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Einstein et le Qi

Einstein en 1905 démontre que E=mc2, que toute énergie suit la loi de la lumière.

dans un article très court qu’il publie en septembre 1905, Einstein fait l’hypothèse qu’on dispose d’un corps qu’on chauffe et qui donc émet de la lumière, alors si la température de ce corps est faible la lumière émise par ce corps sera de la lumière infrarouge donc invisible. Mais c’est quand même de la lumière. Cette lumière comme on sait n’a pas de masse, donc quand on chauffe un corps il émet des ondes électromagnétiques, qui elles-mêmes n’ont pas de masse. Ce que montre Einstein, c’est que même si les particules émises par ce corps sont sans masse, le corps perdra de la masse du seul fait qu’il perd de l’énergie. Et ce que montre Einstein par sa formule c’est que la quantité de masse perdue par le corps est égale à l’énergie qu’il a perdu divisé par le carré de la vitesse de la lumière. Même si la forme sous laquelle le corps perd de l’énergie n’est pas lumineuse, ce sera quand même E = MC2 qui sera la formule permettant de comprendre le bilan énergétique du processus. La vitesse de la lumière n’est plus seulement la vitesse d’un phénomène physique particulier qu’on appelle la lumière, elle devient une constante fondamentale de la physique qui intervient dans tous les processus par lesquels un corps peut perdre de l’énergie, y compris les processus non lumineux.

 

Tout ce qui est manifesté est énergie, et par là même, tout ce qui n’est pas manifesté est énergie potentielle. L’énergie est dans tout ce qui est (la masse), c’est la potentialité du Ciel Antérieur, et elle se manifeste par le mouvement, c’est le Ciel Postérieur. Du moment qu’elle est en mouvement, elle se transforme. Et quand Etienne Klein parle de dégradation, cela correspond en MTC à l’érosion de l’existence.

L’energie Qi et le lien avec l’énergie moderne

 

D’après une vidéo avec le génial Etienne KLEIN

 

https://www.youtube.com/watch?v=4CBSZqPmPH0&ab_channel=Sciense-pro

 

Aristote l’énergie c’est le passage entre une potentialité en acte : c’est la force en action

 

Diverses significations : Aujourd’hui dans la langue française le mot énergie désigne aussi d’autres notions comme l’élan, la vitalité.

 

Max Planck définit plus tard l’énergie comme étant une grandeur qui se conserve, c’est-à-dire qu’elle est la même à l’issue d’un processus qu’au démarrage du processus, de sorte que la seule chose qu’on peut faire avec de l’énergie c’est soit la transférer depuis un système où

elle est déjà présente vers un autre système, ou bien modifier la nature de cette énergie.

Par exemple, on pourra transformer de l’énergie thermique en électricité, de l’électricité en énergie mécanique, et cetera. Et donc, le propre de l’énergie est d’être une grandeur nomade dont la quantité se conserve.

 

Comme le démontre Max Planck dans les 1880 dans « Das Prinzip der Erhaltung der Energie » (le principe de conservation de l’Energie) c’est que l’Energie se conserve, et non pas la puissance.

 

L’énergie se distingue de la puissance : à ne pas confondre !

La puissance mesure le rythme auquel l’énergie est délivrée, et donc elle s’exprime toujours par le produit d’un effort par un flux. 1 kg de TNT contient 10 fois moins d’énergie qu’un kilo de pétrole. La différence entre les deux c’est la puissance à laquelle cette énergie est délivrée. Le TNT explose donc il libère son énergie très rapidement, alors que le pétrole est capable de brûler lentement et donc il délivre son énergie à faible vitesse, d’où la puissance faible qui lui est associée, alors que le TNT a une puissance très élevée bien que son énergie soit moindre.

