Inspiré et tiré de modules de Mark Tyrrell
Module 1 Comprendre les besoins fondamentaux
Nous pouvons mieux nous connaitre, et aider en ce sens à mieux avancer vers nos objectifs, en connaissant et reconnaissant nos besoins fondamentaux. Ils n’existent évidemment pas sous forme matérielle, c’est donc une fois de plus une image.
Ces besoins fondamentaux sont aussi une soupe propre à chaque-un.
Mais parcourons-en quelques-uns pour en prendre conscience. Prendre conscience, c’est se préparer à définir des stratégies.
Et les connaitre fait aussi pleinement partie de la (re)construction de la paix avec soi, à communiquer mieux avec soi, donc avec les autres.
Quelques-uns des grands besoins fondamentaux
Le besoin de sécurité : L’autonomie et le sentiment de contrôler son quotidien augmentent l’estime et la confiance en soi.
Besoin d’avoir du plaisir et sentir que la vie est agréable.
Le besoin d’intimité. Nous avons besoin de compter pour quelqu’un, d’avoir le droit de penser à quelqu’un de cher, d’être cher pour quelqu’un. Ami ou famille ou amants, le besoin d’intimité se retrouve dans la proximité, parfois même dans une relation qui n’est pas intime. À défaut se développent les relations toxiques avec des intimités comme l’alcool ou d’autres intimités comme les animaux, les objets…
Le besoin de se sentir connecté à une communauté
L’isolation sociale est un grand facteur de déprime, on se sent inutile, l’estime et la confiance sont déprimées.
Le besoin de reconnaissance. Pas besoin de passer à la télé pour cela, se sentir être un fils ou un père peut suffire à nourrir ce besoin, ou encore d’être un ami reconnu, un membre éminent d’une association ou un collègue reconnu.
Le besoin de se sentir compétent et d’avoir mené des actions à leur terme. Savoir et sentir qu’on est compétent dans un domaine
Besoin de ralentir et de réflexion. Nous avons besoin aussi de moments de calme et où les sollicitations sont tues. Ne pas nourrir ce besoin mène à ce qu’on appelle le burn out, littéralement la surchauffe, justement par manque de calme et de silence.
Le besoin de sens. Pas forcément besoin de méditer ou d’entretenir une spiritualité élevée, le sens de l’existence peut se trouver dans les activités, dans l’action. Par exemple dans l’action qui sera en déclinaison des valeurs fondamentales de la personne, qui va nourrir son identité. S’il n’y a pas de sens de la vie, la motivation décline rapidement. Au contraire, la résilience augmente chez les personnes qui ont un sens de la vie et des objectifs bien ancrés.
Rem : manger= sentiment de sassiété
Ne pas se tromper de bonheur
L’idée du bonheur est parfois orientée. Mais avoir du succès nourrit le besoin de reconnaissance et ensuite parfois celui de la connexion, mais ne nourrit pas tous les besoins. Ou alors même parfois de façon fausse comme avoir beaucoup d’argent et de notoriété apporte parfois des intimités opportunistes.
Par exemple l’argent nourrit certains besoins primaires notamment, mais pas certains autres besoins. Et être plus riche encore ne va pas les combler ces autres besoins. Et on n’est jamais 10 000 euros plus heureux que précédemment.
Vulnérabilité, dépendances, abus
Les besoins non nourris nous rendent vulnérables : quand nous cherchons chez les autres à nourrir nos besoins. Nous pouvons nous retrouver en dépendance.
Nous pouvons aussi comprendre les abus, quand quelqu’un manipule une ou des autres personnes pour satisfaire un besoin, pour vous faire croire que cette personne est la source d’un ou de plusieurs besoins à nourrir : cette personne devient votre source de nourriture, vous en dépendez, affectivement, financièrement, dans le statut, etc… c’est notamment le cas des relations perverses.
La publicité et le conditionnement collectif nous font parfois croire que tel ou tel besoin sera nourri par tel achat ou tel comportement.
