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Atelier découverte de soi PNL – VAKOG

Atelier : quelles couleurs/sons/sensations/odeurs/textures

signifient

nos émotions, nos souvenirs, nos moments de vie, nos chers, notre quotidien du matin du soir
Ensuite nos hobies, loisirs ?
Ensuite nos croyances ?
Ensuite nos valeurs ?
si j’étais une couleur/chanson/parfum/texture ?

 

idées reçues sur la confiance

L’un des aspects délicats de la confiance est le langage que nous utilisons. Changeons donc trois hypothèses ou perceptions erronées sur la confiance.

1 – l’objectif est d’accroître la confiance. La confiance n’est pas une question de quantité, mais de qualité. Pensez à quelqu’un dans votre vie qui a brisé votre confiance. Ce n’est pas que vous avez baissé un cran votre confiance, non ! vous ne voulez plus lui accorder votre confiance. Nous ne mesurons pas le degré de confiance, mais les personnes. Ainsi, nous faisons confiance aux autres, la confiance n’est pas attachée à la personne ou à un élément extérieur. Ce que nous voulons, c’est accorder notre confiance à des personnes dignes de confiance.

2 – l’idée que nous pouvons construire la confiance. C’est une drôle de façon d’envisager la confiance, car elle vous fait penser que vous avez le contrôle et que vous allez construire quelque chose, alors que ce n’est pas ainsi que cela fonctionne. La confiance se gagne en permanence. La confiance est quelque chose qui vous est donné, qui ne s’acquiert pas. Nul ne peut acheter ou la construire la confiance qu’ont les autres.

3 – La confiance serait une confiance générale, et d’absolu. La confiance est contextuelle et subjective. Donc, vous devriez toujours penser que c’est faire confiance à quelqu’un pour un ou des sujets précis. Même quelqu’un qu’on aime profondément, n’aura pas ma confiance sur tout, et c’est ok : ma conjointe n’est pas moniteur de parachutisme, ce n’est pas à elle que je vais demander conseil pour mon premier saut en parachute.  De même, si plus tard ma conjointe devient moniteur, je lui ferai confiance pour mes sauts en parachute.

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Utiliser la posture dans des moments déstabilisants

Un bon moment pour utiliser une posture de pouvoir est lorsque vous êtes confronté à une « situation de menace sociale », par exemple à un moment où vous pensez que vous pourriez être jugé. Il peut s’agir d’un entretien d’embauche, d’un rendez-vous galant, lors d’une prise de parole en public, lorsque vous devez avoir une conversation difficile avec quelqu’un, lors d’une rencontre avec de nouvelles personnes.

Avant d’entrer dans la situation, peut-être dans les toilettes où personne ne peut vous voir, tenez-vous debout ou assis : debout, la tête haute, les bras écartés, peut-être sur les hanches, en posant comme la personne la plus confiante du monde. Rappelez-vous que cela va instantanément réduire votre taux d’hormones de stress et augmenter votre taux de testostérone.

Ensuite, lorsque vous êtes réellement dans la situation, sans être trop exagéré, gardez la tête haute et gardez une posture ouverte. Vous verrez à quel point vous vous sentirez plus confiant et plus détendu.

Les postures, les hormones et les émotions

Lorsque vous êtes triste, en colère ou heureux, vous avez tendance à avoir l’air triste, en colère ou heureux.

Mais ce qui va vous intriguer, c’est que le psychologue Paul Eckmann a découvert que, quelle que soit la culture dans laquelle vous êtes né, même dans une culture très éloignée qui n’a jamais eu de contact avec d’autres cultures, si vous êtes triste, vous avez tendance à regarder vers le bas, à rapetisser votre corps en croisant les bras, ou à pleurer.

En revanche, quand on est heureux, on a tendance à sourire et à regarder vers le haut.

Quand on se sent courageux et confiant, on a l’air courageux et confiant, et quand on a peur, on a l’air d’avoir peur.

En d’autres termes, les expressions faciales et les postures corporelles, ou ce que l’on pourrait appeler le « langage corporel » des émotions, sont universelles et solidement ancrées, plutôt que culturellement déterminées ou apprises. Les expressions et les postures corporelles associées à la peur, au bonheur, à la colère… ou à toute autre émotion… sont universelles.