 

Le Théorème de Noether

En 1918 la mathématicienne Emmy Noether va produire un théorème très important qui dit que les lois physiques sont les mêmes à tous les instants du temps (« les lois physiques sont invariantes par translation du temps »). C’est-à-dire que si on change la référence de l’instant zéro, ça ne modifiera pas les lois physiques qui s’appliquent au réel. Ce qui implique la conservation de l’énergie. Ce qui démontre également que nul n’a jamais produit d’énergie puisque l’énergie se conserve.

 

Personne ni rien ne produit d’énergie

l’expression produire de l’énergie sous-entend qu’on pourrait la créer à partir de rien. alors ce que nous dit le Thèorème de Noether, c’est que pour avoir de l’énergie il faut déjà en avoir pour soit en changer la nature soit la transférer depuis un système vers un autre système.

 

On ne peut pas consommer de l’énergie

Si vous mettez un litre de pétrole dans votre réservoir de voiture, vous allez pouvoir rouler c’est-à-dire produire de l’énergie mécanique, chauffer, allumer vos phares etc … vous allez faire des transformations, mais à la fin aucune énergie ne s’est dissipée. il y a à la fin autant d’énergie qu’il y en avait dans le litre de pétrole. Sa capacité à être transformée c’est amoindrie mais la quantité d’énergie elle est restée constante.

 

On ne consomme pas de l’énergie, mais on produit de l’entropie

L’entropie désigne la capacité à évoluer. L’entropie ne peut que croître. Donc consommer de l’énergie c’est simplement élever l’entropie, mais c’est passer d’une forme d’énergie à une autre, mais la quantité totale d’énergie est inchangée.

 

Il n’y a pas d’énergie renouvelable

Ce qui est renouvelable c’est le processus physique à partir duquel on va extraire de l’énergie. Par exemple la lumière qui nous vient du soleil ou bien le vent qui vient faire tourner les pales d’une éolienne. C’est un nouveau rayon de soleil ou un autre coup de vent qui a permis de transformer l’énergie en électricité, mais l’énergie n’est pas renouvelable, elle est renouvelée, ou continue.

 

Einstein en 1905 démontre que E=mc2, que toute énergie suit la loi de la lumière.

dans un article très court qu’il publie en septembre 1905, Einstein fait l’hypothèse qu’on dispose d’un corps qu’on chauffe et qui donc émet de la lumière, alors si la température de ce corps est faible la lumière émise par ce corps sera de la lumière infrarouge donc invisible. Mais c’est quand même de la lumière. Cette lumière comme on sait n’a pas de masse, donc quand on chauffe un corps il émet des ondes électromagnétiques, qui elles-mêmes n’ont pas de masse. Ce que montre Einstein, c’est que même si les particules émises par ce corps sont sans masse, le corps perdra de la masse du seul fait qu’il perd de l’énergie. Et ce que montre Einstein par sa formule c’est que la quantité de masse perdue par le corps est égale à l’énergie qu’il a perdu divisé par le carré de la vitesse de la lumière.

Même si la forme sous laquelle le corps perd de l’énergie n’est pas lumineuse, ce sera quand même E = MC2 qui sera la formule permettant de comprendre le bilan énergétique du processus. La vitesse de la lumière n’est plus seulement la vitesse d’un phénomène physique particulier qu’on appelle la lumière, elle devient une constante fondamentale de la physique qui intervient dans tous les processus par lesquels un corps peut perdre de l’énergie, y compris les processus non lumineux.

 

Tout corps possède de l’énergie du seul fait qu’il possède de la masse

L’énergie présente dans n’importe quel gramme de matière est colossale, si on la multiplie par le carré de la vitesse de la lumière, et donc bien supérieure à la totalité de l’énergie que nous absorbons pendant une vie entière pour alimenter notre métabolisme. Alors, d’où vient que nous sommes obligés de manger autant à chaque repas ? Nous ingurgitons environ un kilo de nourriture. Comment se fait-il que cette énergie nous traverse sans nous faire exploser ?

