Auteur/autrice : Eric LANGERMANN (Page 64 of 101)

Clés de Réussite – Outil de Coaching

Tout organisme, organisation, entreprise, mouvement, religion, métier, a été créé. Et chacune de ces entités a trouvé une place qui était forcément vide avant son invention. Et chacune dans un contexte favorable à son éclosion : le smartphone ne pouvait pas être développé il y a 50 ans.

Il y a dans toute entité des vides. Identifez-les et comblez-les. Ce sont des besoins non nourris.

Dans toute initiative ne marchez jamais sur les plates-bandes d’autres : c’est que ça existe déjà, ce n’est donc pas nouveau.

Regardez les inventions sans juger : y compris les escrocs ont inventé des idées que vous pourrez utiliser pour votre activité

Allez à la rencontre du monde extérieur ! Posez des questions !

Syndrome de l’imposteur – Outils de Coaching

Une estime de soi saine ne consiste pas à se voir de manière indéfectiblement positive, mais de manière claire et juste dans le contexte de sa vie. Une faible confiance en soi fait perdre de l’énergie en créant un stress chronique inutile.

Une étude a révélé que deux personnes ayant réussi sur cinq se considéraient comme des fraudeurs et comme surévaluées.

Ca veut dire que millions de personnes capables, intelligentes et compétentes se sous-estiment et ne réalisent pas vraiment leur destin professionnel.

PROFIL : Ce sont donc généralement des personnes très efficaces, très compétentes, très consciencieuses … et enclines à la culpabilité.

Le syndrome de l’imposteur est le biais d’une faible estime de soi qui se heurte à l’inconfort d’une valorisation positive non méritée.

Ces personnes comprennent cognitivement qu’elles sont qualifiées et expérimentées, mais ont le sentiment de ne pas à la hauteur.

Elles mettent toute réussite sur le compte d’éléments extérieurs : le partenaire, la chance ou le hasard, le timing…

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ne pas faire / dire

Conseil 1 : N’essayez pas de les convaincre de s’en sortir.

Comme tout problème d’estime de soi, le syndrome de l’imposteur est une sorte de pensée extrême, une croyance forte. Contredire sera donc renforcer.

Evoquer l’effet Dunning-Kruger sans dire ce que c’est.

Lâcher-prise – Rappelez que tout est inventé :
toutes les institutions, tous les titres, toutes les organisations et tous les domaines d’études, tous les titres d’emploi, et tous les organismes académiques et professionnels, ont été, à un moment donné, simplement inventés. Imaginés. Rêvés, puis institués.

 

 

 

Ambiance Covid et maladies induites

Le décompte morbide des décès attribués à ce virus qui reste inconnu génère un stress permanent. La bassesse des médias n’a jamais été aussi sombre : on attend toujours plus de morts, comme si c’était un jeu. On déplore dans une réjouissance morbide. Et mortelle.

être effrayé, avoir peur, craindre, s’attendre à pire, se prémunir, etc… génère des hormones de la peur. Ces mêmes hormones qui sont utiles devant un vrai danger, un danger immédiat, comme par exemple une voiture qui perd sa trajectoire et nous fonce dessus, un chien méchant, etc… des occasions heureusement très très rares.

Notre corps n’est pas fait pour vivre dans le stress. Il n’y a pas de bon stress. Ces réactions corporelles de la peur ralentissent les fonctions de la digestion en chassant le sang des organes de la digestion pour les donner aux membres. Une digestion faible génère une faible extraction des nutriments, et affaibli le système immunitaire. A ce propos, le système immunitaire ne doit pas être vu comme un système de défense, mais un centre de tri et de traitement interne, et intelligent.

Le fait que le sang chargé d’homrones de stress irrigue les membres génère des syndromes de « chaleur interne » qui mènent aux maladies en ite : tendinites, arthrite, et mes fybromyalgies, etc…

Un état de stress génère aussi une respiration courte. Il suffit de s’observer pour le remarquer.

L’état de stress, pas le stress lui-même mais l’état qui en découle ou si voue voulez les réactions, induit une action rapide pour se sortir de l’origine du stress, un état de stress n’a pas le temps de réfléchir posément. Un état de stress empêche donc une réflexion posée, une prise de recul, et on se retrouve à généraliser, et à omettre certaines informations qu’on a pourtant sous le yeux, et on fait cela pour se protéger d’une ouverture d’esprit qu’on fuit à tout prix quand on est dans un état de stress. Enfin, on se met même à distordre la réalité, en clair à me mentir à soi et parfois aux autres, distordre pour là aussi traiter la peur : prendre du recul serait éloigner la peur, le stress dans lequel on est habitué à vivre.

Faisons le compte de nos moments de stress dans une journée, et le compte de nos moments de joie sereine.