Le langage universel des émotions

Ainsi, lorsque vous êtes confiant, vous adoptez des postures corporelles ouvertes et vous regardez vers le haut.  Imaginez une personne assise à un bureau, les pieds posés sur le bureau, assise en arrière avec les mains jointes derrière la tête – c’est un regard confiant. Bien sûr, vous pouvez avoir l’air sûr de vous debout ou assis. Imaginez maintenant quelqu’un qui regarde le sol, les bras croisés comme s’il se protégeait.

Dans une posture, vous êtes agréable, ouvert et occupez l’espace, et dans l’autre, vous essayez de vous rapetisser, littéralement comme si vous ne vouliez pas être là, ou si vous aviez l’impression que vous ne devriez pas être là du tout.

Ainsi, lorsque nous ressentons une émotion, nous avons tendance à nous présenter d’une certaine manière. Mais ce n’est pas tout.

La soirée cocktail

Lorsque nous animions notre atelier d’hypnose avancée en direct (il est désormais en ligne), nous terminions par un exercice amusant appelé « la soirée cocktail ». Les participants étaient mis par deux et chacun recevait une carte sur laquelle était inscrite une émotion. Ainsi, par exemple, la personne A pouvait avoir écrit « triste » sur sa carte, tandis que la personne B pouvait avoir écrit « confiante » sur sa carte. On leur a ensuite demandé de parler pendant quelques minutes du temps qu’il faisait, de l’endroit où ils aimeraient aller ou des vacances qu’ils avaient passées. Mais ils devaient parler avec les expressions faciales et la posture du corps correspondant à l’émotion inscrite sur leur carte. Ainsi, la personne A ayant la carte « triste » devrait discuter en ayant l’air triste et déprimé, la tête baissée, la voix triste, etc. Pendant ce temps, la personne B, avec la carte « confiant », discuterait du temps qu’il fait ou des vacances en se montrant aussi confiant que possible, en adoptant une posture ouverte, en levant la tête, en souriant, etc… Après quelques minutes de conversation « dans le personnage » ou, devrais-je dire, dans le personnage de la carte d’émotion qui leur a été donnée, on leur a demandé d’échanger leurs cartes tout en gardant les mêmes expressions faciales et la même posture corporelle. Ainsi, la personne qui avait l’air triste devait continuer à avoir l’air triste, mais essayer de communiquer comme si elle se sentait vraiment confiante, tandis que l’autre personne devait continuer à avoir l’air vraiment confiante, mais parler comme si elle était vraiment déprimée… Comme vous pouvez l’imaginer, avec une salle pleine de gens, cela devenait assez hystérique.

Les effets du « jeu d’acteur : Cet exercice nous a permis de constater deux choses importantes. Tout d’abord, nos élèves commençaient à ressentir réellement l’émotion qu’ils jouaient. Ainsi, les personnes « tristes » avec des expressions et des postures tristes commençaient à se sentir réellement négatives, tandis que les personnes avec les cartes « confiant », « heureux » ou « en colère » commençaient également à se sentir ainsi. Deuxièmement, il était pratiquement impossible d’échanger des cartes et de maintenir une posture corporelle et une expression faciale confiantes tout en étant triste ou effrayé. Notre physique et la manière dont nous l’exprimons sont donc influencés par les émotions que nous ressentons. Mais cela fonctionne aussi dans l’autre sens.

La voie à double sens

La façon dont nous nous tenons et l’expression de notre visage peuvent également nous faire ressentir une certaine émotion, comme l’ont montré les recherches scientifiques. Il a même été constaté que le fait de se forcer à regarder d’une certaine manière pendant quelques minutes seulement peut modifier l’équilibre de certaines hormones. Il s’agit donc d’un phénomène puissant. Si vous observez des personnes en train d’interagir, certaines auront l’air puissantes – même si elles sont physiquement petites, elles auront toujours l’air confiantes et sûres d’elles.

Les chercheurs en psychologie se sont récemment intéressés à la question de savoir s’il était possible d’amener les gens à éprouver des sentiments et des pensées spécifiques en les amenant à se comporter d’une certaine manière. La réponse est oui. Par exemple, lorsque des personnes sont artificiellement amenées à sourire – on leur demande de tenir un crayon longuement entre leurs dents pendant qu’elles effectuent une tâche – elles se disent plus satisfaites de leur tâche et plus optimistes en général. Cela signifie que le simple fait de faire travailler les « muscles du sourire » du visage peut aider les gens à se sentir mieux.

