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Process Coaching : La journée idéale

Décrire sa journée idéale : ouvrir le champ du possible

 

Visualiser une journée idéale permet de transformer les objectifs en une image concrète. Et aide à identifier les éléments clés du bien-être pour prendre des décisions alignées avec les véritables aspirations de la personne.

Heure par heure listez en détail ce que vous aimeriez faire. Soyez aussi précis que possible. Où êtes-vous ? Avec qui ? Quelles activités faites-vous ? Commencez par imaginer votre matinée idéale. Est-ce que vous vous levez tôt ou tard ? Prenez-vous du temps pour méditer, lire ou faire du sport ? Notez aussi où vous êtes, en ville, à la campagne, près de la mer, avec qui ? et ainsi de suite pour toute la journée. Quelle est votre activité principale ? Travaillez-vous sur un projet passionnant ? Décrivez aussi votre environnement de travail idéal. Est-ce un bureau à domicile, un espace de coworking ou bien en extérieur ? Enfin, imaginez votre soirée.

Outil de Coaching : Phase divergence ou convergence

Nous oscillons constamment entre des phases de divergence et des phases de convergence. La divergence, c’est une phase d’exploration. C’est quand vous sentez le besoin de tester de nouvelles choses, de multiplier les expériences. À l’inverse, la convergence, c’est une phase où l’on se recentre sur ce qui est important. C’est quand vous sentez le besoin de plus de stabilité, de vous engager dans une voie spécifique.

Exercice pour aider à déterminer dans quelle phase vous vous trouvez :  divisez une feuille en deux colonnes. Dans la colonne de gauche, notez toutes les activités, projets et engagements que vous avez actuellement. Dans celle de droite, pour chaque élément de la première colonne, indiquez si cela vous fait vous sentir plus ouvert et explorateur, donc divergence, ou plus centré et stable, convergence.

Une fois que vous aurez complété vos colonnes, prenez un moment pour analyser vos résultats. Qu’est-ce que vos activités disent de vous ? Vous dirigent-elles vers une phase plus exploratoire ou vers plus de focus ? Une fois que vous aurez une meilleure idée de votre phase de vie actuelle, réfléchissez à comment adapter vos choix en conséquence.

Si vous êtes en divergence, privilégiez des lieux de vie qui offrent des opportunités, des communautés dynamiques et des environnements stimulants ou bien partez en voyage. Si à l’inverse, vous êtes en convergence, pensez à ces lieux qui favorisent la stabilité, la proximité avec vos proches et un cadre de vie serein.

Technique pour apaiser les émotions de colère

La colère possède énormément de variantes. Tout le monde en a, même si on n’a pas besoin ou si on n’exprime par la colère. Elle commence par les tous petits agacements du quotidien, c’est une des nombreuses formes de ce qu’on appelle la colère. Pour les bouddhiste c’est l’aversion, le mot est juste car la notion représente TOUT ce vers quoi nous ressentons de l’aversion, ne serait-ce que  » la non-envie d’aller vers « , l’envie intuitive de reculer. Frustation, rechigner, resister, etc…

Mouvement respiratoire :
1 – Identifier et Ressentir l’émotion négative
2 – Expirer comme si on expirait une fumée noire
3 – Inspirer une lumière intense : la tolérance,le patience, la compassion, l’Amour inconditionnel.

Il faut beaucoup de pratique pour que cette technique fonctionne bien. Les émotions seront toujours là, mais elles seront plus facilement passées.

 

Being Aware, être en éveil, outil de coaching

Si je te demande combien de voitures rouges tu as croisé sur la route hier, saurais-tu répondre ?

– non, je ne sais pas

– tu en as croisé ?

– probablement oui, mais je n’ai pas porté attention aux voitures rouges

… c’est la même chose pour tout : si tu portes ton attention sur un aspect spécifique, il apparait.

 

Cette méthode peut être utilisée pour différentes situations, dans différents domaines.

