Et puis il y a ces moments de lassitude, où tous les mots semblent vains, des moments où je ne voudrais qu’un calin, juste un hugg et un regard échangé, juste quelques pas avec une personne amie, rien de plus, rien de moins.
Etre
Et puis il y a ces moments de lassitude, où tous les mots semblent vains, des moments où je ne voudrais qu’un calin, juste un hugg et un regard échangé, juste quelques pas avec une personne amie, rien de plus, rien de moins.
Tous hypersensibles ? je pense que nous avons des sensibilités différentes en fonction des sujets, en rapport avec nos centres d’intérêt, nos engagements, nos passions. On peut être très sensible sur un sujet comme la protection de la nature et n’avoir aucune sensibilité pour les performances sportives de telle équipe. D’ailleurs, les personnes qui se disent hypersensibles ne le sont pas en tout, et heureusement. Nous sommes également d’une sensibilité variable en fonction de l’état d’harmonie entre notre cadre de vie et nos besoins. Vivre dans un environnement qui ne nous convient pas va accentuer notre sensibilité générale, tout comme l’état de fatigue va influencer notre sensibilité générale. Les évènements de vie comme les deuils ou les traumas non résolus sont également des facteurs de sur-sensibilité. Donc, différents inducteurs entre en ligne de compte, par-dessus une sensibilité de base qui peut être plus ou moins forte. Et donc, une personne sur-sensible à la base sera plus vite impactée par tous les autres facteurs de sensibilité, et sera plus encline à mettre en place des barrières et des stratégies pour la gérer au mieux.
Quelques astuces dans les relations humaines, des trucs qui touchent la sensibilité :
La sincérité : la confiance est essentielle pour une personne hypersensible, donc ne dites jamais » ça va très bien » si ce n’est pas le cas, car la personne hypersensible le captera. Inversement, l’hypersensible qui dit « tout va bien » alors que ce n’est pas vrai donne un signal de fermeture à son interlocuteur, car tout se voit sur le visage d’une personne hypersensible.
L’intensité des émotions : Les hypersensibles vivent les émotions d’une manière plus intense. Donc, ne pensez pas qu’il/elle exagère, ou joue un rôle
Ne donnez jamais de conseil ! C’est valable dans toutes les relations, et les hypersensibles vivent très mal le conseil donné alors qu’il n’est pas sollicité.
Le besoin de se ressourcer : nous avons tous besoin de moments de solitude, les hypersensibles plus que les autres. Définissez des limites, car l’hypersensible doit savoir revenir vers l’autre, sinon la relation devient vite déséquilibrée, car l’autre personne va se sentir « utilisée »
La saturation : selon le milieu dans lequel on se trouve, on peut saturer. Les hypersensible le sont juste plus rapidement, mais pas partout, pas tout le temps.
Etre et rester pleinement connecté à l’autre : c’est une régle d’or dans toutes les relations. Simplement les hypersensibles ressentent plus vite toute déconnection. Il faut simplement les rassurer.
La sensibilité au bruit : Les hypersensibles sont trèsss sensibles au bruit.
Le rendez-vous sexuel, y compris pour les blessés de l’amour
Bien que personne ne pense que planifier une soirée entre amis va nuire au plaisir de se retrouver et d’être ensemble, les gens pensent souvent que planifier le sexe nuit au plaisir. Pourtant, particulièrement pour les blessés de l’amour, pour les personnes en mal de confiance et / ou d’estime, prévoir peut rassurer, et mener loin dans le plaisir.
Evitez de vous précipiter sur un/e inconnu/e, que ce soit une rencontre flash ou qui personnage fantasmé de longue date. Basez-vous sur la fiabilité de l’amitié, des valeurs partagées, et décidez en conscience de créer, d’expérimenter de nouvelles choses ensemble.
Partez ensemble, loin de vos quotidiens, partez ailleurs en amis. Jaugez-vous, regardez dans la même direction. Mêlez l’imagination à la réalité du voyage. Mélangez pour créer votre ambiance, votre intimité. Elle rassure, elle constitue un ancrage.
Imaginez ensuite la relation autrement, d’abord en secret, puis avec l’autre. Parlez-en, et décidez d’essayer. N’ayez pas peur, votre amitié sera plus forte que le moment de l’ouverture à l’hypothèse du peut-être. Mais ne passez pas à côté du peut-être, car peut-être que l’amour y était logé.
