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Gui l’origine démonique de l’acupuncture

Vers la fin de sa vie, depuis sa résidence californienne, Giovanni Maciocia, grand enseignant de médecine traditionnelle chinoise a longuement étudié l’aspect spirituel de la MTC. Il  en est venu à penser que l’acupuncture est une médecine démonique, réellement une médecine chamanique.

 

Dans un de ses cours, il disait l’origine de l’acupuncture se trouve dans l’idée des esprits malfaisants. Il expliquait qu’il ne croyait pas à l’explication chinoise moderne selon laquelle l’acupuncture aurait été découverte par essais et erreurs à travers le massage.

Pour lui, l’acupuncture est, dans une certaine mesure, un type de médecine démonique, car elle est entièrement subjective et individuelle. Elle dépend, disait-il, du moment où elle est pratiquée et de la personne qui la pratique. Si l’on réalise un essai clinique et que les médecins disent : « Nous avons utilisé ces points, cela n’a pas fonctionné », la vraie question selon lui serait : qui l’a fait, et quel était son Shen à ce moment-là.

À son origine, selon lui, les chamans se déplaçaient dans les villages en fendant l’air avec des flèches. Et un jour, toujours selon lui, ils auraient commencé à percer le corps pour faire sortir les esprits malfaisants.

Il considérait cela comme une conséquence logique si l’on observe le caractère même de cette médecine : il faut une « cavité » pour extraire l’entité mauvaise. Il soulignait d’ailleurs que le caractère chinois désignant un point d’acupuncture évoque un trou ou une cavité, et rappelait que, dans les croyances anciennes, les esprits malfaisants se cachent dans les cavernes.

 

GUI – Les fantomes en MTC – bref historique

Gui représente à la base l’âme d’une personne morte, c’est l’âme de cette personne dépourvue de corps qui s’élève vers le ciel après la mort. L’idée est qu’après la mort, l’âme survit.

Une remarque très importante : le “ciel” n’a rien à voir avec le paradis chrétien. Et ces idées sont très anciennes, sans aucun lien avec la réincarnation bouddhiste ou le karma. Elles remontent à 2000 av. J.-C., bien avant la naissance du Bouddha, et donc avant le taoïsme, le confucianisme ou le légisme.

Mais ces idées sont encore bien vivantes aujourd’hui : dans certaines régions rurales de Chine, ces pratiques existent toujours.

 

Les deux traits de l’idéogramme de Gui représentent le mouvement de cette âme sans corps après la mort. Ces deux petites lignes ont une signification clinique très importante pour le Hun, pour la nature même du Hun. Elles indiquent le mouvement de cette âme après la mort, et d’un point de vue psychologique, un aspect essentiel du Hun est justement son mouvement : le Hun est toujours en action, en train de chercher, de planifier, d’avoir des idées, etc…

À l’origine, Gui n’était ni bien ni mal : ce n’est pas forcément un esprit malfaisant, c’est simplement l’esprit d’une personne morte qui continue d’exister après le décès.

 

Deux mondes qui communiquent

Il y a la communauté des morts et la communauté des vivants, et elles communiquent. C’est pourquoi les Chinois ont un sens très fort du culte des ancêtres : il faut se comporter de manière éthique, notamment pour ne pas déplaire à ses ancêtres. Cette idée reste très forte aujourd’hui.

Pour vous montrer à quel point on croyait que l’âme survivait à la mort, les personnes importantes avaient de petites figurines placées dans leur tombe — d’ailleurs en remplacement du fait de mettre de vraies personnes dans les tombes, ce qui se faisait aussi.

Le premier empereur de Chine, Qin Shi Huangdi — celui qui a fait construire l’armée de terre cuite — a fait enterrer vivantes toutes ses concubines avec lui, parce qu’il en avait besoin dans l’au-delà.

