changer

« A » identifie un problème du type:

« Je voudrais faire X mais je ne le fais pas ». Exemple: ranger mon bureau.

ou « Je ne veux pas faire X mais je le fais tout de même ». Exemple: manger deux gâteaux à la suite.

ou « J’ai un problème psychosomatique ». Exemples: migraines, douleurs, maux répétitifs, etc.

 

?>           2. Identifier les responsabilités, créer des conditions favorables

« B » Définit le problème en terme de « parties » de la personnalité;

Établit la différence entre la partie responsable du comportement et le comportement;

Postule une fonction positive de la partie responsable du comportement;

Explique qu’il y a toujours plusieurs comportements susceptibles de satisfaire la fonction positive.

S’assure au fur et à mesure que « A » accepte ces différents postulats en calibrant.

 

                 ?>           3. Reconnaître et interroger la partie responsable du comportement

  • « B » vérifie que le cadre ainsi posé permet à « A » d’envisager différemment la partie responsable du comportement, de lui accorder sa considération et, ainsi, de pouvoir lui demander son intention positive, « amicalement », avec congruence.

« Veux-tu remercier cette partie, non pour le comportement mais pour la bonne intention, quelle qu’elle soit ? »

  • « B » invite « A » à être attentif au signal interne qui signifie pour lui que la partie est bien présente, à l’écoute (signal « oui »).

Si « A » est d’accord pour remercier, « B » lui demande d’interroger la partie responsable du comportement « quelle est ta fonction positive? ».

« A » se centre sur lui-même, attentif à la présence de cette partie, pose la question et note la réponse .

* On peut parler de « fonction positive » ou de « bonne intention », « rôle à jouer », « message intéressant », en fonction de la calibration.

Quelle que soit l’expression utilisée, on n’acceptera que des réponses jugées positives par la personne elle-même.

Il n’y a pas de parties dont le rôle est de « saboter » le sujet !

 

                                2ème partie : Trouver de meilleures solutions pour satisfaire l’intention positive    

Buts :  Changer le comportement indésirable en adoptant un ou des comportements mieux adaptés, tout en continuant à satisfaire pleinement la fonction positive du comportement d’origine. »B » guide »A »

 

?>           4. Solliciter la partie créative pour disposer de nouvelles options

Maintenant, demande à la partie créative qui est en toi si elle est d’accord pour coopérer …

Si elle est d’accord, demande-lui de t’envoyer un signal … Demande-lui de te fournir d’autres solutions.

Des solutions qui marcheraient au moins aussi bien, si ce n’est mieux pour satisfaire l’intention positive.

Cela ne veut pas dire que la partie responsable du comportement aura à accepter ces solutions.

Pour l’instant, il s’agit seulement de les chercher.

Quand cette partie t’aura donné au moins trois solutions, fais-moi signe.

 

  1. Mettre en application les nouvelles options

Remercie la partie créative et reprends contact avec la partie responsable du comportement incriminé. Demande-lui :

  • premièrement si elle considère que ces solutions sont appropriées. (Attendre le signal « oui »).
  • deuxièmement si elle est d’accord pour utiliser elle-même ces solutions à l’avenir.

Pour la rassurer, propose-lui de mettre les solutions à l’essai pendant un certain temps (un mois ou plus selon la nature du comportement)

puis de les adopter définitivement si cela lui convient. (Attendre le signal « oui »).

 

  1. Vérifier l’écologie des solutions envisagées

Maintenant, nous allons nous assurer que ces nouvelles solutions sont bien acceptées par toutes les parties de toi.

Demande s’il y a une ou plusieurs parties qui pourraient ne pas être d’accord pour mettre ces options en application.

Si une partie se manifeste, il est nécessaire de l’identifier.

On reprendra alors la procédure à partir de la troisième étape, c’est-à-dire que l’on demandera à la partie qui se manifeste quelle est son intention positive.

On peut aussi, par exemple pour des raisons de temps, écarter la solution qui ne fait pas l’unanimité en gardant les autres.

Terminer en proposant au sujet de s’imaginer, dans l’avenir, en train d’utiliser les nouvelles options: tu peux maintenant, consciemment ou non, balayer plusieurs circonstances, plusieurs contextes de ta vie future, où tu es en train d’utiliser ces options nouvelles qui répondent entièrement à … (citer la fonction positive) et ce de façon pleinement satisfaisante.

