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Outil de Coaching situation dérangeante

OUTIL DE COACHING Dans toute situation qui dérange :

Exemple : « dans mon travail telle chose me dérange vraiment »

quelle version de moi se sent dérangée par la situation ?
quelle version de moi ne se sentirait pas dérangée par cette même situation ?

Je peux choisir de m’identifier à la version qui ne me dérange pas,
==> donc je vais agir en fonction de cela,
==> et ma réalité va changer
==> la situation ne sera plus dérangeante.

 

3 façons d’aider à ne plus être submergé par les émotions

1) Aidez-les à planifier à l’avance

Plutôt que d’être toujours pris par surprise par une émotion et d’être ensuite « vaincu par elle »  aider les clients à voir – et à planifier – les moments de vulnérabilité peut les aider à mieux gérer leurs sentiments.

Par exemple, comme les personnes déprimées ont tendance à rêver énormément (qu’elles se souviennent ou non de leurs rêves), leurs matinées sont souvent épuisantes et constituent souvent le pire moment de la journée. Le fait de prévoir à l’avance cette « pire partie de la journée » en se rappelant que l’énergie se rétablira, dans une certaine mesure, au fil de la journée, peut vraiment aider les clients déprimés à prendre de la distance par rapport au désespoir matinal.

Si une personne sait qu’une certaine personne la met en colère, elle peut prévoir de limiter ses contacts avec cette personne. Si votre cliente sait qu’elle est anxieuse lorsque le téléphone sonne, elle peut prévoir de prendre trois respirations profondes, en expirant lentement à chaque fois avant de répondre.

Il est essentiel d’avoir un plan, une stratégie, lorsqu’on traite des schémas émotionnels. Si vous savez comment aider vos clients par l’hypnose, plus vous leur ferez répéter par l’hypnose des réponses constructives à leurs schémas émotionnels, plus ils seront capables de le faire dans la réalité.

2) Aidez-les à voir la situation dans son ensemble

Diluer un sentiment est beaucoup plus efficace que d’essayer de le supprimer. Supposons que vous n’appréciez pas une certaine personne. Faire semblant de l’aimer peut parfois vous aider un peu, mais vous risquez davantage de ressentir du ressentiment. Cependant, trouver activement des éléments qui vous aideront à « humaniser » cette personne dans votre esprit peut vraiment contribuer à atténuer votre aversion.

Une de mes clientes ne supportait pas sa voisine, qu’elle considérait comme une fouineuse qui se mêlait de tout. Au cours de notre conversation, j’ai découvert que le mari de cette voisine l’avait quittée. J’ai demandé à ma cliente de réfléchir à la réalité d’avoir été quittée de la sorte, et à la terrible solitude que sa voisine a pu ressentir, etc… Bien que cette réflexion n’ait pas transformé par magie son irritation en sympathie, elle a permis à ma cliente de se sentir beaucoup plus détendue et moins agacée par sa voisine.

S’adapter aux croyances et préférences : Un jeune client a été encouragé à penser à l’immensité de l’univers lorsqu’il parlait à son patron intimidant. Parce qu’il avait un intérêt particulier pour cette immensité. Cette « perception globale » l’a aidé à mettre les rencontres avec ce patron autrefois effrayant dans une perspective beaucoup plus facile à gérer.

 

3) Trouver le « point de bascule

Les émotions peuvent nous prendre par surprise, et, avant même que nous nous en rendions compte, nous faire faire, penser, dire et bien sûr ressentir des choses que nous préférerions éviter.

Ce n’est pas facile au début, mais il y a toujours un « point de bascule » dans l’enchainement émotionnel que peut provoquer un évènement, souvent banal. Avant de l’atteindre, nous pouvons toujours faire marche arrière. Une fois que nous avons dépassé ce point, il devient de plus en plus difficile d’arrêter de glisser dans le marécage émotionnel.

Nous pouvons apprendre à localiser le point de basculement, et s’entraîner à l’éviter.

Par exemple, une mère se mettait en colère de façon incontrôlable lorsque son jeune fils utilisait un certain ton de voix. Elle essayait de ne pas se mettre en colère, mais à partir d’un certain point, elle ne pouvait plus s’en empêcher. Je lui ai demandé de s’entraîner à imaginer ce point de basculement et, lorsqu’elle l’atteignait, d’imaginer qu’elle s’éloignait de la situation et la regardait de l’extérieur.

