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CNV : communication – check dans une situation donnée

Jour 1 vidéo 7 :

Dans une situation de conflit intérieur, faire le check :

1 – Observation de la situation

Ce qui est subjectif

Ce qui est objectif

2  – je me sens … (triste, en colère….)     – attention à ne pas mélanger ressenti et jugement : je me suis manipulé = un ressenti + un jugement, ce qui est une posture de victime

3 – Parce que j’ai besoin de …

4 – Nommer le besoin

 

 

Chaque jour …

Chaque jour …

Chaque jour, avant de vouloir être proche des autres, je me demande « est-ce que je suis proche de moi ?  »

Comment je me sens ? suis-je « ensemble » avec moi ? en cohérence ? en cohésion ? en harmonie ? aligné ?

Thomas d’Ansembourg les bases de la communication non-violente les 4 éléments de la CNV

Les 4 critères de la demande

Concrète : « est-ce que tu veux bien mettre la table ? ». Ne pas rester vague du genre « est-ce que tu peux m’aider ? »

Positif  » pourrais-tu chanter dans le jardin ? »  et non pas « arrête de faire du bruit »

Réaliste « je vais méditer chaque matin 5 minutes » et non pas « à partir de maintenant je vais méditer 2 heures par jour »

Négociable : Laisser à l’autre le choix, s’ouvrir à l’échec.

 

+ à coeur ouvert : « je ressens »

+ pas affirmatif : « je peux me tromper mais je ressens »

+ pas impératif : « je souhaite propoper » et non pas « je veux que tu fasses »

Thomas d’Ansembourg jour 1 video 6 et 7 La Grammaire de la CNV

les copyrights sont à M d’Ansembourg, ceci n’est qu’un condensé personnel destiné à vous donner envie de suivre les formidables formations de ce coach exceptionnel plein d’humanité. Merci à lui.

 

Lorsqu’on juge on enferme. On a tendance à tout interpréter. Mettre en pratique le premier accord toltèque.

On a intérêt à ne pas juger.

Oui mais « Alors comment prendre les choses ? il faut bien écouter ? on ne peut pas rester sans rien faire, car alors ce n’est pas de la communication ?  »

Au lieu de juger, ressentir.

Exercice 1 :différencier subjectif et objectif

Une situation qui ne s’est pas passée comme tu l’avais espérée.

a – écris ce qui s’est passé en toi, comment tu l’as interprété.

b – la situation telle qu’elle était, sans passé ni futur, sans interpréter, sans « mais », sans affect. Vois la situation de l’extérieur.

Alors tu peux établir la différence entre les faits et l’effet.

Comment tu te sens quand tu passes de a à b ? …. voir aussi Byron Katie

 

Exercice 2 : les sentiments

a – Dans la situation jugée,  JE ME SENS … : nommer

b – Dans la situation observée, je nomme les faits et l’effet que ça me fait : nommer

(  » on  » = personne !    faire dire   » je  » )

Laisser le temps. Aller à la rencontre de soi. A ce moment-là on a souvent tendance à fuir, à passer sur autre chose et à nos addictions.

 

Exercice 3 : les besoins

quels sont les besoins qui ne sont pas nourris. Les besoins les plus criants sont les plus difficiles à exprimer. Introspection.

 

 

Méthodes : Psych-K, train qui passe, gauche-droite

Victime :
je ne me prends pas en main
se plaindre
ne change rien

Communication Non Violente : Communication a-violente, éviter la violence. J’essaye de nommer les faits.

Je parle de moi, de l’effet que ça me fait. ne pas parler de l’autre.
je parle de mes besoins. des besoins dans lesquels l’autre peut se retrouver.
progressivement pour arriver  un résultat plus grand à la fin.
demande ouverte qui accepte le non.

 

 

 

Thomas d’Ansembourg les bases de la communication non-violente ep 3 le radar intérieur

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Avant de vouloir être proche des autres, est-ce que je suis proche de moi ? Amour, bienveillance, compassion.