 

 

 

Ce qu’on ne peut pas mesurer n’existe pas

On me dit parfois que cette histoire de Qi, d’énergie, d’énergie vitale, c’est rien, c’est incompréhensible, et que ça n’existe pas, car ce n’est pas scientifiquement prouvé.

En effet, la mesure de cette énergie subtile n’est pas encore admise. C’est simplement que certaines choses ne peuvent pas être mesurées selon des normes reconnues.

Pour autant est-ce qu’une idée ou une pensée, ou encore une émotion n’existent pas, parce que personne n’a jamais pu trouver une idée ou une émotion en ouvrant un crâne ou un cœur ?

Cela voudrait dire que l’empathie, la compassion, ou l’amour qu’on a pour un enfant n’existent pas ! Puisqu’elles ne peuvent être mesurées par des appareils agréés par la science ?

Ce n’est donc pas parce qu’on ne peut mesurer quelque chose que ça n’existe pas !

L’homme a toujours du mal à se séparer de ses certitudes, et de son arrogance à vouloir tout contrôler.

En tout état de cause, ce besoin de mesurer pour admettre a dépassé la notion de science dure pour devenir une religion, un dogme.

Car finalement, les sciences, aussi utiles soient-elles, ne sont-elles pas des conventions basées sur des concepts ? Les concepts sont des idées humaines. Les idées humaines sont propres à l’homme, et n’existent pas dans la nature. Par exemple, la croissance d’un arbre n’a pas besoin d’être ni mesurée, ni conceptualisée, ni calculée pour simplement être ! La croissance de l’arbre n’a même pas besoin d’être conceptualisée ! Et l’arbre n’a pas besoin de croissance pour croitre, ni pour exister ! Et l’arbre n’a pas besoin de se nommer arbre, ou plus précisément hêtre ou bouleau par exemples, pour être !

L’homme a besoin de tous ces concepts pour bâtir ses sciences, qui sont souvent bien utiles et parfois aussi néfastes. Mais les sciences n’ont pas besoin d’exister pour que la vie soit la vie, et la vie n’a pas besoin de science.

Les domaines scientifiques sont des conglomérats de d’idées qu’on a validées et transformées en certitudes, générant ce qu’on appelle des « faits ». Mais la quasi-totalité des faits n’en sont pas.

Des idées qui sont partagées sont des égrégores, c’est-à-dire des croyances érigées en « vérités ». L’homme a besoin de ces croyances, surtout dans un monde dépourvu de foi. Comme il n’a plus de foi en rien, l’homme s’est tourné vers la matière pour y construire des croyances. Celles-ci sont devenues ce qu’on appelle des sciences.

Sauf que ce n’est pas stable. Les sciences étant basées sur les croyances, les croyances étant dépendantes des perceptions, autre mot pour désigner les relevés scientifiques, les sciences évoluent au fil de la vie qui passe. Et donc, les vérités sont basées sur un lit mouvant de croyances qui ne cessent de bouger. Ce qui était scientifiquement vrai il y a 50 ans est dépassé, et dans nombre de sciences, l’accélération des découvertes génère une accélération de l’obsolescence scientifique.

En confondant science et vérité, l’homme a érigé des dogmes.

Par vanité, parce que l’homme a une intelligence limitée, il a inventé des certitudes matières. Or, la seule chose qui ne bouge pas, c’est cette énergie vitale, universelle et impalpable, à la fois tout et rien, qui est à la fois infiniment petit et infiniment grand en même temps, qui n’a ni début ni fin, pas de temps ni d’espace, et rien que ces notions perdent le mental humain qui ne sait plus comment s’orienter.

Finalement, laisser la science dite dure là où elle est, dans le domaine de la science vivante, sans vouloir la manipuler pour vouloir la rendre utile ou l’utiliser pour contraindre et enfermer, serait une preuve de sagesse. Encore faut-il avoir une notion de sagesse, puisque là aussi, personne n’a jamais pu en trouver dans aucun corps, même en regardant bien avec l’imagerie médicale, et donc, ça n’existe pas …

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