Catégorie : Psychée (Page 22 of 40)

Depression références et liens

https://www.sciencedirect.com/

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/

https://ijmhs.biomedcentral.com/articles

https://ajp.psychiatryonline.org/

https://journals.sagepub.com/home/psp

 

 

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En route vers le bien-être : Pratiques, perspectives et préférences en matière d’activité physique des usagers des services ambulatoires de santé mentale

https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0163834317300476?via%3Dihub

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Des études montrent que nommer l’anxiété la réduit (2)

(2) https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0005796715000431

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(1) Des études montrent que l’intensité émotionnelle diminue lorsque le message émotionnel est enfermé dans une enveloppe https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/20622143/

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La mentalisation positive orientée vers l’avenir réduit l’anxiété liée à l’exposition à l’art oratoire

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0005789421000824

 

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https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/?term=depression+social+media

 

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Lorsque les gens sont déprimés, ils s’isolent souvent, et s’isoler trop longtemps peut aussi nous rendre dépressifs ! voir ici

https://www.la-depression.org/comprendre-la-depression/consequences-et-effets-de-la-depression/la-depression-et-les-relations-sociales/

https://journals.plos.org/plosone/

https://journals.plos.org/plosmedicine/

 

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Sans rumination négative, la dépression s’effondre assez rapidement, voir ici.

Des recherches récentes ont montré que le simple fait de réaliser que l’on n’est pas obligé de ruminer peut être libérateur. Tellement libérateur en fait que six mois après avoir commencé une thérapie métacognitive visant à aider les patients à éviter ces schémas de pensée négatifs, 80 % des participants autrefois déprimés ne l’étaient plus.

Nous ne voulons pas que nos clients suppriment la rumination, mais plutôt qu’ils s’en détachent.

https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fpsyg.2017.00031/full

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Des recherches ont montré que les personnes qui se voient en train d’accomplir une tâche ont plus de chances de l’accomplir que celles qui se voient à la première personne, voir ici.

https://journals.sagepub.com/doi/abs/10.1177/0146167207304541#cited-by

 

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Lorsque les gens sont déprimés, ils s’isolent souvent, et s’isoler trop longtemps peut aussi nous rendre dépressifs ! voir ici

https://www.la-depression.org/comprendre-la-depression/consequences-et-effets-de-la-depression/la-depression-et-les-relations-sociales/

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Des recherches menées en 2015 ont révélé que plus les contacts en face à face diminuaient, plus la probabilité de développer une dépression majeure augmentait. C’est vrai pour les contacts en face à face, mais pas pour les contacts par courriel ou par téléphone. Nous avons besoin d’être vraiment avec des gens !

https://agsjournals.onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1111/jgs.13667

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Mais il a été démontré que le fait de bouger (et parfois aussi vite que possible) réduisait de 44 % les risques de dépression. Les recherches ont montré qu’il suffisait de faire une heure d’exercice par semaine, quelle que soit l’intensité, ne serait-ce que prendre les escaliers au lieu de l’assencseur.

https://ajp.psychiatryonline.org/doi/10.1176/appi.ajp.2017.16111223

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Le fait d’être dans la nature a également des effets bénéfiques sur l’esprit

https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0033350606001466

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ces activités favorisent également la neurogenèse – la formation de nouvelles cellules cérébrales – ce qui peut prévenir la dépression, sans parler des maladies cérébrales dégénératives.

https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fnins.2013.00066/full

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Lien entre anxiété et problèmes cardiaques

https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0167876022000940

http://quantumwaves.space/2022/05/15/conclusions-dune-etude-sur-le-lien-entre-inquietude-et-troubles-cardiaques/

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Etat dépressif, anxiété, mal-être et Coaching

Etat dépressif, anxiété, mal-être, troubles émotionnels et relationnels, troubles du sommeil, douleurs récurrentes … Dans la prise en considération de la personne dans sa globalité, en cultivant le positif et en favorisant l’autonomie, le coaching global offre une alternative à la thérapie pour des mots comme … ESPOIR  – Estime – Confiance – Respirer – Apaisé – Valorisé – Autonomie – LIBRE

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Nous vivons une époque où les souffrances émotionnelles et celle de l’humeur explosent littéralement, comme le montrent de plus en plus de chiffres, avec une hausse de 25% des états d’anxiété et de dépression post covid (1). La prise en charge par des médicaments donne de bons résultats à court terme, mais 75 % des patients rechutent, ce qui est clairement un échec, voir (2) !

Certaines personnes se tourneraient volontiers vers d’autres solutions que la thérapie. Il y a ceux qui ne veulent pas d’une posture de patient à thérapeute. Ces personnes évitent ainsi de parler et reparler toujours et encore de leur passé et de leur futur noir, en somme de ressasser, ce qui génère de la rumination. Or, la rumination dans la tête a des effets toxiques dans le corps, voir (3) !

