Mois : mars 2021 (Page 1 of 6)
Les objets
Est-ce que les objets rendent heureux est-ce que un objet peut rendre quelqu’un heureux
combien d’objets qui ont rendu heureux qui vous ont rendu heureux étant enfant sont encore autour de vous ? si l’objet est le bonheur, alors à chaque fois qu’on se débarrasse d’un objet ou qu’il est cassé, et bien c’est une partie du bonheur qui est cassé ou dont on se débarrasse …
quel bonheur réside dans une voiture, dans une maison, une paire de ski, dans un vélo, dans un appareil électronique ?
Est-ce que c’est l’objet en lui-même qui rend heureux ou ce qu’il représente ce qu’il apporte ?
de la joie de la sécurité du partage ? ou un moyen de joie de sécurité de partager ?
ça veut dire que ce qui rend heureux ce n’est pas un objet mais ce que ce qu’on en fait !
un vélo peut être un objet de partage avec d’autres cyclistes OK mais si il n’y a pas d’autres cyclistes il n’y a pas de partage !
une maison on peut représenter le bonheur en famille mais si il n’y a pas de famille il n’y a pas de bonheur dans la maison …
voilà pourquoi certaines personnes se défont de tout ce qu’elles possèdent parce que le bonheur n’est pas dans les objets dans la possession, mais le bonheur est dans le cœur, dans toutes ses valeurs dans la compassion la bienveillance …
voilà pourquoi aussi dans certaines régions du monde les gens sont beaucoup plus heureux que nous ici en Occident avec de toutes nos choses partout !
voilà pourquoi aussi parfois on voit des gens pauvres qui ont leur bien plus heureux que les plus riches
finalement de quelle richesse parle t on ? de celle des objets de l’argent des pouvoirs ou de celle du cœur celle du bonheur
En plus par ici en Occident pour accéder à certaines possession, certain chimères du bonheur comme on nous l’a appris, pour le bonheur par les objets il faut faire tant de sacrifices et il faut consacrer tellement d’efforts tellement de renoncement tellement de regrets pour arriver à quoi finalement ? À une accumulation d’objets qui sont en fait éphémère qui ne sont rien d’autres que des promesses, des objets qui sont statiques des objets qui sont juste des objets…
Un objet n’a pas de vie il n’est pas vivant et en ce sens il ne peut pas apporter quelque chose de vivant au vivant, nous sommes vivant nous sommes profondément vivants, nous avons besoin de vivant et de vivre, les objets les objets n’ont pas de vie ils sont inanimés
Les objets c’est tout le matériel autour de nous qui peut être évidemment utile qui peut être un moyen qui peut être agréable mais un objet Mais les objets doivent-ils devenir le moteur d’une vie d’une vie de famille ou d’une vie de toute une société ? …
La merveilleuse histoire de Lester Levenson
son enseignement
La merveilleuse histoire de Lester Levenson
De Jean-Paul le 24 mars 2012
L’histoire fabuleuse de Lester Levenson, un homme condamné par la médecine a vivre seulement trois mois.
Lester LevensonIl va utiliser les choses qui lui restent : trois mois, et son esprit. Partant de là, il va « refaire » sa vie, ses événements, ouvrir son cœur à l’amour absolu, retrouver la santé, découvrir la joie d’être, et entrer dans une paix infinie et éternelle. Puis il va se découvrir des pouvoirs hors du commun, et enfin faire de l’argent comme en se jouant. Et il nous affirme que nous pouvons tous en faire autant !
Son histoire
Lester Levenson est né le 19 Juillet 1909 à Elizabeth, New Jersey. En 1931, il est diplômé de l’Université Rutgers en tant que physicien et a travaillé pendant 20 ans en physique et en ingénierie. Lester a aussi été un entrepreneur et exploré en marge d’autres, y compris, restaurants, le bois, la construction et de l’huile dans sa quête pour faire de l’argent.
