Catégorie : BAO Enérgie (Page 12 of 17)
Principe de traitement : Bu Fa – Tonifier – Techniques des Vides : doucement, lentement, longtemps, dans le sens des aiguilles d’une montre.
Points (Toninato) Foie 8 Estomac 36 Suzanne Li Rate6 Vessie17 Vessie20
Techniques Tuina : Tui dans le sens des méridiens, AnRou sur les points, Ca et Zhen sur RM6, Nie sur le dos vers le crâne, Mo sur le lombaires.
vous pouvez soit vous asseoir, soit rester debout
nous faisons le même processus que si nous travaillons avec quelqu’un d’autre
Vous aurez les yeux ouverts mais défocalisés
Vous aurez la main droite sur le coeur,
l’autre main travaille intuitivement autour de votre champ énergétique
Vous vous mettez en état Alpha durant tout le processus.
* Y-a-t-il des émotions liées à ce sujet ?
avec votre seconde main cherchez autour de votre champ énergétique
quand vous sentez une résonance (picotements dans les doigts, colonne vertébrale, chaleur… sensation autre)
« transformée »
dites « transformé »
et vous le faites trois fois
quand vous sentez la résonance
dites « je veux me connecter avec mon avenir à tout ce qui est déjà résolu de ce problème ».
travaillez intuitivement avec votre seconde main autour de votre champ d’énergie
quand vous sentez la résonance
dites « intégrer »
l’Harmonisation Globale (HG) est d’une grande aide pour les personnes atteintes, que ce soit :
– au moment de l’atteinte virale (en ré-harmonisant « Covid »),
– au moment des complications liées à de trop fortes réactions du corps, toux sèche, perte de l’odorat, difficultés respiratoires… (en ré-harmonisant « syndrome anaphylactique », « excès d’anticorps », « excès d’interleukines »…),
– au moment des séquelles en ré-harmonisant « séquelles de la Covid », « suites de la Covid »,…), tout en recherchant et en ré-harmonisant les origines de la fragilisation de la personne qui ont permis aux troubles de s’installer.
Cette fois, nous n’avons pas fait de liste de praticien « spécial Covid » comme en mars. Nous pensons que tous les praticiens sont à même de prendre en charge les personnes atteintes de la Covid, directement, au téléphone, et/ou par intermédiaire.
Un iso-thérapique est une préparation que nous pouvons faire à partir de nos propres urines. A quoi cela sert-il ? Nos urines sont le reflet de notre état intérieur.
Le fait de prendre quelques gouttes (le plus souvent 3 gouttes) de cette préparation nous permet de traiter des eczémas, des états de fatigue, des mauvaises réactions à des infections (comme la Covid par exemple)… C’est comme si nous montrions ainsi à notre organisme ses déséquilibres, ses intoxications… pour l’aider à y faire face comme on le fait en homéopathie.
Nous avons pu au cours de formations préparer chacun notre iso-thérapique. Pendant cette formation, les coryzas se sont arrêtés, les eczémas se sont améliorés… L’iso-thérapique ainsi créé peut être utilisé tous les jours pendant deux mois. Par la suite, il est préférable d’en refaire un autre pour prendre en compte les modifications du corps qui ont eu lieu.
Matériel nécessaire : un flacon compte-gouttes en verre et vos propres urines. Cet iso-thérapique peut être utilisé même si vous prenez des médicaments : au contraire, cela pourra diminuer les effets secondaires et faciliter leur élimination.
Préparation :
Mettre un peu d’urine dans le flacon. Secouer pour bien imprégner le flacon, puis vous le videz.
Vous le remplissez alors d’eau. Cela peut être de l’eau du robinet ou de l’eau en bouteille, l’eau sera dynamisée elle aussi. Vous fermez le flacon et vous le secouez pendant 3 minutes. Vous avez ainsi une dilution de votre urine en 1 K (K pour korsakovienne ce qui est une manière de préparer l’homéopathie).
Ensuite vous videz le flacon et vous le remplissez à nouveau d’eau, vous le fermez et vous le secouez à nouveau pendant 3 minutes. Vous avez maintenant une dilution 2 K.
Vous procéder ainsi 10 fois pour obtenir un iso-thérapique de votre urine en 10 K.
Utilisation :
Vous prendrez tous les jours 3 gouttes de cette dilution (cela ne sent plus du tout l’urine), cela renforcera vos défenses, cela améliorera votre état de santé.
Une amie qui l’a utilisé, m’a dit que dans un premier temps cela lui avait fait beaucoup de bien, mais qu’elle avait arrêté ensuite par ce qu’elle se sentait bien. Quand des troubles sont réapparus, elle n’a plus pensé à l’iso-thérapique urinaire qui aurait pu empêcher la réapparition des troubles et qui peut l’aider à nouveau maintenant.