D’autres veulent éviter de céder à la « facilité » de la médication. D’ailleurs, contrairement à une idée encore largement répandue, la chimie pour la dépression non seulement n’est pas efficace pour tout le monde, mais peut s’avérer dangereuse voire même fatale, voir (4), (5) et (6). Alors que le suicide est un effet indésirable et que 1 personne sur 200 prenant un anti-dépresseur fait une tentative ou se suicide, une prise en charge non-médicamenteuse n’a jamais tué personne.

Le coaching, lui, n’a clairement pas de prétention thérapeutique. C’est précisément pour cela qu’il peut être proposé en tant qu’alternative pour les troubles de l’humeur et émotionnels.

 

Le coaching « global »

Le coaching « global » est basé sur la valorisation de la personne humaine, dans son entièreté. C’est d’abord un dialogue dans l’accueil et le non-jugement, une relation d’adulte à adulte. In climat de confiance est rassurant. Par l’écoute et les questions, cette méthode douce favorise les prises de consciences positives, ce qui recrée de l’espace, favorisant l’estime de soi. Une pensée positive est anti-déprime par essence, et elle a aussi des effets bénéfiques sur le sommeil réparateur, réduisant le taux d’hormones du stress, voir (7).

Le coaching d’accompagnement ne dit jamais quoi faire, mais il respecte les façons de fonctionner, fait ressortir les talents trop souvent cachés, et met en lumière les valeurs de la personne pour générer un espoir renouvelé : l’espoir, qui a un rôle clé dans tout processus de souffrance mentale et émotionnelle, voir (8).

En plus de cette méthode de dialogue, entrent en scène des méthodes actives et ludiques, et certaines séances se passent « en extérieur » : Parce que l’énergie de la nature est inspirante, parce que le rythme de la marche correspond au rythme des pensées. En effet, le contact avec la nature, ne serait-ce que 30 minutes par jour, peut avoir de meilleurs effets que la prise en charge médicamenteuse, voir (9).

Le corps répond à la psyché, et l’inverse est vrai aussi ! D’ailleurs, on n’a jamais vu quelqu’un devenir champion en étant dépressif !  Et avez-vous remarqué comme il est juste impossible d’être déprimé quand on prend une posture physique optimiste ? voir (10).

Etant une méthode globale, j’aborde aussi le sujet des aliments. En effet il y a de plus en plus de preuves que l’inflammation est liée à l’état dépressif. Alors que certains aliments sont inflammatoires, certains aliments ont des propriétés anti-dépressives cliniquement pertinentes, voir (11), et ceci sans même faire de régime !

Très souvent, souvent en début de parcours de coaching, les émotions dominent la pensée d’une personne en état dépressif. Les émotions fortes ne viennent pas après, mais avant la réflexion. La réflexion est alors le reflet des émotions et non la cause ! il y a plus de connexions neuronales menant des centres émotionnels du cerveau vers les centres cognitifs que l’inverse. Il est donc plus efficace de changer les émotions en vue de changer les pensées que l’inverse.

Les techniques du toucher ont de très bons résultats sur les troubles psychiques, notamment sur les états dépressifs, le sommeil, voir (12), et (13) et (14). C’est pour cela que je me sers des 24 techniques d’acupression du TUINA de la Méthode Traditionnelle Chinoise, pour calmer l’état émotionnel, pour que la pensée soit apaisée et clarifiée.

Tout ceci en combinaison des huiles essentielles, qui sont des aides précieux pour les états dépressifs. En effet, elles ont l’avantage d’être facile à utiliser, de ne pas présenter d’effets indésirables contrairement aux traitements à base médicamenteuse. Surtout, elles possèdent des propriétés sédatives, anxiolytiques et anti-convulsivantes, notamment celles contenant des terpénoïdes comme le linalol, le géraniol et le citronellol, ainsi que le limonène, qui font des huiles essentielles des alliées importantes pour soulager notamment l’anxiété, voir (15).

En plus, la personne emportera avec elle les « trucs anti-stress », et j’établis avec elle les actions concrètes à réaliser chez elle, parce qu’un coaching ne s’arrête pas à la sortie de la séance.

Mes clients peuvent me contacter durant tout le processus. J’ai encore des contacts avec certains de mes plus anciens clients, et ils vont tous très bien !

Références

(1)  https://www.who.int/fr/news/item/02-03-2022-covid-19-pandemic-triggers-25-increase-in-prevalence-of-anxiety-and-depression-worldwide

(2) https://www.la-depression.org/comprendre-la-depression/la-depression-en-chiffre/

(3) https://health.usnews.com/wellness/mind/articles/2018-03-14/the-hazards-of-rumination-for-your-mental-and-physical-health

(4) https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7451660/

(5) http://www.antidepressantsfacts.com/1995-12-Antonuccio-therapy-vs-med.htm

(6)  https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.05.11.20098178v1.full

(7) https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7968188/

(8) https://ijmhs.biomedcentral.com/articles/10.1186/1752-4458-8-53

(9) https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4507237/

(10) https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/27494342/

(11) https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5050395/

(12) https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7600300/

(13)  https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32147033/

(14) https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0965229920318604

(15) https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32304038/

 

 

Depression émotions et pensées : d’abord calmer les émotions

LES EMOTIONS


Les émotions fortes ne viennent pas après, mais avant la réflexion. La réflexion est alors le reflet des émotions et non la cause !