Personne négative, dépressive, à qui rien ne réussi : Observe ce qui t’arrive dans la journée, qui correspond aux critères que nous aurons définis ensemble. Par exemple, dans la discussion, tu auras défini ce qu’est un évènement positif, ce à quoi ça correspond. Sois honnête dans ton observation.

Métier : pour t’améliorer dans ton métier, observe comment les principes de ton métier se retrouvent au fil du quotidien, ce que tu peux observer, en tirer, pour aller plus loin dans ton art, note les nouvelles questions que tu poseras à ton maitre.

 

Astuces pour les pensées négatives

D’après un article de Mark Tyrrell

 

« Restez face au soleil et vous ne verrez pas les ombres.  – Helen Keller

Un collègue avait gagné une belle somme d’argent. Mais les pensées négatives ont puissantes… J’ai dit : « C’est fantastique ! ». Au début, il était plutôt d’accord, mais très vite il a dit : « Oui, mais maintenant, j’ai un problème supplémentaire : dois-je le dire à mes amis ? Si je ne le fais pas et qu’ils l’apprennent, je serai mal. Et si je le fais, ils s’attendront à ce que je partage ce que j’ai gagné! ». J’ai suggéré que ce n’était pas vraiment un « problème » mais simplement une considération, et que, tout compte fait, il pourrait tout aussi bien juste être heureux. « Oui, mais je suis partagé entre le remboursement du prêt immobilier et l’achat d’une Porsche »…

Comprendre l’emprise de la négativité
Il est important de reconnaître l’impact profond que des pensées négatives peuvent avoir sur le bien-être général. Les personnes qui ont des pensées négatives ont tendance à saper leurs propres succès, s’attendant au pire même dans les moments de triomphe. En revanche, les personnes qui font preuve de résilience et d’un état d’esprit positif peuvent conserver leur optimisme même face à l’adversité. Les clients qui ont des pensées négatives n’ont pas la capacité de se rendre compte que leur vision de réalité est une version biaisée et déformée de celle-ci. Il y a une sorte de confiance en soi dans l’esprit d’un client négatif, du moins en ce qui concerne son sentiment d’avoir raison sur la façon dont les choses se passent mal ou vont mal se passer.

Paradoxalement, une partie du travail du thérapeute consiste à faire douter sainement les clients, en leur faisant comprendre que ce qu’ils pensaient être une mauvaise chose ne l’est peut-être pas du tout. Les personnes sujettes aux pensées négatives ont tendance à trop ruminer, c’est-à-dire à passer trop de temps « dans leur tête », ce qui a pour effet de renforcer les pensées négatives, d’éloigner les pensées positives et de restreindre la perception du contexte.

Il est essentiel de reconnaître que les pensées négatives peuvent s’enraciner par le biais d’un comportement acquis et d’un conditionnement émotionnel passé. Il est essentiel de reconnaître que les pensées négatives peuvent s’enraciner par le biais d’un comportement acquis et d’un conditionnement émotionnel antérieur.

 

Les avantages de la pensée négative

Curieusement, la pensée négative peut offrir certains avantages à ceux qui la pratiquent. La familiarité des résultats négatifs procure un sentiment de sécurité, car les individus pensent que le fait de s’attendre au pire les met à l’abri du changement.

Ou encore, certaines personnes éprouvent une satisfaction particulière à se voir donner raison dans leurs prédictions négatives plutôt que d’être confrontées à des résultats positifs. « tu vois j’avais raison ! ».

De plus, en étant négatif, on peut rejoindre un groupe social, celui très grand de ceux qui sont négatifs : les médias le sont, les commères le sont, l’esprit négatif alimente l’échange où chacun imagine pire encore que son voisin … c’est fun d’être négatif alors que d’être positif est ringard !