Le désir est une combinaison de curiosité et de risque. Créez une atmosphère d’attente autour du rendez-vous « sexuel ». Les préliminaires commencent à la fin de votre précédent orgasme, et englobent tout ce qui crée un état d’esprit de disponibilité à l’autre. Faites monter la tension sexuelle. Jouez, cherchez-vous, provoquez-vous dans l’espièglerie, envoyez-vous des sextos. Soyez curieux, faites des compliments à votre partenaire, dites-lui des phrases d’ouverture comme « est-ce que tu veux qu’on passe un moment ensemble, juste toi et moi », ou « ta présence fait vibrer en moi quelque chose de spécial ». Soyez sincères, soyez vous jusque dans vos maladresses, mais restez actifs, présents. Concentrez-vous sur de petites excitations réalisables pour vous mettre dans un état d’esprit coquin et érotique. Apprenez à vous connaitre : « qu’est-ce qui te rebute ? », « qu’est-ce qui t’excite ? ». Allez-y crescendo, découvrez-vous lentement, avec complicité, bienveillance, patience, amour !
Puis instituez des rituels, partagés, d’un commun accord. Ne faites rien en douce. Demandez. Le contexte donne l’assurance et sera la base de la créativité, et porte la tension du désir. Bien avant de passer au physique, ce sont des conversations dans une lumière tamisée, avec le jeu des reflets des lumières des bougies, la diffusion d’huiles essentielles, une musique très douce…et des sujets de conversation choisis, des silences, des regards de plus en plus longs. Osez, doucement, osez quand même.
C’est particulièrement important pour les personnes qui ont un rapport au corps compliqué. Dans ce cas, la parole est souvent compliquée également. Alors, passez beaucoup de moments à seulement aider l’autre à faire confiance à son corps, sans même le/la toucher pendant autant de temps qu’il le faut. Ne vous découragez pas, ni l’un ni l’autre, ne pensez pas que l’autre ne veut pas de vous, apprenez, tout en douceur, tout en bienveillance, avec une infinie tendresse. Ne forcez rien, n’allongez pas le moment s’il doit être court au début, ne vous fixez pas d’objectifs, soyez seulement à l’écoute de vos ressentis, ce ceux de l’autre. Et prenez votre temps, peut-être des mois s’il le faut, mais montrez toujours votre ouverture et votre volonté, restez actifs même si c’est seulement pour rassurer l’autre dans son attente d’un autre moment.
Puis, peut-être bien plus tard, ou peut-être jamais, ce sera une douche partagée, en silence et sans même se toucher. Puis, une autre fois, un massage sage. Faites des moments qui vous peuvent vous exciter tous deux des rituels. Un rituel n’a pas besoin d’être compliqué, il doit juste être partagé, plaisant, simple. Ajoutez les rituels à votre fondation. Puis doucement, allez toujours plus loin, et commencez à faire l’amour petit à petit, de tout vos coeurs et vos corps, le sexe ne se trouve pas dans les parties génitales, mais partout ! Et n’oubliez pas que l’excitation se trouve dans le cerveau. Soyez attentifs, soyez patients, soyez cool, ne cherchez pas la performance, mais le plaisir, apprenez à recevoir, et petit à petit vous vous accorderez, et vous vous découvrirez vous-m’aime ! Ensuite, ensuite commence un autre chapitre, que vous aurez d’autant plus de facilité à mettre en œuvre, en scène, en corps, que vous aurez préparé le terrain…
Parfois, dans l’amour romantique, nous cherchons LA personne, celle qui est le tout, la totalité de nos désirs, l’absolu ! Personne ne sera capable de remplir tous les désirs, tous les besoins. Un homme ou une femme peut être la plus formidable, la plus aimante et même la plus amoureuse des personnes, nul ne peut remplir tous les besoins de l’amour. Alors, on cherche à remplir le cahier des charges du conte d’amour qu’on a en soi, ce n’est donc pas une histoire à deux, c’est remplir les cases d’un amour intérieur figé dans le besoin de l’autre, statique et usant, ouvrant sur la frustration.
