Auteur/autrice : Eric LANGERMANN (Page 72 of 101)

Le sens de la Vie –  2 –  La Vie et la matière

La Vie et la matière

C’est la vie qui bouge, pas la matière. La matière, elle, n’est rien sans la Vie. Aussi sophistiquée soit-elle, la matière n’est rien. Comme ton smartphone n’est rien quand l’électricité de la batterie est vide. La matière, le corps, ce qui est animé de vie , les corps, les plantes, les éléments, tout ce qui est dynamique est animé par la vie.

Tu es animée de Vie, à chaque instant tu es animée de la Vie. C’est un cadeau, un  cadeau de chaque instant, pas un dû, et ce n’est pas automatique.  La matière en toi est incarnée par la Vie. La vie, celle de tous les jours, trouve son essence dans la Vie, l’énergie universelle, intemporelle, subtile et éternelle, qui est nécessaire au déroulement de toute vie.

Ce n’est pas la matière qui est importante, d’ailleurs ta matière, même la grise, n’est capable de rien sans l’impulsion de la Vie.

Prendre conscience de cela permet de reconsidérer la notion de l’automatisme de la Vie, et de rester humble devant l’existence. Célébrer la Vie, c’est célébrer la Vie avec un grand V, le cadeau permanent que reçoit toute matière.

Namaste

Le sens de la Vie – 1 la Vie avec un grand V

l’essence de la vie se trouve dans le sens de la Vie.

Il y a la vie, nos parcours d’existence, la vie avec un petit v, c’est le déroulement temporel de l’existence, et tout ce qui fait ce parcours.

Et il y a la Vie, avec un grand V. Quand on parle de cette Vie, c’est quoi ?  C’est l’énergie de Vie, cette énergie du Qi qui est partout, partout à la fois, en tout ce qui est Vivant, et même là où il n’y a rien à mouvoir. La Vie vient là où il y a du vide. Rien n’est vide sans avoir été plein.

La Vie c’est l’énergie qui permet à tout d’être, elle transforme une  chose en être. Nous sommes chacun un Être humain, et pas un avoir-humain, ni une chose-humain.

La Vie est partout, celle en moi est la même qui t’animes toi, et tout être animé, aussi peu animé soit-il. La Vie est partout, et n’a pas besoin de matière. La vie est même là où il n’y a rien.

Namaste.

Idees pour démarrer le coaching

– Public Cible ??? à faire!!!
– ensuite comment cibler ce public ?
– Vidéo de présentation de mon activité
Ce que je fais, qui je suis, et pourquoi le client viendrai chez moi plutôt que chez quelqu’un d’autre ?
– Interviewer des coachs : comment ils ont monté leur entreprise ?
– En parler autour de moi
– Donner des exemples
– avoir des avis positifs
– décrire l’activité avec précision
– proposer des échanges de bons procédés avec des thérapeutes : MTC, Hypno, Kiné…
– Support physiques : carte de visite, flyer
– Site internet : fait
– Page LinkedIn : à faire
– Page Ambassadeurs d’Alsace : à faire

 

Pour plus d’harmonie Être plus aligné avec la pyramide de Dilts

Si je n’arrive pas au résultat voulu, c’est que je ne suis pas aligné. Le réflexe qu’on nous a enseigné, qu’on nous montre même en exemple dans notre société, c’est de vouloir changer l’environnement pour qu’il réponde à nos exigences.

Mais tant que je ne comprends pas que c’est mon comportement que dois changer, je vais répéter la même chose, et je vais générer les mêmes résultats. Et changer de comportement à la marge ne suffit pas, ce n’est pas comme ça que je vais y arriver. On peut le voir autour de nous, avec les politiques menées sur toujours les mêmes réflexes.

C’est ce qui a mené l’homme à pervertir le fonctionnement même de la planète, et à amasser des montagnes d’argent pour forcer l’environnement à se former selon ses désirs. On nous apprend depuis tout petits à avoir des métiers bien payes pour nous acheter un environnement qui corresponde à une certaine façon de vivre qu’on appelle bonheur, un bonheur très normatif.  Car si mon environnement change, je n’ai pas besoin de changer de comportement. Sauf que ça ne fonctionne pas tant bien que ça, tout compte fait …

les riches ne sont pas heureux, ils recouvrent leurs vides intérieurs de brillants extérieurs. Les pays les plus riches sont proportionnellement les plus malades, et sont les plus gros consommateurs de psychotropes.

