Étiquette : mon coaching (Page 2 of 2)

le coach doit tout oublier pour coacher

Approche pearl : chaque être humain est spécifique, il est donc contre productif d’essayer de lui apporter des processus de l’extérieur qui pourraient l’aider à l’intérieur. Au contraire l’idée c’est de seulement poser des questions pour que les réponses émergent à l’intérieur de la personne.

Grinder dit que l’aidant qui croit savoir ou qui croit comprendre la personne aidée est un manipulateur : du moment que je pense avoir compris, mes questions sont orientées.

Les connaissances, je dois les oublier impérativement quand je suis avec la personne que j’accompagne.

Car la personne donne les solutions, je n’ai rien à apporter d’extérieur, ce que j’ai en moi est propre à moi, à mes solutions, et non à elle.

Si je ne m’oublie pas, je ne peux pas être présent et en plus je ne serai pas dans l’écoute de la personne, mais à l’écoute du miroir dans la personne.

De même, si je suis à l’écoute consciente de son language non  verbal, j’interprète consciemment, donc le message est dénaturé. Ce langage non verbal doit être un signal, une énergie, et pas une suite de mots interprétés. Du moment que la traduction est faite en moi, elle se fait selon mes filtres à moi.

Je dois donc me laisser aller à Être.

 

ressentir, vivre, pensées, émotions

Je déjeunais avec Delphine, une collègue et néanmoins amie avec qui les échanges sont toujours pleins d’enseignements parce que nous avons des points de vue très différents …

Delphine me parlait du travail. Elle avait pris un autre poste l’année dernière. Et elle s’étonnait, car la personne qu’elle a remplacée, Valérie, se plaignait très régulièrement de la charge de travail. Delphine aurait donc dû en souffrir aussi. Au contraire, Delphine se trouve sous-employée.

 » mais tu sais, je ne comprends pas, le boulot n’est pas excessif du tout, au contraire, Valérie est vraiment négative  »

Valérie avait donc un ressenti négatif de son travail. Elle le vivait mal, et son discours était congruent.

Je voudrais venir sur un point qui est récurrent dans le traitement des problèmes :
Souvent, les personnes ne parlent même pas de leur souffrance au travail. Et quand les personnes en parlent, si le manager daigne écouter la personne, ce qui n’est pas courant, la discussion s’articule autour des tâches du travail.

Mais cette façon de procéder n’est pas prioritaire selon moi et je pense qu’on perd énormément d’énergie. Car le travail n’est que le sujet !

C’est le processus qui m’intéresse !

Il pleut : pour l’un, ce sera triste, pour le suivant moche, pour le troisième beau, pour le quatrième ce sera une bénédiction, pour le cinquième une catastrophe.

La même pluie peut être « salvatrice » à tel endroit et « catastrophique » à tel autre endroit pour la même personne. Mais ce n’est pas la pluie qui est tout ça, ce sont les ressentis, les conséquences, les interprétations, les intérêts, les façons de penser….

Ici notre histoire, le processus dont je veux parler est le ressenti. Valérie vivait mal ce travail, et disait que la charge de travail était excessive. Alors que Delphine s’ennuie.

Pour Valérie, le coach accompagnateur se serait intéressé à sa manière de recevoir son activité pro : on déduit trop rapidement que les personnes qui n’y arrivent pas ne sont pas assez intelligentes, je fais ici un raccourci parce que je n’aime pas tourner autour du pot.

Or, la première chose à faire c’est de ne pas juger. On ne peut pas trouver des solutions à un problème si on le juge. En l’occurrence, les pseudos mesures de charge de travail sont des jugements, et pas des faits. Le fait de mesurer le temps moyen d’une activité ne permet pas de mesurer de sa charge de travail. C’est comme quand les constructeurs automobiles annoncent des consommations de carburant réalisées sur banc de test qu’il est impossible à obtenir dans la vraie vie, avec tous les inducteurs d’une conduite en milieu ouvert.

J’en reviens donc à Valérie. Le coach accompagnant s’intéresserait ici, au travers de questions, non pas seulement aux activités du job, mais à l’ensemble de sa vie professionnelle, et même au-delà selon les réponses de Valérie. Le parcours s’intéresserait aux ressentis, aux attentes, aux émotions, à la façon de penser, aux croyances, aux valeurs.