Il est donc plus efficace de changer les émotions en vue de changer les pensées que l’inverse. il y a plus de connexions neuronales menant des centres émotionnels du cerveau vers les centres cognitifs que l’inverse.

Comment pouvons-nous espérer ramasser les feuilles mortes alors que le vent souffle fort ? Tant que les vents de la psyché (les émotions) soufflent, vous pouvez balayer, mais les feuilles reviendront en tourbillonnant.

Une personne en état déprimé aura des idées extrêmes (tout blanc / tout noir), et dira parfois elle-même qu’elle n’arrive pas à avoir des pensées calmes. Elle n’a pas envie de sortir de son état et/ou se sentira prisonnière.

Voilà pourquoi je préfère laisser parler cette personne et calmer les émotions.

j’utilise deux types de techniques :

* La médecine chinoise pour réaligner les flux d’énergie, les calmer. Ce sont simplement des points d’acupression au niveau des avant-bras, les pieds, parfois le dos.

* L’exercice physique doux : Aller dehors, marcher,

* L’exercice physique intense : faire un exercice physique intense, épuisant.

Ensuite, quand le vent se calme, c’est là que nous pouvons remettre de l’ordre ; quand l’esprit est calme, nous pouvons alors examiner et élargir le contexte de la pensée ; Une fois les émotions calmées, les pensées seront plus claires, le coaching peut commencer.

Une étude sur le lien entre news et anxiété

Une étude de British Psychological Society sur le lien entre news et anxiété :

L’impact psychologique des bulletins d’information télévisés négatifs : La catastrophisation des inquiétudes personnelles.

Résumé :

« Cette étude a examiné l’effet du contenu émotionnel des journaux télévisés sur l’état d’esprit et la catastrophisation des soucis personnels. Trois groupes ont regardé des bulletins d’information télévisés de 14 minutes, édités de manière à présenter un contenu à valeur positive, neutre ou négative. Les participants qui ont regardé le bulletin à valeur négative ont montré une augmentation de l’humeur anxieuse et triste, ainsi qu’une augmentation significative de la tendance à catastrophiser un souci personnel. Les résultats sont cohérents avec les théories de l’inquiétude qui impliquent l’humeur négative comme facteur causal dans la facilitation des pensées inquiétantes. Ils suggèrent également que les programmes d’informations télévisées à valence négative peuvent exacerber une série de préoccupations personnelles qui ne sont pas spécifiquement liées au contenu du programme. »

Retrouvez l’étude ici :

https://bpspsychub.onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1111/j.2044-8295.1997.tb02622.x

 

Conclusions d’une étude sur le lien entre inquiétude et troubles cardiaques

Cette étude parue dans l’international Journal of Psychophysiology en Juillet 2021 de deux équipes Autrichiennes et une Espagnole, traite du

Contrôle cardiaque parasympathique pendant la concentration attentionnelle et l’inquiétude dans le trouble dépressif majeur.

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Voici le résumé :

 » L’inquiétude, qui fait référence à des chaînes incontrôlables de pensées et d’images à charge affective négative, est un symptôme transdiagnostique de divers troubles mentaux, dont le trouble dépressif majeur (TDM). Les théories actuelles associent l’inquiétude excessive à un contrôle descendant déficient de la pensée persévérative qui se produit automatiquement.

Cette étude a examiné le contrôle cardiaque parasympathique dans le TDM dans le contexte de l’inquiétude et du contrôle cognitif. La variabilité de la fréquence cardiaque (VRC) a été enregistrée, dans les bandes de haute fréquence (HF) et de basse fréquence (LF), chez 36 patients atteints de TDM et 36 témoins sains pendant qu’ils effectuaient une tâche de concentration sur la respiration.

L’étude comprenait deux phases au cours desquelles la capacité des participants à se concentrer sur leur respiration était évaluée avant et après une phase d’inquiétude.

En plus de l’inquiétude autodéclarée plus élevée, les patients atteints du TDM présentaient une VRC HF et LF plus faible au repos, et une VRC LF plus faible pendant la tâche que les témoins. Le TDM a également été associé à une capacité réduite de concentration respiratoire, à davantage d’intrusions de pensées négatives et neutres, à une humeur plus négative pendant la concentration respiratoire et à un stress accru pendant la phase d’inquiétude dirigée.