On observe depuis deux ans une dérive de la mortalité dans des tranches d’âge qui ne sont pas ou très peu touchés par le virus à la mode. Et on observe aussi une dérive des maladies cardiovasculaires dans ces mêmes tranches d’âge en dessous de 65 ans.

Alors une fois de plus on attribue cela au virus. Mais il n’y a pas de preuve de cela, ou alors on peut toujours faire parler les chiffres selon ce qu’on veut démontrer.

En tout cas, vivre dans un stress permanent, ça c’est prouvé, génère des maladies cardiovasculaires, et d’autres maladies, dont la dépression, les troubles nerveux etc… les chiffres impressionnants des plaintes remontées par le corps médical suite aux injections du produit mal nommé vaccin (ce n’est pas un vaccin) ne sont peut être autant liés au produit qu’au stress, y compris le stress lié à l’injection elle-même.

Une fois de plus, vivre dans le flux des médias est anxiogène, génèrant des maladies et des complications mortelles dans un certain nombre de cas. Ce n’est pas la faute des médias, car les médias vont seulement là où le vent va : l’audience ! Si l’audience des mauvaises nouvelles baissait, les mauvaises nouvelles seraient moins nombreuses, et si l’audience des bonnes nouvelles montait, il y aurait plus de bonnes nouvelles. Ensuite on dirait : ah c’est cool le monde va mieux ! non ! le monde ne va pas ni bien ni mal, le monde va, la vie va, tout simplement.

Namaste.

 

Le compliment qu’on ne peut pas refuser – Outil de Coaching

Certaines personnes, souvent dans des états à dominante émotionnelle négative, rejettent tout compliment ou alors même augmentent leur isolement après un compliment.

Nous avons déjà vu qu’il ne faut pas couvrir une personne de compliments, y aller doucement, dans la reconquête de l’estime de soi.

Mais on peut faire des petits compliments que la personne aura beaucoup de mal à rejeter.

Comment construire un compliment qu’on ne peut pas refuser ?

Tout d’abord, ne dites pas  » vous  » tout de suite, car la personne se sentirai jugée, et prise à partie.

Parler en  » je  »
Parler de sa propre expérience
être impérativement sincère
Parler de généralités
Parler d’une qualité qu’on trouve chez certaines personnes
Inclure la personne dans les qualités évoquées

Exemple : « je trouve que certaines personnes ont ce talent naturel de … (à partir de ce qu’on sait des talents naturels de la personne) et ce sont souvent des personnes qui … (évoquer des réussites et qualités liées au talent), et j’ai l’impression que tu en fais partie »

 

Outil de Coaching pour aller à la racine de la venue du client

Il faut faire attention à ne pas se tromper de problème et de ne pas se laisser embarquer par le client ni par son histoire.

Ex : une femme qui a des graves insomnies depuis des années, diagnostiquée comme insomniaque et traitée par son docteur, personne ne lui avait jamais demandé combien elle boit de café par jour …
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Vérifier les besoins primaires dans une conversation anodine peut beaucoup aider à identifier les secteurs en souffrance.

Nous avons tous besoin :

De donner et recevoir de l’attention (relationnel)
Du lien corps / esprit ( sommeil, activité physique, alimentation)
D’un sens de buts et d’objectifs (sens de la vie, buts)
D’une intégration à une communauté
De créativité
D’intimité
De statut social
De sécurité et de protection

Anxiété Outil de Coaching

L’anxiété est une réaction émotionnelle, pas une maladie.

1 – Calmer

Faire des choses qu’on ne peut pas faire en état de fuite :
Parler doucement et calmement
Sourire
Saliver – manger
respirer profondément
avoir une posture ouverte
plaisanter, avoir une conversation spirituelle

2 – Identifier l’émotion et la calmer (parce que les émotions dominent les pensées)

3 – les XX « parce que » de la cause d’une anxiété : j’ai peur d’aller à la fête – les gens ne m’aimeraient pas – je serai mal à l’aise – je me sentirai antipatique … puis à partir de là
Puis comment faire face à cela de manière positive ? : je ferai + … puis je ferai + … puis je me sentirai … +

4 – Interroger la croyance : comment peux-tu être sûr que tu te sentirai mal à l’aise à cette fête ? Est-ce parce que la dernière fois ça ne t’as pas plus que ça doit obligatoirement être pareil ?

Estime de soi – Outil de Coaching

L’estime de soi = en rapport avec Etre, être soi.

Une estime de soi saine ne consiste pas à se voir de manière indéfectiblement positive, mais de manière claire et juste dans le contexte de sa vie. Une faible confiance en soi fait perdre de l’énergie en créant un stress chronique inutile.