On a également constaté que les adolescents qui parlent de ce qu’ils veulent faire à l’avenir se sentent beaucoup plus confiants dans leur capacité à atteindre leurs objectifs lorsqu’ils en parlent assis en position verticale, en regardant vers le haut.

Ce que j’ai appris

Depuis que j’ai pris connaissance de cette étude, je fais attention à ne pas trop me pencher sur mon ordinateur ou à ne pas regarder vers le bas pendant de longues périodes lorsque j’envoie des SMS. Ce que nous faisons de notre corps pendant la journée a des effets directs et immédiats sur notre psychologie et sur notre vie en général.

exercice pour plus de confiance

Mark Tyrrell nous propose : Comment ajouter la confiance en soi dans une scène de la vie qui jusque-là se déroule dans un manque de confiance, dans une montée d’angoisse, ou de colère, ou encore de la destabilisation.

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Préalable : identifiez une situation dans laquelle vous êtes typiquement et de façon récurrente en déficit de confiance. Ces situations où vous êtes facilement destabilisé, et perdez vos moyens, qui peut mener à de l’angoisse, de l’anxiété, de la colère, de la mélancolie, la dévalorisation. Ce moment est appelé « situation » et se déroule dans le futur, lors d’un évènement.

************  relaxation ******************

1 Trouvez un endroit confortable et paisible pour vous asseoir ou vous allonger, où vous savez que vous ne serez pas dérangé pendant un certain temps. Fermez les yeux
les yeux et commencez à prêter attention à la sensation d’un repos de plus en plus profond à chaque respiration.

2 Au fur et à mesure que votre respiration devient plus lente et plus douce, visualisez votre couleur préférée en la faisant correspondre avec une profonde relaxation. Remarquez que la couleur, votre couleur, passe à travers les fibres musculaires de vos pieds, les réchauffant peut-être un peu alors que vous vous détendez plus profondément, diffusant l’apaisement. Observez dans votre esprit la façon dont cet état de paix et la relaxation se répandent dans les muscles de vos jambes, de votre torse et de tout votre corps au fur et à mesure que vous entrez en transe hypnotique. Prenez votre temps.

*******************   Methode   *****************

3 Prenez progressivement conscience que vous vous observez dans un futur proche, l’air détendu et en pleine confiance dans la situation choisie.

4 Remarquez à quel point vous semblez satisfait après cet événement, que le « vous » est heureux d’avoir ajouté une corde de plus à votre liste de situations réalisées et vécues en toute confiance.  Dans le ici et maintenant, prenez le temps d’enregistrer pleinement à quel point vous vous sentez calme et profondément heureux. Ressentez, visualisez, entendez, sentez;. Prenez le temps.

5 Ensuite, redirigez votre attention vous observant calme et serein au fur et à mesure qu’elle se déroule, observez-vous avec l’air si serein, si détendu et si confiant tout au long de la scène.

6 Observez et repérez comment se manifeste la sérénité et la confiance dans le « vous » de la situation projetée. Par exemple vous pouvez remarquer comment les autres personnes sont affectées par la confiance et le calme que vous dégagez dans cette situation.

7 A présent, muni de cette sérénité profonde et protectrice que vous ressentez dans l’ici et maintenant, vous avez l’impression de dériver vers le futur et de fusionner avec ce vous dans cette situation, afin de découvrir ce que vous ressentez de l’intérieur lorsque vous vous sentez serein et en pleine confiance, en accueillant en toute confiance tout ce qui se passe au fur et à mesure que la situation se déroule, en sachant que, quoi qu’il arrive, vous allez bien.

************** réintégration ***********

8 Lorsque votre inconscient vous fait savoir que vous avez appris tout ce qu’il faut de cette expérience, laissez-vous dériver hors de cette situation future et revenez dans l’ici et maintenant.