Autrement, Valérie risque de se retrouver dans un autre job où elle rencontrera les mêmes inducteurs de blocages.

Ce qui bloque n’est jamais extérieur

Quand un blocage a lieu, c’est toujours à l’intérieur que ça se passe. Le  » c’est sa faute  » ou  » c’est à cause de …  » qu’on accuse des personnes, la météo ou le gouvernement, n’est jamais que le stimulateur du blocage. C’est important oui de ne pas être dans un environnement qui stimule les blocages, mais seulement s’en éloigner n’est pas une solution durable. Certaines situations dans la vie sont incontournables, et beaucoup de personnes sont dans une résignation douloureuse qui fait qu’elles sont en état de survie au lieu d’être dans la joie de la Vie.

Observer, prendre un peu de recul, c’est un premier pas vers la libération. Simplement s’autoriser à adopter petit à petit une autre façon de voir les mêmes choses, c’est changer le processus à propos des mêmes sujets. Les sujets, souvent nous ne pouvons pas les éviter, parfois on peut changer de sujet, mais tant que le processus n’est pas harmonieux, les blocages restent en place.

Les ressentis génèrent des émotions, si elles stagnent ou reviennent sans cesse, c’est la porte ouverte au mal-être, aux maladies…

Définition des Valeurs – Outil de Coaching

Lister les valeurs les plus importantes.

Prendre la première valeur et : quelle valeur est encore plus importante ?

Etablir un ordre (ce n’est pas grave si l’ordre n’est pas stable/exact)

Ensuite définir le plus exactement possible tout ce que telle valeur représente pour la personne. Chaque personne donne des significations très différentes pour les même valeurs.

Ressentir.

Quels moments de la vie passée ou imaginée correspond au ressenti ?

Ancrer la ressource.

Outil de Coaching situation dérangeante

OUTIL DE COACHING Dans toute situation qui dérange :

Exemple : « dans mon travail telle chose me dérange vraiment »

quelle version de moi se sent dérangée par la situation ?
quelle version de moi ne se sentirait pas dérangée par cette même situation ?

Je peux choisir de m’identifier à la version qui ne me dérange pas,
==> donc je vais agir en fonction de cela,
==> et ma réalité va changer
==> la situation ne sera plus dérangeante.

 

Anxiété en Coaching

Le mot « inquiétude » est une non-quiètude. Elle mène à l’anxiété. Cette anxiété donne l’impression d’étranglement : on a du mal à respirer, la respiration est bloquée sans qu’on s’en rende compte. En anglais le mot worrying vient d’une vieille expression anglaise qui signifie « étrangler ».

( inspiré de Mark Tyrrell, Bruce Lipton, Joe Dispenza, des neurosciences … )

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D’abord, ne pas juger

Quand on se sent inquiet, angoissé, anxieux, pris de panique, la première chose à faire est de ne pas la juger. Tout ce qui se remue en nous a une bonne raison, toutes les émotions y compris les plus « négatives » a une bonne raison, protectrice.

Parce que la peur protège. Rien n’est négatif, mais simplement certaines peurs peuvent être irrationnelles. Mais elles ont beau être irrationnelles, on a beau le savoir, on n’arrive pas à s’en défaire par le simple fait d’en pendre conscience.

C’est parce que les peurs s’inscrivent dans le subconscient. Et le subconscient n’a aucune notion de vrai ou de faux. Il réagit : il a appris à réagir un jour face à un évènement qui a déclenché une peur. Et il a mémorisé cette réaction et nous la ressert à chaque fois qu’il rencontre la même situation qui la déclenche.

Parfois donc, en fonction de notre passé, une même possibilité peut provoquer de l’anxiété ou non. Une personne ayant vécu un ouragan peut développer une peur irraisonnée quand elle se retrouve dans une situation similaire à celle où elle a vécu son expérience traumatisante. Du moment que le vent se lève de façon audible, et fait se balancer fortement les arbres, un réflexe de peur manique peut se manifester. Même si cette personne ne va probablement plus jamais revivre un ouragan. Ce n’est pas le contexte qui est en cause mais ce qui se passe dans la personne.

Ainsi une personne peut avoir peur des araignées et son voisin pas du tout, la première personne va fuir devant une toute petite araignée, le voisin va l’ignorer ou l’écraser (quoique, on peut penser que le fait d’écraser un animal aussi utile n’est pas lié à la peur…).