Lester Levenson
Au fil des ans Lester est devenu de plus en plus malade et a souffert de toute une série de pathologies, depuis l’ictère, une hépatomégalie, des calculs rénaux, des troubles de la rate, ulcères perforés, des migraines et en 1953, sa mauvaise santé atteint un sommet quand il a subi sa deuxième thrombose coronarienne. À ce point, son médecin lui annonce qu’il n’a pas longtemps à vivre et que, fondamentalement, il devrait rester les bras croisés, ne rien faire et attendre la fin inévitable à venir.
À l’âge de 42 ans, après avoir vécu deux infarctus, les médecins l’ont renvoyé chez lui en lui disant qu’il ne lui restait que trois mois à vivre. Il s’est donc retrouvé seul dans son appartement en attendant une mort prochaine. C’est à ce moment-là qu’il a commencé une profonde quête en lui-même, à travers laquelle il chercha le sens de sa vie en la réévaluant.
Il savait que s’il a continué à respirer, il y avait encore une chance, si petite, qu’il pourrait changer sa vie. Lester était un homme intelligent, mais il a estimé que les circonstances ont de sa vie un échec. Tout ce qu’il a obtenu a été la mauvaise santé et une absence totale de bonheur. Comment en était-il arrivé là ? Lester avait étudié, il avait beaucoup de connaissances, mais il s’est rendu compte que tout cela ne valait rien en fait d’améliorer le tissu de sa vie. Par conséquent, il a commencé à envisager un retour aux sources et remettre en question ce qu’il voulait de la vie.
Peu à peu grâce à une grave épreuve, Lester lâcha tous les aspects négatifs de sa vie et a commencé à générer des pensées positives. étonnamment, ses problèmes de santé les plus importants se sont améliorés et tous les maux qui l’avaient fait souffrir ce sont résorbés. Au bout des trois mois, non seulement il s’est trouvé libéré de toutes les contraintes dues à son état de santé, mais tous ses problèmes de santé avaient complètement disparu.
Il a fait cela tout seul, sans recevoir d’instruction spirituelle spécifique et de façon complètement empirique.
Il s’est rendu compte que la cause de tous ses problèmes n’était personne d’autre que lui-même et sa façon erronée de penser.
La solution était donc de trouver le moyen de se libérer des pensées et des sentiments négatifs.
Il y a trois mots qui me viennent en premier plan pour décrire sa découverte :
Amour
Don (Donner au lieu de recevoir ou demander)
Lâcher prise.
L’histoire de Lester Levenson est étonnante et inspirante. Elle est digne d’être davantage explorée pour notre propre quête de changement et d’évolution.
Son cheminement
Voici brièvement son cheminement.
Pendant qu’il était dans son appartement, attendant cette mort annoncée, il s’est posé les questions suivantes :
– Qu’est-ce que je fais là sur cette planète ?
– Qu’est-ce que la vie ?
– Qu’est-ce que je cherche ?
La réponse fut : « Juste un peu de bonheur, c’est tout. »
« D’accord, alors, qu’est-ce que le bonheur ? Comment est-ce que je peux l’obtenir ? Où est-ce que je peux le trouver ?
En regardant dans sa vie passée, il s’est rendu compte que les moments où il avait été heureux avaient tous quelque chose à voir avec l’amour.
Mais en cherchant bien, il ne s’agissait pas des moments où il avait été aimé mais des moments où il avait aimé, où il avait senti de l’amour pour quelqu’un.
Aimer était donc plus important que d’être aimé ?
A partir de là, il a commencé à développer sa capacité à aimer. Pour cela il a compris que le chemin le plus court était de transformer ses sentiments de « non-amour » en sentiments « d’amour », de façon très concrète, un par un et avec chaque personne.
Chaque fois qu’il rencontrait une personne qui s’opposait à lui de n’importe quelle façon que ce fut, il décida de l’aimer de manière consciente. Et il la remerciait intérieurement de cette opportunité qu’elle lui donnait d’agrandir sa propre capacité à aimer. Parce que c’est en donnant de l’amour qu’on l’expérimente et que l’on est heureux.
Lester LevensonC’est ainsi qu’il s’est peu à peu élevé, et plus son amour grandissait, plus il était heureux.
Et c’est à ce moment-là que sa conception du monde s’effondra complètement.