De plus, nous n’avons pas l’habitude de partager des vécus de bonheur. Il y a une pudeur, car le bonheur est vu comme étant une chose privée, intime. Les belles choses se passent en famille, ou dans l’intimité du couple.

Le sentiment d’avoir raison peut nous donner l’impression d’être plus intelligent. Plus intelligent que les rêveurs optimistes. Il y a une jouissance d’être négatif, un cynisme ambiant en bandoulière qui est de mise, normalisé.

 

Tirer vers le positif est souvent contre-productif

Si nous essayons de tirer ces personnes de leurs positions négatives et de les forcer à être plus « positifs », nous risquons de les faire s’accrocher encore plus à leurs préjugés négatifs. Nous devons faire preuve de prudence à l’égard de leurs systèmes de croyance, même lorsque ces croyances les ébranlent.

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Donc, plutôt que de nous embarquer dans un combat inutile, nous allons plutôt l’aider à développer sa capacité à avoir des pensées plus calmes, plus optimistes et plus raisonnables, avec un plus grand discernement. Cela étant dit, quelles mesures pouvons-nous prendre pour l’aider à apporter plus de nuances et d’équilibre à leur vision de la vie ?

 

Encourager les pensées moins extrémistes

La pensée excessive de type « tout ou rien » est une distorsion cognitive primaire. La pensée négative a tendance à nous faire voir les situations comme étant toutes bonnes ou toutes mauvaises. Souvent, les adolescents voient le monde de manière simpliste et polarisée, ce qui peut les conduire à la colère, au catastrophisme et à la dépression. Nous pouvons gentiment encourager la personne à considérer les nuances de gris dans la vie et à adopter une perspective plus réaliste. En reconnaissant que les situations peuvent avoir des aspects positifs et négatifs, ils peuvent réduire l’intensité de leurs émotions et penser plus clairement. Cela ne signifie pas qu’il faille ignorer ou minimiser les aspects négatifs d’une situation, mais plutôt qu’il faut aider à élargir leur perception contextuelle :

En utilisant des questions socratiques, nous pouvons aider la personne négative à prendre conscience de son raisonnement « tout ou rien » et à commencer à le remettre en question.

– « Quelle est une autre façon de voir les choses ? »
– « S’agit-il d’un problème ou d’une simple considération ? »
– « Quel bien pourrait en résulter même si, dans l’ensemble, la situation semble mauvaise ? »

Ou encore les questions dissociées du jeu de rôles : jouons à un jeu de rôle fictif.

– « Si je devais arriver au résultat que vous m’exposez, quel processus de pensée je devrais adopter en moi-même ? »
– « Si vous deviez être une personne qui a de ce sujet un avis optimiste, quelles pensées, quels arguments trouveriez-vous ? » … puis « quels arguments une personne nuancée sur la question garderait-elle ? »

 

Éviter de généraliser les aspects négatifs

K était le genre de personne qui, s’il n’était pas parfait dans un domaine, l’abandonnait avec colère. A la moindre difficulté, c’est toute sa vie qui était « merdique » ! « J’ai raté mon contrôle de maths, toute ma vie est un échec ! » …  « L’arrivée soudaine dans la richesse financière comporte des défis, donc toute l’expérience est mauvaise ! »… « Le retour de mes vacances a été difficile, donc tout le voyage a été horrible ! » …

Nous voyons souvent ce genre de raisonnement chez les personnes négatives, qu’ils le verbalisent ou non. Souvent, je me contente de dire qu’il s’agit d’un schéma que j’observe chez de nombreux clients et je le laisse reconnaître qu’il s’applique à son propre mode de pensée.

Une fois qu’un client commence à voir le modèle de ce qu’il fait, il peut commencer à s’en écarter, à en voir les limites et à le remettre en question.

Et le fait d’être mis dans le sac d’une « généralité » ne convient pas souvent, car cela enlève l’originalité, d’autant qu’une personne négative aura tendance à voir chez d’autres personnes négatives … de la négativité.

