Les compétences d’un bon Coach se trouvent non pas dans le sujet à traiter, mais dans le processus qui vous permet de progresser ! Le sujet, c’est VOUS ! ce n’est pas votre nouveau job, votre passé ou vos problèmes, votre projet ou encore vos rêves. Je ne vous apporte pas des solutions, je ne suis pas un thérapeute ni un consultant dans quelque spécialité que ce soit. Mon job c’est que vous puissiez voler libre, par vos propres moyens, sans avoir besoin de revenir me voir. Mon objectif c’est que vous soyez autonome et libre ! Comment ? par la valorisation de vos ressources, par les prises de conscience positives, par l’alignement entre vos valeurs et vos comportements, tout ce qui composera ces ailes de la liberté que je vous souhaite !
Mois : mai 2022 (Page 1 of 4)
Le professeur Julia Rucklidge est une psychologue clinicienne d’origine canadienne. Elle est directrice du groupe de recherche sur la santé mentale et la nutrition à l’université de Canterbury en Nouvelle-Zélande.
Ses recherches sont centrées sur la santé mentale et la nutrition. Elle défend (en rappelant les limites du traitement par la médication) une alimentation saine pour combattre les grands fléaux de nos sociétés occidentales : dépression, TDAH, insomnie, anxiété, le stress et la démence sénile.
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Dans une conférence TED elle donne quelques éléments de son travail depuis plus de 10 ans et son unité a des dizaines de publications à son actif.
« Mes recherches et celles menées dans le monde entier ont montré que 60 à 80 % des personnes réagissent aux micronutriments, ce qui montre à quel point cette intervention est puissante. Et au niveau international, il y a maintenant 20 essais randomisés contrôlés par placebo. C’est l’étalon-or que nous utilisons pour prendre des décisions cliniques – qui montrent que nous pouvons réduire l’agressivité des prisonniers, ralentir le déclin cognitif des personnes âgées, traiter la dépression, l’anxiété, le stress, l’autisme et le TDAH ».
On peut citer entre autres articles sur le lien entre alimentation et santé mentale :
Le régime méditerranéen et la prévention des troubles dépressifs
https://jamanetwork.com/journals/jamapsychiatry/article-abstract/210386
Portant sur 10094 participants « Nos résultats suggèrent un rôle protecteur potentiel du régime méditeranéen en ce qui concerne la prévention des troubles dépressifs »
Fast-food et dépression
Dans cette étude de l’Université de Cambridge, on lit sans surprise qu’« un risque plus élevé de dépression (est) associé à la consommation de fast-food »
Alimentation naturelle et dépression
Cette étude britannique portant sur 3486 personnes sur un horizon à 5 ans montre que les aliments transformés sont un facteur de dépression alors qu’une alimentation naturelle est préventive de la dépression.
Alimentation pro-inflammatoire et dépression : Cette étude britannique portant sur 1068 femmes, conclue qu’« il existe une association entre le régime pro-inflammatoire et la dépression récurrente chez les femmes » https://journals.sagepub.com/doi/full/10.1177/2167702616645777
Alimentation saine et santé mentale chez les ados
Et aussi, cette étude Australienne portant sur 3040 adolescents sur le lien entre une alimentation saine et la santé mentale : « Les améliorations de la qualité de l’alimentation se sont traduites par des améliorations de la santé mentale au cours de la période de suivi, tandis que la détérioration de la qualité de l’alimentation était associée à un fonctionnement psychologique moins bon »
https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0024805
Alimentation et dépression
Et dans cette étude Australienne faisant le lien entre dépression et alimentation chez 7114 adolescents : « Nos résultats démontrent une association entre la qualité de l’alimentation et la dépression chez les adolescents, qui existe au-delà de l’influence des facteurs socio-économiques, familiaux et autres facteurs de confusion potentiels »
https://journals.sagepub.com/doi/abs/10.3109/00048670903571598
Micronutriments et Insomnie
Cette étude a examiné l’effet de 8 semaines de traitement par des micronutriments à large spectre (vitamines et minéraux) sur l’insomnie, et conclue que les personnes ayant terminé le traitement ont rapporté des changements fiables et cliniquement significatifs de la sévérité de l’insomnie, de la dépression, du stress et de l’anxiété.