Coaching Génératif en entreprise

le leader doit être concentré et équilibré.  Les leaders qui réussissent ont confiance en leurs capacités, mais surtout en celles des membres de leur équipe.  les bons leaders ont un réel enthousiasme pour l’entreprise, ses produits et sa mission.
L’influence sur les autres est une caractéristique des bons dirigeants, mais qu’elle nécessite d’établir une relation de confiance avec les gens. Il est recommandé de chercher à comprendre leurs motivations.
objectifs clairs et concrets qui profiteront à l’organisation. Être visionnaire, c’est gérer l’évolution tout en équilibrant la stabilité et la croissance.Vous devez intégrer de nouvelles approches sans vous laisser distraire des objectifs principaux.

Quels sont les principaux outils du Coaching Génératif ?

Dans les sujets avancés sur les ressources humaines, il est défini que les outils d’appui tels que les techniques, les rapports et les cartes utilisés par le responsable pour aider à atteindre les objectifs définis par la clientèle coachée.
Ils servent à comprendre la situation actuelle du client, à suivre son mécanisme d’évolution et à évaluer les résultats du déroulement.

les principaux outils de l’appui, qui s’appliquent également à la méthodologie du coaching génératif
Roue de la valeur : dans cet outil, le formateur interroge le coaché pour définir ses valeurs. Certaines des questions utilisées comprennent une réflexion sur les objectifs. Il doit aider son client à découvrir les valeurs qui se cachent derrière ses objectifs pour l’aider à les atteindre.

Limiter les croyances ; cet outil est très utile dans le cadre du coaching génératif car, comme vous l’avez vu, l’élimination des croyances limitantes est essentielle pour la progression de l’individu. Lors de l’application de l’outil, l’entraîneur pose des questions à la clientèle coachée afin d’identifier les croyances qui entravent la croissance.
Des questions telles que ce qui l’empêche d’atteindre ses objectifs, ce qu’il considère comme ne pouvant pas changer lui-même et s’il se considère capable d’atteindre les objectifs sont posées.
À partir des réponses, il est possible de dresser une carte des croyances limitantes et d’en comprendre les causes, ce qui incite la clientèle coachée à y réfléchir.
Le coach aide ensuite la personne coachée à renoncer à ses croyances, à modifier le sens des mots ou des sentiments qui entravent la performance.

Journal de bord : c’est un outil simple, mais il doit être utilisé quotidiennement par l’individu coaché. Cela consiste à noter, dans un carnet, des réflexions sur la journée, en répondant à des questions. L’utilisation du journal de bord aide l’individu coaché à créer sa propre réalité à partir d’un état d’esprit positif et de réflexions constructives. Elle permet également de se résigner aux mauvais événements et aux échecs et d’exercer sa gratitude.

 

Les Croyances   Définitions et caractéristiques

  « Les Croyances »    (Définitions et caractéristiques)

 

 

Qu’est ce qu’ une croyance ?

Les croyances sont des affirmations personnelles que nous pensons vraies. Ce sont des interprétations à propos de ce que nous avons perçu de nous-mêmes, des autres et du monde.

La structure linguistique d’une croyance est l’équivalence (X = Y) ou la cause/effet (X => Y).

Il est important de faire la différence entre les faits (VAKOe) et l’opinion que nous formons à propos de ces faits qui est une croyance.

Une croyance est une opinion, elle n’est donc ni fausse ni vraie dans l’absolu. Elle est vraie pour nous à un moment donné. Le consensus entre plusieurs personnes à propos d’une croyance ne prouve pas sa véracité ( la terre a été considérée comme plate pendant de nombreuses années ).

 

Quel est le rapport entre croyances et modèle du monde ?

Notre modèle du monde est constitué de l’ensemble de nos croyances, organisé en un système qui tend vers la cohérence. Ainsi nous acceptons ou nous refusons une nouvelle croyance après avoir testé (en général tout à fait inconsciemment) sa compatibilité avec notre modèle du monde tel qu’il est à ce moment-là.

Une fois qu’une personne a adopté une croyance, elle a tendance à la généraliser et à la valider en filtrant ou en déformant ce qui ne concorde pas avec elle.

La croyance sera ainsi perpétuée et considérée comme « vraie », même face à des contre-exemples observables (c’est l’exception qui confirme la règle) .