Décoder pour comprendre
Sécurité, compagnie, sens, intimité, statut, accomplissement, stimulation, implication… Nos besoins fondamentaux sont profondément inscrits en nous. Les besoins non nourris veut dire une faim. Cette faim peut se manifester sous différentes formes, de souffrances ou de compensations. Dépression addiction ou encore radicalisation…Quand ils ne sont pas nourris, nous les compensons parfois par des comportements irrationnels, addictions ou évitements par exemple.
Les souffrances et manques et excès nous indiquent quels besoins ne sont pas nourris chez une personne. Et les maladies pouvant en découler, mentales ou physiques, les comprendre et les identifier nous permet de comprendre la direction à prendre.
Ne pas cataloguer en maladies.
La médecine moderne qui cherche toujours la maladie au lieu de s’intéresser aux sources, va cataloguer les gens en malades :
Une personne isolée et sans attaches va peut-être parler sans s’arrêter quand elle obtient l’attention de ses collègues quand vraiment le besoin de connexion est en souffrance. Le fait de parler va calmer le besoin et le lendemain la personne sera peut-être très calme. On va la diagnostiquer comme bi-polaire.
Ou alors, une personne âgée (ou non) totalement isolée va être tellement en souffrance qu’elle peut développer des comportements irrationnels : on va dire qu’elle est atteinte de démence.
Rectifier un besoin non nourri peut mettre rapidement fin (faim) à des comportements compensatoires.
La perfection n’est pas de ce monde
Nos besoins n’ont pas besoin d’être tous parfaitement nourris pour autant. Nous allons faire la différence et ne pas chercher à trouver des faims qui n’en sont pas. Une personne célibataire n’est pas automatiquement en déficit affectif. La compagnie d’un animal peut nourrir au moins partiellement un besoin de connexion, et c’est positif. Alors que reporter sur les animaux un besoin de statut par exemple n’est pas une idée épanouissante et on pourra détecter un besoin non nourri.
Le stretch
Stretch : le cœur et l’esprit comme le corps ont besoin d’être étirés, la créativité est un des besoins fondamentaux. Ne pas le faire nous engonce dans une inertie qui mène à la déprime.
Les besoins nourris nous ouvre
La créativité met en lumière nos talents naturels, qui nous permettent de vivre par l’action nos valeurs. Nous sommes également valorisés par l’apprentissage de nouvelles compétences, qui nous donnent de nouvelles raisons d’être joyeux, de nouvelles relations aussi, au travers de la découverte. Estime et confiance en sont renforcées. Quand nous besoins sont nourris, nous avons plus de capacité à nous ouvrir à l’inconnu, à la créativité, et alors nous développons le potentiel. Ce potentiel parfois bloqué par les besoins qui ne sont pas nourris.
L’ami qui écoute lui aussi
Quand on veut comprendre les besoins de quelqu’un, qu’on soit un ami ou un thérapeute, il ne faut pas perdre de vue que ses propres besoins ne sont pas tous parfaitement nourris, et en tenir compte dans la perception qu’on a de la personne qu’on écoute.
Besoins entremêlés
En observant nos besoins nous pouvons nous rendre compte qu’ils sont entremêlés. Par exemple, le besoin de reconnaissance se retrouve mêlé à celui de la protection, et à celle de la connexion et au sentiment d’appartenir à un groupe. Le groupe protège, reconnait, il apporte la stabilité de la connexion. En réfléchissant à ces interactions, nous pourrons trouver d’autres de ces liens entre les besoins.
A chaque-Un ses propres équilibres
Chaque personne a ses propres équilibres de besoins fondamentaux. Pour telle personne, le besoin de connexion sera très fort, pour telle aussi ce sera moins important. Pour telle personne, le statut ne sera pas forcément autant connecté au lien au groupe et trouvera son statut conforté dans la sphère intime, par exemple.