https://journals.sagepub.com/doi/full/10.1177/2167702616631740
Nutriments et TDAH chez les adultes
Julia Rucklidge a mené une étude – randomisée contre placebo – utilisant des minéraux et des vitamines pour le traitement du TDAH chez les adultes, et ce jusqu’à 15 pilules par jour contenant 36 nutriments. Sur une période de 8 semaines seulement, deux fois plus de personnes ont répondu dans le groupe des micronutriments par rapport au placebo ; deux fois plus de personnes ont vu leur dépression se résorber, dans le groupe des micronutriments. L’hyperactivité et l’impulsivité ont été ramenées à un niveau normal. Et un an plus tard, les personnes qui ont continué à prendre les micronutriments ont maintenu leurs changements ou avaient une amélioration supplémentaire, tandis que celles qui sont passées aux médicaments ou ont arrêté les micronutriments ont en fait montré une aggravation de leurs symptômes.
Oméga 3 et risques de psychose
« Cette étude a porté sur 81 adolescents présentant un risque de psychose et les a répartis de manière aléatoire pour recevoir soit des acides gras oméga-3 sous forme d’huiles de poisson – des nutriments essentiels pour la santé du cerveau – soit un placebo pendant une période de 12 semaines. Un an plus tard, 5 % de ceux qui avaient reçu l’huile de poisson étaient devenus psychotiques, contre 28 % de ceux qui ont reçu le placebo. Cela représente une réduction de 80 % des risques de passage à la psychose, simplement en donnant des huiles de poisson ».
https://jamanetwork.com/journals/jamapsychiatry/article-abstract/210554
Les micronutriments et les maladies génétiques
« Une cinquantaine de maladies génétiques humaines différentes, peuvent être corrigées par l’administration de fortes doses de vitamines B » ./.. « de nombreuses carences courantes en micronutriments, comme le fer ou la biotine, provoquent une dégradation des mitochondries avec fuite d’oxydants, ce qui accélère le vieillissement et la dégradation des neurones ».
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0003986103005939
« Une cinquantaine de maladies génétiques humaines dues à des enzymes défectueuses peuvent être corrigées ou améliorées par l’administration de fortes doses du composant vitaminique du coenzyme correspondant, ce qui rétablit au moins partiellement l’activité enzymatique. » https://academic.oup.com/ajcn/article/75/4/616/4689367?login=true
Apport d’acides gras polyinsaturés et fonction neurocognitives chez les enfants
Ou encore cette étude venant de Taiwan qui portait sur l’association entre l’apport en acides gras polyinsaturés (AGPI) et les fonctions neurocognitives chez les enfants souffrant de trouble de déficit de l’attention hyperactivité (TDAH)
https://journals.sagepub.com/doi/full/10.1177/2167702616637820
COMMENT DEFINIR SON ECHELLE DES VALEURS ?
(aidé par le livre » pouvoir illimité » de Anthony Robbins)
1 – Définir le secteur de vie à traiter
Personnel, Intime, Amical, Famille, Social, Travail
2 – Déterminer la liste des valeurs
Qu’est-ce qui est le plus important dans … ? À partir de la réponse donnée : pourquoi , pour quelle raison, qu’est-ce qui est plus important encore …
Etablir l’ordre de priorité des valeurs dans chaque secteur de vie.
Intime, Famille, Social, Travail, Personnel, Amical
Système de Valeurs = L’ensemble de ce qui est le plus important pour une personne, les idées de ce qui est bien ou mal, de ce qu’il faut faire ou pas, les réactions que nous avons face aux évènements de la vie. Les valeurs déterminent aussi ce que nous ne voulons pas.
On se sent bien avec soi-même lorsque nos comportements correspondent à nos valeurs. Connaitre nos valeurs et leur ordre de priorité nous permet d’être en cohérence, d’adopter les comportements qui leur correspondent, de repérer ce qui est incohérent et qui cause des interférences.
Adopter les comportements d’autres est ce qu’on nous apprend, mais tous ne nous correspondent pas. Connaitre ses valeurs permet de se défaire des comportements automatiques.
Valeur extérieures : La plupart de nos valeurs sont apprises et issues du principe punition et récompense.
Valeurs propres : celles propres à la personne.
Nos valeurs évoluent, nos comportements aussi / peuvent être adaptés.
Notre mode de vie et ses composantes reflètent nos valeurs. Attention ne pas juger depuis sa propre carte du monde : une personne riche peut vouloir une petite voiture modeste : beaucoup de valeurs peuvent y correspondre.