Les négatifs ont donc souvent tendance à étendre les expériences négatives à d’autres domaines de leur vie, les considérant comme permanentes et omniprésentes. Plus nous les aidons respectueusement à reconnaître la nature spécifique et temporaire des revers et des échecs, en leur permettant de conserver une vision plus équilibrée, plus ils peuvent commencer à le faire pour eux-mêmes.

 

Arrêter de lire dans les pensées !

– « Ils doivent penser que je suis un imbécile/un perdant/un abruti ! »
– Je sais qu’elle me déteste !
– « Quand les gens me regardent, ils voient un gros tas de merde ! »

Le pessimisme et le manque d’estime de soi s’accompagnent d’une certaine forme de négativité.

Les personnes qui pensent négativement interprètent souvent les situations ambiguës avec des hypothèses négatives, qui deviennent alors des certitudes. Cela entraîne évidemment une anxiété et un stress inutiles.

Nous pouvons encourager nos clients à ne pas donner de signification négative à des circonstances incertaines et à envisager un éventail d’explications plausibles, y compris des explications positives.

 

Faire le vide de sens

Je parle souvent à mes clients de commencer à maintenir un « vide de sens » jusqu’à ce que des preuves apparaissent. Cette idée peut être totalement nouvelle pour certains clients.

Par exemple, si je ne fais pas de vide de sens dans mon esprit lorsque quelqu’un ne me répond pas par texto ou n’a pas l’air content de me voir au travail, je risque de chercher à remplir prématurément ce vide de sens avec mes propres imaginations négatives. « Il ne m’a pas encore répondu parce qu’il ne m’aime plus » ou « Je n’ai pas entendu parler de ce travail parce qu’il m’a trouvé horrible ».

Être capable de se détendre en disant « je ne sais pas encore » est une compétence émotionnelle profonde.

Nous pouvons décrire cela à nos clients et les aider à générer un éventail d’explications possibles pour une situation ambiguë, qu’elles soient bonnes ou mauvaises. De cette manière, ils peuvent relâcher un peu leur réflexion et parfois même « éteindre » tout besoin d’explication par l’imagination – se détendre simplement sans savoir pendant un certain temps. C’est une compétence merveilleuse à développer.

 

Qui est responsable ici ?

Les personnes ayant des idées négatives peuvent avoir tendance à internaliser le blâme pour les résultats négatifs, même lorsqu’il est injustifié.

Ils peuvent également penser que tous les résultats négatifs sont dus à d’autres personnes, ce qui leur enlève e pouvoir et l’influence sur leur propre vie – une sorte d’impuissance apprise.

Nous pouvons parler à nos clients de la manière dont la pensée négative tend à déformer le sens réaliste de ce qu’ils peuvent et ne peuvent pas contrôler et de ce qu’il est raisonnable pour eux d’assumer.

Je pourrais poser des questions socratiques telles que :

– « Quel est le pourcentage de responsabilité qui peut m’être attribué si je constate que mon collègue est de mauvaise humeur et que je ne sais pas pourquoi ? »

– Si mon fils adolescent refuse d’étudier pour un examen, quel est le pourcentage de responsabilité qui m’incombe et quel est le pourcentage qui lui incombe ?

– Si je fais un discours et que certaines personnes ne semblent pas très intéressées, quelle est la part de responsabilité qui m’incombe et celle qui leur revient ?

Faire ce genre d’exercice avec un client peut l’aider à trouver des interprétations plus nuancées. Il ne s’agit pas nécessairement de le dédouaner ou de le déresponsabiliser, ni de mettre tout cela sur le compte d’un mauvais comportement des autres. En revanche, elle les aide à élargir le contexte.

 

aider à assouplir les modélophiles et les rendre plus humains

Une cliente, Susie, était extrêmement perfectionniste. Elle s’imposait des règles strictes, avait des opinions bien arrêtées sur la façon dont les autres et la vie elle-même devaient être, et ne laissait que peu de place à l’humour ou à la tolérance, que ce soit pour elle-même ou pour les autres.

