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Nous vivons dans un monde violent.

Nous vivons dans un monde violent. La violence n’est pas seulement physique. La violence est de plus en plus psychologique. Elle s’inscrit comme une normalité dans notre société. Elle commence par la déshumanisation des services publics, à commencer par celle de l’hôpital. A plus petite échelle, mais permanente, ce sont les transports en commun crados, les incivilités institutionnalisées, les formalités toujours plus complexes, la dématérialisation, la gouvernance par décret, le mépris des dirigeants à l’égard des personnes, l’éloignement de la gouvernance du terrain … etc… tout ce qui enlève du lien, tout ce qui catégorise, tout ce qui sectorise est instrument d’une violence sourde, inconsciente de la part des malfaiteurs, car ils pensent sincèrement faire le bien

Violence par absence de sens. La religion de la science dure nous dit non seulement que ce qui n’est pas prouvé scientifiquement n’existe pas, mais elle raille toute forme de sens. Nous n’avons presque plus le droit de donner un sens à ce que nous faisons, à nos vies, et parler de vie spirituelle (donner un sens profond) est de plus en plus mal vu, bientôt la spiritualité sera classée comme mouvement sectaire. Ces assimilations abusives sont une autre violence. Au passage, comme aucun scientifique n’a jamais pu trouver une pensée dans un cerveau, la pensée n’existe donc pas … ni l’idée, ni les émotions, ni les sentiments, ni le deuil ni l’affection, tout ça n’existe pas, nous sommes des machines, selon ces gens qui, selon mon avis, veulent tout expliquer selon leur manière de procéder, mais peut-être est-il des domaines où la science doit savoir s’arrêter ? …

Mais c’est aussi une société où le vivre ensemble est pauvre. L’aspect humain du fonctionnement de la société est laissée à des associations, ce qui dénote déjà une démission des dirigeants. Mais en plus ces mêmes dirigeants en réduisent fortement les subventions. Les institutions qui ont le plus besoin d’humain, l’hôpital, les maisons de retraite et le soutien psychologique, sont même des endroits d’une froideur extrême.

La violence « induite », petite mais permanente, est aussi celle qu’on s’impose à soi. A chaque fois qu’on juge quelqu’un, ce n’est pas d’abord la personne qu’on maljuge qui est touchée, mais soi. Les pensées négatives génèrent des substances inflammatoires qui sont néfastes pour notre système immunitaire, cardio-vasculaire, pour notre moral en général. A chaque fois qu’on regarde le JT, on s’inflige de la violence, puisqu’on peut très bien prendre connaissance de ce qui se passe dans le monde sans JT, et que l’émotionnel sanglant n’est pas une information, mais une violence.

Le fait de dire « ailleurs, c’est pire » n’enlève rien à la souffrance qui est induite ici, chez nous, dans nos coeurs, et dans nos corps.

Liberté – 13 Janvier 2024

A mesure que je développe le lâcher prise, vient un sentiment de liberté.

Je viens de laisser aller deux idées. Je pense que nos projets, nos activités, nos relations, sont des idées : idées du monde, idées de chaque monde.

Je viens de lâcher le monde du bénévolat en maison de retraite. Ce n’était pas si difficile. Du moment que je laisse de côté l’attente supposée des autres, du moment que je suis mes valeurs, du moment que je laisse derrière moi la culpabilité.
Ensaignement : poursuivre le but initial. Initialement, je voulais donner de mon temps à noël, pour tenir compagnie à des personnes isolées. En m’embarquant dans une discussion sur les visites régulières, je sortais du cadre initial. Ce qui n’est pas mauvais, car souvent on arrive à un endroit qui n’est pas du tout attendu. Mais ici, non, je n’ai pas envie de m’embarquer dans cette aventure.

Je viens de lâcher une relation trop compliquée devenue toxique à force de revenir toujours et encore sur les « il faut ». Ca fait du bien. Mais j’ai attendu trop longtemps … ou plutôt, il m’a fallu aller aussi loin que ça pour enfin lâcher cette relation. Oui, il est important de faire des efforts, d’être dans la bienveillance, mais passé un stade, il faut poser les limites. C’est ce que j’ai fait, en reculant pour l’avenir les dites limites.
Ensaignement : je suis capable d’énormément réduire les fractures dans une relation, c’est mon capital, je l’ai fait plusieurs fois, ce n’est plus à « prouver », et je n’ai rien à prouver, d’ailleurs. Maintenant, je dois également me fier un peu plus à ce qui se passe, et réagir plus promptement. Une personne blessée ok, mais je ne suis pas là pour être un punching ball. Je me rends également compte que l’on peut être, et c’est mon cas aussi, parfois dans un état de sagesse, une façon distanciée de considérer ce qui survient, et parfois ensuite se laisser embarquer dans des états émotifs excessifs. J’espère seulement ne pas être aussi émotif, aussi excessif. Je ne pense pas, je pense que je réagis ensuite avec sagesse, pour revenir à un état plus posé. Ensuite, je remarque que j’ai plus grande perméabilité au travail que dans ma vie privée. J’ai aussi besoin de rencontrer une femme qui est mature dans sa relation au monde.