La cohérence de notre modèle du monde est ainsi maintenue mais la généralisation limite nos choix. Plus la généralisation est large, plus elle est limitante.

On comparera les exemples suivants : • ma sœur a fait quelque chose de stupide • ma sœur est stupide • les filles sont stupides

Qu’est-ce qu’une règle ?

Une règle est une forme particulière de croyance qui porte sur ce qu’il convient de faire. Ainsi, on peut distinguer deux sortes de croyances :

Celles qui portent sur ce qui est : « les garagistes ne sont pas fiables ».

Celles qui portent sur ce qu’il faut faire s’il en est ainsi: « il faut vérifier leur travail ».

Seules les croyances généralisées sur ce qu’il convient de faire sont des règles : « Il faut (toujours) se méfier des chiens que l’on ne connaît pas ».

Une croyance sur ce qu’il faut faire, si elle est attachée à un contexte ponctuel, n’est pas une règle : « Il faut que je fasse les courses (aujourd’hui) ».

Quelle est l’influence de nos croyances ?

Nos croyances constituent une base de données pour nos interprétations, nos décisions, nos états internes et nos comportements.

Ces décisions, sentiments, comportements, choix, ne peuvent être compris qu’à la lumière des croyances qui les ont motivées.

Certaines croyances sont plus importantes que d’autres. Celles auxquelles nous tenons le plus et qui exercent la plus forte influence sur nous sont celles qui concernent les niveaux logiques supérieurs : le sens que nous donnons à notre vie, notre identité et nos valeurs.

Nos croyances évoluent-elles ?

Notre modèle du monde évolue néanmoins et nous révisons de temps en temps nos croyances en effectuant les « ajustements » nécessaires pour que le système évolue en restant cohérent. La plupart de ces ajustements sont faits à un niveau inconscient. Cette révision est indispensable pour nous permettre de conserver notre souplesse et de nous adapter.

Lorsque nos croyances sont rigides et inadaptées, nous rencontrons des difficultés dans le domaine qu’elles concernent. Il est donc utile de faire le nécessaire pour les modifier. (La PNL propose plusieurs techniques pour changer les croyances).

Comment se forment nos croyances ?

Pour être en mesure de faire face aux diverses circonstances de son existence, l’enfant doit attribuer un sens à ce qu’il observe et prendre des décisions sur ce qu’il convient de faire dans telle ou telle circonstance.

La mise en place d’une croyance et/ou d’une règle peut se faire de différentes façons :

 

Par adoption des croyances culturelles et familiales, c’est-à-dire par répétition.

En réaction à une seule expérience si celle-ci a un impact suffisamment fort (positif ou négatif).

Suite à des expériences répétitives produisant un effet cumulatif (si, trois fois de suite, il pleut lorsque je vais en Normandie, je peux en déduire qu’il y pleut toujours !).

Par une combinaison de ces différents moyens.

 

De même, un changement de croyance et/ou de règle peut se faire par des moyens variés, en une seule fois ou progressivement par répétition.

 

Une croyance peut-être contextualisée ou généralisée.

Notre modèle du monde est constitué de l’ensemble de nos croyances généralisées à propos de nous-mêmes, des autres, du monde de la vie en général.

Plus la croyance est généralisée, plus elle limite les choix de la personne concernée.

Toute croyance fait partie d’un système de croyances qui tend vers la cohérence. Ce système a tendance à s’auto-valider.

Deux croyances contradictoires peuvent cohabiter chez une même personne si elles font partie de sous-systèmes (ou parties) qui ne sont pas activés dans les mêmes circonstances.

C’est la croyance qui détermine l’état interne ressenti et le comportement mis en place.

On ne change pas la croyance de quelqu’un, on peut seulement créer des conditions favorables et il va (ou non) la changer lui-même.

Tout changement passe par un changement de croyance ou y aboutit

Mécanismes de construction de la réalité PNL LES TROIS FILTRES

« LA CONSTRUCTION DE NOTRE RÉALITÉ »
Il y a une différence entre le monde et notre modèle du monde :
la carte n’est pas le territoire.
Notre modèle du monde constitue notre représentation de la réalité, notre vision du monde, notre cadre de référence.
LES TROIS FILTRES
Trois séries de filtres : neurologiques, culturels et personnels s’interposent entre la « réalité » et l’expérience que nous en avons.
Filtres neurologiques

L’univers tel qu’il nous apparaît par l’intermédiaire de nos sens résulte des structures propres à notre cerveau et à notre système nerveux.
Cette organisation est déterminée génétiquement et est particulière à chaque espèce.
La réalité telle qu’elle nous apparaît est donc déjà une création humaine.
exemples : Notre monde n’est pas celui de la mouche, du poisson ou du chat. Nous nous inspirons de ce que perçoivent les animaux pour à notre tour élargie notre réalité. Avant l’invention des techniques, nous ne savions pas distinguer les ultra-sons par lesquels se dirigent les chauve-souris, et la maitrise de ce langage nous permet d’accroitre notre connaissance du monde, et le monde nous apparait de manière différente, plus large.

