How To Enter Alpha Level of Mind Immediately – The Silva Method
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Etre
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Ce n’est pas ton dos qui fait mal, mais le fardeau.
Nous, enfants de terre mère et père ciel
Nous rassemblons par la connexion des cœurs
trouvons l’inspiration et le courage
et respirons d’un seul souffle uni d’amour
Nous agissons humblement et en discrétion Là où nous vivons
Par nos actes, nos paroles et nos silences
Nous décidons que l’amour est le levain pour Transformer la pâte humaine
Nous ouvrons dès à présent les frontières de nos esprits et nous libérons les chaînes de nos cœurs
Nous refusons que notre vie soit gouvernée par la peur, la haine et les discours
Et donnons toujours la priorité au cœur sur le raisonnement de l’égo
Pour accueillir nos sœurs et nos frères D’où qu’ils viennent dans l’estime et le respect
Ensemble nous marchons d’un pas uni et décidé Par tous les chemins de la bienveillance
Nous répandons le pardon La compassion et l’amour sur toute la terre
Que tous les êtres sur terre soient heureux et en bonne santé
D’où qu’ils viennent quoiqu’ils fassent
Que tous soient soulagés de leurs souffrances et que leurs cœurs soient libérés apaisés et pleins de bienveillance de compassion et d’humble gratitude
Pour que tous respirent la joie
Celle des êtres de lumières qui nous montrent le chemin et qu’ils en soient remerciés d’amour
Que l’amour grandisse et rayonne
La cohérence cardiaque, qu’est-ce que c’est ?
La cohérence cardiaque est une pratique personnelle de la gestion du stress et des émotions qui entraine de nombreux bienfaits sur la santé physique, mentale et émotionnelle. La cohérence cardiaque permet d’apprendre à contrôler sa respiration afin de réguler son stress et son anxiété. Cette technique simple permettrait de réduire aussi la dépression et la tension artérielle.
Il s’agit d’un état particulier de la variabilité cardiaque (capacité qu’a le cœur à accélérer ou ralentir afin de s’adapter à son environnement) d’ une véritable technique physiologique de contrôle du stress. Elle peut-être obtenue de plusieurs façons mais la résonnance cardiaque (cohérence cardiaque obtenue par la respiration et la règle du 365) est la plus rapide et la plus simple : 3 fois par jour, 6 respirations par minute et pendant 5 minutes.
Possédant près de 40 000 neurones ainsi qu’un réseau complexe et dense de neurotransmetteurs, le cœur communique directement avec le cerveau. En agissant sur notre rythme cardiaque via des exercices de respiration, nous avons la possibilité d’envoyer des messages positifs au cerveau.
Comment ça marche ?
Le corps est régit par deux grands systèmes nerveux, le système somatique (actes volontaires) et le système autonome (régulation automatique). Le cœur participe activement au système nerveux autonome dont il occupe une fonction essentielle permettant l’adaptation aux changements environnementaux. La variabilité cardiaque désigne la variabilité de la fréquence cardiaque (poul) ou la capacité du cœur a accélérer et à ralentir. L’importance de celle ci se mesure à son amplitude. Plus l’amplitude est élevée et plus l’état d’équilibre de la santé est important.
Le système nerveux autonome est partagé en deux sous systèmes : le sympathique et le parasympathique.
La santé étant l’équilibre entre le sympathique et le parasympathique. Ors l’inspiration stimule le sympathique lorsque l’expiration stimule le parasympathique.
La respiration étant contrôlée par le système nerveux autonome ET par le système nerveux somatique, il est donc possible se contrôler le système nerveux autonome par cette voie.
La respiration qui équilibre : Cinq secondes à l’inspiration, cinq seconde à l’expiration, soit six respirations par minute.