Le monde, les mondes : Chaque relation est un monde, avec les images de l’autre, la constitution d’un nous, les phéromones, les regards, les distances, une manière unique de communiquer, chaque relation est unique et tous ses détails constituent un « monde », et chaque-un la vit à sa manière, il y a autant de mondes que de personnes. Et chaque monde est unique pour chaque personne : la carte n’est pas le territoire.

Le monde, les mondes : Chaque activité est un monde, avec son histoire, ses difficultés, ses talents, ses connexions, et aucun boulanger n’exerce son art comme nul autre, aucun lecteur de romans ne vit les histoires comme nul autre. Mille détails accompagnent chaque-une de nos activités à chaque moment. Et chaque monde est unique pour chaque personne : la carte n’est par le territoire.

La carte n’est pas le territoire, et je veux parcourir les territoires de mes mondes, les explorer, pour aller vers moi, car mon Être s’y trouve, dans ces paysages et recoins inexplorés. C’est perte de temps que de vouloir adopter la carte d’un territoire qui n’est pas le mien, car je ne m’y trouverai pas.

Aller à la rencontre de soi, du soi que je ne connais pas. Il n’est pas dans mon passé, il n’est pas dans mon avenir. Il est là, devant moi, ici et maintenant, portant le passé et poussé par le vent de l’avenir.

Namasté

Quand le sentiment d’Être se cristalise

Quand le sentiment d’Être se cristalise

il est des endroits, auxquels on arrive parfois par des chemins pourtant tordus, il est des endroits où l’on se sent Être. Ce sont des lieux où les éléments cristalisent l’Être, pour que les sens ramènent l’Essence à la présence.

Le vignoble alsacien en est. Habitant loin maintenant, je n’ai plus l’occasion quotidienne de toucher son esprit. Quand j’y reviens, quand le pied se pose à nouveau dans ces marbrures, la magie opère, instantanée, la peau des millénaires forgeant lentement les habitants.

Quel plaisir de retrouver l’âme si animée d’un « pays » : un bout de Terre est investi de son âme, au travers de ses formes, les pentes et les plaines, les reliefs, les orientations, la nature du sol, le climat, les ressources naturelles, les cours d’eau qui séparent les terres, etc… tous ces éléments que les humains d’aujourd’hui oublient, dans lesquels les humains pourtant vivent, tout ça forme un Terroir.

Et le Terroir forge ses habitants. Les humains qui sont là ne pratiquent pas les mêmes métiers ici qu’ailleurs, les mêmes arts ici qu’ailleurs, ne pratiquent pas les mêmes cultures ici qu’ailleurs, n’ont les mêmes ressources naturelles ici qu’ailleurs, et les échanges avec l’extérieur ne sont pas les mêmes ici qu’ailleurs.

L’ensemble de tous ces éléments, de tous ces potentiels, forgent aussi les habitants, qui font partie du Terroir. « les gens d’ici », « les gens d’ailleurs », les uns ont besoin des autres.

L’Alsace est un Terroir au caractère fort, marqué par ses particularités, marqué par son Histoire, les gens sont toujours venus de tous les ailleurs, et tous les gens d’ailleurs sont devenus des Alsaciens.

Posez n’importe quel humain dans le vignoble, ou dans les plaines alluviales, ou encore dans les collines douces de l’Alsace Bossue, il deviendra un Alsacien en moins de temps qu’il ne faut pour le vouloir.

C’est la magie du terroir. Le vignoble, par la puissance de son passé glorieux, et la tristesse de son état actuel, je suis imprégné de ses rides, de ses failles, des mille couleurs de ses sols, des regards et des sourires de ses habitants.

 

 

 

19 Juin 2021

Samedi matin. Le bruit du monde des humains n’a pas encore déraillé. Il y a encore 100 ans, le moteur à explosion n’avait pas encore envahi l’espace sonore, l’espace tout court pour séparer les gens et les humains. C’est seulement un exemple de ce qu’on appelle le progrès, qui génère des changements de monde. Comme toujours, ce n’est pas la nature de toute chose qui pose problème, c’est ce qu’on en fait. Les humains ont une tendance forte à utiliser leur pouvoir cérébral pour créer des choses incroyables, mais ne savent pas utiliser le même cerveau pour en faire de bons usages.
Dans la nature, existe aussi des inventions, mais est ce que elles génèrent autant de déséquilibres ? D’aussi rapides et profonds changements ? Dans la nature existent des inventions mais pas de réflexions identique ? Pas de réflexion temporelle ?

L’intelligence de l’homme le pousse à croire qu’il est le seul à réfléchir, à ressentir, à penser et inventer.

