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Les Pierres de l’ancrage

’œil du tigre vous aiderait à cultiver l’optimisme, la confiance en soi et à structurer vos pensées vagabondes. Il serait efficace pour combattre le manque de concentration.

La Cornaline Parfaite pour votre stabilité, elle permettrait de se connecter au moment présent, et donc, d’améliorer sa concentration.
Le jaspe est également réputé pour sa puissance. Depuis la nuit des temps, il est utilisé comme pierre d’ancrage . Il symbolise la stabilité et l’équilibre. Cela lui permettrait d’atténuer certaines émotions négatives comme la peine, la colère, la tristesse et toutes les mauvaises expériences du passé que vous avez du mal à se libérer.

L’obsidienne noire Cette pierre d’ancrage vous permettrait d’approfondir votre force mentale pour faire face aux difficultés au quotidien. Elle se présenterait comme un bouclier contre les énergies malveillantes. Elle empêcherait votre esprit de s’égarer.

la tourmaline noire Cette pierre énergétique permettrait l’enracinement ferme à la Terre. Elle vous aiderait aussi à en recevoir toutes les énergies positives. Elle éliminerait les doutes, la fatigue ainsi que la peur.

Réalités

Notre « réalité » n’est pas neutre. Elle comprend, et se compose de nos façons de la vivre, au travers des agrégats. Et les agrégats nous sont personnels, uniques. Par conséquence, notre réalité l’est aussi : nous vivons des réalités aussi différentes que nous sommes différents les uns les autres, dans nos parcours de vies profondément singuliers.

Quand, ou plutôt si l’on s’intéresse à la manière dont nous vivons tout ce qui arrive à nos vies intérieures. Il y a donc autant de réalités que de personnes.

Mieux, nos réalités évoluent à chaque instant, en fonction de nos parcours, des événements, de tout ce qui compose notre vécu.

Car le vécu n’est pas neutre, le vécu dépend de la manière dont je vis un événement. Un événement est neutre. C’est ma manière de le vivre qui lui donne tout ce que j’appelle la réalité de l’évènement, qui est en fait ma réalité. Et ma réalité peut radicalement évoluer, parfois de manière rapide.

Si j’ai une maladie, il est compréhensible de la vivre de façon triste, stressante, angoissée. Certaines personnes réussissent vivre une même maladie de façon moins stressante, d’autres arrivent à ne pas développer de stress. Nous n’avons pas la même capacité devant les événements.

Si je m’abreuve de mauvaises nouvelles, si je fréquente des personnes négatives, je vais créer une réalité stressante. Et le stress favorise les maladies internes, au travers de la production constante d’hormones de stress, lesquelles sont également celles qui, en plus, inhibent le système immunitaire qui nous protège.

Mais la bonne nouvelle, c’est que j’ai un pouvoir sur la réalité, elle n’est pas une fatalité, elle n’est pas celle de quiconque d’autre.

Ce qui doit me pousser à la tolérance, la compréhension, la compassion et à ne pas juger la réalité des autres, ni à leur imposer la mienne et encore moins si elle est négative. C’est de l’orgueil que d’imposer une réalité ! Pourquoi serait-il irresponsable de ne pas s’informer ce tous les malheurs du monde ? La réalité n’est pas ce qui correspond à l’image que nous renvoient les médias, ou les gouvernements, ou notre famille. D’ailleurs, si l’image du monde renvoyée par les médias n’était pas aussi assoiffée de sang et de larmes, la fameuse « réalité » serait différente. En fait, ça dépend où l’on place le curseur, où l’on insiste.

Aussi, j’ai fait un choix, celui de ne pas m’abreuver d’intrants sur lesquels non seulement je n’ai pas prise, mais qui en plus ne me regardent pas. Et j’ai décidé de choisir et limiter mes combats. Je ne peux pas changer le monde, et je me soucie des sujets qui correspondent à mes valeurs, mais aussi à mes capacités, mes capacités de gérer la charge mentale et physique, et la capacité d’agir. Et là aussi, il est important de ne pas imposer ses combats aux autres.

« Quand tu te consacres à la transformation de ton monde intérieur, ta vie passe rapidement de l’ordinaire au royaume de l’extraordinaire. »

Le sens de la méditation

Le sens de la méditation

« Méditation » (gom en langue tibétaine) provient étymologiquement du mot khom dans la même langue, qui signifie « se familiariser ». Tous les enseignements du Bouddha sont destinés à la méditation, qui est elle-même de deux catégories : de concentration et d’analyse.