Profil de besoin et caractère
En fonction de nos vécus, en fonction de l’expression de nos gènes, en fonction de nos croyances, ces besoins auront pour chaque personne un profil différent. Et c’est tant mieux ! Et ceci forme pour partie nos différences de caractère
Chacun ses propres stratégies
Pour nourrir nos besoins, nous utilisons chacun nos propres stratégies. Selon notre façon de fonctionner, nous les nourrissons de manière différente. Il n’y a pas une seule méthode !
Par exemple une personne qui est très imaginative et extravertie peut nourrir ses besoins avec des expérimentations très diverses, improvisées. Une autre personne aura besoin de préparer ses initiatives. Prenez la vie intime pour un célibataire : une personne s’ouvrira à beaucoup de monde et sortira beaucoup pour faire des rencontres nombreuses dans l’intention de tomber sur sa future moitié, tandis que telle autre personne aura l’idée d’utiliser un site de rencontre très sélectif car il a plus besoin de repères. On devine que la première personne a aussi un besoin de lien facile, tandis que l’autre a un besoin de maturation plus long. Il n’y a pas de bon ou de mauvais, une fois de plus ! Nous sommes juste différents et nos besoins sont nourris de manière personnelle.
Besoins nourris en fonction de nos situations
Evidemment, une personne qui a grandit dans l’aisance et dans une environnement nourrissant aura une tendance naturelle à se sentir en paix, entouré, faisant partie d’un groupe, en sécurité. Ces besoins déjà nourris, il aura plus de facilité à s’épanouir par exemple dans les activités intellectuelles ou sportives, pour ne prendre que deux familles d’intelligences. Une personne qui a grandit dans un environnement inverse, partira avec un handicap, et aura besoin de plus d’énergie pour nourrir ses besoins fondamentaux. D’où l’importance, une fois de plus, de respecter chaque personne, dont nous ne connaissons pas l’histoire intime. Et ce n’est pas parce que quelqu’un vit dans l’abondance que cette personne ne sera pas dans des grandes souffrances de besoins fondamentaux non nourris. Il sufft par exemple qu’un enfant de famille aisée soit orienté vers un métier qui rapporte mais ne correspond pas à son identité pour que ses besoins fondamentaux soient de moins en moins nourris : il va peut être se sentir exclu, ou va rejeter sa famille, se sentir en insécurité car il y a conflit interne entre ses valeurs et le métier qu’il apprend ou exerce, ou encore son besoin de statut sera bafoué…
Les croyances déforment nos besoins fondamentaux
Les croyances mènent nos vies, on le sait bien. Ainsi, une croyance peut générer à elle seule un déséquilibre de l’alimentation de nos besoins. Il suffit par exemple d’être persuadé d’être moche et malaimable et inutile pour dégrader les relations ou alors ne pas en nouer, s’éloigner des autres : besoin d’intimité impossible, besoin d’appartenance dégradé voire mort, etc…
Combler les vides par l’abondance
Vivre dans l’abondance n’est pas toujours un avantage. Une personne seule, que ce soit célibataire ou alors seul à l’intérieur, peut recouvrir ses vides par les moyens qu’offrent le confort : internet, jeux vidéos, alcool, porno, sport à outrance, autant d’évitements.
J’ai observé dans des pays pauvres comme les gens d’un village se retrouvent en fin de journée pour juste papoter, rire, et être ensemble : ils cultivent la protection, le lien du groupe, la joie, la reconnaissance, la paix … rester devant la télé ou le smartphone évidemment, ne permet pas cela.