Peut être que nous avons des êtres vivants à nos côtés sans que nous ne les percevons ? Nos 5 sens et le 6eme ne peuvent pas tout percevoir. Les microbes n’existent pas par nos sens,ni les virus encore plus petits. Pourtant aujourd’hui on admet leur existence, qu’on pense vraie. On les a découverts grâce à nos inventions, le microscope. Pourtant ils étaient là avant. Le fait de les savoir exister change t elle leur nature ? Non. Mais ça change notre manière d’agir.

Notre inventivité et le fait d’avoir construit des objets non naturels comme le microscope a changé notre rapport au monde. Et établi des barrières. Et perturbé voire annulé le respect des processus naturels.

Je suis enfant de ces déviations. Je ne serai pas vivant sans les progrès non naturels. Si je suis vivant c’est que c’est prévu ainsi. Si c’est prévu ainsi, c’est que tout ce qui est ainsi, notre monde qui fout le camp, est prévu pour ça.

Ce n’est pas une raison pour ne rien faire. Mais faire un monde meilleur. On ne battit pas un monde meilleur avec des fermetures et des barrières. Mais en ouverture.

Qui suis-je alors pour juger que les humains n’utilisent pas bien leur cerveau ? Où est la limite d’un progrès ? Dans l’intérêt particulier, comme par exemple moi vivant sauvé par les chirurgiens à ma naissance, ou l’intérêt des chirurgiens qui étaient fiers d’opérer des bébés comme moi ? D’ailleurs est-ce que ce sont des bonnes choses ? … Il n’y a pas de bonne et de mauvaise choses, juste ce qui est ! Donc comment agir ? Tout accepter ?
Ou alors dans l’intérêt collectif ? Une invention pour les uns serait peut-être dommageable pour le collectif ? Le fait d’imposer des mesures à tous pour protéger les uns est il positif ? … Dans la nature, la pie ou encore le chat ont ils un sens du collectif quand Ils font leur vie chaque jour nouveau ? Non ! Ont ils des réflexions qui privent consciemment d’autres de liberté ou de moyens ? Non …

Ce qui semble distinguer l’homme du reste et le séparer, c’est la conscience avec un petit c. Qui prive en premier lieu l’homme de la connexion, la connexion à son monde et à la Conscience avec un grand C. Et qui en définitive mène à sa propre destruction. Ce qui permet d’être si différent est le moteur de sa perte. Inventer est bien, c’est dans la nature. Le fait de posséder la conscience avec un petit c , l’ego, fait que les inventions, le progrès, dérive et est mal utilisé.

C’est en effet quand j’oublie le passé et le futur, donc cette obsession de la conceptualisation, que je me détache de ma séparation d’avec la nature et me reconnecte. Vivre dans le moment présent.
La paix. La sérénité, la tranquillité et l’accord avec les autres. Si tout progrès était né dans le moment présent et non pas dans des intentions futures et égoïstes de pouvoir et de possession, les progrès ne seraient peut-être pas aussi souvent néfastes ? Si les progrès passés n’étaient pas réutilisés de façon égoïstes pour le pouvoir et la possession, peut être que ces inventions passées ne deviendraient pas néfastes ?

 

Le passé n’existe pas, tout comme le futur. Ce sont des représentations mentales, des repères, des outils, pas des réalités. On ne peut être par la pensée dans deux temps en même temps.

Quand je pense soit au passé ou au futur, mon esprit est « ailleurs ». Par conséquent, je ne suis donc pas dans le présent. Ces temps me séparent de la connexion avec le présent.

On n’agit que dans le présent. On ne peut jamais agir dans le passé ou dans le futur.

On peut agir dans le présent dans les pensées du passé ou du futur. C’est ce que nous faisons la plupart du temps. Prenez une journée type d’une grande majorité de métiers.

Agir sur le passé : le passé étant mort, on ne peut que soit le trafiquer pour lui faire dire autre chose, donc l’interpréter, soit réparer.

Dans le premier cas, on essaye de faire parler le passé. Ce sont toujours des interprétations qu’on fait. On ne peut revenir dans le passé, exactement. Donc, ce qu’on dit du passé ou lui fait dire est fait dans le présent, qui est un moment différent. On ne peut  donc que mentir, se mentir ou mentir aux autres. Ce qu’on peut, c’est mesurer le résultat du passé dans le présent. C’est tout. Ce sont des constats. Mais ces constats sont très faibles, quand on s’interdit d’interpréter le passé. Par exempl,e il est impossible de dire que les mesures prises dans la crise mondiale de peur collective ont permis d’éviter le moindre décès. Il aurait fallu faire l’inverse au même moment dans le même contexte, en éliminant toutes les variables. Le temps qui passe est à lui seul une grande variable. Ce qui est impossible. Si on examine le passé dans ce qu’il est, il n’est rien. Si on examine le passé dans ce qu’il était, c’est un mensonge, car on ne peut pas être dans le passé. J’ai vécu des tas de choses durant cette existence, mais tout ce qu’il en résulte est mon inteprétation, les traces laissées, et ce ne sont pas des réalités. Le passé ne peut être réel, la seule chose qui puisse être réelle est dans le présent.