Dans les deux cas, le subconcscient réagit à un contexte, pas au sujet. Il est donc inutile et contre-productif de juger le sujet de la peur. En coaching on va s’intéresser aux processus qui sont inscrits dans le système de peur.

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Accueillir :

il est essentiel d’accueillir les anxiétés, aussi dérangeantes soient-elles, sans les juger. Accueillir les conséquences positives et négatives.

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La vraie et la fausse peur

Combien de fois en une année pouvez-vous comptabiliser le nombre de peurs réelles et légitimes ? Du genre un véhicule vous fonce dessus, un chien méchant pourrait vraiment vous sauter à la gorge : 2 fois, 3 fois, 5 fois par an ?

Combien de fois dans une journée avez-vous des inquiétudes, des angoisses, des pensées de perspectives négatives pour votre santé, pour celle des autres, pour la planète, etc toutes pes peurs qui sont finalement imaginaires : 10 fois, 20 fois, 30 fois ?

Nous ne sommes pas faits pour stresser en permanence. Le processus de fuite est salvateur dans un moment de vraie peur, mais il désactive notre système immunitaire, notre pensée raisonnée, et fait grimper la tension artérielle, chasse le sang du système digestif et inonde les muscles de sang et d’oxygène, raccourci la respiration et la rend superficielle.

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Quand s’inquiéter devient une habitude

L’inquiétude persistante peut se transformer en une habitude, une habitude désagréable dont il est si difficile de se défaire que les inquiets chroniques trouvent qu’il y a quelque chose de louche quand tout va bien.

C’est vrai par exemple des personnes qui passent leur temps à regarder les mêmes news et à y revenir alors même qu’elles savent que c’est de la redite et des mauvaises nouvelles.

Ces personnes trouvent toujours des justifications : «  je m’informe de ce qui se passe dans le monde », « la réalité est moche », « il y a toujours des choses nouvelles et intéressantes », etc… tout est bon pour justifier cette addiction morbide.

Par exemple durant la crise covid, quand ça allait mieux, certains s’en sont inquiété, et ont appelé de leurs vœux « tu verras très bientôt ça sera pire », et en effet le pire arriva ! mais ça c’est la loi d’attraction dont nous parlerons une autre fois.

S’inquiéter n’est pas anodin, cela a des conséquences. Plus on s’inquiète, plus on produit d’hormone de stress et plus on rêve la nuit. À leur tour, les rêves excessifs causés par des inquiétudes non résolues peuvent provoquer une dépression clinique. Et c’est là encore un autre sujet d’inquiétude. Cesser de s’inquiéter autant peut avoir de multiples avantages.

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Le rôle de l’imagination

L’imagination : elle est partout dans nos vies d’humains ! C’est peut-être même ce qui distingue l’homme des autres animaux ! Tout ce qui n’est pas palpable est imaginé.

L’anxiété chronique a été qualifiée de « trouble de la pensée », mais il s’agit plutôt d’une mauvaise utilisation de l’imagination. Et l’imagination n’est pas seulement « dans votre tête ». Elle a des effets mesurables et palpables, tant physiques que comportementaux.

Par exemple, les personnes jalouses peuvent imaginer toutes sortes de choses négatives sur les actions et les intentions de leur partenaire, souvent sans aucune preuve pour étayer leurs soupçons. Cela peut les amener à commettre des crimes terribles – tout cela parce qu’ils adhèrent au scénario créé par leur imagination.

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Le corps répond au stress et le stress répond au corps

L’imagination peut être utilisée de manière constructive ou destructive. Et puisque l’imagination est dans nos têtes, nous avons le contrôle sur nos imaginations, donc sur les émotions et les hormones qui sont libérées en fonction que nous imaginons le beau (hormones du plaisir et de la sérénité) ou le pire (hormones du stress, désactivation du système immunitaire, sensibilité à la douleur).

N’est-ce pas un peu facile de parler d’attaque de panique comme si elle venait de l’extérieur ? La panique est un état d’anxiété extrême qui attaque la respiration. Des études démontrent le lien entre les syndromes l’inquiétude et les précurseurs des troubles cardiaques (1)

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RESPIRATION

L’anxiété rend la respiration superficielle, et cette dernière est une réponse à l’effort. Sauf qu’on ne fait aucun effort physique. On n’a pas besoin de nourrir les muscles ! En nourrissant les muscles alors qu’ils n’ont pas besoin d’oxygène, par effet rebond on crée une hypersensibilité à la douleur.