Lorsqu’elle s’est imaginée faire cela, elle s’est instantanément sentie plus calme, et a rapporté plus tard que son fils ne pouvait plus « appuyer sur ses boutons » lorsqu’il utilisait ce ton de voix. Et il a très vite cessé de l’utiliser.

Oui, les clients ont besoin de comprendre leurs émotions. Les émotions sont des signaux importants et valables indiquant qu’un besoin émotionnel n’est pas satisfait. Cependant, si l’émotion n’est pas reconnue, elle nous pollue.

La pensée positive comment ça fonctionne ou pas

Nous savons que le fait de tenir délibérément un « journal de gratitude » peut nous aider à nous sentir plus heureux (et même à être en meilleure santé physique) en nous concentrant sur des réflexions heureuses : les sentiments influencent les pensées bien plus que l’inverse !

C’est pourquoi les affirmations positives peuvent se retourner contre les personnes qui ne se sentent pas positives.

Il est plus puissant de changer d’abord les sentiments pour ensuite l’expérience plutôt que les arguments rationnels ou les encouragements.

 

Exercice pour commencer à trouver son foyer émotionnel

Exercice pour commencer à trouver son foyer émotionnel

Listez les émotions ressenties dans le courant de la semaine passée. Classer dans une colonne agréable et désagréable.
entourer les deux émotions dans chaque colonne ressenties le plus souvent dans votre vie.
Parmi ces 4 émotions entourées, choisir celle ressenties régulièrement, sans raison apparente.
Il y a de fortes chances pour que cette émotion soit aussi celle qui sera l’émotion refuge en cas de difficultés rencontrées.

Pour décrire la peur :

Angoissé – Anxieux – Appréhension (avoir de l’) – Coincé – Confus – Coupable – Craintif – Défensive (sur la) – Désorienté – Effrayé – Épouvanté – Faible – Fourbe – Frousse (avoir la) – Harcelé – Horrifié – Incertain – Inhibé – Inquiet – Méfiant – Nerveux – Paniqué – Pessimiste – Perdu – Prudent – Secoué – Soucieux – Tendu – Terrifié – Timide – Timoré – Traumatisé – Troublé – Vulnérable

Pour décrire la colère :

Agacé – Agité – Agressif – Amer – Aversion (avoir) – Choqué – Contracté – Contrarié – Courroucé – Critique – Dérangé – Dur – Énervé – Envieux – Exaspéré – Excité – Fâché – Frustré – Furieux – Haineux – Hostile – Hystérique – Insatisfait – Irrité – Jaloux – Mécontent – Mesquin – Outré – Proteste (qui) – Rancunier – Renfrogné – Révolté – Sauvage – Suffisant – Vexé

Pour décrire la tristesse :

Abattu – Affligé – Apathique – Blessé – Bouleversé – Cafardeux – Chagriné – Découragé – Déçu – Dégoûté – Déprimé – Désespéré – Embarrassé – Ennuyé – Éteint – Fatigué – Honteux – Humilié – Inadéquat – Inintéressant – Isolé – Lugubre – Malheureux – Meurtri – Nostalgique – Navré – Paumé – Pessimiste – Prostré – Résigné – Submergé – Tourmenté – Triste – Vaincu – Vidé

Pour décrire la joie :

Affectueux – Agréable – Allègre – Amical – Amusé – Bon – Chaleureux – Chanceux – Comblé – Confortable – Content – Décontracté – Enchanté – Entrain (plein d’) – Enthousiaste – Euphorique – Exubérant – Fier – Forme (en) – Gai – Harmonie (en) – Heureux – Jovial – Joyeux – Libre – Lumineux – Motivé – Nourri – Optimiste – Passionné – Ravi – Reconnaissant – Satisfait – Stimulé – Transporté

La Culpabilité – Outil pour le Coaching

La Culpabilité – Outil pour le Coaching – Steve Andreas

 

Valeurs nourries

pensez à un moment où vous avez fait quelque chose dont vous vous êtes senti coupable et remarquez la valeur à laquelle vous n’avez pas fait attention ou que vous n’avez pas satisfaite : c’est ce dont vous vous sentez coupable.
Au moment où vous avez fait du mal à quelqu’un, y avait-il une autre valeur qui était plus importante pour vous à ce moment-là ?