On peut vouloir réparer les conséquences du passé dans le présent. Mais pas le passé en lui-même. De fait, il est inutile voire dangereux de reparler, ressasser le passé. Si nous sommes tellement attachés à nos passés, c’est parce que nous nous identifions à ce que nous avons vécu, et trainons nos boulets. Laisser le poids du passé permet de libérer le passé, pour qu’il passe au passé. Si nous sommes tellement attachés au passé, c’est par culture, par conditionnement, par tous les tabous que nous accumulons. Le travail chez le pys à ressasser le passé, est un boulet qu’on traine encore et encore, il cultive cette identification à ce qui est passé. Car pour la grande majorité des gens, si on n’a plus d’identification au passé, on n’est plus rien, on n’est plus soi. Les possessions, par exemple, sont des boulets du passé.

Le passé n’est pas utile. Le cultiver c’est le reproduire. Cultiver le passé, c’est reproduire les façon de penser qui l’ont produit. On ne peut pas produire des choses nouvelles avec les mêmes façons de penser qui ont mené à un résultat passé. Tant qu’on reste dans le modèle de pensée, qu’on  ne change pas l’environnement, le résutlat du passé est reproduit dans le présent. Souvent, on reprend le passé et on change quelque chose à la marge. Les résultats ne sont jamais fulgurants, et quand ils le sont, c’est qu’un hasard a introduit un élément nouveau de manière fortuite et non-intentionnelle.

On ne peut pas réparer le passé. Parce que le passé n’existe plus. Seul est le résultat, et ce résultat est inscrit dans le présent. Ca fait partie de ce qui est présent dans le présent. Il n’y a donc rien à réparer.

Je peu être tenté de penser que je peux continuer la même histoire du passé en modifiant des éléments que je pense être perturbateurs, mais j’agis à la marge, et j’agis en me fermant, en mettant des barrières. En bloquant. C’est se fermer au possible.

Or, la vie est mouvement par définition, et  chaque fois que je bloque, je m’illusionne de bloquer ce qui ne peut être stoppé : la Vie !

Si je veux contrôler le futur, c’est que je veux contrôler ce qui est arrivé par le passé, donc ma représentation du passé. Si beaucoup de monde pense que dans le passé très récent est arrivé une horrible chose liée à telle cause, alors on va trouver les preuves à postériori pour justifier cette idée, et on va engager les tentatives de contrôler. En faisant cela, on ne peut donc, par définition, que tenter de contrôler la répétition du passé ! On ne peut donc pas créer du nouveau ! Et donc, on ne peut que se remettre dans le même environnement qui a mené aux résultats qu’on est en train de contrôler. Et par conséquent, on va récolter des résultats similaires, voire pires à plus ou moins longue échéance. Car en contrôlant, que fait-on ? On empêche une situation d’émerger par le chemin par lequel elle a émergé, et on n’agit absolument pas sur la source de cette situation. Elle va donc, à plus ou moins longue échéance, trouver un autre chemin, en tenant compte de la résistance qu’on lui a opposée, et elle trouvera un autre moyen. Plus dur à maitriser à chaque fois. C’est le principe de résistance : plus on s’oppose, plus on renforce. On connait cela avec les antibiotiques et donc avec les microbes, mais c’est identique pour les comportements humains, ou avec toute forme d’énergie.

Par contre, je peux dans ma situation du présent en modifier un élément du présent, qui est le résultat du passé dans le présent, pour créer autre chose à sa place. Pour que dans ce que je vais vivre ensuite, cet élément soit transformé et recréé.

Il n’y a donc rien à réparer, mais un changement, c’est de la création. Or, la création est le domaine de l’invention, de l’imagination, de l’enthousiasme, tout le contraire du rationalisme. Le rationalisme est très utile, mais il n’a pas sa place dans la créativité. Le rationnel est inscrit dans l’existant, par conséquent il ne peut pas décoller et se projeter.

Pour changer une situation héritée du passé, il faut donc surtout pas le cultiver, mais changer la façon de penser et créer, ouvrir, s’abandonner à la nouveauté. Et c’est ainsi qu’on crée un futur qui sera différent ! Et c’est alors qu’on invente, c’est-à-dire qu’on trouve ! parfois, il faut s’y reprrendre à plusieurs fois, et la lampe à incandescence a nécessité 1000 essais ! Si on s’arrête à un échec, on ne crée jamais de nouveauté ! Accueillir et donner la chance à la nouveauté, c’est s’ouvrir au possible.

Le passé est censé rassurer, l’avenir inquiète. Généralement on croit le passé, et on ne fait pas confiance à l’imaginaire de l’avenir.