C’est un effort inconscient de lutte interne contre l’anxiété : contre l’imagination, contre les idées qu’on se fait d’une situation. Dans ce cas, le corps répond à ce qui se passe dans l’état émotionnel. De même, la tension artérielle augmente, et le système immunitaire se désactive.

Mais si la respiration est une réponse à un effort imaginaire, on peut donc faire l’inverse : respirer lentement et longtemps à l’expir calme l’anxiété !

En effet, une respiration d’effort va chercher l’oxygène pour nourrir les muscles, et elle sera plus superficielle. De plus, l’air c’est la vie et le manque d’air est stressant. Ralentir et allonger l’expir a un grand effet anti-stress : petit à petit, rallonger l’expiration permet de calmer les anxiétés.

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SALIVATION

De même, mâcher un chewing-gum réduit l’anxiété : la salivation est un message au corps qui dit manger, et on ne mange pas quand on est en fuite. Le corps ne peut pas comprendre manger et fuite en même temps.

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POSTURES

La posture : Le stress implique une posture de fuite : se tenir droit, les épaules en arrière, le regard haut, avec le sourire, éloigne le stress de façon naturelle, car on ne peut pas être bien tout en étant mal.

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Corire ou ne pas croire l’anxiété

Nous avons tous des inquiétudes. Une personne anxieuse peut me dire : «  oui ok tu me dis que c’est mon imagination, mais je n’arrive pas à ne pas imaginer, tu vois bien c’est la réalité, ce qui se passe, et ce qui se passe est inquiétant ». OK l’inquiétude se présente à nous, mais nous ne sommes pas obligés de la croire !

Quand JC Grangé écrit un de ses romans sanglants, il n’y croit pas et il n’est pas lui-même effrayé par ce qu’il écrit, sans quoi il ne continuerait pas son écriture ! Et quand vous, lectrice/lecteur, lisez un de ses romans, vous n’y croyez pas non plus ! Vous avez le frisson, mais vous êtes en-dehors du livre !

Je peux par exemple imaginer que le plafond va me tomber dessus : c’est possible, mais pour autant, tant que je n’y crois pas, je ne m’inquiète pas ! Cela reste seulement une possibilité !

Ainsi, plutôt que d’essayer de « ne pas y penser » nous pouvons apprendre à nous détendre profondément tout en imaginant ce qui fait normalement peur.

On peut s’entrainer à prendre de la distance et voir les inquiétudes au loin, tout en se sentant toujours aussi détendu « ici ».

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EXERCICES A FAIRE CHEZ SOI

Dépression exercices à la maison

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EXERCICES A FAIRE EN SEANCE

dépression anxiété exercices en séance

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(1) https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0167876022000940

(2) https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0005796715000431

(3) https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/20622143/

Ratifier les progrès – Valoriser – Motiver – Outil de Coaching

Ratifier les progrès est une des manières les plus importantes de motiver et valoriser le client, le parcours et la démarche.

Pour les clients en anxiété / tension / négatif

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1- Au début de la session, sur ce qui s’est passé AVANT la séance :

Le fait d’avoir pris RDV fait, chez certaines personnes, déjà descendre la tension.

=> Ratifier, Valoriser le fait : comment la personne a fait pour se sentir mieux, et comment la personne l’a remarqué : cela met en lumière les ressources.

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2 – Noter le progrès entre le début et la fin de la séance.

Noter la tension entre 1 et 10 au début et à la fin de la séance. Valoriser :    « C’est génial, vous êtes clairement le type de personne qui peut changer un comportement non épanouissant très rapidement, vu la nervosité que vous aviez en arrivant ! ».

Cela donne également de la valeur au parcours de coaching initié / en cours.

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3 – Le progrès n’est pas un spectacle

Dans la vraie vie, les plus grands succès ont eu un petit début, généralement même plusieurs débuts avortés. Il en est de même pour l’objectif du client.

Pour arriver au sommet d’une montagne, l’alpiniste a commencé par un premier pas, puis un autre, puis un autre.