Dans l’ensemble de l’échantillon, la VRC LF est corrélée négativement avec l’inquiétude et les intrusions de pensées négatives autodéclarées, et positivement avec les évaluations de l’humeur. La réduction de la VRC confirme la notion de faible contrôle cardiaque parasympathique dans le TDM.

De plus, le faible VRC représente un corrélat de l’activité préfrontale émoussée et de l’altération du contrôle cognitif qui caractérisent le trouble.

L’altération du contrôle cognitif peut exacerber l’inquiétude, qui est à son tour impliquée dans la genèse des états émotionnels aversifs et le maintien du TDM. »

Retrouvez l’étude ici :

https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0167876022000940

AngelaBaira  , JosefMarksteinerbThomasStöckleinbGustavo A.Reyes del PasocStefanDuscheka

a : UMIT Tirol – University of Health Sciences, Medical Informatics and Technology, Institute of Psychology, Hall in Tirol, Austria

b  : County Hospital of Hall in Tirol, Department of Psychiatry, Hall in Tirol, Austria

c University of Jaén, Department of Psychology, Jaén, Spain

 

Received 20 November 2021, Revised 6 April 2022, Accepted 11 April 2022, Available online 14 April 2022, Version of Record 19 April 2022.

 

 

Anxiété en Coaching

Le mot « inquiétude » est une non-quiètude. Elle mène à l’anxiété. Cette anxiété donne l’impression d’étranglement : on a du mal à respirer, la respiration est bloquée sans qu’on s’en rende compte. En anglais le mot worrying vient d’une vieille expression anglaise qui signifie « étrangler ».

( inspiré de Mark Tyrrell, Bruce Lipton, Joe Dispenza, des neurosciences … )

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D’abord, ne pas juger

Quand on se sent inquiet, angoissé, anxieux, pris de panique, la première chose à faire est de ne pas la juger. Tout ce qui se remue en nous a une bonne raison, toutes les émotions y compris les plus « négatives » a une bonne raison, protectrice.

Parce que la peur protège. Rien n’est négatif, mais simplement certaines peurs peuvent être irrationnelles. Mais elles ont beau être irrationnelles, on a beau le savoir, on n’arrive pas à s’en défaire par le simple fait d’en pendre conscience.

C’est parce que les peurs s’inscrivent dans le subconscient. Et le subconscient n’a aucune notion de vrai ou de faux. Il réagit : il a appris à réagir un jour face à un évènement qui a déclenché une peur. Et il a mémorisé cette réaction et nous la ressert à chaque fois qu’il rencontre la même situation qui la déclenche.

Parfois donc, en fonction de notre passé, une même possibilité peut provoquer de l’anxiété ou non. Une personne ayant vécu un ouragan peut développer une peur irraisonnée quand elle se retrouve dans une situation similaire à celle où elle a vécu son expérience traumatisante. Du moment que le vent se lève de façon audible, et fait se balancer fortement les arbres, un réflexe de peur manique peut se manifester. Même si cette personne ne va probablement plus jamais revivre un ouragan. Ce n’est pas le contexte qui est en cause mais ce qui se passe dans la personne.

Ainsi une personne peut avoir peur des araignées et son voisin pas du tout, la première personne va fuir devant une toute petite araignée, le voisin va l’ignorer ou l’écraser (quoique, on peut penser que le fait d’écraser un animal aussi utile n’est pas lié à la peur…).

Dans les deux cas, le subconcscient réagit à un contexte, pas au sujet. Il est donc inutile et contre-productif de juger le sujet de la peur. En coaching on va s’intéresser aux processus qui sont inscrits dans le système de peur.

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Accueillir :

il est essentiel d’accueillir les anxiétés, aussi dérangeantes soient-elles, sans les juger. Accueillir les conséquences positives et négatives.

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La vraie et la fausse peur

Combien de fois en une année pouvez-vous comptabiliser le nombre de peurs réelles et légitimes ? Du genre un véhicule vous fonce dessus, un chien méchant pourrait vraiment vous sauter à la gorge : 2 fois, 3 fois, 5 fois par an ?

Combien de fois dans une journée avez-vous des inquiétudes, des angoisses, des pensées de perspectives négatives pour votre santé, pour celle des autres, pour la planète, etc toutes pes peurs qui sont finalement imaginaires : 10 fois, 20 fois, 30 fois ?

Nous ne sommes pas faits pour stresser en permanence. Le processus de fuite est salvateur dans un moment de vraie peur, mais il désactive notre système immunitaire, notre pensée raisonnée, et fait grimper la tension artérielle, chasse le sang du système digestif et inonde les muscles de sang et d’oxygène, raccourci la respiration et la rend superficielle.

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Quand s’inquiéter devient une habitude

L’inquiétude persistante peut se transformer en une habitude, une habitude désagréable dont il est si difficile de se défaire que les inquiets chroniques trouvent qu’il y a quelque chose de louche quand tout va bien.