C’est quand j’oublie le passé et le futur, donc cette obsession de la conceptualisation, que je me détache de ma séparation d’avec la nature et me reconnecte. Vivre dans le moment présent.
La paix. La sérénité, la tranquillité et l’accord avec les autres. Si les progrès passés n’étaient pas réutilisés de façon égoïstes pour le pouvoir et la possession, peut être que ces inventions passées ne deviendraient pas néfastes ? Si tout progrès n’étaient pas des intentions futures et égoïstes de pouvoir, de contrôle et de possession, les progrès ne seraient peut-être pas aussi souvent néfastes ?

Le seul progrès qui vaille est en fait celui inscrit dans la nécessité du présent, détaché du passé et du futur, c’est ce qu’on appelle l’adaptation. Dans la nature, les inventions sont de l’adaptation, pas du progrès.

 

Les Virus Explication sommaire

suite à la conférence de Christian Velot

 

 

le matériel génétique :

 

Dans l’ADN il y a ce qu’on appelle des gènes, Un certain nombre de ces gènes détiennent le secret de fabrication des protéines. Les protéines sont des grosses molécules qui sont les acteurs de tous les processus biologiques qui ont lieu dans nos cellules.

 

Mais on ne passe pas directement du gène à la protéine. 2 étapes sont nécessaires :

1 – Transcription : processus de conversion de l’ADN en ARN. l’ADN doit être converti en une molécule qu’on appelle de l’ARN, un intermédiaire qu’on appelle un messager. Il y a conversion du langage génétique contenu dans l’ADN en un langage génétique, contenu dans une molécule d’ARN.

2 – Traduction : l’ARN va être décodé pour pouvoir fabriquer une protéine, on passe du langage génétique à un langage protéique.

 

Deux types de virus :

Virus nus : c’est une protéine en grand nombre qui s’auto-assemble pour former une petite coque proteique, la capside, laquelle va renfermer le matériel génétique du virus.

 

« Virus enveloppés ».

en plus de la capside, il y a autour une enveloppe qui est une bi-couche de graisse dans laquelle sont enchâssés plusieurs exemplaires d’une protéine qu’on appelle la protéine de surface. Dans le cas du Sars COV2 cette protéine de surface s’appelle « Spike ».

La protéine « Spike » permet l’ancrage du virus à la surface des cellules qui vont être infectées par ce virus, pour qu’ensuite le virus pénètre dans les cellules et y libère son matériel génétique.

 

Processus

Le virus va injecter dans la cellule qu’il infecte, son matériel génétique.

la cellule infectée va 1-transcrire l’ADN du virus en ARN

puis 2-traduire l’ARN virale en protéines virales.

Les protéines virales vont s’assembler pour reformer la capside,

pour emprisonner du matériel génétique,

aller infecter d’autres cellules, etc…

 

 

Le virus n’est pas autonome.

Le virus n’a pas la capacité lui même de fabriquer ses propres protéines. Il doit injecter son matériel génétique dans les cellules qu’il infecte, et faire en sorte que la machinerie cellulaire de ces cellules infectées, soit détournée à son propre profit.

 

Il y a des virus dont le matériel génétique n’est pas de l’ADN mais directement de l’ARN.

L’étape 1 de transcription est déjà faite.

Le virus injecte son ARN qui est directement traduit par la cellule infectée.

Voilà pourquoi on dit que SARS-Cov2 est un virus à ARN.

 

On a affaire à un virus enveloppé : en plus de la capside qui contient l’ARN,  on a une bi-couche de graisse, à la surface de laquelle se trouve donc un certain nombre d’exemplaires de la protéine Spike, qui permet à ce virus de s’ancrer sur les cellules cibles et de les infecter.

 

 

les différents types de vaccins connus

 

vaccins inactivé : qui consistent à injecter le virus entier.

On l’a inactivé par un traitement chimique.

Inconvénient : ils sont en général assez peu immunogènes, donc il faut potentialiser avec des adjuvants par exemple des sels d’aluminium, du formaldéhyde, et qui ne sont pas forcément des molécules sympathiques, et puis il faut des injections répétées.

 

Vaccin atténué (dit vaccin vivant).

C’est le virus toujours entier, On l’a rendu un petit peu inopérant, mais il n’est pas mort.

Par exemple, on le rend thermosensible, n’est plus capable de se multiplier à la température de notre corps à 37°.

Alors ces vaccins ont l’avantage d’être plus immunogènes que les vaccins inactivés.

ils ont l’inconvénient que l’on prend une part de risque beaucoup plus grande, parce qu’ils ne sont pas morts, ce virus peut s’avérer ne pas être suffisamment atténué, notamment pour des personnes fragiles, des personnes immunodéprimées,

 

vaccins « à protéines recombinantes » :

C’est une protéine qui est fabriquée dans des cellules qui ne sont pas celles qui la fabriquent dans la vraie vie.

Plutôt que d’injecter le virus entier c’est d’injecter une protéine du virus, notamment la protéine de surface, pour pouvoir déclencher la fabrication d’anticorps.