 

Être plus aligné avec la pyramide de Dilts

En reprenant la pyramide de Dilts, on peut déduire que ce que je fais, le comportement, est en relation avec ce que je sais faire, les capacités.

Or, si je fais quelque chose dont je ne possède que peu de compétence, je vais le faire de façon peu efficace, et je peux même faire plus de mal que de  bien. Si je mets tout mon coeur à faire du pain alors que je n’en possède pas les bases, mon pain ne sera pas terrible au début, il faut acquérir des compétences.

Mes compétences, c’est à dire les capacités, peuvent être utilisées à bon ou à mauvais escient. Je peux être doué en maniement des mots, et je peux en blesser ou je peux en faire du bien autour de moi. Cela dépend si les talents sont alignés avec mes valeurs.

Mes valeurs, elles sont les motifs à l’action (les motivations). Si j’adopte des valeurs d’autres comme les miennes premières, alors que ce ne sont pas les miennes, alors ces valeurs vont me mener à avoir des actes qui ne sont pas en relation avec ce que je suis vraiment. Voilà pourquoi il est important d’aligner ses valeurs avec son identité, laquelle est le message que j’ai au monde, ma contribution à la vie.

C’est donc à l’inverse qu’on peut tenter d’aborder le monde extérieur. En prenant contact avec l’Être, en dégager les valeurs les plus importantes, puis détecter quels talents naturels je possède, pour avoir des actes en lien avec l’Être. Ainsi, je vais avoir une influence positive sur mon environnement, et non pas le contraindre, puisque je ne veux pas le forcer, mais être en harmonie avec lui.

Effet kiss cool, je découvre à mon environnement des qualités incoupçonnées. Magique !

 

 » et si tu passais plus de temps à Être qu’à avoir ? « 

Être, c’est Vivre, Être est Vie,
la Vie est Être
je célèbre la Vie, je célèbre l’Être

Un jour d’Octobre 2021, après tant de moments à approcher l’Être, un jour où l’Univers m’envoyait des vibrations que je mêlais aux miennes sur le thème de l’avoir, m’est venue une réflexion de l’ailleurs :

 » et si tu passais plus de temps à Être qu’à avoir ? « 

… oui, c’est vrai, je passe beaucoup, beaucoup trop de temps à avoir, et si peu de temps à Être.

Être, c’est dans des moments bien précis, soit voulus quand je médite, ou quand je contemple la nature, quand j’écoute certaines musiques, mes façons à moi de me connecter, alors je Suis.

Être, cela m’arrive aussi sans le vouloir, quand soudain je me sens en connexion avec l’Autre, ou quand la nature me regarde dans l’âme et se connecte à moi. Dans ces moments aussi, je Suis.

 » et si tu passais plus de temps à Être qu’à avoir ? «   … oui, c’est vrai, je passe beaucoup, beaucoup trop de temps à avoir, et si peu de temps à Être.

Ce temps passé à avoir, c’est …
Avoir raison, mes convictions qui s’opposent à d’autres, les certitudes ancrées dans des résistances. Elle rassure et ancre, cet ancrage est celui de la division.
Avoir, c’est avoir les choses, des objets, et les manipuler, tout le temps de ma vie à leur consacrer ma présence. Tous ces objets sont faits d’une énergie extrêmement faible, et ne m’en renvoient aucune. J’épuise ainsi la mienne, et je ne suis connecté à rien
Avoir, c’est posséder, c’est donc séparer et diviser, c’est par nature dé-connecter de l’Autre, de la Terre, de l’Univers.
Avoir, c’est avoir un travail, pour avoir des choses. C’est avoir un travail sans le vivre avec le coeur et la vibration du corps. Avoir un travail c’est l’inverse d’Être une passion d’abondance, MA passion offrant abondance.
Avoir, c’est tout le temps passé à avoir du temps, à le découper, à planifier, à perdre son temps ou à le gagner.
Avoir, c’est avoir les moyens de m’offrir des loisirs de distraction qui sont aussi la manifestation de la division, ceux réservés à certains, ceux qui privatisent une partie de Terre, ceux qui respectent des obligations, toux ceux qui ne sont pas rassemblements universels.
Avoir, c’est même avoir des relations, ces relations intéressées, plus ou moins opportunistes, plus ou moins choisies.
Avoir, c’est avoir des connaissances que d’autres n’ont pas, c’est séparer par l’information.