Vous aurez peut-être remarqué que certains penseurs négatifs semblent imposer des règles rigides à la vie. Au lieu d’accepter avec curiosité les différences entre les gens et les imperfections (perçues) de la vie, des autres et d’eux-mêmes, ils cherchent à exercer une emprise presque tyrannique.

Les « modélophiles » pensent souvent comme suit : « Les gens doivent être comme je crois qu’ils sont :
– « Les gens doivent être comme je pense qu’ils devraient être ! »
– « Je dois paraître parfait à tout moment ! »
– « Les gens ne doivent pas trouver cela drôle ! »

En posant simplement des questions aux gens et en leur proposant des exercices, nous pouvons les aider à assouplir des règles dures, cassantes et rigides afin qu’elles deviennent moins blessantes et impitoyables, tant à l’extérieur qu’à l’intérieur.

Nous pouvons aider nos clients à devenir plus tolérants envers eux-mêmes en leur posant des questions telles que :
– Une personne qui est généralement bonne peut-elle faire une chose qui n’est pas excellente ? Dans quelles circonstances cela pourrait-il se produire ?
– Une personne très intelligente peut-elle commettre une erreur ?
– Dans quelle mesure pouvons-nous contrôler ou influencer le comportement et les valeurs d’autres personnes ?

Ainsi, les penseurs négatifs créent souvent des attentes et des règles irréalistes sur la façon dont la vie devrait se dérouler. Nous pouvons aider nos clients à examiner leurs attentes et à se demander si elles ne sont pas trop étroites ou trop rigides. Nous pouvons les encourager à adopter une approche plus ouverte.

Car c’est être humain que d’aborder les gens et soi-même avec humanité, nous ne sommes pas des machines, les modèles que nous suivons restent des repères, nous restons humains, et faillibles.

Nous pouvons aussi passer au travers de quelques légendes urbaines qui veulent que le monde tel qu’il est était toujours comme ça, ou que les gens à succès l’étaient toujours.

 

exploiter l’imagination

L’imagination peut être un outil puissant, mais les négatifs l’utilisent souvent pour créer les pires scénarios. Nous pouvons plutôt encourager nos clients à exploiter le potentiel positif de leur imagination en visualisant des résultats positifs. Ou au moins en traitant de manière positive les scénarios négatifs !

Les chercheurs ont constaté que l’utilisation d’images mentales positives était la technique la plus distrayante pour les participants lorsqu’il s’agissait d’interrompre des ruminations déprimantes et négatives.

Et nous pouvons renforcer l’imagerie mentale en enseignant l’auto-hypnose à nos clients.

Nous pourrions demander à notre client de ressentir une rumination négative, puis de commencer à en sortir en imaginant fortement qu’une inquiétude est résolue, ou qu’il fait face à une difficulté de la meilleure façon possible, ou qu’il remplace simplement l’inquiétude par le sentiment d’être dans un endroit beau, calme ou paisible, et ainsi de suite.

Rigidité Outil de coaching

Pour les trop « musclés » : assouplir les règles rigides qu’il s’est imposées

s’imposer des règles strictes, avoir des opinions bien arrêtées sur la façon dont les autres et la vie elle-même devaient être, ne laissant que peu de place à l’humour ou à la tolérance, que ce soit pour soi ou pour les autres.

Ainsi, les penseurs négatifs créent souvent des attentes et des règles irréalistes sur la façon dont la vie devrait se dérouler. Nous pouvons les aider à examiner leurs attentes et à se demander si elles ne sont pas trop étroites ou trop rigides. Nous pouvons les encourager à adopter une approche plus ouverte.