Lorsqu’un virus enveloppé attaque, quelle est la protéine visible de l’extérieur ? C’est la protéine de surface. C’est cette protéine qui va être immunogène.

Et donc si on n’injecte que la protéine, on ne prend pas le risque de donner la maladie

puisqu’on ne met pas le virus entier, atténué, mais par contre on va stimuler de la même manière notre système immunitaire.

Donc on injecte uniquement la protéine de surface. par exemple l’hépatite B : produire en laboratoire la protéine de surface du virus, qu’on va injecter dans des cellules qui vont prendre le gène du virus à leur propre compte, le décoder, fabriquer elle-même la protéine virale

qu’on appellera une protéine recombinante.

Cette protéine recombinante, on va la purifier, on va lui adjoindre un certain nombre d’adjuvants, et on va l’injecter, et à ce moment là, on va donc avoir une protéine vaccinante.

 

 

Dans le cas de la covid-19, un très très grand nombre de vaccins sont dans la course.

 

Alors de quels vaccins s’agit-il ?

  • vaccins inactivés: des vaccins chinois dont Sinopharm. peu immunogènes, injections répétées, ajout d’adjuvants…
  • Certains à protéines recombinantes.

par exemple Novavax  « Medicago, Sanofi-Pasteur sur ce type de vaccins à protéines recombinantes. Donc ce sont des vaccins qui étaient déjà connus, qui avaient déjà été utilisés pour d’autres maladies.

 

 

 

 

Il y a une nouvelle génération de vaccins qui arrive dans le cas de la covid-19.

Ce sont ce qu’on appelle les vaccins génétiques.

 

Les vaccins génétiques consistent à injecter dans les cellules de la personne à vacciner, non pas le virus entier, non pas une protéine du virus, mais une partie de ce matériel génétique

qui détient le secret de fabrication de, par exemple, la protéine Spike, la protéine de surface, donc la protéine immunogène. l’idée est alors de faire fabriquer cette protéine directement par les cellules de la personne que l’on cherche à vacciner.

 

les vaccins à ARN messager.

Le virus SARS-Cov2 est un virus à ARN : on prend donc la partie du matériel génétique qui détient le secret de fabrication de la protéine Spike, un morceau de l’ARN viral : les vaccins à ARN messager.

le matériel génétique que l’on cherche à introduire ne peut pas y pénétrer tout seul. Il va falloir un transporteur : une nanoparticule de graisse dans laquelle est emprisonné ce matériel génétique de SARS-Cov2.

Cette bi-couche de graisse n’aura aucune difficulté à venir fusionner avec la bi-couche de graisse de nos cellules, libérer son contenu – la partie du matériel génétique de SARS-Cov2 qui détient le secret de fabrication de la protéine Spike dans nos cellules qui vont alors prendre cet ARN viral à leur propre compte, le décoder, et fabriquer la protéine Spike: « Pfizer-BioNTech », et « Moderna ».

 

virus recombinant est un adénovirus. C’est quoi un adénovirus ?

« AstraZeneca » « Spoutnik », utilisent comme vecteur du virus recombinant. Comme son nom l’indique, c’est un virus à ADN, son matériel génétique est de l’ADN et cet adénovirus, ce sont des virus qui sont notamment responsables de ce qu’on appelle un état grippal c’est souvent un adénovirus. la partie de son matériel génétique qu’on a éliminé pour le rendre inopérant, pour le désarmer, a été remplacée par une partie du matériel génétique de SARS-Cov2 qui détient le secret de fabrication de la protéine Spike. Ce qui veut dire que cet adénovirus va alors délivrer dans nos cellules du matériel génétique hybride, qui est une partie de son propre matériel génétique, et une partie du matériel génétique de SARS-Cov2. Ça s’appelle un virus recombinant parce qu’on a fait une recombinaison de son matériel génétique,

 

Risques :

– vaccins à ADN : risque d’insertion, et risque d’immunotoxicité

– commun aux vaccins à ARN et à ADN : risque de recombinaison virale.

 

C’est quoi la recombinaison virale ?  les virus peuvent échanger des morceaux de leur matériel génétique l’un avec l’autre, dès lors qu’on introduit du matériel génétique viral volontairement dans des cellules, il suffit que ces mêmes cellules soient infectés par un autre virus de même nature, pour que ces événements puissent se produire entre le matériel génétique vaccinant et le matériel génétique infectant. Et ça va conduire à des virus recombinants. H1N1 est un triple recombinant, puisque c’est un recombinant entre une souche de la grippe aviaire, de la grippe porcine et de la grippe humaine.