9 Lorsque vous êtes prêt, sortez de l’hypnose et revenez dans la pièce en vous sentant
reposé, revigoré et inspiré.

Méthode Sedona pour les fins, les séparations et les deuils

 

  • Quand cette personne meurt lentement, qu’elle laisse derrière elle un mari et peut-être deux filles, je suis rongée par la douleur.
  • Bien sûr, c’est aussi le cas ici maintenant
  • commençons par un souvenir il y a tous ces souvenirs sur toute cette période
  • oui
  • et il y a aussi une douleur liée à tous ces souvenirs
  • oui
  • oui mais il y a aussi beaucoup de douceur
  • oui
  • parfois, lorsque nous avons un tel mélange, nous pensons que nous devons nous accrocher à l’ensemble parce que si nous laissons aller la douleur, nous avons peur de perdre la douceur. C’est le cas lorsqu’une relation se brise, que quelqu’un meurt ou que quelqu’un disparaît tout simplement de notre vie. Nous avons peur d’abandonner la douleur et la souffrance qui nous sont attachées, les souvenirs, parce que nous avons peur de perdre la personne ou de perdre notre amour pour elle. Mais d’après mon expérience, c’est le contraire qui est vrai : si nous nous accrochons à la douleur ou à la souffrance, nous nous coupons de l’amour que nous sommes.
  • Alors, en cet instant, laissez-vous aller à vous souvenir de votre femme, pouvez-vous ressentir ne serait-ce qu’un peu de l’amour que vous lui portez ?
  • oui
  • ok et pouvez-vous le laisser briller
  • oui
  • et laissez-le briller dans tous ces souvenirs. il vient en fait d’ici (geste des deux mains et bras du centre du corps) vers l’extérieur et si vous le laissez faire, il commencera à dissoudre toutes ces choses que vous avez transportées. et vous remarquerez qu’il deviendra de plus en plus fort au fur et à mesure qu’il les consumera dans la flamme de cet amour, alors laissez tout brûler
  • Appelez un souvenir douloureux et laissez-le venir.
  • d’accord
  • et pourriez-vous accueillir ce souvenir
  • ok
  • Et puis, pourriez-vous aussi accueillir votre désir de le changer, de le rendre différent de ce qu’il était ? et pourriez-vous aussi accueillir ce sentiment que c’est personnel ?
  • oui
  • vous êtes venu ici pour lâcher quelque chose avec lequel vous luttez depuis 20 ans, alors vérifiez maintenant si tu vous avez perdu de l’amour ou si tu vous avez un peu plus d’amour à votre disposition en ce moment.
  • d’accord, pourriez-vous accueillir l’amour ?
  • oui
  • oui et ensuite pourriez-vous accueillir le reste de la douleur, de la souffrance et des souvenirs?
  • oui
  • l’amour lui-même, si vous le permettez, effacera simplement tous les autres souvenirs. vous n’avez pas besoin de les trier, vous n’avez pas besoin de vous souvenir de chacun d’entre eux, vous n’avez pas besoin de vous assurer de tous les détails, ce n’est pas nécessaire ! en ce moment, il y a cette conscience.
  • Maintenant, la conscience elle-même est personnelle ou est-elle simplement  » est  » ?
  • elle est
  • c’est vrai et est-ce qu’il y a des limites ?
  • non
  • elle est juste et a-t-elle un début ou une fin ?
  • non
  • à l’heure actuelle, votre femme était-elle séparée de cela ?
  • non
  • c’est ce que vous êtes séparé d’elle ?
  • non
  • oui donc s’il n’y a pas de centre personnel, y en avait-il un en elle ?
  • non, c’est ce que j’ai commencé à réaliser à l’instant.

Méthode Sedona pour l’addiction alimentaire

 