Lorsque l’on respire six fois par minute on est pratiquement certain d’atteindre cet état d’équilibre de cohérence cardiaque. Ce n’est pas la seule méthode mais c’est la plus simple car il s’agit d’une fréquence respiratoire commune à tous, d’une constante physiologique propre à l’être humain. Avec cette fréquence de 6 respirations par minute on arrive à une fréquence respiratoire de 0,1 Hertz qui semble être une fréquence de résonance de nombreux biorythmes (les systèmes sympathique et parasympathique ont aussi cette fréquence).
Les bienfaits de la cohérence cardiaque
Effets immédiats
Effets sur une moyenne de quatre heures :
Effets à long terme (au bout d’une dizaine de jours) :
La cohérence cardiaque en pratique
3 fois par jour, 6 respirations par minute et 5 minutes durant pour obtenir des résultats car ces trois chiffres ont une raison physiologique et sont basés sur de nombreuses études. Il s’agit du fameux 365 .
3 fois par jour car les effets bénéfiques de la pratique ne persistent que quelques heures (3 à 6 heures). Une durée moyenne de 4 heures entre chaque pratique est donc recommandée.
L’effet principal de la cohérence cardiaque est l’équilibrage et la modulation du cortisol, l’hormone du stress. La séance la plus importante étant celle du lever au moment où la sécrétion de cortisol est la plus importante. Effectuer la deuxième séance quatre heures plus tard afin d’atténuer les événements survenus dans la matinée et préparer au repas et à la digestion. La troisième séance, en milieu ou fin d’après midi est aussi importante que celle du matin car elle prépare à la soirée.
6 respirations par minutes car c’est la respiration à la fréquence de résonance des systèmes cœur/poumon commune à l’espère humaine et qui permet une augmentation optimale de l’amplitude de la variabilité cardiaque.
5 secondes à l’inspiration et 5 secondes à l’expiration en adoptant une inspiration abdominale par le nez et en expirant par la bouche comme si on soufflait dans une paille.
La posture : la position assise, le dos droit est recommandée car la cohérence cardiaque ne fonctionne pas bien en position couchée pour des raisons anatomiques et physiologiques.
COMMENT S'ÉLEVER DANS CETTE PÉRIODE DU CONFINEMENT AVEC Dr Joe DISPENZA (sa pensée sur la situation du COVID 19.)…
Publiée par L'Eveilleur Quantique sur Samedi 25 avril 2020
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Publiée par L'Eveilleur Quantique sur Samedi 25 avril 2020
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Publiée par L'Eveilleur Quantique sur Samedi 25 avril 2020

Biologie des Croyances – Bruce Lipton – Page 151
Le corps est en réalité doté de deux systèmes de défense distincts, chacun étant essentiel au maintien de la vie. Le premier système organise la défense contre des dangers externes. On l’appelle l’axe HPA [de l’anglaishypothalamus-pituitary-adrenal], c’est-à-dire l’axe hypotalamo-hypophysosurrénalien.
Lorsqu’il n’y a pas de danger, l’axe HPA est inactif et la croissance peut s’effectuer.
Toutefois, lorsque l’hypothalamus du cerveau perçoit un danger, il active l’axe HPA en envoyant un signal à la glande pituitaire, cette « glande maîtresse » responsable d’organiser les 50 milliards de cellules de la communauté en vue de réagir au danger imminent.
Vous souvenez-vous du mécanisme de stimulus-réaction de la cellule membranaire, les protéines réceptrices-effectrices ? L’hypothalamus et la glande pituitaire en sont les équivalents.
De façon similaire à la protéine réceptrice, l’hypothalamus reçoit et reconnaît les signaux provenant de l’environnement. La fonction de la glande pituitaire est analogue à celle de la protéine effectrice : elle provoque une réaction dans le corps. En réponse aux dangers externes, la glande pituitaire envoie un signal aux glandes surrénales, les informant de la nécessité de coordonner le mécanisme de défense du corps, c’est-à-dire de fuir ou de se battre.
Techniquement, les stimuli de stress engagent l’axe HPA selon un processus simple : en réponse aux perceptions de stress enregistrées dans le cerveau, l’hypothalamus sécrète le CRF [de l’anglais corticotropin releasing factor, qui se traduit par « substance libératrice de la corticotropine »], lequel se rend à la glande pituitaire.