Chacun a sa propre échelle des valeurs et beaucoup de conflits et notamment des guerres trouvent leurs racines dans l’intolérance et l’ignorance des différences de valeurs.
la Culture d’un peuple correspond à l’agrégat de ses valeurs.
Comprendre le système de valeurs permet de comprendre le fonctionnement d’une personne (ou d’un collectif).
Cela permet de faire des choix, et des choix éclairés.
Ex : rester plus tard au travail ou bien rentrer dans sa famille ? Pour y répondre : qu’est-ce qui est plus important pour la personne ? Ce sera différent pour une autre personne, ou bien différent pour la même personne en fonction des moments de la vie.
Ex : avoir un gros salaire dans un travail qui ne plait pas. Pour celui qui place le salaire au-dessus cela ne pose pas de problème, mais celui qui accorde plus de valeur à avoir un salaire qui lui plait se sentira en conflit intérieur.
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COMMENT DETERMINER LES VALEURS
voir l’article suivant
J’ai un jour entendu parler d’un jeune homme qualifié comme délinquant et perdu pour la société. En effet, il avait produit une fausse ordonnance médicale pour obtenir les médicaments que sa mère doit impérativement avoir pour moins souffrir d’une maladie invalidante. Les médicaments « prescrits » étaient un renouvellement.
La bête culpabilité : « c’est mal » : La culpabilité fige, rabaisse. En le punissant pour son acte, on espère faire quoi ? Le FORCER à faire » comme il faudrait « . Il le fera peut-être, ou pas. Mais s’il le fait, il n’aura pas compris le sens de son acte, et ne saura appliquer ce qu’il n’aura pas compris à d’autres domaines de l’existence.
La culpabilité est limitante, et culpabiliser quelqu’un est un acte qui de surcroit classe l’autre personne comme étant inférieure, car incapable de comprendre. En tout cas on peut remettre en cause la capacité à communiquer de ceux qui veulent culpabiliser leurs semblables : pourquoi il faut faire de telle manière ? quel est le sens de la règle ? Pourquoi je traite l’autre comme un sous-homme ? comment puis-je être respecté si je traite les autres de cette manière dégradante ?
Se culpabiliser, c’est se rabaisser soi-même, c’est dévaloriser ses propres talents, valeurs, façons de fonctionner.
La culpabilité se rapporte à quoi ?
Dans le cas du jeune homme qui a falsifié cette ordonnance, que doit-on modifier ? Pas ce qu’il mis en œuvre mais le contexte !
Il a fait preuve de valeurs et de talents : il se soucie beaucoup de sa maman, et ne supporte pas de la voir souffrir, au point qu’il en est venu à imaginer ce stratagème. Ensuite, il a imaginé cette solution, travaillé son « œuvre », et a eu certainement à surmonter sa peur de passer à l’acte, donc du courage. Il a mis la valeur « maman » au-dessus de la valeur du respect des règles d’obtention de médicaments. Les valeurs qu’il a mis en œuvre sont OK. Ses talents aussi. Ce qui ne colle pas, c’est le contexte.
Culpabiliser la personne, c’est lui enlever la valeur de ses bonnes intentions ! Et donc, quelque chose sera blessé, perturbé, en lui. En le culpabilisant, on va lui envoyer un message inverse de celui qu’on a l’intention d’envoyer.
Quand on se culpabilise soi-même, les conséquences peuvent être pires, car l’émetteur de la culpabilisation ne peut pas être blâmé, ou rejeté : c’est soi !
Dans tout ça, la culpabilisation, qui je le répète est destructrice, voulait en fait lui dire qu’il n’est pas correct voire dangereux de falsifier une ordonnance ! Tout parent voudrait protéger son enfant d’une « bêtise », d’un acte « irréfléchi » : mais en culpabilisant la personne, on commet aussi un acte irréfléchi !
Nous ne fonctionnons pas tous de la même manière. Les humains sont différents. Certains sont tout à fait ok pour appliquer à la lettre des règles, et ne comprennent pas que d’autres ne les respectent pas. Ces personnes très proches des règles pensent parfois que ceux qui ne les respectent pas le font par bêtise, ou parce que ce sont de mauvaises personnes. Non ! Ce sont juste des personnes qui ont besoin de donner du sens !