  • avez-vous une habitude particulière à l’esprit oui une habitude d’utiliser la nourriture, pour le confort ou l’énergie pour calmer les choses
  • oui pour exciter les choses
  • en ce moment, utilisez-vous la nourriture pour quoi que ce soit ?
  • non
  • d’accord alors pourriez-vous accueillir ce souvenir de la façon dont vous avez utilisé la nourriture pour de nombreuses choses en plus de simplement soutenir le corps ?
  • oui
  • d’accord et pourriez-vous accueillir ce souvenir dans son intégralité ?
  • oui
  • ok et puis pourriez-vous aussi accueillir tout sentiment de vouloir être contrôlé par la nourriture
  • oui
  • ok bien et ensuite pourriez-vous accueillir tout désir de vous débarrasser de ce souvenir, de le changer ?
  • oui
  • bien et ensuite pourriez-vous accueillir tout sentiment que c’est à propos de vous ou de qui vous êtes
  • oui
  • quand on a beaucoup de souvenirs associés à une tendance particulière, on a l’impression que tous ces souvenirs doivent appartenir à quelqu’un
  • Oui, et je pense que c’est parce qu’il y a une sensation qui surgit dans le fait d’être assis ici et de se sentir fatigué et donc la sensation de manger quelque chose surgit
  • tout le monde s’y réfère
  • très bien et tout au long de ma journée, je travaille sur l’ordinateur et je suis stressé, vous savez, et c’est en fait la sensation de manger quelque chose, c’est la pensée mais elle surgit comme une sensation corporelle
  • absolument et donc chaque fois que cela se produit, cela renforce le souvenir.
  • c’est vrai, mais encore une fois, rien de tout cela ne se produit en ce moment.
  • c’est vrai
  • ok donc tous ces souvenirs parce que tu les as simplement accueillis
  • oui
  • et ensuite tu pourrais accueillir le reste du sens que ces souvenirs sont ce que tu es
  • oui
  • oui pourriez-vous accueillir ce sentiment d’avoir construit toute une identité autour de votre relation à la nourriture ?
  • oui
  • et maintenant vérifiez si vous avez besoin que cette identité soit liée à la nourriture
  • non
  • si cette sensation se présente à nouveau, remarquez-la simplement et accueillez-la, remarquez les sensations, remarquez les voix dans votre tête « oh que manger que puis-je manger, je dois manger maintenant » ; Accueillez simplement ce phénomène où que vous vous trouviez, très rapidement il commence à se dissoudre. et vous pouvez passer par le schéma encore quelques fois et puis il commencera à disparaître. Et soyez ouvert à la possibilité qu’il ne se présentera plus jamais.

Ce en quoi j’ai foi

le mouvement, c’est la Vie !

la solution est à l’intérieur !

la joie est l’objectif primaire de tout être !

Le bonheur n’est pas un état extatique permanent, mais de vivre bien avec ce qu’on a dans son environnement.

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La méthode de Coaching que je propose est basée sur ces principes.

 

Le mouvement :

Le mouvement du temps. Se défaire du passé, parce qu’il n’existe pas ! Ce qui existe, c’est ce que j’en ai gardé ! Souvent, ce que j’en ai gardé est stocké dans le subconscient, dans mes automatismes. Mais je ne suis pas prisonnier de mes automatismes, je peux les modifier. Même l’aspect que nous pensons le plus inaccessible qu’est l’héritage génétique et transgénérationel peut être rectifié, car les gènes hérités ne sont pas automatiquement activés. Comment faire cela ? On peut utiliser l’hypnose, je préfère utiliser les techniques très simples de la PNL et associées, par exemple la méthode Sedona, ou encore le PsychK. La méthode utilisée sera choisie en fonction de la joie de vivre procurée.

Le futur n’existe pas, c’est une appréhension, ou une joie anticipée. Dans les deux cas, il ne doit pas diriger ma vie et je ne dois pas être dans une attitude d’attentisme

Attentisme négatif : « oh là là tout va mal, l’avenir est catastrophique » comme on l’entend tous les jours dans les médias. S’abreuver de news génère du stress cellulaire et psychique, et nous empoisonne l’existence, nous empêche de voir notre quotidien de façon optimiste. Le programme que je propose incite à réduire l’addiction aux médias et à les remplacer par du positif, selon les inclinaisons de chaque-un.

Attentisme positif :  » je vais faire des prières et je vais remettre mon destin entre les mains de Dieu, du Président, des médicaments, des docteurs … (compléter) et j’espère que je serai heureux  » : une telle attitude, très courante, permet en effet de rester dans le confort dans lequel nous avons grandi, celui de l’assistanat, mais elle nous coupe de la partie active de notre existence. Quand quelque chose va mal, cette attitude est équivalente à lancer des dés en espérant un double : ça n’arrive pas souvent. Le programme que je propose est celui de la conquête de la confiance et de l’estime de soi pour devenir acteur de sa vie, afin que le futur soit ce à quoi je tends chaque jour dans mes actes, et non pas dans mes voeux ou dans la démission de la responsabilité de ma vie dans ce que d’autres décident à ma place !