Certains penseurs négatifs semblent imposer des règles rigides à la vie. Au lieu d’accepter avec curiosité les différences entre les gens et les imperfections (perçues) de la vie, des autres et d’eux-mêmes, ils cherchent à exercer une emprise presque tyrannique. Ces personnes pensent souvent comme suit : « Les gens doivent être comme je pense qu’ils devraient être ! »…

En posant simplement des questions aux gens et en leur proposant des exercices, nous pouvons les aider à assouplir des règles dures, cassantes et rigides, afin qu’elles deviennent moins blessantes et impitoyables, tant à l’extérieur qu’à l’intérieur. Nous pouvons les aider à mieux se tolérer en leur posant des questions telles que :

– Une personne qui est généralement bonne et honnête peut-elle faire une chose qui n’est pas top ? Dans quelles circonstances cela peut-il se produire ?
– Une personne très intelligente peut-elle commettre une erreur ? Tout peut-il toujours être parfait ? que serait la vie si elle était parfaite ? Comment pouvez-vous être sûr qu’une vie parfaite serait meilleure ? Comment pouvez-vous être sûr qu’être comme vous l’exigez est forcément la seule manière d’être valable ? Avez-vous tenté d’autres options et lesquelles avant d’affirmer que votre opinion est la seule ? Votre opinion semble très affirmée, puis-je donc être assuré que vous avez tenté toutes les autres options ? Comment pouvez-vous être sûr que d’autres options peuvent avoir échappé à votre connaissance ? N’a-t-on jamais fait de découverte qui remettait en cause les vérités établies ? Une opinion affirmée au point de ne pas pouvoir être discutée est-elle encore une opinion ? Comment pouvez-vous êtres sûr que ce que vous attendez des autres ne génère que du positif ? Que pensez-vous des personnes qui campent sur leur position ?

questions socratiques

 

– « Quel est le pourcentage de responsabilité qui peut m’être attribué si je constate que mon collègue est de mauvaise humeur et que je ne sais pas pourquoi ? »

– Si mon fils adolescent refuse d’étudier pour un examen, quel est le pourcentage de responsabilité qui m’incombe et quel est le pourcentage qui lui incombe ?

– Si je fais un discours et que certaines personnes ne semblent pas très intéressées, quelle est la part de responsabilité qui m’incombe et celle qui leur revient ?

 

 

Outil de Coaching les peurs en CNV

prendre conscience des peurs.

quelles sont les peurs ? que disent-elles de moi ? comment sont-elles utiles ?  non jugement.  les peurs me servent, mais je veux me libérer de cette peur.

anxiétés :
ça s’est passé, c’est du passé.
que puis-je tirer de positif de ce que j’ai vécu de pénible ?
quelles sont mes ressources ?
suis-je si vulnérable ?
quelles programmations puis-je déprogrammées ?
je veux tendre vers autre chose. je m’imagine dans une autre posture

je ressens la vie : je danse, je chante, je m’exprime. quelles activités artistiques ? quelles passions ? quelles sont mes ressources de vie, de joie de vivre ?

 

 

 

Avez-vous déjà porté votre attention sur ce que vous pensez ?

j’aime ce que je pense

Parfois, on est très content de ce qu’on pense ! non ? ça ne vous arrive jamais ?

Avez-vous déjà porté votre attention sur ce que vous pensez ?

Beaucoup de personnes n’ont jamais porté leur attention sur leurs pensées, leurs opinions, et encore moins sur leurs certitudes.

Pourquoi je pense ce que je pense ? Quels sont les motivations à penser ce que je pense ? je nourris quels besoins fondamentaux ?

Et si je pensais autrement, qu’est-ce que je penserai ?

Et si j’adoptais la pensée de quelqu’un qui pense totalement à l’inverse de moi, comment et qu’est-ce que je penserai ? Quels besoins fondamentaux je nourrirai ?

… cet exercice est très intéressant, il ouvre l’esprit, ouvre la tolérance, permet de prendre du recul sur les idées et opinions et les relativiser.

 

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