C’est vrai par exemple des personnes qui passent leur temps à regarder les mêmes news et à y revenir alors même qu’elles savent que c’est de la redite et des mauvaises nouvelles.

Ces personnes trouvent toujours des justifications : «  je m’informe de ce qui se passe dans le monde », « la réalité est moche », « il y a toujours des choses nouvelles et intéressantes », etc… tout est bon pour justifier cette addiction morbide.

Par exemple durant la crise covid, quand ça allait mieux, certains s’en sont inquiété, et ont appelé de leurs vœux « tu verras très bientôt ça sera pire », et en effet le pire arriva ! mais ça c’est la loi d’attraction dont nous parlerons une autre fois.

S’inquiéter n’est pas anodin, cela a des conséquences. Plus on s’inquiète, plus on produit d’hormone de stress et plus on rêve la nuit. À leur tour, les rêves excessifs causés par des inquiétudes non résolues peuvent provoquer une dépression clinique. Et c’est là encore un autre sujet d’inquiétude. Cesser de s’inquiéter autant peut avoir de multiples avantages.

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Le rôle de l’imagination

L’imagination : elle est partout dans nos vies d’humains ! C’est peut-être même ce qui distingue l’homme des autres animaux ! Tout ce qui n’est pas palpable est imaginé.

L’anxiété chronique a été qualifiée de « trouble de la pensée », mais il s’agit plutôt d’une mauvaise utilisation de l’imagination. Et l’imagination n’est pas seulement « dans votre tête ». Elle a des effets mesurables et palpables, tant physiques que comportementaux.

Par exemple, les personnes jalouses peuvent imaginer toutes sortes de choses négatives sur les actions et les intentions de leur partenaire, souvent sans aucune preuve pour étayer leurs soupçons. Cela peut les amener à commettre des crimes terribles – tout cela parce qu’ils adhèrent au scénario créé par leur imagination.

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Le corps répond au stress et le stress répond au corps

L’imagination peut être utilisée de manière constructive ou destructive. Et puisque l’imagination est dans nos têtes, nous avons le contrôle sur nos imaginations, donc sur les émotions et les hormones qui sont libérées en fonction que nous imaginons le beau (hormones du plaisir et de la sérénité) ou le pire (hormones du stress, désactivation du système immunitaire, sensibilité à la douleur).

N’est-ce pas un peu facile de parler d’attaque de panique comme si elle venait de l’extérieur ? La panique est un état d’anxiété extrême qui attaque la respiration. Des études démontrent le lien entre les syndromes l’inquiétude et les précurseurs des troubles cardiaques (1)

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RESPIRATION

L’anxiété rend la respiration superficielle, et cette dernière est une réponse à l’effort. Sauf qu’on ne fait aucun effort physique. On n’a pas besoin de nourrir les muscles ! En nourrissant les muscles alors qu’ils n’ont pas besoin d’oxygène, par effet rebond on crée une hypersensibilité à la douleur.

C’est un effort inconscient de lutte interne contre l’anxiété : contre l’imagination, contre les idées qu’on se fait d’une situation. Dans ce cas, le corps répond à ce qui se passe dans l’état émotionnel. De même, la tension artérielle augmente, et le système immunitaire se désactive.

Mais si la respiration est une réponse à un effort imaginaire, on peut donc faire l’inverse : respirer lentement et longtemps à l’expir calme l’anxiété !

En effet, une respiration d’effort va chercher l’oxygène pour nourrir les muscles, et elle sera plus superficielle. De plus, l’air c’est la vie et le manque d’air est stressant. Ralentir et allonger l’expir a un grand effet anti-stress : petit à petit, rallonger l’expiration permet de calmer les anxiétés.

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SALIVATION

De même, mâcher un chewing-gum réduit l’anxiété : la salivation est un message au corps qui dit manger, et on ne mange pas quand on est en fuite. Le corps ne peut pas comprendre manger et fuite en même temps.

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POSTURES

La posture : Le stress implique une posture de fuite : se tenir droit, les épaules en arrière, le regard haut, avec le sourire, éloigne le stress de façon naturelle, car on ne peut pas être bien tout en étant mal.

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Corire ou ne pas croire l’anxiété

Nous avons tous des inquiétudes. Une personne anxieuse peut me dire : «  oui ok tu me dis que c’est mon imagination, mais je n’arrive pas à ne pas imaginer, tu vois bien c’est la réalité, ce qui se passe, et ce qui se passe est inquiétant ». OK l’inquiétude se présente à nous, mais nous ne sommes pas obligés de la croire !

Quand JC Grangé écrit un de ses romans sanglants, il n’y croit pas et il n’est pas lui-même effrayé par ce qu’il écrit, sans quoi il ne continuerait pas son écriture ! Et quand vous, lectrice/lecteur, lisez un de ses romans, vous n’y croyez pas non plus ! Vous avez le frisson, mais vous êtes en-dehors du livre !

