quand je pense à ton pas, je suis avec toi mon amie
quand je pense à mon pas, tu es tout près

quand tu penses à mon pas, tu es avec toi mon amie
quand tu penses à mon pas, je suis tout près

Quand les vagues montent si haut, là haut
quand les vagues montent encore un peu plus

Dans les cimes des arbres de mon sentiment de paix
je te trouves plantée entre deux branches

 

si le papillon, s’élève, encore, encore plus haut, il lui dans la nuit des étoiles,
si, si toi aussi, toi qui rêves encore, là bas dans la profondeur des galaxies,
et moi qui voudrais tant te rejoindre, pouvoir l’être, je t’écris cette l’être,
toi.

Viens, viens par ici, dans les champs colorés de l’été, sous la lune chaude, les ombres voguent dans les clairières, animaux broutant, juste ici juste sous nos sens en éveil, rien ne vient, rien ne vient par ici, troubler notre harmonie

Si tu veux, nous irons encore une fois, une fois encore dans ces champs quand la saison sera passée, si tu es encore là, si je suis encore de cette existence. Si non, nous nous retrouverons là bas, sous la l’une, sous d’autres cieux, dans le Soleil.

Là haut, dans les cyrus, sous le voile de lumière, planent les voix, des échos lointains, le chant des anges, vision sfumato, respire, léger, jusqu’au plus loin dans l’expir, si peut-être, des peut-être, des incertains, et c’est bien ainsi, et le ciel reste ouvert