Catégorie : Psychée (Page 17 of 40)

Métaphore Exemple de cas – La princesse qui a perdu son château

 

Métaphore Exemple de cas – La princesse qui a perdu son château

Une femme avait de terribles verrues sur toute sur la plante de ses pieds, ce qui rendait la marche difficile et douloureuse.

Métaphore : Une princesse avait hérité du royaume de son père. Mais son royaume a été attaqué par des envahisseurs. Malheureusement, la reine ne connaît rien à la guerre et devait fuir. Personne ne savait comment déloger les envahisseurs et la situation persistait jusqu’à ce que la reine consulte un sage qui lui dit ce qu’elle devait faire. Elle suivi ses instructions dans l’art de la guerre de siège et fit bloquer toutes les voies d’accès au château pour qu’aucun approvisionnement ou nourriture ne puisse passer. Finalement, les envahisseurs quittèrent le château et leur propriétaire légitime récupérait le royaume et le château. L’homme sage promit de rester à proximité au cas où elle aurait à nouveau besoin de lui.

A la fin de la semaine, les verrues n’étaient plus douloureuses. A la fin du mois, ses pieds semblaient n’avoir jamais eu de verrues. Nous pouvons voir la correspondance des modèles dans l’histoire.

Les envahisseurs ennemis (les verrues) devaient être d’être « privés » d’approvisionnement (en sang) afin de quitter « le royaume » (ses pieds). Le corps a agi selon les instructions cachées de la métaphore et l’esprit conscient n’en savait rien.

Comment un rêve peut-il être prémonitoire ?

Comment un rêve peut-il alors être prémonitoire ?

dans la suite de l’article consacré aux rêves voir ici  CLIC

Les travaux de Joe Griffin, montrent que le rêve désactive l’excitation émotionnelle non satisfaite : le rêve évacue les émotions non résolues. L’une des conclusions les plus importantes auxquelles Joe Griffin est parvenu dans son enquête sur ce qui ce qui se passe quand nous rêvons est que le rêve joue un rôle vital dans la régulation émotionnelle, et d’une manière spécifique. Lorsque les attentes émotionnelles déclenchées pendant la journée restent insatisfaites, elles sont « évacuées » des centres émotionnels du cerveau par l’expression émotionnelle métaphorique du rêve. Le niveau d’éveil du cerveau est ainsi rétabli et il est mieux préparé à faire face aux expériences émotionnelles du lendemain. Le rêve est ainsi un exutoire des émotions non résolues.

Mais alors qu’en est-il du rêve prémonitoire ?

Le rêve est prémonitoire, c’est quand une chose rêvée arrive « pour de vrai » par après.

Prenons un rêve comme l’évacuation d’une stimulation émotionnelle inconsciente irrésolue dans la journée, après qu’un problème soit apparu dans le quotidien, même s’il n’est pas grave, une émotion peut ne pas avoir été exprimée.

Le rêve est donc une mise en scène pour résoudre une émotion non exprimée, avec des personnages, un contexte, un scénario.

Pour cela, le rêve puise dans l’immense base de donnée du subconscient, et peut faire appel à des personnages fantastiques, il ne connait pas la gravité et ne connait aucune limite. Ceci dit, il va régulièrement piocher dans ce qui nous est arrivé récemment. Cette scène est donc liée au passé car stimulée par un évènement, mais nous ne faisons pas le lien puisque ça se passe dans l’inconscient. Donc, nous allons retenir le rêve comme étant une scène inédite, nouvelle, ça peut nous amuser, nous surprendre, nous effrayer, selon le contexte.

Le lendemain par exemple, on peut agir dans la vraie vie pour résoudre l’évènement de la veille. En résolvant un problème dans la vraie vie, on va donc aussi, sans le savoir, résoudre le résultat émotionnel qui a conduit au rêve.

Cette résolution dans la vraie vie va générer sa mise en scène, ses personnages, un contexte, un scénario de la vraie vie. Ici nous ne pouvons pas puiser dans les personnages fantastiques pour ça, d’ailleurs.