Être, c’est être connecté, le ressentir, l’Être, c’est Être tout ce que je fais, c’est Être mon identité, mes valeurs, et développer mes capacités pour agir selon l’Être, avec mes particularités qui m’ont été offertes d’incarner durant ce court passage dans la matière. Je participe à l’oeuvre commune dans l’Être. Être soi.

Être, c’est être mon  corps, chaque cellule, et quand je SUIS chaque geste, chaque mouvement, alors je ressens la Vie qui circule.
Être, c’est être mon travail, et tout ce que je fais, pour y mettre la Vie, la vibration de mon Être, et je peux me rendre compte à quel point le flux de la Vie est puissant à réussir à faire toutes ces choses dans l’avoir avec autant de Vie. Mais attention, la source doit être alimentée pour fournir une énergie aussi abondante.
Être, c’est être dans la relation à l’Autre, c’est remplacer un U par un S, l’Autre par l’Astre, être avec l’Autre devient être avec l’Astre, être l’autre devient être l’Astre.

Donc oui, je veux cesser d’avoir, pour beaucoup plus Être !
Quand je SUIS, je n’ai plus besoin d’autre chose que d’alimenter le corps, avoir de quoi me loger et me chauffer.
A chaque instant où j’ai, la vie en moi est faible et non connecté, et je dois passer par la case partage pour arriver à me connecter.
A chaque instant où je SUIS, je me sens vivant, je sens la Vie circuler, Être là, en moi et partout à la fois.
A chaque instant où je SUIS, le temps n’existe pas, et l’espace ne fait qu’un.
Quand je SUIS, je n’ai plus besoin d’avoir raison, ni de posséder quoi que de soit, tout cela est futile dans l’Être.

Quand je SUIS, alors je me sens léger, je me sens bien, je me sens vivant. Donc, oui je veux passer de plus en plus de temps à Être, et ça fait tellement de bien !

Namaste

PNL Traitement de tout facteur psychologique limitatif (dont phobies)

– Livre Grinder et Bandler « les secrets de la communication » page 191 et suivantes;

co = coach
cl= client
fl = facteur psychologique limitatif. C’est généralement une phobie, physique ou immatérielle, une peur irraisonnée.

Origine :  quantité excessive de stimuli = assailli = stress => ceci a mené une décision insconsciente   =>  cl réagit ensuite toujours de la même manière au même stimuli.  C’est une réaction marquée.

1 – co n’a pas du tout besoin de savoir quel est le sujet du fl. ça peut être pratique si le fl est d’ordre intime, ou si cl est très réservé. cl n’a pas besoin d’exprimer le facteur limitatif.

stp note que je n’ai pas besoin de connaitre le contenu de ton FL. C’est souvent déprimant, ça remue le passé. Mais si tu le souhaites, tu peux l’exprimer, simplement nous n’avons pas besoin du contenu, nous traitons le processus qui génère le FL.

Faire perdre l’équilibre de cl : grimaces / postures / bruits / gestes étranges … de préférence en pénétrant la réalité de cl.

2 –  » veux-tu te défaire de ce FL » ?  – vérifier si oui

3 – Donne un nom à ton FL : une fleur, un animal, un prénom, une chose quelconque.

4 – Pense à un moment où tu as exprimé tes pleines capacités,  toutes les ressources d’une personne accomplie, où tu t’es sentie très satisfaite de ce que tu faisais.
Prends ton temps pour retourner à cette expérience.
Observer les changements par vakog.