Base : les besoins sont nourris ou pas nourris

Le radar intérieur

se demander ce qui se passe en soi : comment je me sens … en nommant les choses

  • comment je me sens lorsque je m’écoute : écouter ce qui est vivant en moi : quels besoins sont nourris, quels besoins ne sont pas nourris ? Quelles parties de moi sont en besoin ? (se sentir vivant, reconnu) lister puis se demander
    • émotions : cette liste génère quelles émotions ?
    • corps : cette liste génère quelles sensations corporelles ?
    • mental : celle liste génère quel commentaire spirituel ?
  • l’expression de soi : comment je me sens lorsque je nomme ce que je sens ? ça fait quoi que de nommer les ressentis et les besoins.
  • comment je me sens lorsque je suis écouté. ça fait quoi que d’être écouté ? Nourrit les besoins de lien, d’authenticité, de profondeur, de respect. Ni conseil ni solution. Quand on ne trouve pas d’écoute chez les proches, on va acheter l’écoute chez des thérapeutes.
  • comment je me sens lorsque j’écoute l’autre. ca me fait quoi à moi quand j’écoute l’autre ? ecouter l’autre dans son ressenti

« La Reconnaissance : la clé pour comprendre le fonctionnement du monde, à la fois intérieur et extérieur. »
Besoins : voir pyramide de Maslow

Thomas d’Ansembourg les bases de la communication non-violente ep 2

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Écoute intérieure & auto-empathie

Jour 1 partie 3 Minute 6 et suivantes

Première question : comment je vais ? Si la réponse est basique « ça va » ou alors « ça va pas trop » etc… on n’a aucune chance d’obtenir le discernement nécessaire pour réorienter sa vie.  Dans ce cas on reste dans un état de  » jusque-là ça va, jusque-là ça va »

Reposer la question « comment ça va ? » avec Deux clés de discernement :

Le ressenti : pour cela, commencer par sortir de l’obsession que tout doit et peut être résolu par le rationnel, par l’intelligence logico-mathématique. alors souvent on dit « je sens rien ». Non, c’est qu’on ne sent pas qu’on sent. L’émotion = emovere, mouvoir, si l’émotion m’emporte, elle m’emporte. La colère ou la tristesse, les émotions racontent des histoires sur soi. Aucune émotion n’est là par hasard.

– aucune émotion et sentiment ne sont ni positifs ni négatifs, on accueille toutes les émotions. Les émotions sont agréables ou désagréables. Les émotions agréables sont celles qui renseignent des besoins nourris. Les émotions désagréables dénotent des besoins en souffrance.

Image des lumières de tableau de bord : si je les ignore, il va m’arriver des bricoles à un moment donné.
Dans la vie on a des lumières qui clignotent :  » tu es triste « ,  » tu en as ras le bol « , « tu n’en peux plus » : si je mets ces warning sous le tapis,  » pas du tout, j’assure  » un jour c’est le burn out ou la maladie.

Pas de discernement + pas d’écoute de ce qui se passe en moi = pas de capacité d’action pour transformer.

Thomas d’Ansembourg les bases de la communication non-violente ep 1

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Thomas d’Ansembourg les bases de la communication non-violente

Introduction

Jour 1 partie 1 Minute 9.

Il ne viendrai à l’idée d’aucun musicien d’entrer en scène sans deux choses : qu’il ait bien son instrument, et que celui-ci soit accordé. Notre instrument, c’est notre corps ! Si on veut avoir de l’écoute pour les autres, il faut comencer par s’écouter soi. On ne peut être en bonne communication avec l’extérieur, les autres, si on n’est pas en bonne communication avec soi. Il faut commencer par apprendre la lenteur. Laisser descendre le seau du discernement dans le puits de la connaissance profonde. Faire de la méditation scan corporel.

 

 

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