Il suffit alors que certains éléments de résolution de la situation de la veille soient concordants avec des éléments de la mise en scène du rêve généré par la situation de la veille, pour déduire une relation entre le rêve et les évènements arrivés dans la réalité par après.

Je vais avoir tendance à me dire  » j’en ai rêvé, c’est arrivé !  » non ! le rêve m’a fait vivre ce que je peux vivre en résolvant l’émotion irrésolue, puis je l’ai réalisé. Il n’y a pas de prémonition, tout est dans le bon ordre.

En fait non, généralement, le lien est juste logique : ce que j’entreprends aujourd’hui est souvent lie à ce que j’ai commencé hier, je peux donc me trouver dans la situation de régler une émotion inconsciente non exprimée hier. Et souvent d’ailleurs, l’interprétation du caractère prémonitoire d’un rêve est symbolique, elle rejoint en cela le vaste monde du subconscient.

Evidemment, certains vous objecter que des rêves prémonitoires n’ont pas de lien avec une action que va réaliser la personne qui a rêvé. Des situations extérieures peuvent être collectives, ou même toucher des populations entières. Et donc générer des émotions irrésolues, menant au rêve. Ce rêve aura son contexte, personnages et l’ensemble de la mise en scène.

Par la suite, les autorités peuvent par exemple résoudre la situation, ce qui va avoir un effet de résolution ayant généré l’émotion. Là aussi, la « réalité » aura son son contexte, personnages et l’ensemble de la mise en scène. Je peux avoir l’impression que le rêve « est arrivé pour de vrai » et en dehors de toute action de ma part !

D’ailleurs, je remarque qu’un rêve ne peut être déclaré prémonitoire que pas après, lorsqu’il correspond à une « réalité » : que fait-on de tous les rêves qui ne correspondent pas à ce qui arrive ?

Les prémonitions sont courantes.

Dans les rêves, leur mise en scène importe peu, et les prémonitions sont en fait beaucoup plus nombreuses : chaque jour nous réglons des vides émotionnels de la veille qui ont peut-être mené à nos rêves, et nos actions ou plutôt les résultats de nos actions (parfois initiées la veille d’ailleurs) vont résoudre les émotions bloquées.

Simplement, nous ne nous souvenons pas de la majorité de nos rêves, et si c’était le cas, et si nous savions les interpréter, nous ferions probablement beaucoup plus de relations entre le passé et le présent, mais nous ne considérerions pas cela comme quelque chose de fantastique 🙂

Ce texte fait suite à l’article consacré aux rêves voir ici  CLIC

Se connecter méthode

 

Exemple : prenez un tableau, une œuvre d’art, une sculpture, ce que vous avez sous la main.

Concentrez-vous et au bout de quelques minutes vous êtes le tableau,
faites cela régulièrement, puis la conscience dans le tableau se retourne et vous observe.

 

regardez un magnifique objet, au bout de 20 secondes tu commences à vibrer avec l’objet, puis petit à petit tu commences à vibrer à la même fréquence que l’objet, tu vas projeter ta conscience dans le tableau, dont tu es unis au tableau. Ensuite ta conscience est dans le tableau, elle se retourne et te regarde à partir du tableau et vous n’êtes plus dans votre réalité ordinaire.

Définition des Valeurs – Outil de Coaching

Lister les valeurs les plus importantes.

Prendre la première valeur et : quelle valeur est encore plus importante ?

Etablir un ordre (ce n’est pas grave si l’ordre n’est pas stable/exact)

Ensuite définir le plus exactement possible tout ce que telle valeur représente pour la personne. Chaque personne donne des significations très différentes pour les même valeurs.

Ressentir.

Quels moments de la vie passée ou imaginée correspond au ressenti ?

Ancrer la ressource.

Aligner croyances et désir

Aligner croyances et désir
Etudier un désir, et 5 croyances qui s’y rapportent. Souvent on s’aperçoit que nos croyances ne soutiennent pas nos désirs et sont même à l’opposé. On peut donc travailler sur les croyances. on peut faire cela dans tous les domaines de vie autant de fois qu’on veut.