Un outil pour aider à trouver sa propre voie
On peut utiliser ce petit outil gratuit pour s’aider ou aider une personne dans la compréhension pour s’orienter ensuite. Evidemment, on évitera de proposer d’emblée ce test, aussi valable soit-il, à une personne allergique aux conventions aura une méfiance envers tous les test qui existent en les classant comme toujours partiels, j’en faisais partie 🙂 à ces personnes, on pourra présenter le test sous une autre forme, à commencer par ne pas prononcer le mot « test » 🙂 mais par exemple « méthode » ou « jeu ». Selon le métaprogramme, là aussi en fonction de la personne, on dira « j’ai connu une personne qui a trouvé sa voie toute seule grâce au déclencheur que fut ce questionnaire » ou alors « bon, je ne sais pas si ça vaut grand chose, mais je vous donne ce lien, vous en ferez ce que vous voudrez, certains ont trouvé leur solutions propre avec ce test » etc…
Utiliser les résultats du BIG FIVE
En fonction du profil du moment (ne pas s’attacher aux résultats, le résultat du test est évolutif), chacun peut, avec le coach, s’aider du test pour trouver ses propres stratégies.
En fonction des scores, le coach avec/ou la personne qui s’auto-coache pourra plutôt développer une prédictibilité, ou alors plutôt s’orienter vers les activités spontanées. Ce test nous parle donc de nos besoins nourris ou pas.
Les besoins fondamentaux ne sont pas figés dans le temps
Nous vivons et nos besoins fondamentaux sont plus ou moins nourris au fil de notre existence, en fonction de ce que nous vivons, de notre environnement, et de nos croyances … il est donc essentiel de ne pas figer une personne ou soi (si on travaille sur soi) dans des besoins d’alimentation de nos besoins fondamentaux.
Les besoins fondamentaux ne sont pas figés dans l’espace
En fonction de nos activités, de notre entourage et des endroits, nous pouvons apparaitre et même vivre nos besoins fondamentaux mieux ou moins bien nourris. Là aussi, ne pas figer ou s’auto-figer. Il est tout à fait normal de ne pas être dans le même équilibre en fonction des situations. Ceci implique de poser des questions, et de le cas échéant, pour aider, refaire le test du BIG FIVE en se plaçant dans les différents secteurs de vie : soi-même, le couple, la famille, les amis, le travail, la société.
Personna : Comprendre ses masques tout en restant soi
» sois toi-même » : cette invitation peut parfois sembler étrange. En fait, ce que ça veut dire, c’est qu’en fonction de l’environnement, nous revêtons tour à tour des masques différents. Et parfois, nous ne sommes pas à l’aise, dans ce cas on a du mal à être « soi ». Par exemple, au travail selon l’ambiance ou la culture d’entreprise, on peut se sentir à l’étroit et ne pas s’y retrouver, car un comportement peut ne pas cadrer avec un job. C’est souvent le cas pour les jeunes gens qui entament leur vie professionnelle, ils sont sans repères et trouvent parfois frustrant de ne pas pouvoir s’exprimer comme à la maison devant les collègues, les clients ou les chefs. Pourtant ils ont conscience que ce n’est pas possible. Dans ce cas, la personne doit apprendre à porter un masque, celui du travail, tout en restant elle-même. Pas facile ! Idem dans une vie sociale, ou même dans le couple, ou dans la famille.
Ceci dit, nous pouvons faire un parallèle avec les vrais masques : si je porte différents masques dans un bal masqué, revêtant différents masques de différents personnage, je reste, moi, le même sous ce masque, et je ne me sens pas forcément frustré.
Masquer ne doit pas cacher
Revêtir un masque, par exemple celui du travail, ne veut pas forcément dire cacher quelque chose de soi aux autres, simplement nous pouvons apprendre à porter le masque tout en restant soi, que cd soit au travail en famille, avec des amis ou quel que soit l’environnement.
Et alors, dans ce cas, nous sommes bien plus lumineux, car notre identité rayonne dans tous les environnements. Et parfois, nous devons apprendre à rester soi dans certains environnement. J’ai déjà pu voir des personnes étre très à l’aise dans un environnement de travail et perdre tous leurs moyens dans un environnement intime, ou social par exemple.