Ou alors, on fait une rencontre faite d’improbables, une suite de vécus dans la joie d’être et de marcher côte à côte. C’est écrire une histoire, à deux cette fois, c’est colorier, c’est aussi reprendre, parfois se tromper, recommencer. Ensemble. Ce n’est jamais une histoire parfaite. Jamais. Toutes les relations nécessitent du travail. Vivre une relation basée sur une amitié profonde, sur des valeurs partagées, la confiance, la compassion et la bienveillance peut créer une excellente base pour écrire une belle histoire. Ensuite, on peut s’ouvrir à y mettre du romantisme, de l’érotisme, une autre forme d’attente, celle des papillons dans le ventre et la délicieuse souffrance du manque de l’autre, cette fois ancré, dans le présent, dans la vie.
Le voyage, quel qu’il soit, nous fait vivre. Et vivre est un voyage, en soi. Le voyage dans l’ailleurs, le voyage en parcourant des distances, en découvrant à chaque seconde un nouveau soi. Ce qui nous est étranger nous transforme. A chaque nouvelle entrée dans nos sensations, par les canaux de nos sens, des synapses se forment et les neurones s’enrichissent d’un autre soi. Que ce soit en lisant, en parlant avec quelqu’un, en découvrant une nouvelle musique, en observant la nature, en parcourant un paysage, des millions de nouvelles occasions d’évoluer se produisent dans cet improbable parfait. La perfection de l’improbable se trouve dans l’invention de ce que tu ne connais pas. Alors, que tu voyages avec un livre ou par les airs ou à pied, voyage, découvre, vis un nouveau toi à chaque seconde, dans ce que tu n’es pas encore ! Aller à la rencontre de son prochain soi, découvrir qui nous ne sommes pas encore, puis être ce nouveau soi, puis le laisser derrière soi dans la légéreté de chaque nouveau pas, vers chaque nouveau soi. La vie est un voyage, ce voyage ne connait d’autre port que l’embarcation elle-m’aime, cette part de nous qui ne semble jamais prendre d’âge, que l’on nomme âme, essence, ou quelqu’autre nom peu importe, c’est là que réside le port du voyageur.
Ce monde étrange avec ses formes bizarres, quand on les regarde d’un certain point de vue, lierres et les arbres et l’eau et les nuages, les étoiles et toutes choses, quand on les regarde d’un certain point de vue et qu’on ne les prend pas pour acquis, ils sont tout simplement improbables, et tous sont absurdes, tout comme l’air d’une chanson,
Pourquoi aimons-nous l’absurdité ? pourquoi est-ce que quand on est happé par le swing par d’un morceau de jazz, on aime et se contente de faire booty booty boo et qu’on s’amuse juste en ne pensant à plus rien d’autre, tout sens et tout souci en sont absents, ils n’y aucun sens à cette joie, elle est spontanée et naturelle !
C’est cette participation à l’essentiel glorieux non-sens qui est au cœur du monde !
Et il semble que ce ne soit que dans des rares moments de connexion que nous comprenons le sens de tout cela et que nous découvrons que la vie n’a pas de sens, que son but n’est pas de dirigé et qu’elle se loge dans l’absurdité de l’absence de sens
Cela dit, ce non-sens n’est pas chaos, au contraire il existe un ordre parfait dans cette absence d’ordonnancement, un rythme, une complexité fascinante, une puissance de vie qui éclate à chaque instant dans l’art de l’absurde naturelle de la Vie, là où nous rejoignons le plus profond de notre existence, sans besoin de sens, le non-sens est un sens en soi !
Texte écrit par Kim Mc Millen en 1996 et publié en 2001 par sa fille Allison.
Le jour où je me suis aimé pour vrai!
Le jour où je me suis aimé pour vrai,
j’ai compris qu’en toutes circonstances,
j’étais à la bonne place, au bon moment.
Et alors, j’ai pu me relaxer.
Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Estime de soi.
Le jour où je me suis aimé pour vrai,
j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle
n’étaient rien d’autre qu’un signal
lorsque je vais à l’encontre de mes convictions.
Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Authenticité.
Le jour où je me suis aimé pour vrai,
J’ai cessé de vouloir une vie différente
et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive
contribue à ma croissance personnelle.
Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle…la Maturité.