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Profil : Ce sont généralement des personnes qui ont été battues, qui ont été dénigrées, traitées comme un objet, critiquées, abusées sexuellement (4X plus de risque d’avoir une mauvaise estime de soi) ce sont souvent des femmes (« la femme ne vaut rien », abus sexuels…)

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Les présupposés erronés à propos de l’estime de soi :
– la personne tombe en dépression à cause de son manque d’amour pour elle-même
– il suffit d’envoyer des messages d’amour à soi et d’essayer de se convaincre soi-même que ça marche même si on n’y croit pas
– La faible estime de soi n’est pas causée par des pensées mais par des émotions fortement négatives. la personne est sans espoir, honteuse, pas méritant.

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à ne pas faire / dire :
 » tu dois t’aimer toi-même d’abord  » : dire cela à une personne en faible estime sans lui donner les outils génère encore plus de sentiment d’être incapable.

Ne pas les couvrir de positif, de valorisation :
le réflexe est alors de les abreuver de compliments : la personne percevra que vous ne la comprenez pas. Elle se sentira inconfortable et isolée. Elle n’est pas (encore) capable d’entendre beaucoup de positif à son propos, et pas d’un seul coup.
==> Plutôt lui faire dire à elle-même les côtés positifs + comment elle se sent.

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à faire / dire

Aller doucement
L’écouter et la comprendre.
aller très doucement vers le positif.
faire prendre conscience de leurs propres valeurs, capacités, façon de fonctionner.
==> Cette estime vient par le fait « d’être » plus : plus elle-même, et de le montrer au monde.

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exercices pour la personne / demande

  • Se regarder dans le miroir, progressivement :  » je suis », « je suis ____ » ,   » je suis telle que je suis « ,  » je suis bien telle que je suis » , « je suis digne d’être aimée » ,  » je m’aime »,  » je t’aime »

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EFT

TUINA

 

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PONT AFFECTIF

 

  1. Trouver le sentiment

Je demande à Emily de ne pas se contenter de décrire le sentiment qu’elle a ressenti lorsqu’elle n’a pas pu s’affirmer, mais de le ressentir réellement C’est la clé : nous avons besoin d’un échantillon de la sensation problématique.

  1. Trouvez le souvenir

Une fois que vous avez isolé le sentiment, demandez à votre client quel souvenir (le cas échéant) lui vient à l’esprit lorsqu’il se concentre sur ce sentiment. Ne soyez pas surpris si la réponse est négative, du moins au début.
Mais parfois, ces choses-là demandent un peu de temps. Il est probable qu’il s’agisse d’un souvenir auquel la personne n’a pas pensé depuis longtemps et qu’elle n’a pas vraiment relié à ses difficultés actuelles.
Mais il est important de s’assurer que nous aidons le client à accéder aux souvenirs qu’il a toujours eus – car en thérapie, nous devons toujours rester conscients du risque très réel de fabriquer des souvenirs.

  1. Recadrer le souvenir

Dissoudre la charge émotionnelle liée

  • technique de la main secourable
  • l’enveloppe fermée : écrire le sentiment et fermer l’enveloppe
  • le nuage : élever le sentiment négatif dans un nuage, puis observer / imaginer ce nuage s’en allant, puis arrosant d’une pluie lavée du négatif une terre ailleurs donnant une énergie renouvelée.
  • retourner dans le passé d’enfant mais en tant qu’adulte avec les ressources de l’adulte.

https://www.unk.com/blog/treating-painful-memories-2-techniques/

  1. Répéter de nouveaux schémas – dissociation

Une fois que nous avons contribué à retirer la puissance négative d’un souvenir afin qu’il n’active plus de sentiments difficiles dans le présent, nous pouvons aider nos clients à répéter de nouveaux sentiments. En effet, nous enlevons une chose (le sentiment négatif d’un souvenir ancien mais influent) et nous y mettons autre chose, un nouveau modèle pour ressentir et se comporter différemment à l’avenir.

Faire une dissociation : se voir du point de vue de la troisième personne, car les recherches montrent que cela permet d’adopter naturellement de nouveaux comportements.

Résumé

1 – se mettre dans l’émotion du manque d’estime.
2 – Quel souvenir vient spontanément. Laisser du temps
3 – Recadrage
4 – Faire une +++ dissociation

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stratégies pour les pensées irrationnelles

Distinguer la pensée de la réalité
On pense les humains descendent du singe, c’est une pensée.
On pense que la terre tourne autour du soleil, car on l’a déduit assurément, ça reste une pensée.
On pense que les premiers humains étaient moins intelligents, ça reste une pensée.
On SAIT que se cogner le pied contre un poteau ça fait mal.

Questionner la pensée

quelles sont les conséquences positives de cette pensée ?
quelles sont les conséquences négatives de cette pensée ? Veux-tu les conserver ? si non, comment tu te sentirais si tu ne les avais ?
a propos des conséquences positives : est-ce que ces conséquences sont vraiment positives ? peux-tu les retrouver dans d’autres contextes ?