Ces personnes qui ont besoin de sens sont aussi les créatifs de notre société ! Elles ont parfois du mal à comprendre la « bassesse d’esprit » de ceux qui ne discutent jamais les règles. Et en effet les personnes qui appliquent simplement les règles sont souvent peu créatives, et une société dynamique a besoin de créativité, de donner du sens au collectif !
Donc, nous avons besoin les uns des autres, et nous avons besoin d’un peu de tolérance et d’ouverture. Nous avons besoin à la fois de règles communes, mais ces règles doivent aussi répondre à un sens commun, et pouvoir rester dans une dynamique, car la vie bouge, la société évolue et les règles doivent pouvoir être adaptées.
Rester figés dans les règles anciennes, ce serait emprisonner les homosexuels; Aujourd’hui même les esprits les plus rigoristes admettent que cette loi qui n’a pas 50 ans est à remettre en cause.
Le contexte
Pour en revenir à notre exemple, si on y regarde de plus près, c’est le contexte de mise en œuvre de son intention qui est à revoir, pas son intention !
Et le contexte, si on amène la personne à interroger ce contexte, elle trouvera par elle-même les bonnes raisons de ne pas faire cet acte, et adhèrera d’autant plus au respect des procédures d’obtention des médicaments : beaucoup sont dangereux, l’utilité des pros de la maladie (les médecins), le contrôle des interactions, les indications des médicaments, etc… il prendra conscience du danger potentiel du résultat de la falsification pour sa maman, et sera peut-être content d’avoir été intercepté dans sa manigance.
Prendre du recul
La culpabilité nous enferme dans le passé : un acte « mauvais » a été commis, la personne est mauvaise, sans explication il n’y a pas de compréhension, et sans compréhension la personne va rester dans sa culpabilité.
C’est un piège, et un facilité, et parfois un refuge facile de s’auto-saboter « je suis coupable », dans le sens « je n’ai pas envie de faire l’effort d’être responsable ».
Responsable inverse de coupable
Le coupable est un sous-homme qui n’a rien compris, basta. Une personne qui est responsable répond à ce qu’elle est capable de faire. Si je ne suis pas capable, je ne peux pas en répondre.
Donc, amener une personne à être capable de comprendre son acte, sans jugement, l’amène à en répondre : la prochaine fois, elle saura répondre de son acte. A partir de là, quand on a compris, les priorités des valeurs sont revues, et la valeur « soulager ma maman de ses douleurs » ne passe plus au-dessus de la valeur « tout faire pour la soulager » parce que sera intervenue la valeur « respect des règles d’obtention des médicaments (pour de bonnes raisons).
J’ai un jour entendu parler d’un jeune homme qualifié comme délinquant et perdu pour la société. En effet, il avait produit une fausse ordonnance médicale pour obtenir les médicaments que sa mère doit impérativement avoir pour moins souffrir d’une maladie invalidante. Les médicaments « prescrits » étaient un renouvellement.
La réaction classique : « c’est mal, il doit être puni, ça lui apprendra ». La culpabilité bloque, fige, rabaisse. En le condamant, il n’aura pas compris le sens de son acte !
EN COACHING : on met le jugement de côté.
Par les questions, on peut d’abord trouver des intentions positives et qualités du jeune homme, comme le souci de sa maman malade, l’intention de trouver une solution rapidement, l’imagination, les efforts fournis pour imiter une ordonnance, et même le fait de surmonter sa peur, et d’avoir le courage de ses actes…
Par la suite, le coaching va questionner les conséquences positives et négatives de son acte. Et la personne va trouver par elle-même par quelles autres stratégies peuvent mener au résultat recherché.
Amener vers la compréhension …
Toujours par les questions, il réalisera l’intérêt collectif de respecter des procédures pour obtenir des médicaments qui peuvent être dangereux dans les interactions, dans les indications etc… et que si les médicaments ne sont généralement pas en vente libre c’est pour de bonnes raisons; Et aussi l’intérêt individuel d’être encadré par des médecins qui sont des professionnels des maladies, pour savoir décider des meilleures stratégies de soins.
Une personne qui comprend le sens de ce qu’il fait ou ne fait pas deviendra RESPONSABLE : REPONDRE DE CE DONT ON EST CAPABLE (ou habile).
Le simple questionnement dans le non-jugement peur à lui seul ouvrir bien des portes et apporter des réponses qui seront durables, car la personne se sera approprié ses propres réponses !