Le Mouvement de l’esprit, qui amène à la responsabilité : avoir la capacité de respondre, la compétence de répondre à et de ma vie. Cette aptitude d’autonomie implique une clarté d’esprit, et une connaissance de soi, de l’estime de soi, l’estime se rapportant à « Être ». Nous ne pouvons pas physiologiquement être responsables de nous-m’aime si nous ne nous aimons pas, si nous n’avons pas une pensées claire, souple, libre. Or, quand le quotidien est rempli de saccades, de stress, de bruit, de sur-pression qui mène à la dé-pression, quand aucun moment de silence n’est tolérable car stressant, quand il n’y a aucune place pour l’introspection, il est physiologiquement impossible d’être dans une pensée claire, posée, car la prise de recul ne peut exister dans l’agitation. Voilà pourquoi les séances que je propose se déroulent dans l’action, dehors, au contact de la nature, car nous sommes des êtres vivants et donc en mouvement. Je vous accompagne sur le chemin de votre vie en mode dynamique, car par définition il est impossible d’avancer si on reste scotché sur un divan de psy, on ne peut que y ruminer… ; + j’associe la méditation à ma méthode, sachant que la méditation n’est pas forcément rester assis à ne rien faire, on peut très bien méditer en jouant d’un instrument de musique, en faisant un sport, il y a mille formes de méditation, chaque-un trouve sa manière selon la joie de vivre qu’elle lui procure.

Le mouvement du corps : Je ne comprends même pas comment on peut séparer le corps et le cerveau. Où est la séparation ? Quand on coupe le cerveau, le corps ne fonctionne plus, et inversement. Le corps et le cerveau et le coeur sont intriqués, il n’y a pas de différence, par de séparation ! Traiter l’un sans tenir compte de l’autre me parait juste impossible. Mon approche de la Médecine Traditionnelle Chinoise m’incline à considérer une personne comme un Être entier, total, unique. Comme vous le savez peut-être, dans les médecines naturelles on parle d’énergies. Ces énergies sont faibles ? Elles mènent à des déséquilibres, ce que la médecine allopathique nomme des maladies. Mon approche est globalisante, je ne suis pas docteur, ceci dit, un esprit sain réside dans un corps sain, et un corps malsain ne peut pas soutenir un esprit sain. Le corps communique avec le cerveau, et s’échangent des informations auxquelles l’autre répond. Les connexions sont nombreuses et complexes, la science commence seulement à les découvrir et c’est un domaine passionnant.
La méthode que je propose remet du mouvement dans le corps, là aussi en s’adaptant à chaque personne, car nous sommes tous uniques. En observant le plaisir de vivre procuré ou non, Vous vous rendrez compte par vous-m’aime des bienfaits ou des méfaits de votre alimentation en nourriture et en air, et trouverez votre formule à vous.

Chaque séance est ponctuée de mise en action : concrètement, qu’est-ce que je mets en place qui me fasse plaisir ? Comment je le fais ? avec quels moyens ? est-ce réaliste ? réalisable ? comment je vais mesurer ? généralement ce sont des petits actes, et petit à petit on se rend compte qu’on a fait du chemin y compris par des petites actions, car elles s’entrainent les unes les autres. Pour une personne qui se sent dans une phase dépressive, la perspective de « devoir » se mettre en action peut sembler déprimante. Mais la mise en action sera déjà faite, par la séance elle-même, car le fait de marcher et d’être au contact de la nature génère du mouvement.

Les solutions sont à l’intérieur : c’est la partie décevante de ma méthode, celle qui rebute ! En effet, je ne propose pas de solution miracle, je ne donne pas de diagnostic, je ne propose pas une orientation claire et définie.