Je peux par exemple imaginer que le plafond va me tomber dessus : c’est possible, mais pour autant, tant que je n’y crois pas, je ne m’inquiète pas ! Cela reste seulement une possibilité !

Ainsi, plutôt que d’essayer de « ne pas y penser » nous pouvons apprendre à nous détendre profondément tout en imaginant ce qui fait normalement peur.

On peut s’entrainer à prendre de la distance et voir les inquiétudes au loin, tout en se sentant toujours aussi détendu « ici ».

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EXERCICES A FAIRE CHEZ SOI

Dépression exercices à la maison

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EXERCICES A FAIRE EN SEANCE

dépression anxiété exercices en séance

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(1) https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0167876022000940

(2) https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0005796715000431

(3) https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/20622143/

le langage émotionnel

Nous sommes en permanence traversés par des émotions. Celles qui nous embêtent : la peur, la colère, la tristesse. Chaque émotion porte un message précis, en fonction d’un tas de paramètres contextuels, tels la situation personnelle et professionnelle, l’humeur, le degré d’évolution, etc … on peut pousser loin si on veut, et parler alimentation, lune, environnement olfactif, sonore, lumineux …

Les émotions ne sont jamais négatives. Elles sont les porte-paroles de mes besoins et de mes blessures. En cela, elles en sont aussi les révélateurs, à moi de savoir les décrypter et les traiter. Ce qui est négatif, c’est la charge en énergie qu’elles me coûtent. On sent parfois la pesanteur d’un état émotionnel. Les émotions et leurs sources m’appartiennent, je n’ai pas à chercher à en blâmer les autres – employeur, gouvernement, docteurs – ou des choses, météo, circulation, lune.  Elles se manifestent d’abord de manière physique : sueur, chaleur, bouillonnement intérieur et décharge d’adrénaline, poils qui se dressent etc… et si je réfreine mes émotions, elles deviendront chroniques et le corps va développer une maladie : « le mal a dit ». Notre corps parle, nous informe énormément. La médecine traditionnelle chinoise est basée, notamment, sur les relations organes / émotions / maux. Il faut donc vivre ses émotions, les laisser s’exprimer. Pour ça, il faut être présent, attentif. C’est une grave erreur de refreiner ses émotions, la pression sociale et professionnelle cause beaucoup de tort à ce sujet.

 

Les besoins et les valeurs

Les émotions me parlent de mes besoins, et aussi de mes valeurs. Evidemment, je suis plus ou moins sensible aux besoins, et cela varie au fil de la vie. Nous sommes différents, et c’est tout à fait normal contrairement au moule dans lequel nous pensons devoir entrer. Les besoins sont notamment physiologiques, et associés à la survie comme manger et boire. Par exemple, il est vital d’avoir peur si je croise un ours en forêt. Mais les besoins sont surtout psychologiques, et les besoins insatisfaits dans notre sphère professionnelle touchent souvent la confiance, l’estime, la réalisation, l’affirmation de soi, la coopération, l’épanouissement, l’appartenance etc.. sources de peurs, de tristesses ou de colères. Hélas, certains responsables RH savent bien jouer avec les émotions, pour diviser pour mieux régner, limiter les ambitions, orienter les collaborateurs. Ce qui favorise les carrières des uns mais est au bout du compte est toujours contre-productif pour la bonne marche de l’entreprise, qui est une association de talents. Bref. Pour donner un exemple La peur de l’échec me renvoie à un sentiment d’infériorité donc de la confiance et de l’estime de soi ; Mais les sources de la très grande majorité des émotions sont imaginaires ! Ce qui veut dire que nous pouvons désamorcer les émotions qui nous dérangent. Dans le monde du travail, on nous fabrique même des émotions qui nous plombent. On peut alors utiliser les 5 passoires :

1 – Quelle est MA CROYANCE, ma chanson intérieure ?

2 – Quelles sont les preuves objectives qu’elle soit vraie ? attention la répétition n’est pas une preuve objective…

3 – Quelles sont les gens, les situations qui l’ont déclenchée ? Pourquoi ?

4 – Quelle probabilité que le scénario que je me suis « monté » se produise ?

5 – Quel bénéfice je retire à écouter ma croyance ?