5 – je voudrais que tu rentres vraiment à l’intérieur de cette représentation afin que tu revives pleinement, ce moment, totalement épanouie, jusqu’à ce que tu sentes ce moment remémoré dans ton corps, dans le ressenti.
ANCRAGE + : Lorsque ce sera le cas, fais un geste – ou –  tends le bras et donne-moi la main – ou – donne le nom d’une chose quelconque à ce qui représente ce moment de personne épanouie

6 – te rappeles-tu du premier moment où est apparu ton FL ?
Réponse : « non »
donc, tu peux remarquer que tu as une réaction intense à un évènement dont tu ne te souviens même pas, c’est peut-être que ce n’est pas l’évènement originel qui te dérange, mais plutôt ta réaction à un stimuli ?
Chercher à faire comprendre que le problème n’est pas dans l’origine mais dans la réaction au stimuli.
Et c’est exactement ce qu’il te fallait, car cette réaction peut te sauver face à un danger. je ne veux pas t’ôter la capacité de réagir face à ce stimuli qui a généré cette réaction systématique comme celle d’une phobie,
Je veux que tu ne sois pas obligée de réagir de la sorte, je veux te laisser le choix d’opter pour une autre réaction.
je veux que tu puisses librement réagir face à ce même stimuli comme la
personne accomplie en pleine possession de ses capacités, heureuse et épanouie.
(laisser le choix, options)

7 – Je vais t’inviter à voyager dans le temps. Dès que tu auras besoin de retrouver les ressources de la personne pleinement épanouie que tu as ressenti tout à l’heure, tu feras le geste  / mot de rappel (ANCRAGE+)

8 – Peux-tu identifier les sensations et émotions qui sont associées à ton FL ?
cl : « oui »
ANCRAGE- : Maintenant fais un petit geste qui est associé à « … » (nom donné au FL)

9 – Ton (ANCRAGE+) représente le lien avec ta force personnelle de personne épanouie et sereine. Nous allons retourner dans un moment où ton facteur limitant est apparu, mais cette fois tu n’éprouveras plus les sensations désagréables associées. Tu te sentiras bien, très bien.

10 – Ferme les yeux. à chaque fois que tu en auras besoin, tu feras ton geste de rappel.

11 –  Maintenant, je veux que tu te postes à l’extérieur en tant qu’observatrice. En faisant le geste de l’ancrage de la FL, et en nommant FL, nous allons maintenant rappeler UN PEU des sensations liées à FL. Juste la fraction de sensations nécessaires à observer saune petite partie de ton FL.

12 – Tu vois une scène tirée de ton enfance. tu es à l’extérieur, tu observes. Prends une photo mentale de cette scène.

13 – Rapelle toi que tu contrôles la quantité de retour dans le passé, que tu peux maintenant choisir.

 

Avoir et Être

S’attacher à avoir empêche d’Être. S’attacher em-pêche.

Avoir raison ou avoir des choses pour soi, sont des barrières, des divisions.

Notre société toute entière est construite sur l’avoir, et rejette même l’Être, en tout cas ne lui donne pas une place prioritaire.
On n’enseigne pas Être, on ne l’encourage pas.

Peu de gens ont même une notion de ce que c’est d’Être, sinon de penser que c’est partager des…avoirs, avoir à plusieurs, avoir raison et avoir des possessions. Les possessions procurent une joie passagère, et puis ensuite revient la routine et il en faut plus, autre chose, et en somme ce sont des artefacts du bonheur.
Si on n’a jamais été heureux, on peut être tenté de vivre l’Être comme les avoirs, on rattache le bonheur aux critères de l’avoir : le temps et l’espace délimités.

C’est dans Être qu’on trouve la joie, l’amour profond, la vibration de la Vie : on est heureux, on n’a pas heureux ! la société nous fait croire que l’avoir peut monter dans la non matière. C’est ainsi qu’on se torture avec le passé et le futur qu’on croit exister, qu’on pense que les comportements sont des identités, que les valeurs sont des monnaies… On voudrait nous faire croire que nous sommes ce que nous faisons. D’ailleurs beaucoup le pensent sincèrement, et s’appliquent à être ce qu’ils font, basé sur ce qu’on leur a appris.
De cette manière, les puissants dictent quoi faire, le peuple tout entier « est » ce qu’ils ont décidé. C’est un monde dirigé, ordonné, normé.