La méditation de concentration vise la focalisation de l’esprit, qui elle-même permet la demeure stable et claire sur un objet de méditation choisi. Sa pratique permet l’atteinte du calme mental, qui est la demeure paisible de l’esprit combinée à une totale maniabilité de l’esprit et à un état de grand bien-être physique et mental.

Mes exemples : concentration de l’attention sur la respiration, ou sur le flux inspir/expir de la respiration « j’inspire la lumière de l’énergie, j’expire ce qui doit partir / j’inspire l’amour (pour moi), j’expire l’amour (pour les autres), j’inspire le long de la colonne vertébrale vers le bas/vers le haut ou inversement, j’inspire / expir par le glande pinéale …

La méditation analytique, quant à elle, implique un mouvement de l’esprit, par l’utilisation de différents raisonnements logiques permettant d’éliminer les fausses perceptions et compréhensions qui sont les racines des perturbations mentales et de la souffrance. Elle fait croître la compréhension ou une vision supérieure.

Ex : méditer sur l’impermanence, en explorer les différentes facettes. Selon moi c’est un exercice assez philosophique finalement.

Technique pour apaiser les émotions de colère

La colère possède énormément de variantes. Tout le monde en a, même si on n’a pas besoin ou si on n’exprime par la colère. Elle commence par les tous petits agacements du quotidien, c’est une des nombreuses formes de ce qu’on appelle la colère. Pour les bouddhiste c’est l’aversion, le mot est juste car la notion représente TOUT ce vers quoi nous ressentons de l’aversion, ne serait-ce que  » la non-envie d’aller vers « , l’envie intuitive de reculer. Frustation, rechigner, resister, etc…

Mouvement respiratoire :
1 – Identifier et Ressentir l’émotion négative
2 – Expirer comme si on expirait une fumée noire
3 – Inspirer une lumière intense : la tolérance,le patience, la compassion, l’Amour inconditionnel.

Il faut beaucoup de pratique pour que cette technique fonctionne bien. Les émotions seront toujours là, mais elles seront plus facilement passées.

 

Un autre développement personnel

Nous avons l’habitude de considérer que les êtres vivants sont le résultat de multiples divisions cellulaires jusqu’à former un bébé humain, un chiot, etc…

Seulement, nous ne sommes pas  des cellules !Si nous étions des cellules, nous serions morts à mesure que les cellules de notre conception sont mortes. Car elles sont été remplacées par d’autres, et de plus en plus nombreuses durant les premières années, puis moins nombreuses elles continuent cependant à se remplacer les uns les autres, jusqu’à la mort du corps. Non, nous sommes même bien plus que des cellules !

Une cellule, aussi grandiose soit-elle, ne sert à rien si elle n’est investie de Vie !

Voici une autre manière de concevoir la Vie d’un être vivant : à partir d’un grain de sable d’énergie originel, plus exactement un minuscule photon, l’énergie, Une et universelle, se développe, se déroule en s’étalant en quelque sorte pour investir des agrégats de matières. Des matières plus ou moins denses, des os jusqu’aux neurones, des moelles jusqu’aux tissus fibreux et visqueux du fascia. Nous sommes ainsi le résultat d’un « développement personnel » de l’énergie Une et indivisible de la Vie qui nous meut tout au fil de l’existence. J’existe, tu existes, ils existent.

Ainsi, nous ne sommes pas des cellules, ni un corps, d’ailleurs ne dit-on pas  » prendre soin de son corps  » ? Le corps, ou « la forme », est d’ailleurs un des 5 « agrégats » du bouddhisme, lequel nous apprend que nous ne sommes pas ces agrégats. Notre corps est un « véhicule », impermanent, toujours en mouvement tandis que nous l’habitons.

Selon la vision de la médecine chinoise, sur et dans le corps se trouvent des fleuves, des rivières et des ruisseaux d’énergie, des carrefours, des creux et des bosses. Les canaux d’énergie sont les méridiens de la médecine chinoise, et les carrefours en sont les points d’acupuncture. Les méridiens et les points sont des localisations où l’énergie émerge et peut être stimulée. Il n’est donc pas question, pas possible, de modifier le cours du flux vital, mais seulement de le stimuler afin de soit tonifier, soit disperser, ou encore harmoniser l’énergie qui circule plus ou moins bien quand on détecte une déficience au moyen des outils de la médecine chinoise.

Chaque méridien est lié à des fonctions non seulement physiologiques mais également psychiques. Ainsi les « organes » de médecine chinoise ne sont pas seulement investis des « fonctions » organiques, ils le sont également de manière corporelle et même spirituelle.