Encore maintenant en Chine, c’est une très mauvaise chose si un homme célibataire meurt : c’est terrible, parce qu’il n’aura personne pour s’occuper de lui dans l’au-delà — c’est vraiment une chose horrible. Et dans des temps pas si anciens, si un jeune homme mourait dans un accident, on essayait de trouver une jeune femme récemment décédée pour la placer dans sa tombe.

Tout cela montre à quel point ces idées sont profondément enracinées.

Les Trois Écoles d’influence de la MTC

Comprendre les 3 écoles de pensée de la médecine chinoise nous permet de décrypter les métaphores et les méthodes de traitement qui peuvent parfois sembler obscures ou même contradictoires, tout du moins incohérentes.

Lors d’une conférence donnée quelques années avant son décès, Giovanni Maciocia – l’un des auteurs occidentaux les plus influents en médecine chinoise – expliquait les trois grandes écoles de pensée qui ont profondément marqué la formation de la médecine chinoise classique : confucianisme, taoïsme et légisme.

 

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Les Trois Écoles de pensée de la médecine chinoise

Lors de ce cours quelques années avant son décès, Giovanni Maciocia expliquait que trois écoles de pensée ont exercé la plus grande influence sur la médecine, et qu’elles ont toutes coexisté à la même époque.

Nous parlons ici d’une époque très ancienne, la période des Royaumes Combattants, qui s’étend d’environ 476 à 221 av. J.-C.

Ces trois grandes écoles avaient des visions de la nature humaine assez opposées. Maciocia faisait remarquer l’absence de l’école bouddhiste, car elle n’est arrivée que bien plus tard.

 

La première est l’école confucéenne, qui croyait que la nature humaine est essentiellement bonne. C’est pourquoi Confucius ne croyait même pas à la punition, mais croyait en l’éducation.

À l’inverse, l’école légiste pensait que la nature humaine est essentiellement mauvaise et qu’elle ne peut être contrôlée que par des lois strictes et des punitions sévères. Selon Giovanni Maciocia, l’école légaliste a aussi eu une influence assez importante sur la médecine chinoise, une influence largement méconnue.

Et enfin le taoïsme, basé sur l’unité et l’équilibre naturel de toute chose.

 

Métaphores

Selon Maciocia, la médecine chinoise est un système de métaphores. Il y a de nombreuses métaphores en médecine chinoise. L’une d’elles est la métaphore des esprits pervers, qui constitue une part très importante de la médecine chinoise.

Une autre métaphore est une métaphore politique : l’État, les ministres et le gouvernement. Le Cœur est l’Empereur, le Poumon est le Premier Ministre, et ainsi de suite. Cette idée est en partie confucéenne, mais aussi largement légiste.

Pourquoi légiste ? Parce que cette école de pensée est liée à Qin Shi Huang, le tout premier empereur de Chine (celui qui a fait construire l’armée de terre cuite), qui a unifié la Chine pour la première fois. Il y avait donc un gouvernement central, d’où la récurrence de la métaphore politique en médecine chinoise.

Et d’ailleurs, le Neijing dit aussi que le Triple Réchauffeur le Ministre de l’Irrigation et des Canaux. À cette époque, le système de canaux venait d’être unifié pour la première fois. Ainsi, ce n’est pas un hasard si l’idée des méridiens est apparue plus ou moins à la même époque.

 

Les méthodes de traitement légalistes en acupuncture et en pharmacopée

Giovanni Maciocia estimait que beaucoup des méthodes actuellement utilisées sont en réalité issues du légisme, et non du taoïsme.

En médecine chinoise, on applique des « punitions sévères » et des lois strictes : si c’est chaud, on refroidit ; si c’est froid, on brûle avec du moxa ; s’il y a un facteur pathogène, on l’expulse… On utilise la purge, la sudation et le vomissement comme méthodes de traitement ; on utilise les aiguilles pour chasser les esprits pervers — c’est l’origine de l’acupuncture — et le moxa. Selon lui, cette approche est profondément légiste et ne peut pas être qualifiée de taoïste.