De même, une personne peut être tout à fait à l’aise avec son coach tout en rappotant qu’elle est très mal dans sa peau au travail. Il convient alors d’écouter la personne et une fois de plus ne pas la juger en se disant » elle éxagère, elle est bien, elle est peut-être perfectionniste ou même un peu mytho » (ça n’existe pas).
Nous devenons ce que nous faisons
Ce n’est pas ce que nous devenons qui génère ce que nous faisons, mais l’inverse. C’est en faisant, en répétant, en approfondissant, en utilisant les principes de l’apprentissage que petit à petit nous devenons ! Nous pouvons devenir un expert dans un domaine précis ou un professionnel reconnu par l’expérience, et jamais par l’information ! On ne devient pas ingénieur à la fin d’un cursus d’information, mais c’est en pratiquant que nous devenons ce que nous sommes ! Il en est de même dans la sphère privée : nous devenons des parents en pratiquant l’éducation de nos enfants. Et ainsi de suite dans toutes nos situations de vie.
Nous sommes ce que nous faisons : Arrêter les comportements compensatoires de besoins non nourris et adopter simplement un mode de plus équilibré peut déjà faire des miracles.
être un expert dans tout, non, mais trouver son équilibre, oui !
Et oui, on ne peut pas être expert en tout ! chacun trouve son équilibre. Tout le monde n’a pas besoin d’être un expert dans son métier, si la personne trouve ses besoins nourris par ailleurs; Dans ce cas, on ne va pas pousser la personne à devenir impérativement un expert dans son job, ça ne le nourrit pas et en plus on risque de créer des frustrations chez cette personne.
Mais on peut par exemple se trouver mal à l’aise dans un job SI être un profesionnel très compétent est important pour CETTE personne. Dans ce cas, une initiative pourra être ciblée vers la sphère travail.
Dans les Amours
Nous sommes des êtres vivants et la Joie est notre moteur principal, notre besoin fondamental par excellence. On parle souvent d’Amour, qui est en fait la source de cette Joie profonde qui nous apporte le bonne-heure.
J’aime aussi parler des trois principales formes d’amour. Et en ce sens, nous devenons de bons amants en pratiquant l’amour d’Eros d’une personne en particulier, nous devenons de bons compagnons en pratiquant encore et encore l’amour de connexion humaine Philae, et nous devenons des êtres spirituels éclairés en pratiquant la spiritualité (en soi).
Arrêter de parler sans expérimenter
Et par là même, on ne peut pas parler des différentes formes d’amour sans les avoir pratiqués encore et encore. De nos jours, tout le monde s’exprime sur tout à partir d’information. Or, la connaissance vient par l’expérience, et un peu d’expérience génère un peu de connaissance, et sans expérimenter, il n’y a que de l’information, et l’information ne se commente pas.
Le coach, en ce sens, ne juge pas et ne dit pas la sentence la personne qui vient le consulter. Le coach ne pose pas de diagnostic et reste à l’écoute.
Et comme l’a fait Madame Doherty, considérer l’autre comme une personne pleine de ressources c’est la stimuler et l’élever, à l’inverse de mettre la pression à quelqu’un qu’on considère comme non capable.
De même, générer la confiance et l’estime peut justement emmener une personne vers son épanouissement. Je me souviens étant adolescent, j’avais des capacités mais je ressentais le monde extérieur non pas comme un chemin sur lequel je collecterai des joies en faisant l’apprentis_sage de la vie, mais je ressentais la vie comme un effort dans un environnement hostile qui attendait de moi ce dont je n’étais juste pas capable à ce moment-là : confiance, estime. Le sytème scolaire est très sélectif à cet effet, et ces notions de confiance et d’estime n’est je pense jamais arrivé dans un cerveau de ministre … logique, ils sortent des grandes écoles et n’ont jamais connu le manque de confiance, c’est très bien pour eux mais ça les prive d’empathie pour une part de la population grandissante.
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C’est justement l’objectif du coaching d’accompagnement que chaque personne trouve ses propres stratégies, car elles seront fiables et durables !