Il faut qu’ils soient de même nature mais en plus de la même famille et qu’une cellule soit infectée par deux virus en même temps. Ce qui est extrêmement peu probable

 

 

 

19 JUIN 2021 Samedi soir coulant

Le sam. 19 juin 2021 à 20:45, Eric Langermann <ETL67@protonmail.com> a écrit :

Samedi soir lourd, collant, de temps en temps une brise vient souffler l’espoir d’un répit, mais Samedi soir coulant, qui se repose dans le bout du souffle, comme cette sensation de paix que je peux ressentir quand, en respiration profonde, j’arrive au bout de l’expir, une sorte de havre, de repos, d’oubli, pour mieux encore être en joie de reprendre de l’air, de regonfler les poumons dans la pleine conscience de la Vie qui entre par l’air. L’air c’est la Vie, la Vie dans l’air.

 

Je suis très heureux d’avoir une amie comme toi dans cette existence. Témoin, oui tu es témoin de cette facette de mon existence qui est la raison de ma présence ici et maintenant, je pense cela. Si j’ai survécu à une naissance compliquée, c’est pour une raison. La vie m’a été plus que offerte. Elle est une mission qui m’a été confiée. Comme tous ! Comme tous les vivants ! C’est peut-être, quand on parle de témoin, un témoignage que je suis censé laisser, et je fais partie des passeurs de témoin dans une course de la Vie en équipe.

 

Alors pourquoi depuis 60 ans environ on « sauve » tellement de bébés et de mamans qui ne meurent plus ? Pour quelle raison ? Car il y a une raison ! Une bonne raison ! Ce n’est pas naturel, oui, c’est vrai. Comme le vaccin, qui n’est pas naturel. Mais si on est si nombreux à survivre, et si nombreux aussi à survivre avec nos lacunes, nos névroses, nos handicaps sociaux ou physiques ou mentaux, c’est que la Vie l’a prévu ainsi. Car l’acharnement des égos des humains fait partie du grand plan ! C’est très difficile à admettre quand on constate les génocides. Mais à l’échelle de la vie, ce ne sont que des soubresauts. Je suis de plus en plus certain que toutes ces vies qui se seraient arrêtées sans l’intervention de l’égo du progrès, ça a un sens. Ces vies épargnées cultivent dans la société des normalités qui sont « en retrait » d’un point de vue de la résistance aux maladies et aux perturbations. En tout cas la normalité change, on n’est plus obligé d’être aussi fort. Et cela ouvre la voie à de nouveaux types de « déficiences », qui sont des richesses nouvelles.

 

Sans ces vies fragiles, peut-être que l’humanité aurait fait de trop grands sauts en avant, alors la Vie s’occupe de mettre en place ce qu’il  faut pour remettre le curseur là où il faut; Mais ceux qui meurent ne sont justement pas seulement, pas forcément, ceux qui sont vivants grâce au miracle des progrès de la civilisation.

 

C’est là que la Vie montre son intelligence : elle permet à ces miraculés de vivre par millions d’ajouter leurs particularités dans la Vie ! Jamais autant de personnes que la nature n’aurait pas permis de vivre ne faisaient partie de l’ensemble du collectif ! Ils apportent donc des choses nouvelles, inédites; Et ce n’est pas négatif, car positif et négatif sont des perceptions humaines.

 

Finalement, tout est bien comme cela EST, So Fee écrit ! : »Tout est à sa place et pour au final être parfait à chaque instant dans l’instant 🙏 »

Namaste

Les valeurs donner du sens

Quel est le sens que tu donnes à ce mot-valeur ?

Liberté, Spiritualité, Amour, Respect, Compassion, Bienveillance, Egalité, Fraternité, etc…

Comme tous les mots qui se rapportent à des valeurs, il est important de le définir. D’abord à soi-m’aime ! Car à chaque fois que je fais l’exercice de réfléchir ce qu’un mot-valeur veut dire pour moi, je me rends compte que MA signification est loin des standards. Ceci parce que le parcours de vie, les héritages, les accidents de vie et les talents naturels donnent forme à nos valeurs.

l’esprit et la spiritualité confusion

l’esprit et la spiritualité

la spiritualité se rapporte à l’Esprit, le spirit. Or, en langue française, la première acception du mot esprit est le cerveau. Il en résulte une confusion, et la croyance qu’un cerveau développé est un esprit développé : l’intelligence logico-mathématique est l’équivalent de Dieu, remplace Dieu, remplace le besoin de sens plus profond.

Le problème est-il d’ordre psychique ou bien spirituel ?

Identifier le domaine

 

Le problème est-il d’ordre psychique ou bien spirituel ? C’est important de savoir quels sont vos besoins

Si vous allez demander des conseils psychologiques pour des aspects spirituels, les psys sont pas formés pour les aspects spirituels et donc ils vont avoir tendance à tout ramener vers des problématiques psychologiques. Et si votre problème qui n’est pas corporel et se situe dans le domaine spirituel, vous allez vous sentir pas entendu dans votre problématique de fond. Une psychothérapie ne va pas vous élever spirituellement, elle peut tout au plus vous aider à clarifier le mental pour y accéder, mais elle reste dans le domaine du mental et non pas de la subtilité de l’essence spirituelle. Mais ça peut même aller jusqu’à une forme de violence psychologique, par exemple en disant « ne croyez pas à ces sornettes, vous vous faites des films, vous êtes fou/folle, prenez ces médicaments et tous vos problèmes disparaîtront ».