Le CRF active les cellules pituitaires, qui libèrent l’hormone adénocorticotrope [ACTH ou adrenocorticotropic hormones, en anglais] dans le sang.
L’ACTH se rend aux glandes surrénales, où elle sert de signal à la sécrétion d’hormones surrénales de défense ou de fuite.
Ces hormones de stress coordonnent la fonction des organes du corps et nous fournissent la force physiologique nécessaire pour éviter le danger ou le fuir.
Une fois l’alarme surrénale déclenchée, les hormones de stress sécrétées dans le sang resserrent les vaisseaux sanguins du tube digestif, poussant le sang dans les tissus des bras et des jambes, ce qui nous permet de fuir le danger. Avant d’être dirigé vers les extrémités, le sang se concentre dans les viscères. La redistribution du sang des viscères vers les membres en réaction de fuite provoque une inhibition des fonctions de croissance.
Sans apport de sang, les viscères et les organes vitaux sont incapables de fonctionner correctement. Dès lors, ils cessent leurs activités vitales de digestion, de métabolisation, d’excrétion et d’autres fonctions vitales à la croissance des cellules et à la production de réserves d’énergie. Ainsi, les réactions de stress inhibent la croissance et compromettent davantage la survie du corps puisqu’elle interfère avec la production de réserves d’énergie vitale.
Le deuxième système de défense corporel est le système immunitaire, qui nous protège des dangers internes, dont ceux causés par les bactéries et les
virus. Lorsque le système immunitaire est mobilisé, il peut consommer une
grande partie des réserves énergétiques du corps. Pour comprendre la
quantité d’énergie que ce système consomme, rappelez-vous à quel point
vous êtes faible lorsque vous combattez une infection comme la grippe ou
le rhume. Lorsque l’axe HPA mobilise le corps pour se défendre, les
hormones surrénales empêchent directement le système immunitaire de
conserver ses réserves d’énergie. En fait, les hormones de stress sont si efficaces à le freiner que les médecins les administrent aux patients greffés pour que leur système immunitaire ne rejette pas les tissus étrangers !
Pourquoi le système surrénal freinerait-il le système immunitaire ? Imaginez que vous êtes à l’intérieur d’une tente, dans la savane africaine, combattant une infection bactérienne et une grave diarrhée. Tout à coup, vous entendez un lion rugir à l’extérieur de la tente. Votre cerveau doit décider quel danger est le plus grand. Il ne servirait à rien de combattre la bactérie si vous laissez le lion vous attaquer. Votre corps cesse donc de lutter contre l’infection pour mobiliser l’énergie grâce à laquelle vous serez à même de vous défendre contre le lion. Ainsi, l’activation de l’axe HPA a
pour conséquence secondaire d’interférer avec votre aptitude à combattre
la maladie.
L’activation de l’axe HPA entrave également votre capacité à réfléchir rationnellement. Le traitement de l’information dans le cerveau antérieur, siège du raisonnement et de la logique, est considérablement plus lent que le traitement des réflexes, contrôlés par le cerveau postérieur.
En situation d’urgence, plus l’information est traitée rapidement, plus l’organisme a des
chances de survivre. Les hormones surrénales de stress resserrent les vaisseaux sanguins du cerveau antérieur et réduisent ses capacités. De plus, les hormones répriment l’activité du cortex cérébral préfrontal, siège de la volonté et de l’activité conscientes. En situation d’urgence, le flux vasculaire et les hormones servent à activer le cerveau postérieur, siège des réflexes vitaux qui contrôlent le comportement de défense. S’il est nécessaire que les signaux de stress répriment l’activité consciente qui est plus lente, et ce, pour augmenter les chances de survie, c’est au prix d’une conscience et d’une intelligence réduites (Takamatsu et al, 2003 ; Arnsten et GoldmanRakic, 1998 ; Goldstein et al, 1996).
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