Quand on  forme une boule de neige, on commence par en former une petite et elle devient énorme au fur et à mesure qu’elle est roulée.

Le dénominateur commun est le mouvement.

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4 – Prendre des notes et faire noter les progrès.

Revenir sur les notations du problème dans la ou les séances précédentes et faire notre au client qu’elle/il a fait des progrès.

 

5 – Donner des tâches de notation à faire

Demander au client de noter chez lui chaque jour les évènements positifs qui se sont présenté à lui et lui faire décrire comment il se sent mieux.

C’est une action qui va permettre de valoriser et de dissocier le client de ce qui lui arrive.

 

 

 

 

Clés de Réussite – Outil de Coaching

Tout organisme, organisation, entreprise, mouvement, religion, métier, a été créé. Et chacune de ces entités a trouvé une place qui était forcément vide avant son invention. Et chacune dans un contexte favorable à son éclosion : le smartphone ne pouvait pas être développé il y a 50 ans.

Il y a dans toute entité des vides. Identifez-les et comblez-les. Ce sont des besoins non nourris.

Dans toute initiative ne marchez jamais sur les plates-bandes d’autres : c’est que ça existe déjà, ce n’est donc pas nouveau.

Regardez les inventions sans juger : y compris les escrocs ont inventé des idées que vous pourrez utiliser pour votre activité

Allez à la rencontre du monde extérieur ! Posez des questions !

Process Coaching – ICA

 

Le coach : accueil inconditionnel, relation de confiance, savoir valoriser, positiver, savoir relancer, reformuler, poser des questions bleues, parler au présent le plus possible. Relation d’adulte/adulte et quand il le faut posture de parent normatif positif.

Introduction première séance
Expliquer la méthode : Le coach n’intervient pas comme un consultant. C’est avant tout une relation de partage dans laquelle le coach accompagne pour que son client puisse faire émerger ses propres solutions / pour qu’il soit acteur de sa vie  / le client peut mettre en oeuvre concrètement objectif qui lui sera propre. / le coach vise que le client soit aligné avec ses valeurs, ses talents, ses façons de fonctionner dans son environnement /
Contrat : fixe la durée, le ou les lieux, le tarif, la manière de travailler ensemble, la déontologie. L’émotion est tout à fait ok, on se dit les choses.
Qu’est-ce que la personne attend du coaching ? Questions au présent.

Séance:

Accueil : Comment est ta météo, énergie haute/basse et bonne ou moins bonne

OBJ : avec quoi veux-tu repartir aujourd’hui ?
Poser l’objectif :  Quel est l’objectif de la séance ?

Présent : Pour cerner l’obj / le problème : de quoi de où avec quoi on part ? Quels sont les obstacles ? questions ouvertes et bleues. Définir le secteur de vie. Quelle est la motivation /10.

Définir un obj SMART (atteignable n’est pas réaliste. Réaliste = ./.. à une situation extérieure  et  ./.. aux moyens)

Vision Idéale : On nourrit le SMART avec la vision idéale, afin que le client soit imprégné de son film. on cherche l’alignement des niveaux logiques. La personne doit être en phase avec son objectif.

Retour au présent : quelles différences avant/après ? Quel est le ressenti : l’énergie circule où dans le corps ? Amplifier les sensations.

Ressources : extérieures et intérieures.
Descendre les niveaux logiques : Valeurs, Capacités, Comportements, Environnement
S’il le faut passer par la modélisation des réussites.

Obstacles : Réels ou croyances ? Poser des questions, l’obstacle doit être concret, souvent ce sont des croyances.

Options : demande pour la prochaine séance. prendre du plaisir à le faire, pas de conditionnel. On peut faire cela par dissociation.

Plan d’action : qu’est-ce qui est le plus réaliste, le plus pertinent, fun, qu’est-ce qu’on retient ? Doit être temporel et mesurable avec du FUN. Quelle est la motivation /10.

Suivi : 10 minutes de positif, proposer de ne pas dire MAIS, retour sur les actions. Valoriser.  Et si pas réussi : qu’est-ce qui a fait que ça n’a pas marché ? quel est l’apprentissage ?

Feedback Intermédiaire.

Le coaching global pour qui pour quoi c’est quoi ? 

Le coaching génératif          pour qui       pour quoi       c’est quoi ? 