Voir aussi l’outil de définition des valeurs

Changer de réalité Outil de Coaching la projection

Réalité non désirée

On vit ce qu’on attire : si je vis une situation que je ne veux pas, c’est que j’ai attiré une situation que je ne veux pas vivre. Je crée ce que je projette.

Réalité désirée : Pourquoi je veux cela ? et pourquoi je crois que ça peut arriver ?

Est-ce que je veux cela ? Vous ne pouvez pas avoir tout ce que vous voulez, tu peux juste avoir ce que tu es prêt à être. on ne peut pas avoir sans être : Est-ce que je suis prêt à être ce que je désire ? Ce que je désire veut aussi des choses de moi, suis-je prêt ?

Aligner croyances et désir
Etudier un désir, et 5 croyances qui s’y rapportent. Souvent on s’aperçoit que nos croyances ne soutiennent pas nos désirs et sont même à l’opposé. On peut donc travailler sur les croyances. on peut faire cela dans tous les domaines de vie autant de fois qu’on veut.

Exercice des lignes de vie :
lignes de vie sur plusieurs années – fonctionne très bien à distance
Accompagné : les feuilles avec les 5 prochaines années placées au sol,
la personne se place sur chaque feuille en se projetant dans l’année en question, puis avance.

Faire un vide mental : Se mettre dans la neutralité émotionnelle, défocaliser le regard, défocaliser les émotions, se séparer totalement du passé, des préjugés, des croyances.

Se connecter à son soi futur : Se concentrer avec l’intention d’entrer en synchronicité avec la situation future, pendant 3 minutes au moins, en passant en revue le vakog, la pyramide de Dilts, lieux, sensations, couleurs, sons, température, ambiance, détails de la vie.

Ce moi de dans un an va écrire / décrire trois scenarios, trois réalités projetées de ce qui s’est passé depuis un an :
– version négative
– version positive
– version intermédiaire

Ces trois versions permettent :
1 – de définir les résistances,
Observer la situation que je vis, sans jugement.
Quelle partie de moi est en train de vivre la réalité non désirée ?
Puis ressentir quelles sont les émotions que j’ai
ce qu’il faut mettre en place,
2 – Re-préciser son choix, mettre en place les comportements correspondants

BOOSTER LES CHOIX – Outil de Coaching – Mantra

BOOSTER LES CHOIX

1 – pourquoi et pour quoi je fais ce choix maintenant ?

2 – quelle partie de moi fait ce choix ?
3 – à quelle personne concept ou pensée je reste fidèle quand je fais ce choix ?
4 – qu’est ce que je défends comme valeur en faisant ce choix ?

5 – qu’est ce que ce choix m’ouvre comme opportunités futures ,

6- est-ce que la meilleure version de moi choisirait cela ?

7 – si j’étais limité est-ce que je ferais vraiment ce choix et sinon quel choix ferais-je ?

8 – Qu’est-ce qui n’a pas changé dans ma vie depuis un an ?

9 – Dans quel sens ma vie serait impactée si je changeais ? Quels choix faut-il faire pour cela ?

10 – Quelles sont les idées auxquelles je n’ai pas encore pensé ?

 

Outil de Coaching situation dérangeante

OUTIL DE COACHING Dans toute situation qui dérange :

Exemple : « dans mon travail telle chose me dérange vraiment »

quelle version de moi se sent dérangée par la situation ?
quelle version de moi ne se sentirait pas dérangée par cette même situation ?

Je peux choisir de m’identifier à la version qui ne me dérange pas,
==> donc je vais agir en fonction de cela,
==> et ma réalité va changer
==> la situation ne sera plus dérangeante.

 

Écouter du Prozac mais entendre du placebo : Une méta-analyse des médicaments antidépresseurs.

Article sur l’effet placébo du Prozac

Écouter du Prozac mais entendre du placebo : Une méta-analyse des médicaments antidépresseurs.