Le jour où je me suis aimé pour vrai,
j’ai commencé à percevoir l’abus
dans le fait de forcer une situation ou une personne,
dans le seul but d’obtenir ce que je veux,
sachant très bien que ni la personne ni moi-même
ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment…
Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle…le Respect.
Le jour où je me suis aimé pour vrai,
j’ai commencé à me libérer de tout ce qui n’était pas salutaire,
personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie.
Au début, ma raison appelait cela de l’égoïsme.
Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle…l’Amour propre.
Le jour où je me suis aimé pour vrai,
j’ai cessé d’avoir peur du temps libre
et j’ai arrêté de faire de grands plans,
j’ai abandonné les méga projets du futur.
Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime
quand cela me plait et à mon rythme.
Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… la Simplicité.
Le jour où je me suis aimé pour vrai,
j’ai cessé de chercher à avoir toujours raison,
et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé.
Aujourd’hui, j’ai découvert … l’Humilité.
Le jour où je me suis aimé pour vrai,
j’ai cessé de revivre le passé
et de me préoccuper de l’avenir.
Aujourd’hui, je vis au présent,
là où toute la vie se passe.
Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois.
Et cela s’appelle…la Plénitude.
Le jour où je me suis aimé pour vrai,
j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir.
Mais si je la mets au service de mon cœur,
elle devient une alliée très précieuse !
Tout ceci, c’est… le Savoir vivre.
Défocalise ton regard, ferme les yeux, laisse toi entrainer par la musique, et pars !
Par dans le pays de tes rêves, pays où se mélangent les souvenirs et tes espoirs,
Pars au pays de l’espoir dans une autre vie, ta vie, re-naissance …
Tel un oiseau tu survoles ton passé, tu peux voir de là haut les moments les plus difficiles de ta vie,
Tu les observe un à un, ils défilent sous ton regard bienveillant, tu es là haut tu observes
Le jour où tu as vécu tel évènement, le jour où tu as vécu tel autre, tu observes
Tel un oiseau majestueuse, agile tu montes encore plus haut,
Et maintenant ces évènements n’ont plus le même sens, tu as appris, tu as grandi, tu as pris de la hauteur, et tu peux continuer ton vol solaire
Toi qui es là dans toi, tu es la seule à pouvoir vivre l’aventure incroyable de ta vie, tu es la seule l’unique, personne ne possède tes qualités, personne d’autre n’a ce mélange subtil, parfum de ta Vie, tu es unique et c’est magnifique, malgré tout, malgré ton conscient, laisse ton conscient de côté quelques minutes et permets-toi d’être celle que tu es, celle que tu es vraiment, au fond de toi, une belle personne, un cœur, une montagne d’amour, un ciel dans la flamme qui brille au fond de toi !
Défocalise ton regard, ferme les yeux, laisse toi entrainer par la musique, et pars !
Par dans le pays de tes rêves, pays où se mélangent les souvenirs et tes espoirs,
Pars au pays de l’espoir dans une autre vie, ta vie, re-naissance …
Tel un oiseau, libre et agile, maintenant tu rejoins le pays de tes espoirs, le pays de tes rêves, le pays de ton bonheur, grand, large, lumineux, plein de beautés sublimes
Et l’oiseau se pose et tu es à nouveau toi, dans ton corps,
tu es sur une grande prairie, vaste étendue, je te laisse le soin des détails, c’est peut-être les grands espaces de la Mongolie, ou encore les grands espaces d’Amérique du Nord, ceux d’Amérique du Sud, d’Afrique … sens-toi dans ce paysage, installes-toi dans tes sensations, quelles sensations ressens-tu dans cet espace large et vaste, passe au travers de tes sensations…
Peut-être invites-tu un animal, ou plusieurs, laisse celui qui se présente à toi venir à toi, ne contrôle pas, laisse celui qui se présent à toi te rejoindre dans ton pays rêvé. Sublime animal, la magie de la présence animale, la tendresse du regard, la profondeur du regard … emplis-toi de ces sensations qui viennent à toi.