Le  coaching génératif est basé sur la génération des ressources propres à chacun et met la personne au centre de l’accompagnement.

Ce coaching ne s’intéresse pas au sujet, mais aux processus !     Le sujet c’est de l’information et c’est l’affaire des consultants ou d’internet.
Mais ce sont souvent les processus qui nous limitent, que ce soit dans les difficultés de la vie ou dans la réalisation d’un projet.

Ce coaching s’applique par conséquent à une large palette de situations   :   pour réorienter sa vie professionnelle ou personnelle, ou encore de trouver un nouvel équilibre entre ces domaines de vie.
//      c’est aussi mettre en pratique une idée ou un projet, développer une passion      //
C’est encore améliorer le relationnel, dénouer les émotions, parfois se réconcilier avec avec la Vie et retrouver de la Joie    //

Ce que je fais c’est t’accompagner dans la concrétisation de l’objectif qui correspond à ta singularité    à ce que tu es vraiment      //   C’est pour cela que ce sera durable, car c’est quand on fait de qu’on aime qu’on se réalise     //

J’utilise une méthode d’accompagnement inédite qui t’emmènes vers du positif   :  parle-moi de ton passé et de tes défauts, nous répondrons ensemble par ton avenir et tes talents !    parle-moi de ce qui ne marche pas, nous visualiserons ensemble de ce qui marche !    Tu as 10 fois plus de possibilité que tu ne le penses, et à 2 on en a 100 fois plus !    //

J’utilise des techniques de PNL qui sont de formidables outils pour construire ses propre stratégies, se débarrasser des croyances limitantes inconscientes, régler les incohérences, positiver, nourrir la motivation, clarifier et tracer le chemin dans les actions concrètes.    //

je te propose une vraie relation de confiance

N’attends pas les opportunités, mais crée les !

Comment se positionner en tant que coach professionnel

extraits de  deux articles :

https://www.institut-repere.com/info/le-metier-de-coach-professionnel-enjeux-et-strategie/

Comment se positionner en tant que « coach professionnel » ?

Il y a trois grandes stratégies pour sortir du lot :

  1. Développer des compétences « uniques »
  2. Développer une « image » unique pour une cible « unique »
  3. Développer une relation « unique »

Développer des compétences « uniques »

Un coach peut se distinguer par son approche, sa méthodologie, son efficacité, la spécialisation dans certains sujets.

Quelques exemples :

  • Coach de vie : accompagner des personnes qui vivent des situations personnelles difficiles et qui ne souhaitent pas rentrer dans une démarche thérapeutique.
  • Coach en entreprise : accompagner des personnes dans les organisations qui doivent faire face à des défis professionnels, des limites de leur fonctionnement
  • Coach d’équipe : accompagner des équipes dans le développement de leur intelligence relationnelle et collective.
  • Coach de processus ou facilitateur : accompagner des réunions, des processus d’amélioration continue… par exemple, un de nos participants se positionne comme « réuniologue ».
  • Coach spécialisé : aborder un aspect de l’existence humaine. Une de nos formatrice, France Doutriaux, développe des coachs qui accompagnent la réussite d’une épreuve, ou des coaches qui abordent les vécus émotionnels douloureux, un de mes amis est devenu « timidologue », …

Coach dans quoi ? : Individuel, Sujets : Emotions, Maladies, Dépression, mal-être, relationnel.

 

Développer une image « unique » pour une cible unique

Le coach peut également se démarquer par son « marketing » ou travailler son image. Il ne s’agit pas ici de jouer un rôle mais bien de se positionner en fonction de ce qui est notre « essence » notre identité profonde.
VOIR le livre Carol Pearson (son ouvrage en anglais « The Hero and the Outlaw »)  positionnement de « marque ».
Par exemple, l’archétype Hors-la-loi (exemple de marque : Harley Davidson ; exemple d’artiste : Serge Gainsbourg) s’adresse à des personnes qui sont en rébellion avec le système et cherchent à se démarquer par un côté choquant, dérangeant.  Un coach qui s’adresserait à ce genre de public, serait lui-même dans cette démarche et attirerait des personnes qui cherchent à trouver leur place, à choquer positivement, à transformer le système en devenant des leaders atypiques.
Il est donc indispensable pour le coach d’identifier son public-cible et de vérifier si ce public est sensible à sa nature propre de coach.