1 La confiance en soi peut s’apprendre : elle n’est pas figée.
« personne ne peut dénigrer ta valeur sans ton consentement « . C’est réexaminer les pensées qu’on a de soi-même, c’est remettre en question les fréquentations qu’on peut avoir de personnes négatives, c’est faire le tour des activités qui nous plombent et s’en détacher parfois contre les bénéfices qu’elles nous apportent.
2 faire le point sur la voix interne négative.
D’ailleurs c’est la voix de qui ? Est-ce une voix d’amour et de bienveillance ? De tolérance et de compassion ? Est ce la voix qu’on aimerait avoir avec une personne qu’on aime ? Ou Est-ce la voix d’autres ? Ne serait ce pas la voix du fameux « il faudrait « : Les parents dans leur rôle d’éducateurs, les enseignants, les autorités ?… il faudrait il faudrait il faudrait, culpabilisante, la culpabilité entrave toute valorisation
3 retourner un défaut en valeur
commencez par ne pas juger un de vos comportements et trouvez ce qu’il y a de positif, l’intention positive.
J’ai un jour entendu parler d’un jeune homme qualifié comme délinquant et perdu pour la société. En effet, il avait produit une fausse ordonnance médicale pour obtenir les médicaments que sa mère doit impérativement avoir pour moins souffrir d’une maladie invalidante. Les médicaments étaient simplement un renouvellement.
Si on met le jugement de côté, on peut trouver des intentions positives à son acte, comme le souci de sa maman malade, l’intention de trouver une solution rapidement, et l’imagination et les efforts fournis pour imiter une ordonnance et même le fait de surmonter sa peur, le courage de ses actes…
(En mettant de côté la culpabilité, on peut l’amener à envisager quelles autres solutions plus acceptables pour la société il aurait pu trouver pour arriver au résultat visé. Rester dans l’interdît ne résoud rien et ne l’aide pas à voir plus loin).
4 écrivez vos superpouvoirs
le matin en commençant la journée. Toutes les qualités que vous voudriez avoir. On s’en fiche qu’elles soient beaucoup, un peu ou pas du tout les vôtres . Ex : force, courage, volonté, charisme, attrayant, efficace, rayonnant, …pensez fort à chaque mot, ce que représente chaque mot, et ressentez chaque mot !
5 soyez votre propre coach de motivation !
Que diriez-vous à une personne que vous souhaitez voir motivée ? Que diriez-vous à un ami pour le motiver ? En évitant le il faudrait, motivez une personne que vous aimez, avec positivité et avec compréhension, et reprenez vos arguments pour vous.
6 faites appel à un héros : que ferait une personne que vous admirez ? Écoutez ses conseils
Ces tips vous donneront une plus forte confiance en vous et vous apprendrez à accepter vos faiblesses en vivant avec, vous vous autoriserez des erreurs, et les autres vous feront plus confiance.
Pensez à une occasion de votre vie où vous avez pris le risque de changer votre comportement, ou vous avez fait quelque chose de complètement différent : la première fois où vous avez conduit une nouvelle voiture, la première fois où vous avez pris l’avion, ou la première fois où vous avez loué Airbnb.
Toutes ces choses impliquent un risque, à savoir une exposition à l’incertitude avec une perte potentielle.
On peut considérer le risque comme une formule :
la probabilité x la gravité
Le risque est la probabilité que quelque chose se passe mal, et si cela se passe mal, la gravité de sa conséquence.
Confiance et risque sont comme frère et sœur.
La confiance est en fait la force remarquable qui nous fait franchir ce pont entre quelque chose de connu et quelque chose d’inconnu. La confiance résout littéralement les problèmes de risque.
Lorsque nous prenons le risque de faire quelque chose de nouveau ou de faire quelque chose d’une manière fondamentalement différente, nous faisons confiance. C’est de lâcher la peur.
L’humain a toujours fait confiance pour progresser, et quand il ne fait pas confiance, il stagne. Lorsque vous commencez à voir cette relation entre la confiance et le risque, vous comprenez pourquoi il s’agit d’un ingrédient si essentiel pour l’innovation, et pourquoi la confiance est littéralement le vecteur des nouvelles idées.
A l’inverse, la peur et le fait de rester sur ses acquis conduit à la stagnation.
On dit parfois que la guerre et les catastrophes sont le terreau des plus belles inventions. J’aimerai bien vous demander si vous approuvez les expérimentations sur les humains par les nazis, qui a fait progressé la médecine. Ou encore la bombe atomique. Considérer que la guerre génère le progrès est une vue de l’esprit, en dehors des guerres il y a bien plus d’inventions, et beaucoup moins destructions.