Il réalisa que le monde était juste la production de son esprit, et que sa façon de penser détermine la matière et tout le reste.
Il comprit que les seules limites étaient dans la pensée et que son « essence », son Soi véritable, n’avait quant à lui pas de limites et était éternel. Il cessa de s’identifier à son corps et à ses pensées.
C’est ainsi qu’il s’est senti s’identifié à chaque être humain et à chaque atome de l’Univers, qu’il vu Dieu en tous et en Tout. Puis il s’est retrouvé dans un état de paix et de bonheur sans limite.
Il comprit que lui non plus n’avait pas de limites et qu’il pouvait tout manifester.
Sa compréhension
Après cette expérience, il cessa toutes ses activités d’affaires et il partit dans le désert de Sedona (Arizona), où il commença à enseigner la méthode qu’il avait découverte à toutes les personnes qui avaient le même but que lui : « la Liberté Ultime ».
Il a dédié le reste de sa vie, 42 ans, à partager avec les autres cet état d’être en harmonie avec tout dans lequel « vivre » est un bonheur, un bonheur sans limites et dans l’amour de tout ce qui est.
Plusieurs écoles proposent aux USA les enseignements de Lester Levenson, les plus connues sont :
La « méthode Sedona » qui est enseignée par Hale Dwoskin dont le livre vient de sortir en français[1] et la « méthode Release » qui est enseignée par Larry Crane.
L’approche de Lester Levenson
L’approche de Lester est pure, spirituelle et son objectif sur cette Terre est de répandre l’amour et la joie. Avec l’approche de Lester Levenson, nous ne restons plus dans « raconter notre histoire ». Nous accueillons tout ce qui s’est passé et nous relâchons. Nous accueillons aussi notre besoin, désir, habitude de retenir ce qu’on connaît, et on lâche, sans le moindre effort. Ce n’est pas plus compliqué et pas plus difficile que ça.
Lester LevensonAussi, nous honorons notre raison, notre mental, notre intellect. Après tout, c’est ce qui nous a permis de survivre comme espèce, n’est-ce pas ? Mais, une fois que nous l’avons honoré, on lâche !
Lester Levenson était un grand maître de nos temps modernes. Né en 1909, c’est vers le début des années 1950 qu’il s’est transformé après avoir lu, étudié et vécu les enseignements des grands maîtres de tous les temps.
Le grand cadeau qui nous vient de Lester est qu’il a su diffuser ces enseignements avec une telle simplicité qu’un enfant pourrait les comprendre.
Il nous dit que « le chemin vers la joie infinie se fait grâce à l’élimination du désir, sans attachements, sans aversions ».
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« Cela me fit m’identifier à toute chose, chaque personne et même chaque atome dans cet univers.
Et c’est une expérience si immense, c’est indescriptible.
D’abord vous voyez cet univers en vous, puis vous voyez l’univers comme étant vous. Puis vous connaissez l’unicité de l’univers. Puis vous en avez fini pour toujours avec la séparation et toute l’infernale méchanceté qui est causée uniquement par la séparation.
Puis vous ne pouvez plus être mystifié par les limitations apparentes du monde
Vous les voyez comme un rêve, comme quelque chose qui n’est qu’apparent, parce que vous savez que votre propre non-être n’a pas de limite ! »
…
« En contemplant la source d’intelligence et d’énergie, je découvris qu’elle était aussi accessible dans des proportions illimitées, et que cela me venait simplement en étant libéré moi-même de toutes ces formes de compulsions, inhibitions, complications, hésitations.
Je n’avais pas à être assujetti à quoi que ce soit. Considérant cela, le pouvoir libéré qui était juste derrière mon esprit se manifesta comme il ne s’était jamais manifesté avant. Je vis qu’avant j’avais réprimé cette énergie, ce pouvoir : et tout ce que j’avais à faire était de regarder se défaire les palissades du barrage et c’est ce que je faisais.
En découvrant chaque chose, je faisais disparaître une palissade et je lâchais ce flot infini juste comme l’eau d’une digue jaillirait si vous poussiez les barrières une par une. Et plus vous brisez les barrières, plus grand est le flot, donc tout ce que j’avais à faire était de faire disparaître les barrières et de laisser l’énergie et le pouvoir infinis jaillir.