Combien de virus inhalez-vous chaque minute ?
Billet de blog
Pierre Barthélémy – Publié le 10 octobre 2012 à 19h22
- Ils sont partout. Et même s’ils n’appartiennent officiellement pas à la grande famille du vivant, l’étude des virus est une des dernières frontières dans l’exploration biologique de la Terre, tant leurs interactions avec les plantes, les animaux ou les bactéries sont importantes, au point qu’on les retrouve même dans le matériel génétique de ces organismes. Ils sont partout et l’on se souvient, au moment de la grande panique de la grippe A (H1N1) de 2009, de cette course aux masques de protection : parce que si on peut se laver les mains, nettoyer fréquemment les objets du quotidien, briquer les poignées de portes, il est un peu plus compliqué de récurer l’atmosphère. Mais pour répondre à la question « combien de virus inhale-t-on chaque minute ? », encore faudrait-il savoir quelles sont la taille et les caractéristiques de cette population invisible présente dans l’air qui nous entoure.
Peu de recherches ont été effectuées sur l’écologie microbienne de l’air, la manière dont les communautés virales évoluent au fil du temps et interagissent avec leur environnement. Notamment parce qu’il était jusqu’ici techniquement ardu de réaliser des comptages et des identifications fiables d’éléments inférieurs au micromètre. Avec l’avènement des technologies de la métagénomique, ces difficultés sont en train de s’atténuer. La métagénomique, c’est un procédé qui consiste à étudier le contenu d’un milieu naturel donné (un litre d’eau de mer, un échantillon de sol, de fèces humaines, etc.) à partir des génomes qu’on y trouve. Et donc, dans un article paru dans le numéro d’août du Journal of Virology, une équipe sud-coréenne vient de faire la première analyse métagénomique de l’atmosphère au niveau du sol.
Sachant que les conditions extérieures (comme la température, l’humidité, la luminosité mais aussi l’exploitation du terrain par l’homme) peuvent influer sur les virus, ces chercheurs ont, plusieurs mois durant, travaillé sur trois sites différents : un quartier résidentiel de Séoul, une forêt et un complexe industriel. Leur expérimentation consistait à capturer, dans un piège constitué d’une sorte de filtre liquide, tous les éléments inférieurs au micromètre, à les nettoyer, à en extraire l’ADN et à comparer les séquences obtenues avec des banques de données virales. Résultat : dans un mètre cube d’air, on trouve entre 1,7 et 40 millions de virus ! Pour les bactéries, la fourchette est plus basse : entre 860 000 et 11 millions d’individus par mètre cube. Contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, la largeur des fourchettes n’est pas liée aux sites de collecte mais aux saisons auxquelles les relevés ont été effectués. Le nombre de virus présents dans l’atmosphère a monté pendant l’hiver, atteignant un pic en janvier, et a ensuite chuté à l’approche du printemps.
Ceci dit, ces chiffres ne constituent finalement pas l’aspect le plus impressionnant de cet article, scientifiquement parlant. Les chercheurs sud-coréens ont identifié une douzaine de familles de virus, avec une bonne proportion de Geminiviridae, ce qui est plutôt logique étant donné que ces derniers provoquent de nombreuses maladies de plantes et que, pour cette étude, l’essentiel de la collecte s’est faite en été. Mais en réalité, les plus nombreux des virus, et de loin, étaient… des inconnus. Plus de la moitié des séquences génétiques analysées ne figuraient dans aucune base de données, l’essentiel étant des virus à simple branche d’ADN, comme les Geminiviridae. Ce qui fait conclure aux auteurs de l’étude que l’atmosphère est un réservoir de virus encore largement inexploré et qu’il serait temps de s’y intéresser, notamment pour identifier des entités susceptibles de s’attaquer aux cultures… et aux hommes.
Pierre Barthélémy (@PasseurSciences sur Twitter
- Pour répondre à la question qui fait le titre de ce billet, il faut savoir qu’au repos, un adulte pompe en moyenne 10 litres d’air par minute (cela peut être bien supérieur lors d’un effort avec, par exemple, 50 litres lors d’un footing). Si l’on reprend les chiffres de l’étude, on s’aperçoit qu’à chaque minute qui passe, entre 17 000 et 400 000 virus pénètrent dans nos poumons. De quoi pousser un hypocondriaque à cesser de respirer… Ou, en tout cas, à bouger le moins possible : la ventilation augmentant avec l’effort physique, on peut facilement inhaler 2 millions de virus à la minute lors d’un footing.