 

La philosophie du « chemin naturel » : l’influence taoïste

Maciocia précisait que la philosophie du chemin naturel est très taoïste : laisser la nature suivre son cours, intervenir le moins possible, favoriser le principe féminin, et laisser le corps se guérir lui-même. Il soulignait avec humour qu’il n’est jamais écrit dans le Neijing : « si vous avez un facteur pathogène, laissez le corps se guérir tout seul ». Ainsi, pour Giovanni Maciocia, l’influence de l’école légiste dans la médecine chinoise est largement sous-estimée.

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En plus d’être une médecine métaphorique complexe pour des esprits occidentaux très penchés sur leurs cerveaux gauche, les 3 écoles, par leurs différences et leurs oppositions même, sont à l’origine d’une difficulté d’appréhension de la MTC. On retrouve ainsi des principes de traitement interventionnistes, légistes qui bousculent ceux taoïstes qui harmonisent et accompagnent la nature, et enfin le confucianiste qui distribuent les rôles. Quelle serait votre choix ? Vers quel type de praticien iriez-vous ?

 

La colère, l’émotion surévaluée en MTC

Le rôle excessif de la colère dans les causes de maladie en médecine chinoise

 

Vers la fin de sa vie, pendant une dizaine d’années, Giovanni Maciocia s’est particulièrement intéressé à la Psyché, dont il a tiré son dernier livre. Le plus grand auteur moderne de médecine chinoise a notamment mis en lumière le rôle excessif que nous portons à la colère dans les causes de maladie. Il l’a expliqué lors d’une conférence quelque temps avant son décès.

 

Durant la décade de recherches qu’il a mené avant de publier « La Psyché en Médecine chinoise », Giovanni Maciocia a étudié le confucianisme, le taoïsme et le légalisme, ainsi que l’influence de ces écoles sur la médecine chinoise. Il a lu les livres les plus obscurs concernant le concept du soi à la fin de la dynastie Han en Chine. L’une de ses thèses est que nous surestimons le rôle du taoïsme dans la médecine chinoise, et que nous sous-estimons celui du confucianisme. Et il pense que le confucianisme a eu une influence énorme sur la médecine chinoise — plus grande encore que le marxisme-léninisme moderne, en réalité.

Dans le Huang Di Nei Jing, certaines affirmations relèvent du taoïsme, et d’autres du confucianisme. Et beaucoup d’énoncés d’inspiration confucianiste ne s’appliquent pas vraiment à nous, car le sens du « soi » dans la philosophie confucianiste est complètement différent de notre sens occidental du soi. Beaucoup de ce qui est dit sur les émotions, par exemple, ne s’applique pas nécessairement à nous.

La colère surévaluée

Selon Giovanni Maciocia, la colère est surévaluée comme cause de maladie, aussi bien en Chine qu’en Occident. En Chine, lorsqu’on présente une liste d’émotions, la colère se trouve toujours en tête, et en Occident aussi. Maciocia le reliait au fait que la colère est l’émotion la plus perturbatrice du point de vue confucianiste.

En effet, le confucianisme est entièrement centré sur un système d’éthique familiale et sociale, dans lequel chacun a un rôle, des devoirs et des responsabilités. Si chacun suit ses devoirs conformément à son rôle, l’harmonie règne dans la famille et dans la société. Et la colère perturbe cette harmonie, car la colère pousse à la rébellion. Si l’on est triste ou en deuil, on ne se rebelle pas. Ainsi, du point de vue confucianiste, la colère est l’émotion la plus disruptive.