Et il y avait des fois, quand je me rendais compte de ce que je suis cela me donnait une telle énergie que je bondissais de mon fauteuil.
J’allais alors droit vers la porte d’entrée et je commençais à marcher, et marcher et marcher, parfois pendant des heures et parfois pendant plusieurs jours de suite ! Je sentais seulement que mon corps ne pouvait pas contenir tant d’énergie, que je devais marcher ou courir pour en laisser s’écouler de moi. ».
Extraits de « l’Histoire de Lester » en téléchargement libre ICI.
Larry Crane
Traduction : Marguerite Boisseau de Mesmay
Jean-Paul Thouny
Thérapeute énergéticien, formateur – Voiron (Isère) France
Courriel : jean-paul@thouny fr
Site web : www.jean-paul.thouny.fr
Pour aller plus loin
La merveilleuse histoire de Lester Levenson – son enseignement
eBook en téléchargement gratuit
incarnationAvoir, être et faire tout ce que vous désirez
Un maître américain moderne nous explique que ce fut proche de son lit de mort qu’il trouva les réponses à la santé, au bonheur et la prospérité, et comment vous pouvez le faire aussi
Voici son histoire : Dans l’hôpital Au bout de deux semaines, le Dr. Schultz passa pour sa visite matinale habituelle, et après avoir examiné son patient, prit une chaise et s’assit. « Je vous libère aujourd’hui. Votre situation est stable, et il n’y a aucune raison de vous garder plus longtemps. Cependant, cela ne signifie pas que vous allez bien. Loin de là. Vous avez besoin d’une période indéfinie de convalescence, avec des checkups à intervalles réguliers. – Mais vous n’avez plus besoin de rester à l’hôpital plus longtemps.
– Vous pouvez continuer de vous reposer dans votre lit et de prendre des médicaments chez vous »
Le médecin lui expliqua dans les grandes lignes le programme de repos et de médication.
Ses visites, son régime, ses activités sociales : aucune.
Même sa vie sexuelle : aucune également.
Lester fut surpris mais déterminé à suivre les recommandations du médecin.
« Combien de temps cela durera-t-il, Docteur ? » demanda-t-il. « J’ai conscience que vous ne pouvez pas me dire exactement, mais pouvez-vous me donner une idée ? »
Il regarda le médecin attentivement en attendant sa réponse.
…
Voilà la clé !
Vous pouvez reproduire librement cet article et le retransmettre, si vous ne le modifiez pas et citez la source : www.energie-sante.net
Day 21 :In every moment of hope, I free myself, 🙏
Today I remember to love everything everyone I come in contact with. 🙏
* Je suis prêt à libérer mes peurs.
* Je vis et me déplace dans un monde sûr et sécurisé.
* Je me libère de toutes les peurs et de tous les doutes destructeurs.
* Je m’accepte et je crée la paix dans mon esprit et mon cœur.
* Je m’élève au-dessus des pensées qui tentent de me mettre en colère ou de me faire peur.
* Je libère le passé avec facilité et fais confiance au processus de la vie.
* Je suis prêt à renoncer au besoin de cette protection.
* Je suis maintenant prêt à ne voir que ma magnificence.
* J’ai le pouvoir de faire des changements.
* Je suis toujours divinement protégé.
les copyrights sont à M d’Ansembourg, ceci n’est qu’un condensé personnel destiné à vous donner envie de suivre les formidables formations de ce coach exceptionnel plein d’humanité. Merci à lui.
Lorsqu’on juge on enferme. On a tendance à tout interpréter. Mettre en pratique le premier accord toltèque.
On a intérêt à ne pas juger.
Oui mais « Alors comment prendre les choses ? il faut bien écouter ? on ne peut pas rester sans rien faire, car alors ce n’est pas de la communication ? »
Au lieu de juger, ressentir.
Exercice 1 :différencier subjectif et objectif
Une situation qui ne s’est pas passée comme tu l’avais espérée.
a – écris ce qui s’est passé en toi, comment tu l’as interprété.
b – la situation telle qu’elle était, sans passé ni futur, sans interpréter, sans « mais », sans affect. Vois la situation de l’extérieur.