Être se passe dans le non matière pour descendre dans la matière, dans l’alignement entre ce que je suis et ce que je fais, et non pas l’inverse.

Le temps et l’espace illimités de l’Être nous offrent un univers tout entier !

Être à plusieurs serait facile, souriant, joyeux, épanouissant. Imagine tout ce qui serait possible sans les chaînes l’avoir ! Nous serions au paradis…

La différence entre cette jolie planète et l’enfer, c’est l’avoir. Nous sommes en enfer collectif, nous arrivons parfois à être dans un paradis à deux ou tout au mieux à quelques uns, quand les jugements et avoir raison n’existent plus.

Être ensemble, être unis, être sans l’avoir là où circule la joie d’être, la Vie est libre.

Être est léger, Être c’est libre, Être est Joyeux, Être c’est quand on se sent vivant, vibrant, c’est quand on Est l’arbre la fleur et le sourire, quand on Est le vent et la pluie et l’oiseau et l’abeille.

Être c’est la compassion, la bienveillance et la connexion entre les Êtres.

Être c’est vivre, c’est bouger et sentir en soi la grâce nous prendre pour nous élever ou simplement rester quelques instants à observer contempler la Vie.

Namaste

Avoir raison

Avoir raison ou tort génère énormément de souffrance et implique la séparation : la domination et  la perte de discernement, la violence, la discrimination, les obligations, l’exclusion, le racisme…

De l’autre côté pour celui qui a tort c’est la soumission, la honte, la culpabilité, la réclusion, le silence, la tristesse, la mélancolie, le suicide…

Pourtant, celui qui a raison peut du jour au lendemain devenir celui qui a tort…

Tant qu’il a raison, celui qui a raison ne peut réfléchir de façon claire, car son égo est lié au fait d’avoir raison et non au langage des relations humaines faites de nuance, de prise de distance et de lâcher prise.

Le remettre en doute le met en colère et augmente sa violence, violence justifiée par le fait qu’il a raison, et il justifiera cette colère par la résistance à la soumission à la raison. : ceux qui ont tort sont les seuls responsables de la violence qu’on est « obligé » de leur imposer. C’est comme ça que des peuples entiers entrent dans des cercles vicieux de haine cachée sous les bons sentiments, car ceux qui ont raison sont ceux qui sont les bons, les gentils, puisqu’ils ont raison.

Se remettre lui-même en doute équivaut à perdre pied, car celui qui a raison a remplacé ses valeurs par celles qu’on lui a enseigné, celles qu’on rabâche du matin au soir et qui forme une hypnose collective, les valeurs propres sont recouvertes par celles que d’autres ont conseillé de suivre « pour votre bien », et c’est ainsi que les identités sont remplacées.

Dans les années 1930 beaucoup d’allemands n’étaient pas ni xénophobes ni antisémites, mais ils se sont laissés remplacer leurs valeurs par celles de leurs dirigeants qui les protégeraient, qui leur donnerai raison, qui leur redonnerai une raison d’être, une fierté …

On regrette parfois amèrement d’avoir eu tellement raison après un réveil. Parfois, il n’y a pas de réveil.

Auto-destruction

On n’a pas forcément besoin des d’autres pour être dans ce jeu destructeur d’avoir raison et d’avoir
tort. Il suffit parfois de se rendre compte qu’on est dans une impasse, ou alors qu’on a loupé quelque chose dans une relation pour se donner tort à soi-même. Et on se met à culpabiliser ou encore avoir honte. Les plus lourds bourreaux de coeurs, c’est soi, quand on n’est plus dans le soi-m’aime. Alors on se trouve en trouble avec soi-même, en dysharmonie avec soi , en divorce avec soi.

Même quand son « avoir raison » génère des souffrances visibles, celui qui a raison ne se remet pas en cause, et sa compassion humaine n’existe plus, sauf pour d’autres qui ont raison. Avoir raison est supérieur à toutes les valeurs de fraternité.   » ils n’avaient qu’à » (faire comme moi je pense, puisque j’ai raison)

Avoir raison mène aux discriminations, aux exclusions, aux discriminations, aux guerres…

Lâcher prise

Dans notre société, qui peut encore s’aimer soi sans avoir besoin d’avoir raison ? Lâcher prise sur avoir raison, ça s’appelle le langage du coeur, c’est aussi la compassion et l’accueil, la bienveillance envers tous, peu importe les convictions et valeurs.