On constate alors que les peurs, réelles, ont très souvent des origines imaginaires. Parfois on me rétorque « c’est pour anticiper ce qui pourrait arriver », ce à quoi je réponds « combien de fois une chose est arrivée exactement telle que tu l’avais anticipée ? » …

Donc, il faut bien vivre son émotion et pas la dénigrer, pour l’analyser, et y répondre. Le mécanisme est toujours le même : émotion, évaluation, action. A mesure que je traite mes émotions, elles seront de plus en plus faciles à traiter. Les émotions deviennent alors de vraies alliées, elles me guident et me donnent des signaux d’alerte, je sais réagir et plus ça va, moins les émotions ne me coutent de l’énergie.

il y a des matins comme ça

Il y a des matins comme ça, des matins pourtant parfois beaux et lumineux, où je n’arrive pas à trouver la lumière en moi, où je suis vide, des matins où une énergie m’entraine vers les profondeurs de la tristesse.

une tristesse toute à moi, dans laquelle j’ai envie de me lover, dans ces moments je veux mettre une cloche au-dessus de moi, qui m’entoure dans mon ambiance interne faite de mélancolie, de tristesse, parfois de désespoir.

Dans ces moments, je suis incapable de voir le beau, alors que je sais que tel endroit, telle personne, tel contexte me remplit de joie « normalement ». Oui, mais voilà, rien n’est normal, d’ailleurs je n’ai pas envie d’être normal, et même je trouve que le normal est une injonction, une dictature.

Dans ces moments, je n’ai surtout pas besoin qu’on me dise de ne pas être triste, car c’est une agression, une intrusion, un profond manque de compréhension. J’ai besoin d’être compris, besoin qu’on respecte mes silences.

Dans ces moments, mon hypersensibilité me fait me terrer chez moi, dans le calme, dans le silence, la présence des humains m’agresse, le moindre bruit m’effraie et me fatigue.

Parfois j’ai même envie de juste dormir, passer ma vie à dormir car au moins personne ne vient m’embêter quand je dors, et je ne suis pas responsable des rêves, je peux me laisser aller, porter par le rêve, le sommeil est doux.

Nos émotions peuvent nous submerger, à tel point que toute la Vie en moi, celui que je suis de Joie et d’Amour, n’existe plus, est totalement englouti par la tristesse. A tel point que je m’identifie à la tristesse, et que je veux ETRE la tristesse.

.Dire  » y’a pire ailleurs  » est la dernière chose à dire à une personne triste, car c’est dénigrer sa tristesse, dévaloriser la personne en l’associant à son état.  Dire à quelqu’un de triste  » ne sois pas triste  » c’est comme l’inviter à l’être encore plus !

Et puis la Vie, la Vie va, elle bouge, elle est mouvement, elle passe sans moi, ma vie passe sans que je sois présent dans ma Vie … parce que je n’en ai rien à faire…

… et puis, et puis … l’espoir renait, il est inscrit dans la VIE : petit à petit je remonte la pente. Au début je n’ai même pas envie de remonter la pente, tellement je suis bien dans mon état plus bas que terre, dans ma caverne de tristesse.

Bouger c’est re-vivre

le pas le plus important est le premier : sortir de chez soi … et puis, et puis un mot gentil, un texte qui me réconforte, une personne qui a l’air de comprendre ce qui se passe en moi, ou un autre évènement peut faire basculer la vie du bon côté … Vie, Espoir, Lumière …

La coaching est partout où est l’échange bienveillant : parfois c’est un sourire, un mot d’un inconnu, un échange sans jugement, et puis c’est aussi le sourire d’un enfant, le cri des hirondelles, ou encore une belle musique.

Mais c’est encore plus fort quand on s’offre la possibilité de se mettre à disposition des autres. En mobilisant nos talents naturels, nous mettons en lumière nos valeurs propres, et cela nourrit finalement l’identité, ce que je SUIS.

Servir est guérisseur

La vie est bien faite, et il y a toujours, dans chaque jour-née, une personne sur notre route pour nous aider à nous relever. Et le mieux c’est quand cette personne n’est pas consciente qu’elle nous relève.

Finalement, nous reprenons vie tout doucement, et l’espoir est ce rayon de soleil qui transperce la brume épaisse. Et quand l’espoir de la Joie entre dans le coeur, le bout du tunnel n’est pas loin.

Un jour ensuite, nous nous rendons compte que nous ne SOMMES pas nos émotions, ni nos opinions, ni nos rôles dans la famille, dans le couple ou dans l’entreprise ni dans la société.

Nous sommes chacun bien plus que cela. Chaque-Un est particulier, unique, et la Vie qui est en nous est un cadeau.

ET LE COACHING DE VIE DANS TOUT CA ?

Le coaching m’aide beaucoup !  j’ai traversé une période difficile, comme d’autres avant moi. Si j’avais eu les armes du coaching, un coach à mes côtés, je serai allé bien plus vite et plus loin. Avec un coach à ses côtés, on ne passe pas des années à ressasser son malheur.

Parce que c’est une méthode où je ne me sens pas comme un patient, mais comme une personne à part entière, dans toutes les phases de mon existence, que je sois triste ou joyeux, le coach est là.

Aujourd’hui je m’aide du coaching pour aider les autres, j’en ai fait une activité qui a de la valeur : une présence, de l’écoute, un échange, des questions bienveillantes.