Pourriez-vous dire  » j’ai fait une erreur, mais à ce moment-là il y avait quelque chose d’autre qui était plus important pour moi »

ça apporte un équilibre : maintenant tu peux voir les deux valeurs, et c’est là que le mot « et » devient très utile :  « j’ai violé cette valeur ET j’ai satisfait cette autre valeur »

Une personne qui agit en fonction de ses valeurs

ensuite on peut positiver :
« je suis vraiment une personne qui suit mes mes valeurs, et celle-là était plus importante pour moi à l’époque,
aujourd’hui je choisirais différemment, mais à ce moment là c’était ce qui était le plus important »

Cela permet d’éviter de se complaire dans la culpabilité :

Cette façon de considérer permet de séparer quelqu’un de son passé et les mauvais sentiments du passé, et de commencer à le faire avancer vers le futur.

Avancer vers l’autre

Cela permet aussi d’aller vers l’autre pour en faire quelque chose de positif dans la relation, et refermer une plaire. On peut alors voir comment faire amende honorable, comment sortir de senrir mal vis à vis de la personne blessée, et d’être content que l’autre sache pourquoi.

Si la personne n’est plus de ce monde ou n’est pas abordable, on peut lui écrire une lettre, la dire à haute voix puis jeter.

Plus tu te sens coupable, plus forte est la valeur à laquelle tu n’as pas répondu.

tu fais plein de choses tout au long de la journée. Selon tes valeurs, tu t’en fiches peut-être si tu jettes un gobelet sur le bord de la route ? Si tu ne te sens pas coupable, tu n’as pas de valeur qui correspond à ce geste. Mais si tu te sens mal à propos de ça, cela signifie que la valeur  » je vis dans un environnement dont le suis responsable » est très importante pour toi  :  Les actes trouvent leurs fondations dans les valeurs.

La culpabilité se trouve toujours dans le passé et son examen peut éclairer le futur.
Examiner ce que vous avez fait dans le passé permet d’en apprendre sur vos valeurs. A partir de là, que pouvez-vous apprendre sur les conséquences de votre comportement, comment pouvez-vous utiliser ça dans le futur ? comment voudriez-vous être différent dans le futur, que pouvez-vous apprendre de vos valeurs et de vos comportements, et transformer la rétrospection en prévoyance ?

Anxiété – Outil de Coaching – Steve Andreas

Anxiété – Outil de Coaching – Steve Andreas

 

fermer les yeux

se mettre dans la situation (précise) d’anxiété
ressentir la sensation désagréable :
où se situe-t-elle ? faire préciser car son trajet se précise au fil du ressentir. Bien définir le trajet et l’ordre
Quelle est sa taille ? la forme ?
Quelle est la couleur ?
( Quel son/bruit ? Odeur ? Goût ? Texture ? )
Dans quel sens (rotation) tourne la sensation ? Horaire ou anti-horaire. si ce n’est pas clair, demander à la personne de tester les deux sens et de fixer le sens le plus familier

Ensuite :

Se remettre dans la situation désagréable
Changer le sens de rotation
et et changer la couleur pour une belle couleur
(Modifier les sons, l’odeur, le goût, la texture)

Faire vérifier
Si pas assez, recommencer

Accélerer la rotation dans le sens inverse
faire vérifier si ça s’améliore encore

Faire vérifier pour des situations futures (car l’anxiété est située dans le futur)

Une fois l’expérience réparée, faire appliquer à d’autres situations pour que la personne emporte la méthode avec elle pour qu’elle puisse régler d’autres situations d’anxiété en toute autonomie

 

Quel moine es-tu ? une fable sur la rumination

Quel moine es-tu ?

 

Il était une fois, dans le Japon médiéval, deux moines. Ils appartenaient à un ordre qui avait des interdictions très strictes en ce qui concerne les convenances sexuelles. Il leur était interdit de parler des femmes, de parler aux femmes, de penser aux femmes ou de les regarder. Et certainement pas de toucher les femmes !

Un jour, ces deux moines ont reçu l’ordre de se rendre à pied dans un autre monastère situé à quelques kilomètres de là. Le temps était horrible et la route était détrempée.

