le printemps m’éveille d’un long sommeil. Celui où je me suis plongé dans un océan de travail, un espace préservé, celui de s’agiter en permanence, celui d’avoir des préoccupations qui ne sont pas les miennes, mais celle d’une entreprise, celle qui m’embauche.
accumulation de matins creux, de soirées inertes, seul le travail et son univers fait de valeurs dont la signification ne sont pas les miennes remplissait tout l’espace de mon énergie du jour.
C’est une ivresse, je me suis saoulé de travail, il y a une perdition. Il faut une crise pour dire stop, ou une période d’arrêt, pour relever la tête du guidon, et ça fait du bien !