NATURE ET DEPRESSION

NATURE ET DEPRESSION

Une étude publiée dans un numéro de 2015 des Proceedings of the National Academy of Sciences of the United States of America a révélé que le fait de se promener dans la nature (mais pas dans un environnement urbain) réduit la rumination et l’activité dans une partie du cerveau liée à un risque accru de dépression. En plus de court-circuiter la boucle des pensées négatives, « les émotions positives engendrées par la distraction peuvent dévier votre pensée, vous permettant d’adopter une perspective plus objective et plus positive sur vos problèmes », explique Lyubomirsky.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4507237/

le coaching Global pour les troubles émotionnels, avec références

Etat dépressif, anxiété, mal-être, troubles émotionnels et relationnels, troubles du sommeil, douleurs récurrentes … Dans la prise en considération de la personne dans sa globalité, en cultivant le positif et en favorisant l’autonomie, le coaching global offre une alternative à la thérapie pour des mots comme … ESPOIR  – Estime – Confiance – Respirer – Apaisé – Valorisé – Autonomie – LIBRE

 

Dans un contexte de forte évolution des souffrances émotionnelles et de l’humeur (1), les traitements classiques donnent de bons résultats. Mais ils finissent en rechute dans trois quarts des cas (2) ; Certaines personnes se tourneraient volontiers vers d’autres solutions que la classique thérapie. Il y a ceux qui ne veulent pas d’une posture de patient à thérapeute, évitant ainsi de ressasser le passé, ce qui génère de la rumination, laquelle est toxique (3). D’autres veulent éviter de céder dans la « facilité » de la médication, qui non seulement n’est pas aussi performante qu’on le pense, mais peut s’avérer dangereuse voire même fatale, voir (4), (5) et (6). Le coaching n’a clairement pas de prétention thérapeutique. C’est précisément pour cela qu’il peut être proposé en tant qu’alternative pour les troubles de l’humeur et émotionnels.

Le coaching « global »

Le coaching « global » est basé sur la valorisation de la personne humaine, dans son entièreté. C’est d’abord un dialogue dans l’accueil et le non-jugement, une relation d’adulte à adulte. Par l’écoute et les questions, cette méthode douce favorise les prises de consciences positives et recrée de l’espace, favorisant la confiance et l’estime de soi, et la pensée positive qui est si précieuse (7). Il respecte les façons de fonctionner, fait ressortir les talents trop souvent cachés, et met en lumière les valeurs de la personne pour générer un espoir renouvelé, qui est si important (8) dans tout processus de souffrance mentale et émotionnelle.

En plus de cette méthode de dialogue, entrent en scène des méthodes actives et ludiques, et certaines séances se passent « en extérieur » : Parce que l’énergie de la nature est inspirante, parce que le rythme de la marche correspond étrangement au rythme des pensées, parce que le contact avec la nature peut même avoir de meilleurs effets que la prise en charge médicamenteuse (9) : le corps et la tête marchent ensemble, on n’a jamais vu un champion du monde dans un état dépressif, et à l’inverse il est impossible d’être déprimé quand on prend une posture physique optimiste.

Etant  une méthode globale là aussi, j’aborde aussi le sujet des aliments qui ont des propriétés anti-déprime (10) sans même faire de régime !

Parce que à mes yeux le coaching n’est définitivement pas cloisonné, je me sers des 24 techniques d’acupression du TUINA de la Méthode Traditionnelle Chinoise qui a de très bons résultats sur les troubles psychiques, notamment sur les états dépressifs, le sommeil, voir (11), et (12) et (13).

Tout ceci en combinaison des huiles essentielles, qui sont des aides précieux pour les états dépressifs (14). En plus, la personne emportera avec elle les « trucs anti-stress », et j’établis avec elle les actions concrètes à réaliser chez elle, parce qu’un coaching ne s’arrête pas à la sortie de la séance.

Mes clients peuvent me contacter durant tout le processus. J’ai encore des contacts avec certains de mes plus anciens clients, et ils vont tous très bien !

références

(1)  https://www.who.int/fr/news/item/02-03-2022-covid-19-pandemic-triggers-25-increase-in-prevalence-of-anxiety-and-depression-worldwide

(2) https://www.la-depression.org/comprendre-la-depression/la-depression-en-chiffre/

(3) https://health.usnews.com/wellness/mind/articles/2018-03-14/the-hazards-of-rumination-for-your-mental-and-physical-health

(4) https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7451660/

(5) http://www.antidepressantsfacts.com/1995-12-Antonuccio-therapy-vs-med.htm

(6)  https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.05.11.20098178v1.full

(7) https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7968188/

(8) https://ijmhs.biomedcentral.com/articles/10.1186/1752-4458-8-53

(9) https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4507237/

(10) https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5050395/

(11) https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7600300/

(12)  https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32147033/

(13) https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0965229920318604

(14) https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32304038/

 

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