Mois : octobre 2024

Les Pierres de l’ancrage

’œil du tigre vous aiderait à cultiver l’optimisme, la confiance en soi et à structurer vos pensées vagabondes. Il serait efficace pour combattre le manque de concentration.

La Cornaline Parfaite pour votre stabilité, elle permettrait de se connecter au moment présent, et donc, d’améliorer sa concentration.
Le jaspe est également réputé pour sa puissance. Depuis la nuit des temps, il est utilisé comme pierre d’ancrage . Il symbolise la stabilité et l’équilibre. Cela lui permettrait d’atténuer certaines émotions négatives comme la peine, la colère, la tristesse et toutes les mauvaises expériences du passé que vous avez du mal à se libérer.

L’obsidienne noire Cette pierre d’ancrage vous permettrait d’approfondir votre force mentale pour faire face aux difficultés au quotidien. Elle se présenterait comme un bouclier contre les énergies malveillantes. Elle empêcherait votre esprit de s’égarer.

la tourmaline noire Cette pierre énergétique permettrait l’enracinement ferme à la Terre. Elle vous aiderait aussi à en recevoir toutes les énergies positives. Elle éliminerait les doutes, la fatigue ainsi que la peur.

Tourbillon

Je perds la boule ? je me perds ? j’ai l’impression d’être dans un tourbillon… et pourtant je n’ai jamais été davantage celui que je serai demain, qu’aujourd’hui ! … je ressens un tourbillon, un tourbillon que je n’ose pas nommer, même pas ici, de peur de blesser, de perdre ce qu’il y a de plus précieux dans ma vie depuis … toujours ! Tourbillon, emporte-moi encore, encore plus haut, s’il te plait, et advienne que pourra. Je suis prêt !

 

Réalités

Notre « réalité » n’est pas neutre. Elle comprend, et se compose de nos façons de la vivre, au travers des agrégats. Et les agrégats nous sont personnels, uniques. Par conséquence, notre réalité l’est aussi : nous vivons des réalités aussi différentes que nous sommes différents les uns les autres, dans nos parcours de vies profondément singuliers.

Quand, ou plutôt si l’on s’intéresse à la manière dont nous vivons tout ce qui arrive à nos vies intérieures. Il y a donc autant de réalités que de personnes.

Mieux, nos réalités évoluent à chaque instant, en fonction de nos parcours, des événements, de tout ce qui compose notre vécu.

Car le vécu n’est pas neutre, le vécu dépend de la manière dont je vis un événement. Un événement est neutre. C’est ma manière de le vivre qui lui donne tout ce que j’appelle la réalité de l’évènement, qui est en fait ma réalité. Et ma réalité peut radicalement évoluer, parfois de manière rapide.

Si j’ai une maladie, il est compréhensible de la vivre de façon triste, stressante, angoissée. Certaines personnes réussissent vivre une même maladie de façon moins stressante, d’autres arrivent à ne pas développer de stress. Nous n’avons pas la même capacité devant les événements.

Si je m’abreuve de mauvaises nouvelles, si je fréquente des personnes négatives, je vais créer une réalité stressante. Et le stress favorise les maladies internes, au travers de la production constante d’hormones de stress, lesquelles sont également celles qui, en plus, inhibent le système immunitaire qui nous protège.

Mais la bonne nouvelle, c’est que j’ai un pouvoir sur la réalité, elle n’est pas une fatalité, elle n’est pas celle de quiconque d’autre.

Ce qui doit me pousser à la tolérance, la compréhension, la compassion et à ne pas juger la réalité des autres, ni à leur imposer la mienne et encore moins si elle est négative. C’est de l’orgueil que d’imposer une réalité ! Pourquoi serait-il irresponsable de ne pas s’informer ce tous les malheurs du monde ? La réalité n’est pas ce qui correspond à l’image que nous renvoient les médias, ou les gouvernements, ou notre famille. D’ailleurs, si l’image du monde renvoyée par les médias n’était pas aussi assoiffée de sang et de larmes, la fameuse « réalité » serait différente. En fait, ça dépend où l’on place le curseur, où l’on insiste.

Aussi, j’ai fait un choix, celui de ne pas m’abreuver d’intrants sur lesquels non seulement je n’ai pas prise, mais qui en plus ne me regardent pas. Et j’ai décidé de choisir et limiter mes combats. Je ne peux pas changer le monde, et je me soucie des sujets qui correspondent à mes valeurs, mais aussi à mes capacités, mes capacités de gérer la charge mentale et physique, et la capacité d’agir. Et là aussi, il est important de ne pas imposer ses combats aux autres.

« Quand tu te consacres à la transformation de ton monde intérieur, ta vie passe rapidement de l’ordinaire au royaume de l’extraordinaire. »

Process Coaching : La journée idéale

Décrire sa journée idéale : ouvrir le champ du possible

 

Visualiser une journée idéale permet de transformer les objectifs en une image concrète. Et aide à identifier les éléments clés du bien-être pour prendre des décisions alignées avec les véritables aspirations de la personne.

Heure par heure listez en détail ce que vous aimeriez faire. Soyez aussi précis que possible. Où êtes-vous ? Avec qui ? Quelles activités faites-vous ? Commencez par imaginer votre matinée idéale. Est-ce que vous vous levez tôt ou tard ? Prenez-vous du temps pour méditer, lire ou faire du sport ? Notez aussi où vous êtes, en ville, à la campagne, près de la mer, avec qui ? et ainsi de suite pour toute la journée. Quelle est votre activité principale ? Travaillez-vous sur un projet passionnant ? Décrivez aussi votre environnement de travail idéal. Est-ce un bureau à domicile, un espace de coworking ou bien en extérieur ? Enfin, imaginez votre soirée.

Outil de Coaching : Phase divergence ou convergence

Nous oscillons constamment entre des phases de divergence et des phases de convergence. La divergence, c’est une phase d’exploration. C’est quand vous sentez le besoin de tester de nouvelles choses, de multiplier les expériences. À l’inverse, la convergence, c’est une phase où l’on se recentre sur ce qui est important. C’est quand vous sentez le besoin de plus de stabilité, de vous engager dans une voie spécifique.

Exercice pour aider à déterminer dans quelle phase vous vous trouvez :  divisez une feuille en deux colonnes. Dans la colonne de gauche, notez toutes les activités, projets et engagements que vous avez actuellement. Dans celle de droite, pour chaque élément de la première colonne, indiquez si cela vous fait vous sentir plus ouvert et explorateur, donc divergence, ou plus centré et stable, convergence.

Une fois que vous aurez complété vos colonnes, prenez un moment pour analyser vos résultats. Qu’est-ce que vos activités disent de vous ? Vous dirigent-elles vers une phase plus exploratoire ou vers plus de focus ? Une fois que vous aurez une meilleure idée de votre phase de vie actuelle, réfléchissez à comment adapter vos choix en conséquence.

Si vous êtes en divergence, privilégiez des lieux de vie qui offrent des opportunités, des communautés dynamiques et des environnements stimulants ou bien partez en voyage. Si à l’inverse, vous êtes en convergence, pensez à ces lieux qui favorisent la stabilité, la proximité avec vos proches et un cadre de vie serein.

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