La ronde des spécialistes
Si vous avez mal à la tête :
– Le dentiste va vous dire que c’est à cause de vos infections parondontose ou de vos plombages, si ça ne marche pas vous aurez une dent contre lui
– Le chiropracteur va vous dire que c’est à cause de vos cervicales, vous en avez plein la tête
– Le psy va vous dire que c’est le stress, et ça vous stresse
– Le généraliste va vous donner du paracétamol
– Son collègue vous demandera si vos parents avaient mal à la tête et dira « c’est génétique, on ne peut rien faire, prenez du paracétamol »
– le diététicien vous dira que c’est à cause de votre alimentation, et vous sortez déprimé en plus
– le radiesthésiste dira que c’est à cause des ondes de téléphone, vous en étiez sûr
– le podologue dira qu’il vous fait des semelles, ça vous fait une belle jambe
etc…
Rien n’est faux, et votre collègue va peut-être avoir été soulagée par une consultation chez l’un des spécialistes. Mais vous, vous n’allez pas être soulagée. Alors vous remettez en cause soit le spécialiste, soit la collègue, soit vous-même ! Ensuite, vous faites le tour de tous les spécialistes. A la fin, vous trouvez peut-être un soulagement. Mais est-ce que vous aurez traité l’origine ? Mais a-t-on toujours besoin de traiter l’origine ? Par forcément, car un corps sain dans un esprit sain s’auto-guérit en permanence.

Ma méthode propose de ne pas nier les problèmes de votre existence, mais elle vous valorise et vous ouvre la voie pour que vous trouviez votre manière d’être le plus à l’aise possible avec vos problèmes, au quotidien.

 

LA LIBERTE : change la signification et la vie change

la signification est dans l’esprit. Donc, changer la signification d’un évènement, d’un objet, d’une fonction, d’une personne, d’un processus, change ces choses.

 

évènement + signification = émotion

on ne peut pas changer un évènement, mais on peut revoir sa signification.

changer la signification d’un évènement = changer l’émotion

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Je suis tombé à vélo et je me suis cassé les deux épaules. Quelle signification cela a ?  exemples : « maladroit », « imprudent », « malchance », « inconsciemment tu l’as voulu », « le destin », « ton karma », etc… sont des significations. L’évènement est le même, pourtant.

Hier au restaurant, au bout de 3 heures de repas j’ai pris ma veste et je suis sorti pour prendre l’air deux minutes. En me levant, mon père assis à l’autre bout de la grande tablée a donné une signification  » tu t’en vas ?  » … non, et j’ai été obligé de rectifier sa signification en expliquant que je ne sors que pour prendre l’air. Le geste est pourtant le même, je mettais la veste et je sortais.

J’offre des roses rouges à une femme : cela « signifie » que j’exprime de l’attirance affective et/ou sexuelle. C’est une « signification culturelle ». Pour d’autres cultures, ces mêmes roses n’ont pas du tout cette signification. Ce sont les mêmes roses, pourtant.

L’autre jour, une collègue me demande si je veux prendre un café. Je mets une fraction de seconde avant de répondre car je ne demandais si nous n’étions pas déjà proches de la prochaine réunion. Cela a suffit à générer chez elle la question  » si t’as pas envie, c’est pas un souci « . J’ai alors expliqué la raison de ce qui a pu paraitre être une hésitation, cela a désactivé l’émotion née en elle.

Dans la rue j’ai failli être renversé par un vélo. L’évènement c’est la peur. J’ai gueulé sur le cycliste. C’est la réaction que j’ai eu après avoir donné une signification, celle de l’inconscience du cycliste, de son manque d’attention, ou même de sa stupidité, ou de son manque de respect, etc… je peux donner tout un tas de significations, ou pas. Je peux aussi dire « j’ai eu peur, cependant il ne m’est rien arrivé, c’est cool »

 

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L’évènement est simple, neutre,  l’évènement est la nature, c’est l’énergie de vie.

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La signification :  Le vécu émotionnel colorie tout évènement.

Si j’associe la douleur de la chute à vélo à de la maladresse, je vais vivre la douleur comme une émotion de dévalorisation de ma personne;

Si je la vis comme une malchance, je vais l’associer à une émotion de « pauvre de moi j’ai encore de la malchance », et je vais faire remonter tous les souvenirs d’autres « malchances » pour conforter cette croyance.

Si j’ai associé la couleur rouge des roses à de l’amour, je vais pouvoir exprimer par les roses rouges ce que je n’ose pas exprimer de façon directe.

