Les structures profondes correspondent à notre identité et à nos valeurs. Elles s’expriment au travers de nos capacités et finalement dans nos comportements.
Nous créons pour cela des « modèles », une collection de modèles qui composent nos cartes du monde.
Plus la structure profonde est riche, plus nous avons de possibilités d’élargir le monde, de souplesse, de lâcher-prise et de prise de recul.
L’un des buts de la PNL est d’identifier les généralisations, omissions et distorsions problématiques.
La modélisation permet justement de changer de modèles, ou de les enrichir, pour créer les chemins les plus pertinents entre nos structures profondes et de surface. C’est comme ça qu’on peut être plus aligné.
Un jeune qui veut être footballeur parce qu’il se passionne pour ce sport peut ne pas être en phase avec les valeurs véhiculées par ce sport dans sa « réalité ». Ou à l’inverse, une personne qu’on pousse vers le métier de boulanger parce que c’est un métier porteur et que pole emploi lui offre la formation peut ne pas du tout avoir les capacités de ce métier.
Nous avons tous les capacités de nos valeurs et croyances, et pouvons les exprimer dans un contexte qui est favorable : Vouloir forcer le talent ou se forcer à avoir un comportement qui ne correspond pas à nos valeurs mène au mal-être et selon moi aux maladies, car le corps n’est pas séparé de la tête et du coeur, nous formons un tout.
Nos modèles peuvent nous induire en erreur et mener vers un chemin qui n’est pas le sien. Changer les modèles peut permettre d’aligner les valeurs avec les capacités et les comportements pour évoluer de façon harmonieuse dans un contexte qui plait.
« comment je sais que je sais cela ? »
« comment je sais que j’ai cette compétence ? »
« comment je sais que tu sais ? (quelque chose) ? »
» comment je sais que tu as telle compétence ? »
» par quels moyens on développe une connaissance ou une compétence ? »