Le décompte morbide des décès attribués à ce virus qui reste inconnu génère un stress permanent. La bassesse des médias n’a jamais été aussi sombre : on attend toujours plus de morts, comme si c’était un jeu. On déplore dans une réjouissance morbide. Et mortelle.
être effrayé, avoir peur, craindre, s’attendre à pire, se prémunir, etc… génère des hormones de la peur. Ces mêmes hormones qui sont utiles devant un vrai danger, un danger immédiat, comme par exemple une voiture qui perd sa trajectoire et nous fonce dessus, un chien méchant, etc… des occasions heureusement très très rares.
Notre corps n’est pas fait pour vivre dans le stress. Il n’y a pas de bon stress. Ces réactions corporelles de la peur ralentissent les fonctions de la digestion en chassant le sang des organes de la digestion pour les donner aux membres. Une digestion faible génère une faible extraction des nutriments, et affaibli le système immunitaire. A ce propos, le système immunitaire ne doit pas être vu comme un système de défense, mais un centre de tri et de traitement interne, et intelligent.
Le fait que le sang chargé d’homrones de stress irrigue les membres génère des syndromes de « chaleur interne » qui mènent aux maladies en ite : tendinites, arthrite, et mes fybromyalgies, etc…
Un état de stress génère aussi une respiration courte. Il suffit de s’observer pour le remarquer.
L’état de stress, pas le stress lui-même mais l’état qui en découle ou si voue voulez les réactions, induit une action rapide pour se sortir de l’origine du stress, un état de stress n’a pas le temps de réfléchir posément. Un état de stress empêche donc une réflexion posée, une prise de recul, et on se retrouve à généraliser, et à omettre certaines informations qu’on a pourtant sous le yeux, et on fait cela pour se protéger d’une ouverture d’esprit qu’on fuit à tout prix quand on est dans un état de stress. Enfin, on se met même à distordre la réalité, en clair à me mentir à soi et parfois aux autres, distordre pour là aussi traiter la peur : prendre du recul serait éloigner la peur, le stress dans lequel on est habitué à vivre.
Faisons le compte de nos moments de stress dans une journée, et le compte de nos moments de joie sereine.
On observe depuis deux ans une dérive de la mortalité dans des tranches d’âge qui ne sont pas ou très peu touchés par le virus à la mode. Et on observe aussi une dérive des maladies cardiovasculaires dans ces mêmes tranches d’âge en dessous de 65 ans.
Alors une fois de plus on attribue cela au virus. Mais il n’y a pas de preuve de cela, ou alors on peut toujours faire parler les chiffres selon ce qu’on veut démontrer.
En tout cas, vivre dans un stress permanent, ça c’est prouvé, génère des maladies cardiovasculaires, et d’autres maladies, dont la dépression, les troubles nerveux etc… les chiffres impressionnants des plaintes remontées par le corps médical suite aux injections du produit mal nommé vaccin (ce n’est pas un vaccin) ne sont peut être autant liés au produit qu’au stress, y compris le stress lié à l’injection elle-même.
Une fois de plus, vivre dans le flux des médias est anxiogène, génèrant des maladies et des complications mortelles dans un certain nombre de cas. Ce n’est pas la faute des médias, car les médias vont seulement là où le vent va : l’audience ! Si l’audience des mauvaises nouvelles baissait, les mauvaises nouvelles seraient moins nombreuses, et si l’audience des bonnes nouvelles montait, il y aurait plus de bonnes nouvelles. Ensuite on dirait : ah c’est cool le monde va mieux ! non ! le monde ne va pas ni bien ni mal, le monde va, la vie va, tout simplement.
Namaste.