Alors tu peux établir la différence entre les faits et l’effet.
Comment tu te sens quand tu passes de a à b ? …. voir aussi Byron Katie
Exercice 2 : les sentiments
a – Dans la situation jugée, JE ME SENS … : nommer
b – Dans la situation observée, je nomme les faits et l’effet que ça me fait : nommer
( » on » = personne ! faire dire » je » )
Laisser le temps. Aller à la rencontre de soi. A ce moment-là on a souvent tendance à fuir, à passer sur autre chose et à nos addictions.
Exercice 3 : les besoins
quels sont les besoins qui ne sont pas nourris. Les besoins les plus criants sont les plus difficiles à exprimer. Introspection.
Méthodes : Psych-K, train qui passe, gauche-droite
Victime :
je ne me prends pas en main
se plaindre
ne change rien
Communication Non Violente : Communication a-violente, éviter la violence. J’essaye de nommer les faits.
Je parle de moi, de l’effet que ça me fait. ne pas parler de l’autre.
je parle de mes besoins. des besoins dans lesquels l’autre peut se retrouver.
progressivement pour arriver un résultat plus grand à la fin.
demande ouverte qui accepte le non.
Pourquoi est-ce si difficile de convaincre que la solution vient de l’intérieur ?
Parce que dans notre société, nous sommes identifiés à ce qui nous est extérieur. L’identification aux croyances, la rétention des émotions et la suprématie de la pensée rationnelle mènent à la dissociation de l’être de la personne. La personne est seule à évoluer. L’Être n’existe pas. C’est même une notion abstraite pour la plupart des gens.
De là, si on prive les gens de leurs identifications, qui sont-ils encore ? … là survient la peur. La peur du vide. Car à l’intérieur, c’est vide.
Ce vide n’est qu’une impression. C’est un peu comme l’espace : on peut avoir peur de se noyer dans le vide sidéral. On peut avoir peur de cette nuit sans fin.
Par conséquent, la première chose à faire sera de rassurer, puis de faire prendre conscience que le monde intérieur est non seulement une vide, mais un univers. Ensuite, que ce monde intérieur est totalement à notre disposition. Qu’on a le pouvoir de le rendre joyeux ou triste, coloré ou gris, … le pouvoir est immense.
S’approprier son monde intérieur, l’aimer, le peupler, le rendre joyeux.
Quand l’identification se fait au monde extériur, l’esprit n’est pas ancré, la protection est dans les objets, et la stagnation provoque l’enlisement. Suit la pensée fermée, unique, automatique. Suivent les maladies.
Mais les maladies ne suffisent pas à réveiller les Êtres. Car les médicaments cachent les maladies, comme des sparadraps.
Quand vraiment ça ne va plus, c’est le burn-out, c’est la dépression grave, c’est le pétage de plomb, et souvent la maladie grave, cancers et autres déréglements de systèmes (hormonal, endocrinien, surénales…).
Si l’esprit est occupé, et identifié par les pensées, les émotions et les croyances (opinions), celui-ci est d’abord instable et à la fois stagnant.
Les croyances restent les mêmes, par besoin de stabilité, de sécurité, de besoin de repères. Pour construire notre monde artificiel, nous avons besoin de nous appuyer sur les croyances, égrégores, ou encore les sciences, qui ont permis de construire les objets dans lesquels nous vivons. Nous nous sommes ainsi identifiés aux croyances des sciences et techniques, et nous finissons par nous identifier aux objets. Nous ne sommes plus rien sans nos objets éléctroniques, et nous priver de liberté ne nous fait pas réagir du moment que nous avons nos objets d’information (on ne peut pas appeler les réseaux sociaux de la communication).
Dans la nature, l’humain n’a pas besoin d’asseoir son besoin de sécurité sur les objets, il n’y en a pas. De plus, dans la nature, il n’y a pas autant de dangers, donc pas besoin d’autant de sécurité. De plus les dangers de notre monde sont quasi tous imaginaires.
Le lâcher-prise, c’est le laisser-aller.