Si on va chercher des outils spirituels pour traiter des problèmes psychologiques en assimilant le non-matériel à de la spiritualité, ils ne vont pas fonctionner. Si vous méditez pendant 12 ans, vous allez pas foncièrement changer votre état psychologique, et n’allez pas résoudre par exemple vos traumas. Dans ce cas on va faire appel à une technique psychothérapeutique, elles ont été inventées elles sont faites pour ça. On ne répare pas une voiture chez son horloger. Un soigneur spirituel n’est pas formé pour se rendre compte qu’une problématique est d’ordre psychologique, et comme vous êtes venu chez lui/elle, il/elle va avoir tendance à chercher des correspondances avec ses compétences, et parfois à déconsidérer, à surinterpréter. Ca peut même aller jusqu’à une forme de violence spirituelle, par exemple en disant « augmente ta lumière, sois non duel, va vers le vide et tous tes problèmes disparaîtront ».

Cet état d’éveil est à mettre en face de la maturité évolutive de chacun. L’éveil n’est pas un nirvana spirituel. L’éveil est une progression dans un stade, mais n’est pas un aboutissement, et va généralement permettre d’accéder à un stade supérieur.

Dans chaque stade de notre évolution, on va progresser et atteindre l’éveil, c’est-à-dire une notion d’expertise. A ce moment là on va pouvoir passer au stade supérieur.

merci à MingShang Fabrice Jordan

Psychologie et Spiritualité

Psychologie et Spiritualité

La psychologie se rapporte au mental : « Discipline qui vise la connaissance des activités mentales et des comportements en fonction des conditions de l’environnement ». C’est une discipline de la médecine mentale. Elle s’exprime dans les techniques de soin de la psychée.

La Spiritualité ne se passe pas dans le mental, c’est-à-dire dans le cerveau. Elle se passe dans l’Être profond qui est en chacun de nous.

Il peut y avoir confusion entre psychologie et spiritualité si on assimile tout ce qui n’est pas tangible à de la spiritualité.

La confusion vient du fait que la psychologie évolue dans le domaine de la non-matérialité, à savoir les états de conscience modifiés, qui est une forme de réalité plus floue que ce dans quoi on navigue habituellement.

Les différentes formes de psychologie s’inscrivent dans cette notion, ainsi que les techniques d’hypnose et de PNL. Mais la psychologie n’est pas la non-matérialité ! Elle ne couvre qu’une infime partie de la non-matière, elle n’est qu’une étude et reste un domaine de soins.

La psychologie n’est pas un art de vivre, ni une manière de penser le monde. La psychologie n’est pas non-matérielle, elle est une discipline d’étude, pas une façon de penser le monde. La psychologie évolue dans la non-matérialité, oui, et c’est le seul point commun avec la spiritualité. Un avion a des ailes, tout comme l’oiseau.

 

Ce sont des outils de développement et de pratique spirituelle, alors que la psychologie propose des outils de soin et de développement personnel.

 

La psychologie évolue dans la charnière entre la matérialité et la non-matérialité. Elle n’est pas matérielle et en même temps elle est perceptible, par exemple quand on rêve, l’intuition, l’éveil, une partie de l’inconscient, les archétypes… C’est une réalité beaucoup plus intangible que ce qu’on vit d’habitude, mais elle a des effets concrets sur les dimensions plus lourdes, matérielles de la réalité. Par exemple le rêve : si on vous poursuit, le cœur commence à battre plus vite il y a un certain nombre de fonctions physiologiques qui se mettent en mouvement. Ca va des fois jusqu’au somnambulisme. Un grand nombre de réactions physiologiques, tangibles, sont vécues au niveau onirique, le rêve peut se manifester sur un plan corporel. Grace aux outils développés dans ce domaine, on peut justement « soigner » des traumatismes ou des états psychologiques. La psychologie va couvrir le domaine du mental : Nous codons un certain nombre d’idées, héritées, transgénérationnelles, de croyances limitantes, de traumas, de mécanismes de défense, et bien évidemment que ça va se manifester dans la matière, et la médecine accepte enfin et de plus en plus les conclusions de la neuroscience qui fait des liens entre la psychée et le corps. Seule la médecine allopathique prétend que le cerveau et le corps sont séparés, en tout cas ne fait pas de liens systématiques sous prétexte de n’avoir pas les instruments qui permettent de mesurer les aspects psychiques de nos maladies.

 

Les outils spirituels, eux, sont des outils pour pratiquer et développer, viennent travailler sur toutes les dimensions y compris dans les niveaux matériels. Ce sont les techniques liées à la corporalité qui viennent travailler assez bas, en lien avec la vitalité d’une manière générale, ce sont les techniques de la médecine chinoise. Ensuite il y a les outils de purification du cœur puis tous les autres outils vont travailler plus haut.

 

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