Mais si la personne ne connait pas ce « code », elle ne va pas comprendre. Si mon père associe le fait de sortir du restaurant à quitter la fête familiale, il donne une signification négative à l’évènement.

Si la personne a vécu un enfer avec un homme qui lui offrait des roses rouges pour se faire pardonner de l’avoir battue, son vécu émotionnel peut réveiller des blessures.

 

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Les associations émotionnelles inconscientes et individuelles colorient les évènements

L’évènement n’a pas de signification, c’est notre association émotionnelle qui colorie chaque évènement.

Le coloriage émotionnel des évènements est inconscient. L’exemple des roses rouges = amour est une association inconsciente. Nous en avons des tas. Elles sont souvent inconscientes, liées à des croyances, liés à la science.

Dans l’exemple de mon père qui me voyait me lever pour sortir du restaurant, sa réaction était immédiate, instinctive, c’est une réaction inconsciente.

Dans l’exemple du cycliste qui a failli me renverser, il ne s’est rien passé, pourtant mon émotion de peur a été sollicitée, avec justesse d’ailleurs. Mais ensuite, si j’associe cet évènement au cycliste, ou a tous les cyclistes, je fais une association d’idée qui va me mener à un certain comportement.

On l’a vu pendant la crise covid et aujourd’hui encore, le port du masque pour se protéger soi est totalement inutile, mais associé à la peur il rassure les personnes qui pensent que le masque les protège. Et le fait de ne pas être dans le stress permanent de la peur « si je ne porte pas de masque, je vais tomber malade » va les protéger dans les faits, puisque le stress génère un affaiblissement du système immunitaire.

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Chacun est responsable de ses associations.

Et par sa question, mon père a probablement associé le fait que je me lève par le fait que je quitte la fête familiale, ce qui n’est probablement pas une émotion – d’énergie montante – positive. Pourtant, je n’avais pas cette intention, c’est son vécu en lui, son association. Chacun est responsable de ses associations.

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La signification est dans la tête

La signification de tout évènement, ou de la couleur des roses, ou d’une parole, ou d’une action, est dans la tête. Je peux choisir de changer la signification de tout ce qui m’arrive.

Par exemple, quand il pleut, je peux donner une signification « il fait moche », et l’énergie sera celle d’une forme de tristesse, de colère, de frustration ou encore de lassitude. Je peux aussi lui donner une signification différente « c’est bon pour la nature », ou encore une signification neutre : « il pleut » sans y accrocher d’émotion particulière, en laissant la pluie tomber, je ne peux rien y faire de toutes manières. Lâcher prise.

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Prendre conscience du pouvoir

Etant donné que la signification est dans la tête, j’ai le pouvoir de considérer l’évènement comme je l’entends. Encore faut-il que je prenne conscience que j’ai ce pouvoir.

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Se donner le droit à ce pouvoir ce choisir

Régulièrement, je croise des personnes qui me disent  » oui enfin quand même, je n’ai pas le choix le monde est comme ça, regarde tous les malheurs !  » … ce n’est pas démissionner de son rôle de bon citoyen que de ne pas suivre le troupeau, surtout dans les émotions dites négatives.

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Ressentir la libération de ce choix

C’est une libération intérieure qui peut être une grande vague de soulagement : prendre conscience que les émotions associées à des évènements parfois « dramatiques » (émotion) de la vie sont en notre pouvoir.

Des personnes comme Shelly Lefkoe ont aidé des milliers de personnes abusées sexuellement à se débarrasser de traumatismes épouvantables. Ni magie, ni médicaments, ni techniques bizarres. Réassocier les émotions aux évènements.

Donc, si c’est possible pour des traumas, pourquoi ce ne serait pas possible de vivre moins mal tous les petits évènements pénibles du quotidien ? Les embouteillages, être en retard, la facture de gaz, l’enfant qui ne range pas sa chambre, les guerres dans le monde, le chef pénible, le bruit quand je veux dormir, ou inversement ne pas faire de bruit parce que les voisins veulent dormir, etc…

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Usez de ce pouvoir à volonté !

Voilà, la recette est là, à disposition. A chacun de l’utiliser comme bon lui semble. Pour pouvoir le faire, il faut avoir un esprit souple, clair, dégagé.

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