Pour avancer avec soi, aussi, il nous faut de la confiance : se faire confiance c’est lâcher des freins pour aller vers autre chose, d’expérimenter. C’est justement dans les moments de déprime qu’on se fait le moins confiance.
Des idées claires
La probabilité est souvent estimée, tout comme la gravité.
Probabilité : Nous pensons qu’on va développer le virus à la mode en parlant avec une autre personne à 15 mètres pendant 10 secondes.
Gravité : Nous pensons que tout le monde va mourir du dernier virus à la mode, comme de la peste qui a ravagé la moitié de la population au milieu du 14ème siècle.
Avoir des idées claires, c’est de repenser la probabilité et la gravité. Lors de la dernière épidémie de virus en date de ce billet, 25% de la population Française a eu ce fameux virus dans le nez. La probabilité d’avoir ce virus était donc élevée. Mais l’avoir dans le nez ne veut pas dire le développer. Le système immunitaire est là pour ça.
La gravité fatale de la maladie concernait des personnes ciblées pour 98% de la population : très âgés et déjà malades de maladies mortelles. La gravité était clairement liée à des facteurs de fragilité l’immunité.
Au final, cette épidémie a fait ressortir que l’état de l’immunité était le facteur de fragilité. Il était donc très facile de cibler la gravité, et de la distinguer, et de soigner l’immunité. Au lieu de cela, on a préféré enfermer tout le monde, créant du stress ce qui désactive le système immunitaire, porter des masques, ce qui crée du stress fut-il inconscient, rachacher du matin au soir le même sujet inquiétant, ce qui crée du stress latent, etc…
Aucun des dirigeants n’a su lever le nez du guidon de la peur, car le risque était estimé grave et imminent, ce qui heureusement n’a pas été le cas, et ce qui était prévisible grâce aux chiffres relevés pas les institutions compétentes.
On peut donc utiliser les inducteurs du risque selon qu’on a envie ou pas de catastropher ou rassurer.
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Lorsqu’on étudie ce qui entrave la confiance on peut trouver comment aider les gens à surmonter ces obstacles.
Trois obstacles à la confiance
la preuve sociale : C’est seulement lorsque nous constatons qu’un nombre suffisant de personnes ont découvert quelque chose de nouveau, qu’elles sont allées dans cet endroit inconnu, que l’on suit. L’un des éléments clés est donc de savoir comment créer une preuve sociale autour de la confiance.
L’aversion pour la perte (cf Danny Kahneman prix Nobel pour l’économie comportementale) : Nous nous préoccupons et ressentons davantage la douleur d’une perte que le plaisir d’un gain. Ce qu’on pense devoir abandonner pour faire confiance.
La loi de la familiarité : les gens n’aiment pas quelque chose de complètement nouveau. Ils aiment le familier fait différemment. Chez Apple avec l’iPhone, ils ont appliqué ce principe brillamment. Regardez votre iPhone et la poubelle ressemble à une vraie poubelle, l’appareil photo ressemble à un appareil photo, et les notes ressemblent à du vrai papier.
Finalement, ce sont des peurs : ce qui nous empêche de prendre des risques, c’est de faire face à nos peurs.
Grâce à ces trois éléments, la preuve sociale, l’aversion pour la perte et la loi de la familiarité, vous pouvez comprendre les barrières qui empêchent les gens de passer du connu, à l’inconnu.
la carte n’est pas le territoire.
La carte est constituée de l’ensemble de toutes les connexions neuronales qui se sont constituées durant ma vie depuis ma naissance. Dans l’espace familial, l’espace géographique, l’espace scolaire, amical, professionnel etc… j’ai construit une carte du monde.
Avec cette carte du monde j’évolue dans le monde, le monde c’est le territoire. Mais cette carte ne correspond pas au territoire, ne la représente pas et ne peut pas la représenter. Le monde du territoire est bien plus riche et varié que ma carte. Pour preuve, j’en apprends tous les jours ! Du moment que je suis curieux, j’accumule de nouvelles « connaissances », c’est à dire que j’élargis ma carte, et je peux la modifier, c’est à dire voir dans le territoire des choses que je ne voyais pas, ou même que je ne voyais pas de cette manière ! quand je change d’avis, alors je vois d’autres choses dans le territoire, pour modifier ma carte. Et parfois, ce qui existait dans le territoire change. Tandis que la carte recherche la stabilité, le territoire est également dynamique, il change en permanence !
