Amour, amour, qui es-tu ? pourquoi tant de souffrance,
Pendant que les secondes dansent, en silence dans ma décadence,
Tout en science mes pensées balancent, tancées dans les mers de vos absences,
Vous mes doutes et mes espoirs faites femmes, femmes, femme,
Qui devant les ébrouements se pâment, qui devant les fissures ricanent,
Si belles vous êtes si belles et je vous aime, au plus profond de mon être,
Bien plus que vous n’aimez aimez, bien plus que vous n’imaginez,
Pas comme vous, pas comme, pas comme vous imaginez,
Dans un amour qui est gravé tout au fond de moi, vous n’atteindrez et n’en rêvez,
Moi j’ai tant espéré, espéré aimer, vous, vous m’aimez, vous m’aimez tant.
Non daté