Les pensées : Instables, les pensées nouvelles défilent à toute vitesse. On ne s’y arrête pas, on ne réfléchit pas. Quand avez-vous vu quelqu’un réfléchir pour la dernière fois ?
Emotions : Les émotions induites sont les fausses émotions provoquées par le vécu qui se confronte aux chapelets de croyances formant la sécurité. A longueur de journée, des informations nous viennent qui se heurtent aux croyances de la sécurité. De là, on crée des émotions. Des fausses émotions.
Les deux seules émotions sont la joie et la peur. Les autres sont des émotions construites. Elles sont le résultat de la confrontation de nos croyances issues du passé et des projections du futur avec ce qui nous vient aux sens. Ainsi il suffit qu’une voiture soit mal garée et bloque le passage pour que nous croyons que nous allons arriver en retard car cela va nous retarder dans le trajet et si c’est le cas toute la journée est foutue et sera speed. Ou encore, il suffit de ressentir la même douleur pour qu’on croie qu’elle va dégénérer « comme la dernière fois ». etc… Ces projections à partir du passé nous mènent à reproduire le passé.
Croyances : tout ce qui fait nos repères, ce à quoi on croit sans même le savoir, sans remettre en cause. Ce sont nos boulets.
Quand dans les traditions de sagesse, toutes les sagesses disent que la paix se trouve à l’intérieur, dans la simplicité, dans le détachement, c’est cela : une vie heureuse est une vie intérieure, où nulle croyance ne se heurte à nul évènement extérieur, ne provoquant aucune fausse émotion stagnante.
La quasi totalité de nos maladies ne sont pas liées aux cellules, mais à leur commandant : l’esprit. C’est lui qui ordonne tout le fonctionnement, le comportement des cellules. Le message de l’esprit circule dans toutes les cellules, de sorte que l’esprit EST dans tout le corps.
Processus quantique de guérison des souffrances de notre enfant intérieur.
taper les pts EFT en disant
“Je commande au plus haut degré de perfection dans la grâce et l’aisance l’intégration immédiate, complète et permanente dans toutes les différentes parties de moi-même qui souffrent en ce moment la possibilité de baigner désormais entièrement dans la paix, l’amour et la lumière.”
Puis vous répétez en silence à l’intérieur de vous-même les trois mots : “Paix, amour, lumière” pendant une bonne dizaine de secondes en vous laissant bien imprégner de la sensation de bien-être que vous procure la répétition silencieuse de ces trois mots
les copyrights sont à M d’Ansembourg, ceci n’est qu’un condensé personnel destiné à vous donner envie de suivre les formidables formations de ce coach exceptionnel plein d’humanité. Merci à lui.
L’enfant est dans l’instant présent : il n’a pas de cloisonnement.
L’enfant est à la fois celui qui court derrière le papillon, le papillon, l’herbe haute, le soleil, etc…
L’enfant est à la fois l’enfant qui fait un calin à son parent, et son parent et le canapé, et le tapis et…
L’adulte moderne fonctionne dans ses enfer-me-ment : routines, fonctionnements compensatoires, systèmes de pensée, habitudes qui ne sont pas questionnés par confort, on n’a pas besoin, et si ça ne va pas on prend des cachets. La vie est ennuyeuse.
Nous avons besoin de déchirer le carton, de libérer le danseur, de nous réaligner sur la musique intérieure. De se réaligner sur le fil rouge de la vie.
Tension entre vie rêvée et vie vécue : s’engouffrent dans cet espace les mécanismes compensatoires.
Dans une société de consommation, c’est facile de compenser le mal-être, et on a assez de confort pour ne pas se remettre vraiment en question soi, mais on remet en question son environnement. Alcool, anxiolytiques, accro au travail … et toutes les distractions. Dans notre société, nous avons plus appris à compenser notre mal-être qu’à nourrir notre bien-être. La société de consommation et des loisirs.
C’est quand je vis vraiment la vie que j’aime que je suis joyeux et contagieux de ma joie
Observer nos enfer-me-ments : s’observer, ce qui se passe en moi : corps, émotions, spirituel.