Mais ceux qui viendront après nous vont eux aussi inventer, c’est à dire découvrir, de nouvelles manières de percevoir le monde, donc de le concevoir.

Il faut dont faire attention à ne pas être trop définitif quand on définit la réalité…

Filtres culturels
Par ses mythes, ses valeurs, ses croyances et son langage, le large groupe humain auquel nous appartenons nous offre une vision particulière du monde, la sienne. Notre vision du monde n’est pas celle des Papous ou des Esquimaux du Groenland.Exemples :
Filtres personnels
Le milieu dans lequel nous avons vécu, l’éducation que nous avons reçue, l’influence exercée par nos parents et les grandes personnes importantes, les multiples expériences vécues enfant puis adulte ont influencé notre façon de concevoir les choses de manière particulière.
Consciemment ou non, chacun se fait une certaine idée de sa valeur et de celle des autres, ainsi qu’une idée sur ce qu’est la vie et sur ce qu’il peut en attendre.
Chaque histoire de vie est unique.exemples :
1. Notre vision du monde n’est pas le monde
2. Cette vision varie d’un individu à l’autre

C’est dans une large mesure l’idée que nous nous faisons du monde qui détermine notre perception et notre expérience de celui-ci,
ainsi que les choix qui nous sembleront à notre portée et que nous mettrons en oeuvre.

 

Comment se positionner en tant que coach professionnel

extraits de  deux articles :

https://www.institut-repere.com/info/le-metier-de-coach-professionnel-enjeux-et-strategie/

Comment se positionner en tant que « coach professionnel » ?

Il y a trois grandes stratégies pour sortir du lot :

  1. Développer des compétences « uniques »
  2. Développer une « image » unique pour une cible « unique »
  3. Développer une relation « unique »

Développer des compétences « uniques »

Un coach peut se distinguer par son approche, sa méthodologie, son efficacité, la spécialisation dans certains sujets.

Quelques exemples :

  • Coach de vie : accompagner des personnes qui vivent des situations personnelles difficiles et qui ne souhaitent pas rentrer dans une démarche thérapeutique.
  • Coach en entreprise : accompagner des personnes dans les organisations qui doivent faire face à des défis professionnels, des limites de leur fonctionnement
  • Coach d’équipe : accompagner des équipes dans le développement de leur intelligence relationnelle et collective.
  • Coach de processus ou facilitateur : accompagner des réunions, des processus d’amélioration continue… par exemple, un de nos participants se positionne comme « réuniologue ».
  • Coach spécialisé : aborder un aspect de l’existence humaine. Une de nos formatrice, France Doutriaux, développe des coachs qui accompagnent la réussite d’une épreuve, ou des coaches qui abordent les vécus émotionnels douloureux, un de mes amis est devenu « timidologue », …

Coach dans quoi ? : Individuel, Sujets : Emotions, Maladies, Dépression, mal-être, relationnel.

 

Développer une image « unique » pour une cible unique

Le coach peut également se démarquer par son « marketing » ou travailler son image. Il ne s’agit pas ici de jouer un rôle mais bien de se positionner en fonction de ce qui est notre « essence » notre identité profonde.
VOIR le livre Carol Pearson (son ouvrage en anglais « The Hero and the Outlaw »)  positionnement de « marque ».
Par exemple, l’archétype Hors-la-loi (exemple de marque : Harley Davidson ; exemple d’artiste : Serge Gainsbourg) s’adresse à des personnes qui sont en rébellion avec le système et cherchent à se démarquer par un côté choquant, dérangeant.  Un coach qui s’adresserait à ce genre de public, serait lui-même dans cette démarche et attirerait des personnes qui cherchent à trouver leur place, à choquer positivement, à transformer le système en devenant des leaders atypiques.
Il est donc indispensable pour le coach d’identifier son public-cible et de vérifier si ce public est sensible à sa nature propre de coach.