Quand on parle, par exemple, de montée du Yang du Foie, c’est du Qi qui contre-circule. En chinois, on appelle cela « Ni ». Et si l’on regarde le caractère « Ni », il porte une forte connotation politique. Lorsque le Yang du Foie s’élève, cela signifie « se rebeller, désobéir, défier, aller à l’encontre » : ce n’est pas un problème médical, c’est un problème politique ! Et d’ailleurs, le principe de traitement est « Shun », c’est-à-dire « faire que le Qi aille dans la bonne direction ». Et si l’on observe le sens de « Shun », cela signifie « se conformer, obéir ». La aussi, il s’agit d’un concept politique, non médical !

Ainsi, la colère est bien sûr une cause émotionnelle de maladie, et elle est courante. Mais elle est surestimée en raison de l’influence confucianiste dans la médecine chinoise.

Selon Giovanni Maciocia, les émotions bien plus fréquentes et durables que l’on observe chez les patients sont quatre : la tristesse, le deuil lié à la séparation et à la perte, l’inquiétude et la culpabilité … comme par hasard, ce sont les émotions identifiées par les psychothérapies bienveillantes actuelles

Maladies et médecines : La cause n’est pas la source

Dans notre monde moderne, tout doit avoir une cause. Si on est malade, il faut trouver ce qui a déclenché. Et si derrière la cause, il y avait la source ? 

“On ne peut pas guérir un arbre en coupant les feuilles malades sans soigner ses racines.”

Cause vs Source : une confusion aux effets secondaires

Prenons un exemple simple. Une rivière est polluée. On cherche la cause : un déversement, une fuite, une poubelle tombée à l’eau. On nettoie. Mais si la source de pollution – une usine plus haut – continue de déverser, la pollution revient. Soigner une cause sans identifier la source, c’est écoper un bateau sans colmater la brèche.

Dans le domaine de la santé, c’est pareil. La cause est l’événement déclencheur : un choc, une infection, une mauvaise alimentation, une fatigue chronique…

La source est ce qui, en profondeur, a rendu le corps vulnérable, ou a entretenu le terrain propice : un déséquilibre ancien, un vide énergétique, une dynamique non résolue, une manière d’habiter son corps, ou de vivre sa vie.

“Chercher la cause, c’est éteindre la flamme. Trouver la source, c’est arrêter l’incendie.”

 

 

Une belle métaphore pour comprendre l’urgence de dépasser le déclencheur immédiat.

 

Médecine occidentale : la cause comme cible prioritaire

Dans les approches biomédicales, on cherche l’agent pathogène, la molécule défaillante, la fracture. C’est précis, efficace, rapide. Et indispensable dans bien des cas.

Mais une fois le symptôme calmé, il arrive que la maladie revienne. Autre organe, autre forme, mais même fond. Ce n’est pas une rechute, c’est la source qui n’a pas été entendue.

 

Médecines traditionnelles : écouter ce qui cherche à se dire

Dans la pensée orientale (et plus largement dans de nombreuses médecines traditionnelles), le symptôme est un langage. Il parle d’un déséquilibre. Le soigner, oui, mais surtout : remonter le courant, rétablir les équilibres pour aider le corps à guérir (car nul médicament ne guérit, ni aucune médecine ne guérit)

 

“Le symptôme est la nswletter que le corps nous envoie, la source est le message qu’il essaie de faire passer.”

 

 Pour une alliance des regards

Ce n’est pas un combat entre deux mondes. C’est un appel à la complémentarité.  Les médicaments sont nécessaires. Les thérapies d’urgence, vitales. Les interventions ciblées, salutaires.

Mais à côté, il y a tout un monde de compréhension du vivant. Des approches qui regardent l’humain dans sa globalité. Son corps, son énergie, ses émotions, ses rythmes. Pas pour rêver d’un monde sans douleurs. Mais pour accueillir la santé comme un mouvement, une écoute, une responsabilité.

 

Changeons de niveau

On ne peut pas réparer la vie comme on répare une machine.
Car le vivant n’est pas un moteur, c’est un système complexe aux mille relations et interdépendances.