 

Inspiré de :  » la Vie, la médecine et la sagesse » Elisabeth Rochat de la Vallée, Claude Larre

Les 5 Elements en Médecine Chinoise

Les 5 Elements en Médecine Chinoise

 

Le massage tuina est une des 5 branches de la médecine chinoise. Il s’appuie donc sur les principes de celle-ci.

Les « éléments » de la médecine chinoise peuvent être plutôt considérés comme des « mouvements ». Les 5 éléments correspondent aux différents aspects de la Vie, et sont profondément ancrés dans les mouvements naturels.

Ainsi, on retrouve les saisons, les mouvements de l’énergie, les saveurs, les odeurs, les sons, les aspects spirituels, les rêves, les émotions, les couleurs, les nombres (numérologie), etc …

Ce qu’il y a de remarquable, ce sont les liens entre les éléments, qui forment un tout : la Vie, la nature, les êtres vivants. On retrouve tous les mouvements des 5 éléments dans la nature, tout autant qu’on retrouve leurs liens, leurs luttes, leurs déséquilibres et leurs pouvoir d’équilibrage.

Les 5 mouvements ne sont donc pas des éléments constitutifs de la Vie, mais ils correspondent aux différents mouvements de la Vie, le Qi, le souffle, la force vitale.

Par exemple, quand on dit que « l’élément bois engendre l’élément feu », on pense au fait que le bois nourrit le feu, quand il brûle. Ce qui provoque entre autres l’odeur « rance » liée à l’élément feu. Mais on dit aussi que (l’élément) eau contrôle (l’élément) feu, puisque l’eau éteint le feu. De même, la (l’élément) terre contrôle l’eau, dans le sens où l’on peut ériger des digues avec la terre pour canaliser l’eau. Et encore un exemple « l’eau engendre le bois » dans le sens où les végétaux ont besoin d’eau pour croitre. Et ainsi de suite, on peut trouver de multiples applications de ces 5 mouvements dans la nature, mais aussi dans notre corps, dans notre spiritualité aussi.

Peut-être qu’une correspondance simple à saisir sera celle des saisons : le bois correspond à la naissance, celle du printemps, quand les plantes émergent après l’hiver. Sa couleur est logiquement le vert. C’est la première saison. Vient ensuite l’été, qui est la saison de la croissance, le feu, sa couleur est le rouge. L’automne symbolise la récolte, et l’hiver la conservation.

On peut continuer ainsi très longtemps à commenter les symbolismes et les inte-relations.

O notera en particulier le sens des 5 mouvements : descendant, montant, en contraction, en expansion, et celui plus neutre recentrant. Cet aspect sera important en pratique clinique de médecine chinoise. Si les mouvements sont déséquilibrés, cela se traduit au travers de ce qu’on appelerait des maladies. Et par exemple, si un mouvement est excessif, on pourra le calmer, ou s’il est trop faible, on pourra le favoriser. On choisira ainsi une stratégie de traitement qui vise non seulement l’énergie en question mais aussi l’énergie qui va aider au traitement. Par exemple, un mouvement qui devrait être montant, celui du coeur, peut être excessif. On peut le calmer et lui adjoindre le mouvement du contrôle, celui de l’eau, donc de l’organe Rein. Cela se fait au travers du massage tuina, des points d’acupression, de préférence accompagné par une nourriture adaptée.

On peut aller très loin dans cette réflexion, et il faut plusieurs vies pour maitriser toutes les implications, qui sont pourtant toutes logiques. Et quand on se perd un peu, il suffit de se poser la question « comment ça se passe dans la nature » pour retomber sur ses pieds.

 

 

MTC Les points Shu du dos et points Mu antérieurs

Shu signifie « transporter »

Les 12 points Shu du dos correspondent aux 12 Zangfu.

Les points Shu transportent le Qi à leurs organes respectifs.

Dans les maladies Yin, il faut traiter le Yang  » : En pratique clinique, les points Shu du dos sont utilisés pour les tableaux des organes Zang (Yin), tandis que les points Mu sont préférés pour traiter les entrailles Fu (Yang)

Les points Mu et Shu du dos sont des outils de bilan, car leur sensibilité reflète les affections de leurs ZangFu respectifs.

Les points Shu et Mu sont souvent associés dans le traitement, à savoir :

Poumon : V13 Feishu + P1 Zhongfu
Maitre Coeur : V14 + Ren17
Coeur : V15 + Ren14
Foie : V18 + F14
VB : V19+VB24
Rate : V20 + F13
Estomac : V21 + Ren12
TR : V22 + Ren5
Rein : V23 + VB25
GI : V25+E25
IG : V27+Ren4
V : V28+Ren3

 

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