Lâcher prise d’avoir raison ou tort, c’est une liberté formidable, c’est libérer la chaleur humaine, c’est regarder par les yeux du coeur, c’est réunir, c’est harmoniser, c’est se sentir en paix, serein, tranquille, libre, libre, libre.

Si je n’ai pas besoin d’avoir raison pour être bien en moi, je n’ai plus besoin de justifier de faire ce qui est aligné avec mes valeurs à moi, les miennes et pas celles qu’on me dit de suivre.

Et être en phase avec mes vraies valeurs, ça me permet d’exister jusque dans mes relations aux autres, tel que je suis moi.

Processus d’accompagnement la séance

Accueil

météo du jour – réciproque

Poser le cadre et bulle proximale : tout de qui sera dit sera confidentiel, si quelque chose dérange alors l’exprimer sans crainte, rien n’est mal tout est bien, accueillir les émotions et les besoins sans gène. durée, interruption, liberté.

Première séance : petite anamnèse.

Suivi : retour – changements positifs ,- leçons-

Objectif
qu’est-ce que tu veux qu’on aborde aujourd’hui ?
d »où tu pars , quel est l’état désiré ?
vision à 2 3 ans –   comment ça sera ? sens, baguette magique, décrire – image ou ressenti sensations selon VAKOG – résultats visés – à quoi sauras tu que c’est réalisé ? – autre obj. – rendre spécifique – composer le SMARTF

 

Présent
clarifier – actuellement – contexte actuel – etat d’eprit ? – qu’est-ce qui a déjà marché ? – quels changements peux-tu faire ? – ressoutces actuelles – ressources visées – qu’est-ce qui fait que tu veux cela ?  – quelle est la motivation – plan B – obstacles – doutes

Options
ouvrir le champ des possibles – si baguette magique ? – créativité (carré magique) –

Plan d’action
quoi quand où qui comment ? plaisir
prioriser – étapes
mesurer la motivation (mini 8 sur 10)
avec quoi tu repars?

feedback

 

Tony Robbins La Méthode coup de fouet

(Adapté du Livre « Pouvoir Illimité » de Anthony Robbins- pages 140 et +)

Etape n° 1:
Identifier la conduite que vous voulez transformer. Représentez-vous mentalement cette
conduite. Pour les peurs ou les insatisfactions : Pensez à une chose que vous redoutez.
exemple, vous désirez cesser de vous ronger les ongles, imaginez-vous en train de porter vos doigts à votre bouche et de commencer à vous ronger les ongles. formez une image claire.

Etape nº 2: (l’image devra être dissociée)
formez l’image du comportement que vous désirez et du changement que cela représentera pour vous. Pour les peurs ou les insatisfactions : Imaginez la situation telle que vous la désirez. Rendez-en l’image très agréable. L’image doit être extrêmement attirante, plaisante et désirable. qu’elle vous mette dans un état de motivation et de désir. Ajouter des sous-modalités.
Exemple : vous éloignez vos doigts de votre bouche, tout en opérant une légère pression sur le doigt que vous vous apprêtiez à ronger, vous imaginez que vos ongles sont parfaitement manucurés et que vous êtes bien habillé, extrêmement soigné, rempli de confiance et maître de vous.

Etape nº 3 : relier les deux images par un « coup de fouet » :
– formez une grande image lumineuse du comportement que vous désirez modifier.
– Puis dans l’angle inférieur droit de l’image, voyez une petite image sombre du comportement futur.
– Concentrez-vous alors sur la petite image et, en moins d’une seconde, agrandissez-la et augmentez-en
la luminosité jusqu’à ce qu’elle envahisse tout le champ de vision, en prononçant  « ouf ».
– Ouvrez les yeux une fraction de seconde puis refermez-les répétez le processus 7 fois en tout, aussi rapidement que possible.

 

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