Introduire le doute
Comment peux-tu être sûr de ça ? c’est des suppositions aussi probables soient-elles, ou bien certitude ? ne t’es-tu jamais trompé sur tes déductions ?

Raconter l’histoire de la mère privée de la garde de sa fille.

Quelles sont les autres interprétations sont possibles ?

 

 

3 techniques qui permettent d’identifier le vrai problème de votre client

3 techniques qui permettent d’identifier le vrai problème de votre client

En bref :

    identifiez les besoins émotionnels qui ne sont pas satisfaits
recherchez les erreurs de correspondance entre les modèles et les besoins
soyez attentif aux métaphores

 

  1. Quel besoin fondamental n’est pas nourri ?

Les gens développent des problèmes psychologiques lorsque leurs besoins ne sont pas satisfaits. Nous avons tous des besoins fondamentaux en commun :

de nous sentir en sécurité au quotidien
de donner et de recevoir de l’attention
d’avoir le sentiment d’avoir un certain contrôle et une certaine influence sur les événements de la vie
de nous sentir stimulés par la vie pour éviter l’ennui
de s’amuser parfois et de sentir que la vie est agréable
se sentir intime avec au moins un autre être humain
se sentir lié à une communauté plus large et en faire partie
avoir de l’intimité et du temps pour réfléchir en privé
avoir un sentiment de statut, un rôle reconnaissable et apprécié dans la vie
avoir un sentiment de compétence et de réussite
avoir un sens à la vie et à ce que nous faisons.

Lorsque les gens vous parlent de leurs difficultés, identifiez quels besoins primaires en sont pas nourris.

 

  1. Quelles sont les correspondances erronées des modèles ?

Le cerveau essaie de faire correspondre instantanément toute nouvelle expérience à quelque chose de connu afin de pouvoir y répondre de manière appropriée. Ex : c’est l’heure de manger – vous sentez de la nourriture – vous salivez pour vous y préparer : Un modèle externe a déclenché un modèle interne.

Le degré d’efficacité de l’adaptation de nos schémas correspond à notre niveau d’adaptation à la vie. Mais il arrive parfois que la correspondance soit défectueuse. Par exemple, un phobique fait correspondre par inadvertance un schéma de peur au schéma de quelque chose qui n’est pas du tout dangereux.
Un homme peut avoir appris à craindre les défis et les opportunités en raison d’un conditionnement négatif dans son éducation. Une femme peut craindre la perspective d’une nouvelle relation à cause d’une ancienne relation abusive.

  1. Que vous disent leurs métaphores ?

plus une chose est importante pour nous, plus nous devenons métaphoriques. Ainsi, pour discerner ce qui est vraiment important pour votre client, écoutez attentivement les métaphores plus élaborées et réfléchissez à ce qu’elles indiquent. Ils peuvent se décrire comme se sentant piégés, perdus, dire que leur relation est au point mort…

 

Motiver le client Comment booster la motivation du client

En-dessous d’une motivation de 8 sur 10 aucun coaching n’est efficace.

Parfois le coach se retrouve devant un client qui dit vouloir changer mais la motivation n’est pas vraiment au rendez-vous, pas autant qu’annoncé.

Comment booster la motivation du client ?

  1. Faites appel à leur orgueil

l’orgueil est souvent ce qui motive les gens à faire un certain nombre de choses, qu’il s’agisse de réaliser quelque chose pour se sentir bien ou de défendre une croyance erronée pour éviter de se sentir mal. Ainsi, si une personne est ou a été fière de quelque chose – nationalité, compétence, talent, réussite, etc. – nous pouvons associer ce qu’elle doit faire à cette fierté et l’utiliser pour l’aider à « vouloir vouloir changer ». Et cela peut se faire soit de manière cachée, soit ouvertement.

  1. Faire appel à leurs principes

Si la justice, l’honnêteté, le travail ou la protection droits de l’homme ou de la femme sont importants, alors utilisez-les.

Ex : Une personne qui veut arrêter de fumer. Au fil de la conversation, il apparait que la personne a une passion guerrière contre les grandes entreprises capitalistes. Dans ce cas on peut évoquer l' »arnaque » de l’industrie du tabac, de son « injustice » et de la façon dont des générations ont été dupées, véhiculant l’image de liberté avec celle du fumeur.

  1. Faites appel à leur domaine d’expertise

Beaucoup de vos clients en savent beaucoup plus que vous sur beaucoup de choses. Et la plupart des gens sont fiers de partager leur expertise et aiment le faire. En découvrant ce que vos clients connaissent bien, vous pouvez utiliser ces connaissances et cet enthousiasme pour les aider à changer.

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