Et ce n’est pas seulement la branche tombée dans l’eau qui fait barrage. C’est peut-être la montagne en amont qui s’érode depuis des années.

 “La maladie ne naît pas soudainement, elle est la conséquence d’un déséquilibre ancien.

C’est là que commence le vrai soin, celui qui regarde l’histoire complète.

 

l’Esprit et le cerveau en MTC

l’Esprit et le cerveau

En MTC le Shen l’Esprit réside au Cœur. L’Esprit est la conscience de ce qui se passe dans le cerveau.

Le cerveau est une sorte de grosse machinerie subtile de neurones, de synapses, d’influx électriques, etc… mais le fait d’avoir conscience d’être réside dans le Shen du Cœur. D’ailleurs, seul le Cœur peut ressentir les émotions. Les émotions sont rattachées aux Organes et sont signalées par des manifestations dans les systèmes lymphatiques, hormonaux, immunitaires, nerveux, cardio-vasculaires etc… mais toutes ces manifestations n’en font pas qu’elles sont conscientisées par la personne. Le Shen du Cœur lui seul possède la conscience d’exister.

Par exemple, les pensées se forment dans le cerveau, on peut en suivre des signaux électriques mais personne n’a jamais observé une pensée, sinon la personne qui en a pris conscience. Ou encore et dans la même idée, observer ses pensées est une activité exécutée par le cerveau, mais observée, ou plus exactement « mise en conscience » par le Shen du Cœur.

Des 5 agrégats de la philosophie bouddhiste, on peut dire que la forme, les sensations, les perceptions, les pensées-fabrications se passent dans le corps et dans le cerveau, mais la conscience se conscientise dans le Shen du Cœur. Ce qui permet à être sensible d’être conscient qu’il est sensible, c’est le Shen du Cœur.

 

Corps et esprit, états d’une même énergie.

Du corps au plus spirituel de ce qui nous compose, tout est énergie, tout est Qi. En médecine chinoise, la seule chose qui différencie ce qui est matériel et ce qui ne l’est pas est la condensation de l’énergie.

Tout ce qui nous compose de corporel, nos organes et nos membres, ce que nous voyons et que nous percevons, et même ce que nous croyons de nous sans l’avoir jamais vu directement mais par imagerie, sont des états condensés d’énergie.

Nous percevons en nous, et bien plus directement même, des états plus subtils, comme les pensées, la réflexion, les émotions, les sentiments, les élans du coeur, l’âme, la connexion de coeur, la connexion d’âme, et peu importe le vocabulaire que nous employons, et peu importe les croyances car tout le monde a déjà observé qu’il est en train de penser, de ressentir une émotion.

En MTC, il n’y a pas de séparation entre ces types d’énergie, il s’agit seulement d’états de condensation différents.

Mais chez les autres aussi, il existe les mêmes agitations internes de formes de Qi subtiles.

Et quand il n’y a plus d’énergie, l’être meurt. L’être meurt parce qu’il n’y a plus de combustible.

Auto-réparation du corps et foi

Notre corps s’auto-répare en permanence, surtout la nuit et quand il dispose des nutriments nécessaires. Il retourne toujours à un stade d’harmonie avec lui-même. Notre corps est énergie, cette énergie est sous l’influence de notre coeur. Ne pas croire en cette réparation, c’est se priver de la réparation. La réparation n’est pas extérieure, seuls les soins sont extérieurs. Croire chaque jour, même mal, mais sincèrement, que le corps se répare, lui donner l’amour et la joie, c’est lui ouvrir la voie de la guérison : Amour, amour, amour.

Les Pierres de l’ancrage

’œil du tigre vous aiderait à cultiver l’optimisme, la confiance en soi et à structurer vos pensées vagabondes. Il serait efficace pour combattre le manque de concentration.