Moi : Tutoyer les clients. Me présenter calme, zen, grand et apaisant. Public cible : individuel, en quête de sens, en quête de rassurance, en quête de changement profond.

Développer une relation « unique »

L’accueil, le rapport, le cadre de sécurité, l’environnement, le degré d’authenticité, le niveau de pleine conscience ou de présence à l’autre sont des ingrédients qui permettent d’être unique dans sa proposition d’accompagnement.    OUI c’est moi
Dans ce cas, le coach n’a au fil du temps plus besoin de se positionner car le cadre relationnel est un axe très fort de développement.  L’expérience unique que le coach offre à ses clients est souvent partagée à d’autres, voire conseillées à d’autres.  Les clients deviennent ainsi des prescripteurs pour le coach.  Le bouche à oreille fonctionne très bien.

 

Coachs, qui vont être vos clients

ttps://www.institut-repere.com/info/comment-trouver-ses-clients/

(ajouter un h devant l’adresse)

La démarche marketing consiste à faire savoir l’existence d’un produit ou un service spécifique, auprès d’une cible bien identifiée. La démarche de vente consiste à obtenir une décision d’achat de la part des personnes considérées comme « cibles ».

Ces deux démarches nécessitent une pensée stratégique questionnant de « comment faire » pour capter l’attention d’une population cible et favoriser des décisions d’achat. Sachez cependant qu’il est impossible de répondre à la question du “comment faire” si vous n’avez pas répondu au préalable à la question du “Qui vont être vos clients ?”

Vos clients vont probablement vous choisir non pas à partir de ce que vous leur racontez de vos talents de coach, mais plutôt à partir de la manière de dire les choses, à partir de votre niveau de congruence et de ce qui « transpire de vous ». Avec l’expérience, on se rend vite compte que le premier outil et argument de vente du coach est le coach lui-même.

Au fait qu’elle est votre vraie valeur ajoutée ? Pouvez-vous en parler facilement ? Qu’avez-vous d’unique à proposer à vos clients ? Savez-vous mettre à jour et expliquer vos stratégies inconscientes de réussite ?  Pourriez-vous décrire en quelques mots vos mécanismes d’excellence, avec ce que vous faites bien et avec bien plus de facilité que les autres ? Avez-vous identifié les mécanismes d’action qui vous rendent unique et que vous mettez sans cesse en œuvre pour aboutir à des résultats que vous considérez comme satisfaisants ?

Quels sont me mécanismes d’excellence ?  La croyance en l’existence cachée (ou tout simplement inconsciente) en vous de mécanismes d’excellence méconnus, et d’autre part la présence d’une personne capable de vous aider à mettre à jour ces mécanismes. Qui pourrais-je aider au mieux avec mes mécanismes d’action ? Pour qui puis-je être un modèle ? La connaissance de votre singularité vous permet de la proclamer et de donner une chance à ceux qui en ont besoin de vous trouver. Vous n’êtes plus le coach de tout le monde mais uniquement de ceux que vous êtes susceptible d’accompagner au mieux.

Elle consiste à se détacher du cadre limité des modes de pensée du passé, c’est-à-dire à prendre de la distance par rapport à ce que vous faisiez (le QUOI) auparavant, et à la manière efficace de le faire (le COMMENT), pour revenir à la source de tout votre savoir, c’est-à-dire vous-même :le QUI

Les réponses ne sont pas dans votre tête mais au plus profond de votre corps et de votre cœur. Il faut une pause, du silence, une présence à soi, pour laisser décanter l’eau boueuse de votre mental et faire apparaître la pureté de l’eau et de la lumière qui la traverse. Vous serez comme appelé à prendre une nouvelle direction, parfois effrayante, celle de votre “futur émergeant” pour citer Otto Scharmer, afin de pouvoir inventer ou réinventer votre activité de coach. Steve Jobs vous dira qu’une innovation n’a jamais pris naissance dans les études de marché, mais plutôt dans la méditation.

Comment me découvrir ?    méthodologies  : la Programmation neuro-linguistique (PNL), la Process Communication (PCM) ou l’Ennéagramme, l’Approche Systémique, la Spirale Dynamique, la Vision intégrale de Ken Wilber, la Théorie U d’Otto Scharmer …

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