À quelques kilomètres de là, la route prend un virage. Au moment où les moines prennent le virage, ils sont confrontés à une vision d’une telle beauté qu’ils sont arrêtés dans leur élan par la boue et la pluie.

Une belle femme portant un somptueux kimono orange, manifestement neuf, se tenait sur le bord de la route. Elle voulait traverser la voie boueuse, mais elle ne voulait certainement pas salir son resplendissant kimono.

Soudain, sans un mot, l’un des moines s’approche de la femme, la soulève, lui fait traverser doucement la route et la repose. Elle remercia le moine et sourit, et les deux moines continuèrent leur chemin. Mais l’autre moine était profondément choqué.

Ils continuèrent à marcher sous la pluie pendant plusieurs kilomètres, et finalement le moine choqué retrouva sa voix. Il se tourna vers le premier moine et lui dit : « As-tu la moindre idée ? Sais-tu seulement ce que tu as fait là-bas ? Non seulement tu as regardé une femme… tu t’es approché d’elle ! Tu l’as prise dans tes bras ! Tu l’as portée sur la route ! Je ne peux pas le croire ! »

Le premier moine se tourne calmement vers le premier moine et répond : « Tu as raison. J’ai regardé la femme directement. Je me suis approché d’elle. Je l’ai prise dans mes bras et je l’ai portée à travers ce chemin boueux. Mais je l’ai ensuite redescendue. Toi, mon ami, tu la portes encore. »

 

Valeurs la méthode – Outil de Coaching

COMMENT DEFINIR SON ECHELLE DES VALEURS ?

(aidé par le livre  » pouvoir illimité  » de Anthony Robbins)

1 – Définir le secteur de vie à traiter

Personnel, Intime, Amical, Famille, Social, Travail

2 – Déterminer la liste des valeurs

Qu’est-ce qui est le plus important dans … ?   À partir de la réponse donnée : pourquoi , pour quelle raison, qu’est-ce qui est plus important encore …

 

 

 

Valeurs les principes – Outil de Coaching

Etablir l’ordre de priorité des valeurs dans chaque secteur de vie.

Intime, Famille, Social, Travail, Personnel, Amical

Système de Valeurs = L’ensemble de ce qui est le plus important pour une personne, les idées de ce qui est bien ou mal, de ce qu’il faut faire ou pas, les réactions que nous avons face aux évènements de la vie. Les valeurs déterminent aussi ce que nous ne voulons pas.

On se sent bien avec soi-même lorsque nos comportements correspondent à nos valeurs. Connaitre nos valeurs et leur ordre de priorité nous permet d’être en cohérence, d’adopter les comportements qui leur correspondent, de repérer ce qui est incohérent et qui cause des interférences.

Adopter les comportements d’autres est ce qu’on nous apprend, mais tous ne nous correspondent pas. Connaitre ses valeurs permet de se défaire des comportements automatiques.

Valeur extérieures : La plupart de nos valeurs sont apprises et issues du principe punition et récompense.

Valeurs propres : celles propres à la personne.

Nos valeurs évoluent, nos comportements aussi / peuvent être adaptés.

Notre mode de vie et ses composantes reflètent nos valeurs. Attention ne pas juger depuis sa propre carte du monde : une personne riche peut vouloir une petite voiture modeste : beaucoup de valeurs peuvent y correspondre.

Chacun a sa propre échelle des valeurs et beaucoup de conflits et notamment des guerres trouvent leurs racines dans l’intolérance et l’ignorance des différences de valeurs.

la Culture d’un peuple correspond à l’agrégat de ses valeurs.

Comprendre le système de valeurs permet de comprendre le fonctionnement d’une personne (ou d’un collectif).

Cela permet de faire des choix, et des choix éclairés.

Ex : rester plus tard au travail ou bien rentrer dans sa famille ? Pour y répondre : qu’est-ce qui est plus important pour la personne ? Ce sera différent pour une autre personne, ou bien différent pour la même personne en fonction des moments de la vie.

Ex : avoir un gros salaire dans un travail qui ne plait pas. Pour celui qui place le salaire au-dessus cela ne pose pas de problème, mais celui qui accorde plus de valeur à avoir un salaire qui lui plait se sentira en conflit intérieur.

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COMMENT DETERMINER LES VALEURS

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