La Cornaline Parfaite pour votre stabilité, elle permettrait de se connecter au moment présent, et donc, d’améliorer sa concentration.
Le jaspe est également réputé pour sa puissance. Depuis la nuit des temps, il est utilisé comme pierre d’ancrage . Il symbolise la stabilité et l’équilibre. Cela lui permettrait d’atténuer certaines émotions négatives comme la peine, la colère, la tristesse et toutes les mauvaises expériences du passé que vous avez du mal à se libérer.

L’obsidienne noire Cette pierre d’ancrage vous permettrait d’approfondir votre force mentale pour faire face aux difficultés au quotidien. Elle se présenterait comme un bouclier contre les énergies malveillantes. Elle empêcherait votre esprit de s’égarer.

la tourmaline noire Cette pierre énergétique permettrait l’enracinement ferme à la Terre. Elle vous aiderait aussi à en recevoir toutes les énergies positives. Elle éliminerait les doutes, la fatigue ainsi que la peur.

Réalités

Notre « réalité » n’est pas neutre. Elle comprend, et se compose de nos façons de la vivre, au travers des agrégats. Et les agrégats nous sont personnels, uniques. Par conséquence, notre réalité l’est aussi : nous vivons des réalités aussi différentes que nous sommes différents les uns les autres, dans nos parcours de vies profondément singuliers.

Quand, ou plutôt si l’on s’intéresse à la manière dont nous vivons tout ce qui arrive à nos vies intérieures. Il y a donc autant de réalités que de personnes.

Mieux, nos réalités évoluent à chaque instant, en fonction de nos parcours, des événements, de tout ce qui compose notre vécu.

Car le vécu n’est pas neutre, le vécu dépend de la manière dont je vis un événement. Un événement est neutre. C’est ma manière de le vivre qui lui donne tout ce que j’appelle la réalité de l’évènement, qui est en fait ma réalité. Et ma réalité peut radicalement évoluer, parfois de manière rapide.

Si j’ai une maladie, il est compréhensible de la vivre de façon triste, stressante, angoissée. Certaines personnes réussissent vivre une même maladie de façon moins stressante, d’autres arrivent à ne pas développer de stress. Nous n’avons pas la même capacité devant les événements.

Si je m’abreuve de mauvaises nouvelles, si je fréquente des personnes négatives, je vais créer une réalité stressante. Et le stress favorise les maladies internes, au travers de la production constante d’hormones de stress, lesquelles sont également celles qui, en plus, inhibent le système immunitaire qui nous protège.

Mais la bonne nouvelle, c’est que j’ai un pouvoir sur la réalité, elle n’est pas une fatalité, elle n’est pas celle de quiconque d’autre.

Ce qui doit me pousser à la tolérance, la compréhension, la compassion et à ne pas juger la réalité des autres, ni à leur imposer la mienne et encore moins si elle est négative. C’est de l’orgueil que d’imposer une réalité ! Pourquoi serait-il irresponsable de ne pas s’informer ce tous les malheurs du monde ? La réalité n’est pas ce qui correspond à l’image que nous renvoient les médias, ou les gouvernements, ou notre famille. D’ailleurs, si l’image du monde renvoyée par les médias n’était pas aussi assoiffée de sang et de larmes, la fameuse « réalité » serait différente. En fait, ça dépend où l’on place le curseur, où l’on insiste.

Aussi, j’ai fait un choix, celui de ne pas m’abreuver d’intrants sur lesquels non seulement je n’ai pas prise, mais qui en plus ne me regardent pas. Et j’ai décidé de choisir et limiter mes combats. Je ne peux pas changer le monde, et je me soucie des sujets qui correspondent à mes valeurs, mais aussi à mes capacités, mes capacités de gérer la charge mentale et physique, et la capacité d’agir. Et là aussi, il est important de ne pas imposer ses combats aux autres.

« Quand tu te consacres à la transformation de ton monde intérieur, ta vie passe rapidement de l’ordinaire au royaume de l’extraordinaire. »

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