Résumé

Posté le 06/26/1998. Les tailles d’effet moyennes pour les changements dans la dépression ont été calculées pour 2 318 patients qui avaient été assignés de façon aléatoire à un médicament antidépresseur ou à un placebo dans 19 essais cliniques en double-aveugle.

En tant que proportion de la réponse au médicament, la réponse au placebo était constante pour les différents types de médicaments (75 %), et la corrélation entre l’effet placebo et l’effet médicamenteux était de 0,90.

Ces données indiquent que la quasi-totalité de la variation de la taille de l’effet du médicament est due aux caractéristiques du placebo des études.

L’ampleur de l’effet des médicaments actifs qui ne sont pas considérés comme des antidépresseurs était aussi importante que celle des médicaments classés comme antidépresseurs, et dans les deux cas, les placebos inactifs ont produit une amélioration qui représentait 75 % de l’effet du médicament actif.

Ces données soulèvent la possibilité que l’effet apparent du médicament (25 % de la réponse au médicament) soit en fait un effet placebo actif.

L’examen des échantillons d’effet pré-post chez les personnes déprimées assignées à des groupes de contrôle sans traitement ou sur liste d’attente suggère qu’environ un quart de la réponse médicamenteuse est due à l’administration d’un médicament actif, la moitié est un effet placebo et le quart restant est dû à d’autres facteurs non spécifiques.

(Dossier de la base de données PsycINFO (c) 2016 APA, tous droits réservés).

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Le Coaching pour se réaliser Soi

Le Coaching pour se réaliser Soi

 

N’avez-vous jamais remarqué que parfois, on est plongé dans une activité qui nous passionne, le temps n’existe plus, le monde autour peut s’écrouler, on est dans une autre dimension ?  Quand on est « dedans » le moment présent, c’est ça le lâcher-prise, quand le temps est suspendu, d’ailleurs il s’allonge. Dans cet état, on EST !

Et pour en parler, quand par exemple quelqu’un nous demande «  tu fais quoi là, tu veux bien m’expliquer stp ? » ou simplement quand on est interrompu, alors on est obligé de sortir du moment, ou quand on décrit, on est dans le mental. Sortir de cet état, c’est comme sortir d’une immersion dans un autre milieu.

Être dans le moment présent, c’est se détacher de la matière-alité, la matière n’est qu’un vecteur, un outil de ce moment présent de bonne heure, alors que souvent les gens pensent qu’avec plus de matière ils auront du bonheur. Je pense que c’est faux.

Savoir se ménager des moments pour se détacher de la temporalité nous permet d’accéder à la part profonde de notre Être. L’artiste ne crée pas une œuvre avec le cerveau cortical, il doit se détacher. Nous sommes tous « artistes » au sens large du terme. Ce sont les moments où nous créons du beau, de l’excellence, de la nouveauté, même si ce n’est que pour soi, même si c’est très modeste.

Ce sont ces moments où nous sommes plongés dans le faire : une méditation silencieuse est une voie très difficile car elle est statique, et souvent, d’autres formes d’Être soi se trouvent dans une séance de yoga, jouer de la musique, contempler un coucher de soleil, fabriquer du pain dans sa cuisine, ou encore rassembler des textes qu’on aime, escalader une paroi, nouer des macramés, ou alors assembler les pièces d’un meuble, etc… chaque-un quand possède ses propres domaines qui le passionne.

C’est là que se trouve la satisfaction profonde, un sentiment d’Être, une identité plus palpable, et les révélations du soi !

Certains en font leur métier, et je pense que nous devrions tous faire des métiers qui nourrissent notre Être intérieur tout autant que nos ventres. A tout le moins, chaque-un(e) peut trouver son espace d’Être dans ses moments de loisirs.

Le Coaching d’accompagnement vous permet d’accéder à cet état d’Être, que ce soit de réaliser un vieux rêve, de mettre en œuvre une passion, ou de faire d’une passion un métier, ou encore de définir quelles seraient vos voies pour vous épanouir !

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