Peut-être invites-tu une personne chère ? Celle qui se présente à toi maintenant est celle qui doit t’accompagner dans ce moment, ne cherche pas à hiérarchiser ni à rectifier, le mental n’est pas ton maitre mais ton serviteur, laisse venir à toi la personne qui se présente, et accueille cette personne, en toi, là, avec toi dans ce décor qui a changé entretemps : vous êtes là, dans ce décor nouveau, et tu vis cette personne en toi, telle que tu la ressens, et tu peux sentir en toi comme chaque relation est différente par les sens, par ce qui se met en route de spécifique à chaque relation, et celle qui s’est présentée à toi ressens-là, pleinement, en toi, et je t’invite à laisser grandir les sensations en toi
Maintenant, je t’invites à dire au-revoir à cette personne, tu la retrouveras plus tard…
Je t’invites maintenant si tu veux encore rester un peu, à changer d’endroit rêvé, à rejoindre celui qui se présente à toi, que ce soit une forêt ou une montagne, une grande plage ou encore des collines, peu importe, celui qui se présente à toi est celui avec lequel tu as quelque chose à vivre, là maintenant
Tu marches dans ton paysage imaginé, et tu ressens les sensations dans ton corps, tous les détails de ce décor s’approchent de toi, tu peux saisir de mieux en mieux les détails, les couleurs, les formes, les touchers, les odeurs, les goûts, et cette musique qui t’entraines… emplis toi encore de tout ce qui vient à toi, prends de grandes respirations pour t’emplir de ces beautés, tes beautés que tu viens de produire, sois-en fière, sois fière de ton rêve musical, on s’en fiche que ce ne soit pas la réalité, tu formes ta réalité avec tes sensations, donc aborder la vie emplie de courage, d’espoir, de beautés internes ne peut que t’aider à capter la beauté réelle de la vie
Tu marches sur le chemin de ton rêve, dans ce paysage imaginé qui peut-être est statique ou qui à chaque seconde se renouvèle, évolue, change d’endroit, tu es libre ! … marche sur le chemin, emplie de ces belles sensations, sur le chemin de tes espoirs…
Tu regardes droit devant, décidée, pleine d’entrain, tu sens la Terre-Mère sous tes pieds, tu vois le Ciel-Père au-dessus de toi, tu évolue en pays conquis, pleine de paix et en toute confiance, tu es toi
Maintenant alors que tu marches, vient à tes côtés, à gauche, un personnage, un personnage de ta vie réelle ou alors imaginée, un personnage du passé ou du futur, qui te souris !
Et puis maintenant, un autre personnage apparait à ta droite, et tu lui souris, il te souris, et vous marchez ensemble…
Puis tu leur donne la main, vous marchez ensemble, toi au milieu, toi devant, et puis apparaissent d’autres personnages, ceux que tu as connus ou ceux que tu vas connaitre, qui se donnent la main, et tout le monde se donne la main, et puis il y a peut-être des animaux, et peut-être des personnage de légendes, on s’en fiche, seul compte le rêve, les belles sensations, l’entrain, l’élan, la marche en avant, le rêve…
… tu arrives maintenant, alors que les personnages et animaux et les autres formes de vie disparaissent, seule dans un magnifique petit endroit, reculé, sauvage, accueillant, enveloppant, protecteur. Tu peux t’asseoir et te reposer, sentir ta respiration ralentir, et tu peux maintenant ressentir en toi une paix immense, une paix intérieure, une sérénité pleine, une intimité de paix, de joie profonde et calme, un moment où le temps est suspendu. Ressens cela, en toi, sens comme c’est bon d’être dans ce bain de sérénité, cette paix qui t’enveloppe et te protège.
Et quand tu arrives à ressentir cette paix intérieure, je t’invite à choisir un geste, un geste que tu pourras reproduire à tout moment dans la vraie vie, ça peut être de poser le bout du pouce sur un des autres doigts, ou tout autre geste.
Et tandis que tu fais ce geste avec ce sentiment de paix profonde, tu pourras toujours te souvenir de ce moment où tu as fait ce voyage extraordinaire, tu pourras toujours remettre ces musiques ou d’autres pour t’autoriser à refaire le plein de paix, de beauté, d’amour et de bienveillance pour toi et le monde.
NAMASTE
The golden key is the « Six Steps » Lester summarized as follows:
ARTICLES : YouTube, substack, blog, post google my business, linkedIn, psychologytoday
TEASING : Instagram, threads : messages courts type twitter, TikTok
© 2025 La Montgolfiere
Theme by Anders Noren — Up ↑