Parfois, on ne trouve pas la résonance entre sa carte du monde et le territoire. On ressent alors un malaise.
Etant donné qu’aucune carte ne correspond au territoire, il n’existe pas de bonne ou de mauvaise carte ! C’est simplement le résultat de toute l’accumulation des connexions neuronales d’une personne. En somme, la vérité n’existe pas ! On trouvera simplement des cartes plus riches, ou plus compassionnelle.
C’est quand j’élargi ma carte et que je suis dans la compassion que je peux embrasser la carte d’autres.
C’est en remodelant la carte du monde que je peux l’élargir, lui donner souplesse et richesse, et la PNL c’est justement modeler !
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Le corps et le cerveau sont un seul ensemble, et les connexions neuronales sont permanentes, elles passent par le corps entier, le cerveau en fait partie.
le mental est imagination et il n’est pas systémique
bien qu’il fasse partie d’un ensemble qui lui est systémique, le mental conscient, est cette partie de nous qui est consciente, qui sait, qui est douée de réflexion construite : je préfère dire imagination. Car quand on réfléchi, on imagine à partir des ressources dont on dispose.
Cependant, le cerveau cortical, c’est aussi la part de nous qui cherche désespérément les clés dans le noir, là où elles sont tombées ! Notre mental est connecté à l’ensemble systémique, et il subit les mêmes décharges hormonales. Perdre les clés dans le noir fait monter des émotions.
Alors que tranquillement assis à lire ce billet vous vous dites que bien évidemment vous avez déjà la solution, quand on est en situation, on ne réagit pas de la façon la plus posée. Car dans une situation incontrôlée, des hormones du stress se mettent en route, le cerveau limbique fonctionne à fond et le cerveau cortical se désactive. C’est un processus normal qui nous permet de nous sauver des situations critiques. Imaginez qu’un camion vous fonce dessus et que vous vous mettiez à estimer la probabilité que vous avez de mourir ou d’être blessé, et d’estimer le temps d’arrivée des secours etc… qui correspondent à une pensée posée. Non, vous allez réagir avec votre cerveau limbique, celui qui vous sauve d’une situation dangereuse.
Le mental va réagir à sa façon : focalisé sur les clés, et les moyens logiques de les retrouver. Alors que c’est le moment où il faut changer de mode de pensée, et ne pas focaliser sur le clés tombées par terre, mais élargir la pensée, et chercher l’interrupteur pour allumer la lumière, pour ensuite voir les clés.
Notre carte est donc parfois limitée. En PNL, pour sortir d’un problème, on va se défaire de son cadre. On va recadrer, ou encore décadrer la problématique. Retrouver les clés est l’objectif, mais le moyen pour y arriver diffère !
C’est là qu’interviennent les ressources. Et pour trouver des ressources, on va élargir la carte : sortir du mode de pensée et l’élargir, car « on ne peut pas résoudre un problème avec la même façon de penser dans laquelle le problème est né « , disait Albert.
Dégager le terrain
Mais pour élargir la carte, il faut souvent dégager le terrain de l’imagination dominée par les émotions. C’est là que je m’aide de l’acupression, pour calmer les émotions qui bloquent une pensée qu’on croit logique : on sait qu’on doit utiliser le mental pour retrouver les clés, mais on reste focalisé sur les clés.
Nous sommes tous uniques, et la contribution de chaque-un est unique, donc extra-ordinaire.
Mais de quel ordinaire parle-t-on ? l’ordinaire est-il le commun, l’acquis, le connu ?
les valeurs simples de partage, de non-jugement, d’accueil, le sourire, sont connus, sont ordinaires, mais ne sont pas vraiment importantes ! En tout cas pas aussi importantes que le fric !
L’extra-ordinaire c’est quoi pour vous ? C’est quelque chose qui se remarque ? Pourquoi ça devrait l’être ? C’est quelque chose que personne n’a jamais fait ? Pourquoi ça devrait l’être ?
Quelle est cette injonction à être dans un certain type d’extra-ordinaire ? L’extra-ordinaire est normé, défini, et ça me dérange.
L’extra-ordinaire se manifeste-t-il dans le faire et le faire-savoir ? Pourquoi ça devrait l’être ?