Moi : Tutoyer les clients. Me présenter calme, zen, grand et apaisant. Public cible : individuel, en quête de sens, en quête de rassurance, en quête de changement profond.

Développer une relation « unique »

L’accueil, le rapport, le cadre de sécurité, l’environnement, le degré d’authenticité, le niveau de pleine conscience ou de présence à l’autre sont des ingrédients qui permettent d’être unique dans sa proposition d’accompagnement.    OUI c’est moi
Dans ce cas, le coach n’a au fil du temps plus besoin de se positionner car le cadre relationnel est un axe très fort de développement.  L’expérience unique que le coach offre à ses clients est souvent partagée à d’autres, voire conseillées à d’autres.  Les clients deviennent ainsi des prescripteurs pour le coach.  Le bouche à oreille fonctionne très bien.

 

Coachs, qui vont être vos clients

ttps://www.institut-repere.com/info/comment-trouver-ses-clients/

(ajouter un h devant l’adresse)

La démarche marketing consiste à faire savoir l’existence d’un produit ou un service spécifique, auprès d’une cible bien identifiée. La démarche de vente consiste à obtenir une décision d’achat de la part des personnes considérées comme « cibles ».

Ces deux démarches nécessitent une pensée stratégique questionnant de « comment faire » pour capter l’attention d’une population cible et favoriser des décisions d’achat. Sachez cependant qu’il est impossible de répondre à la question du “comment faire” si vous n’avez pas répondu au préalable à la question du “Qui vont être vos clients ?”

Vos clients vont probablement vous choisir non pas à partir de ce que vous leur racontez de vos talents de coach, mais plutôt à partir de la manière de dire les choses, à partir de votre niveau de congruence et de ce qui « transpire de vous ». Avec l’expérience, on se rend vite compte que le premier outil et argument de vente du coach est le coach lui-même.

Au fait qu’elle est votre vraie valeur ajoutée ? Pouvez-vous en parler facilement ? Qu’avez-vous d’unique à proposer à vos clients ? Savez-vous mettre à jour et expliquer vos stratégies inconscientes de réussite ?  Pourriez-vous décrire en quelques mots vos mécanismes d’excellence, avec ce que vous faites bien et avec bien plus de facilité que les autres ? Avez-vous identifié les mécanismes d’action qui vous rendent unique et que vous mettez sans cesse en œuvre pour aboutir à des résultats que vous considérez comme satisfaisants ?

Quels sont me mécanismes d’excellence ?  La croyance en l’existence cachée (ou tout simplement inconsciente) en vous de mécanismes d’excellence méconnus, et d’autre part la présence d’une personne capable de vous aider à mettre à jour ces mécanismes. Qui pourrais-je aider au mieux avec mes mécanismes d’action ? Pour qui puis-je être un modèle ? La connaissance de votre singularité vous permet de la proclamer et de donner une chance à ceux qui en ont besoin de vous trouver. Vous n’êtes plus le coach de tout le monde mais uniquement de ceux que vous êtes susceptible d’accompagner au mieux.

Elle consiste à se détacher du cadre limité des modes de pensée du passé, c’est-à-dire à prendre de la distance par rapport à ce que vous faisiez (le QUOI) auparavant, et à la manière efficace de le faire (le COMMENT), pour revenir à la source de tout votre savoir, c’est-à-dire vous-même :le QUI

Les réponses ne sont pas dans votre tête mais au plus profond de votre corps et de votre cœur. Il faut une pause, du silence, une présence à soi, pour laisser décanter l’eau boueuse de votre mental et faire apparaître la pureté de l’eau et de la lumière qui la traverse. Vous serez comme appelé à prendre une nouvelle direction, parfois effrayante, celle de votre “futur émergeant” pour citer Otto Scharmer, afin de pouvoir inventer ou réinventer votre activité de coach. Steve Jobs vous dira qu’une innovation n’a jamais pris naissance dans les études de marché, mais plutôt dans la méditation.

Comment me découvrir ?    méthodologies  : la Programmation neuro-linguistique (PNL), la Process Communication (PCM) ou l’Ennéagramme, l’Approche Systémique, la Spirale Dynamique, la Vision intégrale de Ken Wilber, la Théorie U d’Otto Scharmer …

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